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how dare you ?! (jally)

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Tu as déposé les clés dans l'entrée, là où tu les avais trouvé, et pour le coup tu ne t'attendais nullement à ça. Tu ne rêvais Zoé était debout. Elle tenait peut-être en équilibre avec l'aide Sally, mais tout de même c'était complètement fou. D'un coup d'un seul tu te sentais de nouveau conforté, rien qu'à la voir comme ça. Ce bébé était ton remède depuis le début. Elle avait tellement changé ta vie. Dis moi que je rêve ! Tu as fait quelques pas vers elles, avant de dire. Héé mais c'est mon bébé.. As-tu en t'approchant de Zoé qui semblait bien consciente de la fierté qu'elle engendrait chez ses parents. Tu t'es mis à genoux au sol en glissant ton doigts dans l'autre main de Zoé, comme tu l'avais la première fois que tu l'avais vu ici. Tu as croisé le regard de Sally qui n'était très proche de toi, et bon sang, tu te disais qu'elle avait été à deux doigts de rater ça. Ça n'avait pas de prix de votre fille comme ça, et l'émotion se voyait dans tes yeux. Bisoutant la main de Zoé, tu as fini par rire légèrement en lui disant bravoo alors qu'elle venait de tomber sur les fesses mais tout était sous contrôle, puisqu'elle avait ses deux parents assurant ses arrières. C'était une promesse que tu aurais aimé faire à ta fille, à votre fille, mais tu avais l'impression qu'entre Sally et toi c'était bien trop complexe.
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Décidément Zoé avait bien choisi son jour, ces deux parents était présent et c'est ce jour là qu'elle a décider de faire montrer à quel point elle était avancé et à quel point on allait être heureux avec elle. Je la laissais marcher vers son père quand ce dernier entrait, elle avait entendu la porte s'ouvrir et elle n'avait pas perdu de temps pour prendre la direction de son père comme pour dire papa regarde moi, je souris même si la situation juste avant ne le permettait pas mais là c'était un moment privilégié avec notre fille et c'était impossible de ne pas en profiter pleinement. Je regardais Jamie si fier prendre la main de sa fille, être tendre avec elle sans m'interposer c'était leur moment à deux, je tenais toujours l'autre main de Zoé mais sans les coupés, je fini juste par rire en chuchotant. "Oh badaboum." Quand elle tombait sur ces fesses, je la regardais galoper déjà a quatre pattes vers un de ces jouets qui trainait près de son père. "Hey chipie t'éloigne pas trop." Je souris en essayant de m'asseoir, sur le coup j'avais totalement oublier la douleur et je me mis à genoux et là sa tirait sur ma cuisse, je grimaçais dans un soupire de douleur mais c'était le moment de notre fille, je me mis alors sur les fesses comme Zoé et je tendis ma jambe pour l'allonger au sol en regardant Zoé près de son père avec un jouet qu'elle mettait déjà à la bouche.
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Jamais tu n'aurais pensé qu'être père serait le remède. Tu as toujours voulu fonder une famille, avoir des enfants mais forcément tu pensais à trouver la personne avec qui tu voudrais faire ta vie ou du moins un grand bout de chemin avant d'amorcer le chapitre avant. Zoé était là et tu étais heureux de l'avoir et pour rien au monde tu ne changerais ça. Tu regardais Zoé revenir à sa zone de confort en se remettant à quatre pattes, ce qui te fit sourire, mais en attendant l'état de Sally ne t'avait pas échappé. Tu lui as simplement dit. On sait tous les deux que tu n'aurais raté ça pour rien au monde. As-tu dit en finissant par la regarder tout en restant au sol pour pouvoir avoir un contrôle sur Zoé. Qu'est-ce qui t'a pris de faire une chose pareille ? Tu ne comprenais pas. Ce n'était l'image que tu avais de Sally, toi. La pression était redescendu bien plus grâce à Zoé et du coup tu étais plus serein.
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Je venais de voir ma fille marcher, avec mon aide peut être mais c'était un grand pas, elle grandissait sans qu'on voit le temps passer et je ne voulais rien manquer de tout ça, j'étais heureuse qu'elle le fasse là et devant son père et moi en plus c'était un beau cadeau qu'elle nous donnait. "Non pour rien au monde." Je regardais Zoé avec ce petit sourire avant d'entendre Jamie parler de la question qui fâche, je ne voulais pas me disputer et encore moins devant Zoé, l'ambiance était apaisée autant en profiter. "Comment tu l'as su??" Je venais de sortir de l'hôpital et je ne lui avais rien dit au téléphone donc j'étais surprise. "C'était une bêtise, j'étais pas bien et j'avais le manque de Zoé, j'ai bu et je n'ai pas réfléchi."
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La réponse de Sally te faisait mal. Tu avais envie de lui hurler dessus, lui à quel point elle avait été bête de faire un truc pareil. Tu ne l'as pas fait. Tu savais à quel point elle tenait à Zoé, elle te l'avait souvent dit, au début, c'était plus beau cadeau que tu lui ait fait même sans le vouloir. Et là elle avait été à deux doigts de tout foutre en l'air : sa vie, celle de sa fille et la tienne. J'en sais rien. Tu as du m'appeler sans faire attention et peu importe maintenant. Oui ce n'était plus qu'un détail. Tu l'écoutais parler tout en regardant Zoé, t'efforçant de rester calme, profitant de cette ambiance apaisée. Ce n'est pas excuse Sally. T'aurais du venir à la maison ! Je savais bien que ce n'était pas normal que tu filtres mes appels ce soir-là. Ce n'est pas toi. Je pensais même que tu m'harcèlerais pour t'assurer que tout se passe bien. Tu étais calme, serein mais mal, il fallait le reconnaître. Je te l'ai toujours dit, depuis le début : tout ce que je veux c'est faire partie de sa vie. Je t'aurais jamais refusé de passer la soirée avec nous. Ce bébé tu l'as voulu, elle est là et elle grandit trop vite, c'est pas le moment de merder, ni pour toi ni pour moi. Oui tu ne savais pas si c'était ton rôle de la secouer mais c'était légitime pour toi, tu étais le père de sa fille, et qu'elle le veuille ou non vous étiez une famille à tes yeux.
