Cela faisait un petit moment. (Kaleb)

Aujourd'hui j'avais repris le boulot après mon petit incident de l'autre soir, j'allais mieux, je commençais doucement à me faire à l'idée que Zoé connaisse son père et passe même du temps avec lui mais en tant que maman j'étais toujours en train de penser à elle, nuit et jour et reprendre le boulot m'avait fait un bien fou. Les questions avaient fusées au boulot après mon retour mais dans l'ensemble tout c'était bien passer et j'avais passé une agréable journée, le bon truc pour que je passe une bonne journée par la suite. En terminant le boulot j'avais fait un tour en ville, c'était bientôt noël et j'adorais me promener autour des décorations mais vu la fraicheur j'avais besoin de me réchauffer avec un bon chocolat chaud comme j'en raffolais surtout en cette période de noël. J'étais entrer et j'avais passer ma commande e tune fois ma commande entre les mains je cherchais une place, je remarquais Kaleb à une table mais il était avec un ami à lui, je n'allais pas les dérangés, je lui fis donc un singe de la main suivi d'un sourire avant d'aller m'asseoir à une table seule, cela faisait longtemps que je ne l'avais pas revu et j'aurais bien voulu passer un moment avec lui mais de détestais déranger les gens accompagnés.

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Let me help you

Machin & bidule

Un bonnet sur la tête, ne couvrant pas totalement. Quelques une de mes mèches s’efforçant de sortir afin d’aller avec l’ensemble de mon visage et former un bel équilibre stylée. L’hiver est présent et les tenues ne sont plus à la beauté et l’aisance mais bien à la conservation de chaleur. Bien entendu, j’ai toujours eu un don pour allier élégance et chaleur, mais aujourd’hui je n’ai pris qu’un bonnet qui m’a amplement suffit pour aller avec mon visage. Le reste de mes fringues se contente d’un pull blanc et d’un jean bleu foncé. Cette après-midi a été particulièrement fraîche et les habits que j’ai suffisent à me donner chaud, cependant ce n’est pas le cas pour tous. Avec l’assoc’ on a fait quelques rondes, de nous-mêmes sans réelle concertation nos cœurs nous ont menés au local là où nous avons préparé des repas chaud et pris quelques vêtements de quoi nourrir les sans-abris de la ville. Une démarche donnant envie de croire en l’homme et depuis la mort de ma mère, c’est ce que j’essaye de faire tout en ayant toujours ce sentiment de culpabilité au plus profond de moi. L’heure tourne et après avoir épuisé nos stocks nous rentrâmes tous chez nous. Hormis moi et un collègue, nous décidâmes d’aller prendre un café pour faire le débriefing de notre après-midi et les après-midi que l’on devrait multiplié et pourquoi pas en faire la promotion sur les réseaux sociaux. Nous en parlâmes pas mal et c’est en se disant à la prochaine qu’une cliente du café attira mon attention. Un simple coucou de la main, un sourire et elle m’éblouit. Sally est une fille simple et qui ne se prend pas la tête, brune, belle et intelligente elle a surement beaucoup de mâles qui lui courent après. Mon frère en a fait partie si je me souviens bien et c’est un des blocages qui me retient de moi-même être réellement dragueur envers elle. Je salue mon collègue, finit mon café et laisse de l’argent sur la table avant de me diriger vers la brune en question. Je m’approche d’elle et d’un ton enjoué lui fait la bise « Heeeeeeeey, toi, tu vas bien ? Ça fait longtemps !! Comment vas-tu ? La petite va bien ? » Maman. Une maman, j’avais oublié et ça m’ai revenu d’un coup. Je ne me fais pas prier et m’assoit en face d’elle. Gardant une certaine distance. Il ne faut pas que je sois trop proche d’elle, au risque de défaillir, il faut savoir se montrer fort devant les gens qui nous rendent.. fous.

AVENGEDINCHAINS

Je ne savais pas comment le reste de ma journée allait se passer après mon boulot, j'avais décider de venir boire un chocolat chaud rempli de mousse sur le dessus et je n'avais rien prévue de plus pour la suite de ma journée. Je n'étais pas spécialement fatiguer et c'était ma première journée en dehors de chez moi depuis l'accident que j'avais eu du coup je profitais de mon temps libre pour m'arrêter au café du centre ville seule. Habiller d'un jean et d'un top noir décolleté, j'étais couvert d'un manteau à col en fourrure et une écharpe que je venais de retirer pour m'asseoir à une chaise pour boire une tasse de ma boisson chocolaté. J'étais passé pas loin d'une table où était assit Kaleb avec n ami à lui, je n'osais pas aller les dérangés mais cela faisait un moment que je ne l'avais pas revu, il était toujours aussi charmant par contre mais je fus assez surprise en le voyant venir à ma table, je me pinçais les lèvres en relevant les yeux vers lui et je lui réservais un petit sourire après qu'il m'est fait la bise. "Oui et toi?? Oui un moment, je te pensais disparu. La maman et la petite fille vont bien, et toi alors quoi de beau??" Je le regardais s'installer face à moi et je plantais mon regard bleus dans le sien en me redressant sur ma chaise.

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Machin & bidule

Une alchimie charnelle se fait de suite sentir lorsque je m’assois en face d’elle. A peine que nos lèvres se furent effleurés sur nos joues que l’on sentait cette tension palpable. Entre un homme et une femme ce lien presque parfois fusionnel peut se faire sentir et entre Sally et moi, c’est depuis la première fois. Je rendais visite à mon frère et mon neveu et elle était là. Toute innocente, toute aimable, gentille et surtout naturelle. C’est cela qui m’a le plus plu chez elle, après, je ne la connais pas vraiment mais la tension qui lie deux personnes comme elles nous lient là donne droit à des pressentiments peu trompeur. Mon regard brun se pose sur le sien avant de doucement la regarder de bas en haut de manière classe et surtout discrète, un homme se doit de regarder une femme d’une certaine façon, qu’elle ne se sente pas agressé mais charmée, qu’elle ressente l’intérêt propre que l’homme a pour elle et non pas tel un chien en manque de nourriture. Je répondis directement en enchaînant à sa réponse « Je vais bien, je vais bien merci.. Et bien moi je suis ici depuis la rentrée ! Je ne sais pas si Devan t’en as parlé mais je suis officiellement un étudiant d’Harvard depuis quelques mois.. c’est juste que je faisais pas mal d’aller/retour pour aller voir mon père et ma sœur, c’est difficile de lâcher ses habitudes d’un coup alors voilà.. et toi, toujours étudiante ? Elle a quel âge ta fille maintenant, 4 ans, non ? » Dis-je approximativement. Montrant de l’intérêt pour sa petite fille car je sais qu’elle en a bavé et surtout en parlant de la fille, indirectement je peux remonter et voir si le père est toujours présent. Je ne quitte pas ces yeux, pas même pour plonger dans ce léger décolleté ou admirer ses formes. Je le ferais soit discrètement, soit pas du tout. Gentleman jusqu’au bout, comme Papa.

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La première fois que j'avais vu Kaleb chez Devan je l'avais tout de suite trouvé très charmant, il y avait eu ce petit truc, ce petit regard, ce petit truc qui me faisait être intimidée par lui alors que je ne le connaissais vraiment pas et puis il était le petit frère de Devan et j'avais eu une petite aventure avec Devan mais rien de très sérieux du coup je ne m'étais pas imaginer reprendre contact avec lui par la suite même si j'en mourais d'envie je dois avouer. Le voir aujourd'hui me faisait énormément plaisir, je ne pensais pas le revoir par hasard après tout ce temps, comme je ne savais pas qu'il était étudiant, en même temps je n'étais plus au campus à présent mais dans la vie active et je m'occupais aussi le plus souvent de ma fille du coup c'était difficile de garder contact avec les gens mais j'espérais qu'à l'avenir avec Kaleb on garderait contact et j'étais bien contente qu'il ce soit installé face à moi. "Non je n'ai pas revu Devan depuis un moment non plus juste des novelles par sms pas plus et non je ne suis plus au campus je travail aujourd'hui. C'est normal même si sa doit être fatiguant tous ces aller retour mais j'espère qu'on ce verra plus souvent à présent. Hey non quand même pas, elle n'a même pas encore un an, elle a eu 8 mois." Je ris parce que bon il la voyait grande alors que ce n'était pas le cas mais il me semble pas lui avoir dit qu'elle âge elle avait l'autre fois, je lui avais juste dit que j'avais une petite fille et qu'elle s'appelait Zoé. Je me mordillais la lèvre en laissant mon regard glisser sur son torse qui était cacher par ces vêtements puis je reposais mon regard dans le sien en terminant mon chocolat chaud.

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Un café chaud chaud (a)

Sally & Kaleb

Le regard est la porte de l’âme. C’est ce que l’on dit souvent de deux personnes qui s’apprécie sans réellement se connaître. Ils se sentent, si on peut dire les choses comme tel. Des pressentiments, comme si on connaissait déjà la personne. C’est ce qui nous fait penser qu’elle nous a prédestinées. C’est souvent ce que l’on aime à se dire, sans réellement y croire mais sans abandonner cette idée non plus. L’homme comme la femme n’aime pas réellement la solitude, il apprécie la compagnie, avoir quelqu’un pour le soutenir, l’aimer. Sally est attirante, je sens le regard qu’elle pose sur moi et cela ne me dérange pas, mais ne m’arrange pas non plus. Le jeu de séduction qui au naturel se trouve entre nous est tout de suite en place, sans réellement me laisser le temps d’apprécier la chose. Généralement, c’est ainsi et je comprends comment mon frère n’a peut-être pas su lui résister, s’il s’est passé quelque chose entre eux. Il est dur de résister à une femme comme Sally, j’en prends conscience et malgré moi, je sens mon esprit doucement s’enflammer, doucement glisser dans un mode « désir » envers elle. Ces réponses parviennent enfin à mon cerveau et je percute. Randy est plus grand, j’avais cru comprendre que les deux avaient plus ou moins le même âge, à priori non. Elle n’était plus en études, dommage. « Oh.. Désolé. Je pensais qu’elle avait le même âge que Randy ta petite Zoé, c’est pas trop dur.. sans le papa ? –Demandais-je avec une certaine gêne dans la voix – Si tu ne veux pas répondre je comprendrais.. . –Laissant un léger blanc puis reprenant – Oh.. Du coup on ne se verra pas si souvent que ça.. J’aurais cru. J’arrive au mauvais moment, ni mon frère ni toi n’êtes en études. Ce n’est pas gentil de m’abandonner. » Dis-je en appuyant mon regard sur le sien, un sourire charmeur aux lèvres. Son regard m’a attisé, il va falloir que je me maîtrise. Je m’assois mieux, discrètement et sans le vouloir j’effleure sa jambe. J’espère qu’elle ne croit pas que je lui fasse du pied, c’est trop puéril pour moi, mais quand même.. (a).

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Je ne savais pas comment ni pourquoi avec Kaleb il y avait eu ce petit truc, en règle générale j'avais cet attirance mais cela ne dépassait pas ce stade là, je le connaissais à peine et j'avais déjà du désir pour lui, il y avait quelque chose chez lui qui m'intriguait et à la fois me rendait intimidée, j'avais besoin de creuser et je n'arrivais surtout pas à cacher ce désir là. Je ne me cachais pas dans mes regards mais je restais sage, je ne voulais pas qu'il me prenne pour une allumeuse ou qu'il croit que je voulais me taper les deux frères, ce n'était pas le cas, avec Devan c'était il y avait un moment mais Kaleb c'était autre chose et pourtant on venait juste de ce recroiser après un certain temps. Je me mordillais la lèvre en le regardant dans les yeux, je terminais mon chocolat et cela ne m'aidait pas à avoir moins chaud au contraire j'aurais dû prendre un thé glacé en y pensant mais je me repris en parlant de ma fille. "Non elle est beaucoup plus jeune. Au départ si mais j'ai dû me faire une raison, je fais sans, il est là pour sa fille c'est le principal." Cela ne me posait aucun soucis de répondre, rien n'était indiscret on parlait et j'aimais qu'on s'intéresse à moi. "Cela ne me pose aucun problème." Je souris à sa remarque et c'est vrai que pour le coup sa tombait mal. "Pourquoi on ce verrait moins, on peut toujours ce voir mais c'est vrai que sa tombe mal et ont ta pas abandonné c'est plutôt toi qui arrive trop tard." Je lui adressais un petit sourire avant de sentir sa jambe effleuré la mienne, du bout de mes pieds je me mis à lui caresser la cheville sensuellement avant de m'en rendre compte, je reposais mon pied par terre en baissant mon regard sur ma tasse vide, je m'étais pas vraiment rendu compte et je ne savais pas pourquoi j'avais fait ça, surement le fait qu'il m'intrigue et m'attire à la fois et je me sentais stupide, j'avais peur qu'il prenne peur avec moi pour ce geste.

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Un café chaud chaud (a)

Sally & Kaleb

La raison n’est plus présente, elle est absente et s’en est allé avec mon collègue. Là, de suite, je suis dans le regard de Sally. Je brûle à l’intérieur, comme plongé dans un bain un peu trop brûlant et qu’elle est ma source de fraîcheur, une délivrance, ma libération. Mais tout est dans la manière, flancher sur une fille du premier regard je l’ai déjà eu avec elle, maintenant il suffit juste de se contrôler. Tout était plus facile avec la présence de mon frère dans les parages, là, aujourd’hui, seul à seul, son regard dans le mien : c’est différent. J’ai l’impression d’être un petit enfant devant son cadeau de Noël avec comme seul envie, l’ouvrir et jouer avec. Si je le faisais, là, de suite, je céderais à une grosse envie et surtout, à mes principes. Je décide de me concentrer plus sur la discussion et apprend avec soulagement que son ex n’est plus dans sa vie hormis pour la petite, cela me fit sourire, un peu trop même et je me reprends rapidement. « Tu as du courage en tout cas, ça a dû être dur de se reconstruire sans lui et pour elle. Les enfants nous donnent la force je pense de pallier ces manquements et d’être encore plus fort. » Un petit compliment ne fait pas de mal, alors s’il est totalement sincère, ça doit faire un décuplement de celui-ci. Elle finit par me rassurer sur le fait est que cela ne la dérangeait pas, je prends note pour le futur. D’un sourire à un autre, nous nous ne quittons pas du regard et j’apprécie cet échange. Nos regards se lâchent lorsque nos corps se réclament dans un geste non voulue mais qui le devient doucement. Je sens que je ne vais pas pouvoir retenir mon corps, mais peut-être qu’avec ma langue, si. « Il n’est jamais trop tard, la preuve. –Dis-je en approchant ma jambe de la sienne, discrètement mais assurément proche. – Tu sais, avec le temps, je sais que je t’ai toujours apprécié même sans te connaître réellement. Mais pour être plus franc avec toi Sally. Tu m’as plu dès la première fois que je suis venu ici alors que vous étiez étudiant. » Je ne précise pas au jour d’aujourd’hui, le fait que ma jambe touche la sienne veut bien dire ce que je n’ose dire mais dont je fais comprendre : elle me plaît et je la veux. Je dois me contrôler, je n’ai pas été élevé pour sauter sur une fille comme ça, mais.. je suis un homme au fond. Je n’écraserais cependant pas mes principes, c’est sûr, mais il va falloir que je me ressaisisse mais je ne pense pas que le fait est que je me rapproche d’elle comme ça aide en soi. Voir pas du tout.

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Il avait un regard qui me transperçait et qui me faisait presque oublier qui j'étais, c'était troublant parce que j'ai toujours eu le contrôle de moi, j'ai toujours eu cette distance même quand un homme me plaisait, je ne connaissais à peine Kaleb et pourtant j'avais l'impression qu'on ce connaissait depuis des années, que mon désir pour lui était beaucoup trop forte et surtout j'avais l'impression d'exploser à chaque fois que mon regard croisait le sien. J'étais perturbé parce que cela ne m'était jamais arriver et je me concentrais sur notre conversation, du moins j'essayais de me concentrer là dessus. "On a jamais été ensemble en fait lui et moi c'est surement pour ça que c'est plus facile aujourd'hui." Je ne savais pas si j'avais du courage ou non, beaucoup de femme était maman célibataire et moi ma fille me rendait heureuse avec ou sans son père, au jour d'aujourd'hui. Je ne savais pas comment on en était arrivé à laisser nos jambes ce toucher mis c'était arrivé et cela me faisait frissonner plus que je ne le devrait, je le regardais dans les yeux en me pinçant la lèvre avant d'entendre ces mots et de répondre d'une certaine sincérité. "Pendant qu'on est dans les confidences je ne sais pas ce qui ce passe avec toi mais tu m'attire autant que tu m'est sympathique, tu m'excite, tu me trouble et m'intimide à la fois alors qu'on ce connait à peine et franchement sa me dépasse." Je laissais mon genoux caresser le sien avant de passer entre ces cuisses vu que je m'étais rapprocher de lui. "Et peut être que je viens de me ridiculiser et que je devrais rentrer au lieu de te faire autant de rentre dedans."

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Un café chaud chaud (a)

Sally & Kaleb

Le jeu n’en était plus un. La réalité est bien réelle comme ces jambes près des miennes, comme ce sourire charmeur intentionnel sur mon visage, comme ces mots bien choisis afin de créer une atmosphère intense, électrique. Je compris rapidement que son histoire avec son ex est réellement du passé lorsqu’elle en rajoute dessus. Elle me le signifie réellement, je ne sais pas si c’est intentionnel ou pas mais je le perçois comme un feu vert sur la route de son cœur. C’est de bien grands mots alors que l’on est littéralement en train de s’enflammer l’un pour l’autre sans réellement se connaître. Cette alchimie de deux corps qui s’attire arrive souvent mais dans la vie d’un homme ou d’une femme, il suffit de côtoyer du monde de voir qui on attire ou pas, un regard suffit à tout allumer, comme une étincelle dans sur une gazinière : ça enflamme tout. « Alors on peut dire que tu es totalement libre alors. » Dis-je d’un ton limite provocateur, qu’elle comprenne qu’elle est libre et que moi aussi. Libre l’un pour l’autre, libre de faire ce que l’on veut. Cette pensée à souvent effleurer mon esprit, goûter à la liberté sans y mettre des limites est tellement tentant mais tellement dévastateur si personne ne nous arrête car l’on devient trop faible pour s’arrêter soi-même et rebrousser chemin. Mes limites le sont. Mais je craque devant son regard, en écoutant son confidence mon cœur tambourine légèrement, touché par ce qu’elle dit moi qui pensait qu’elle n’avait de yeux que pour mon frère pendant un moment et même si j’ai compris durant le petit échange que l’on a que ce n’était pas le cas, ça fait toujours plaisir d’entendre ça. « Hm. Tu es dépassé par moi ? Je n’ai rien fait pourtant.. tu me fais l’effet identique.. Je crois. –Dis-je lentement, ne quittant pas son regard du sien et la sentant s’approcher, dangereusement – Hm.. Je devrais peut-être moi rentrer au lieu de te faire du rentre dedans aussi. On.. C’est inexplicable alors autant ne pas s’attarder sur ce que l’on ne comprend pas. » Dis-je sans pour autant accentuer notre proximité. Ma main se pose sur sa cuisse, pas trop haut ni trop bas. Une position parfaite et non perverse, juste de quoi attiser l’envie qu’elle ait de moi. J’ai toujours su gérer les femmes, mais Sally est spéciale. Peut-être un fantasme, un but après l’avoir vu la première fois, je ne sais pas. J’ai envie d’elle, réellement. Ces mots n’ont fait qu’attiser le feu en moi. Je sais que ce n’est pas raisonnable et que ce n’est pas moi, mais vous, comment réagirez-vous face à une dame qui vous veut et dont vous avez terriblement envie depuis que vous l’avez vu ? Merci ! Ma main finit par glisser un peu plus haut, doucement, frôlant sa peau exprès. Mais n’allant pas si haut, restant à mi-cuisse. Je lisais chacune de ses expressions, de son ressenti, je m’en délecte.

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