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Je comprenais pas comment il l'avait su mais apparemment je l'en avais informer sans le vouloir avec un appel non voulu, mais il avait raison ce n'était pas le moment de savoir ou comprendre puisqu'on parlait de la connerie que j'avais fait et je comprenais tout à fait qu'il réagisse comme ça parce que oui Zoé ne méritait pas ça. "Je sais que ce n'était pas une excuse je te dis juste ce qui m'est passer par la tête à ce moment là, j'ai pas réfléchie et j'étais ivre." Je soupire sur le coup parce que parler de ça me foutait le morale à zéro surtout devant Zoé, j'ai failli louper tout ça quand même. "Je sais bien Jamie mais à quoi cela aurait servit, de venir m'incruster à chaque fois que tu l'as parce que je ne supporte pas être loin d'elle une journée entière. C'était égoïste mais je pensais te rendre service comme ça." Je grimaçais légèrement parce que ce n'était pas méchant c'était juste ce que j'avais pensé au fond.
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Ce n'était pas la première fois qu'elle avait été ivre en peu de temps. Tu l'avais vu la première fois, et ça avait été assez inquiétant. Alors finalement quand elle t'expliquait tu osais dire. Tu devrais arrêter de boire un tant. Tu as l'alcool complètement dévastateur et déprimant Sally. C'était pour son bien que tu parlais, pour celui de votre fille et le tien. Elle était complètement à côté de la plaque quand elle buvait, dévastée et triste. C'était difficilement soutenable. C'est pas en faisant une connerie comme celle d'hier que tu me rends service Sally ! Je fais quoi moi concrètement demain avec Zoé sans toi ?! Tu étais peut-être insistant mais si une bonne fois pour toute elle pouvait se rentrer dans le crâne que tu n'étais nullement en concurrence avec elle, et que c'était le même le contraire, tu n'allais pas te gêner. Zoé te rôdait autour et même si faisait en sorte qu'elle ne se sente pas délassée, tu as fini par demander. Comment tu te sens ?
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Je savais que c'était n'importe quoi et je l'avais compris dès l'instant où je l'es fait c'est bien pour ça que ce n'était pas si grave, parce que j'avais bien vu que la voiture n'était pas une de celle qui roulait à toute allure et j'avais surement traversé beaucoup trop tôt pour une femme qui voulait mourir. "Et qu'est ce que je devrais faire à la place, rester enfermer chez moi et passer ma nuit à pleurer." Je restais très calme en disant cela mais si j'avais bu c'est bien parce que j'avais mal. "Si vraiment j'aurais voulu disparaitre crois moi je ne serais pas en face de toi, il y a des moyens plus radical quand même. Je ne sais pas mais sur l'instant je me suis demander ce que moi j'allais faire sans ma fille." Je regardais Zoé être près de son père comme pour lui faire comprendre qu'elle était là et qu'il pouvait s'occuper d'elle, cela me faisait sourire puis je levais le regard vers Jamie. "Plutôt bien au vu des circonstances, une cuisse sa ce répare vite." Physiquement je n'étais pas au plus mal, mentalement ce n'était pas toujours ça mais du moment que Zoé était près de moi je n'avais pas à me plaindre.
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Te reprendre en main ce sera déjà pas mal. Et je te l'ai dis au pire tu viens à la maison quand elle est avec moi, mais tu fais pas des conneries pareilles. Oui tu étais peut-être radical sur le coup mais tu voulais qu'elle saisisse cette électrochoc et que plus jamais elle ne s'autorise à déprimer au point de boire comme un trou. Tu essayais de comprendre Sally mais ce n'était pas facile pour toi. Pas parce que vous étiez différents mais bien parce que tu ne l'avais pas connu comme ça et tout s'était compliqué qu'une fois qu'elle s'est avoué craquer pour toi. Les prochaines fois demande toi ce que Zoé ferait sans sa mère. Tu verras que ça te fera passer toute envie. Tu n'étais pas dur mais tu étais ferme et le problème était que maintenant elle allait t'avoir sur le dos qu'elle le veuille ou non. Tu avais voulu te faire discret pour ne pas lui faire mal au coeur, mais sa vie valait bien plus cher. Zoé te grimpait dessus, et manqua même de te donner un coup avec le jouet qu'elle avait en main, ce qui t'a arraché un rire, alors que tu n'avais nullement la tête à ça. Hé tu vas blesser papa si tu continues. As-tu dit faussement fâché contre ce bébé qui te faisait littéralement craquer. A croire que tu n'avait pas le droit d'accorder un peu d'attention à sa maman. Je vais certainement resté aujourd'hui. Je t'aiderai pour Zoé, y'a pas de raisons que quelqu'un d'autre le fasse. A moins que tu n'attendes quelqu'un.. Après tout tu n'en savais rien mais oui tu étais prêt à imposer ta présence. Tu avais rencontré Alexys et c'était peut-être la seule personne avec la mère de Sally à qui tu accepterais de laisser ta place ce soir ici, entre ses murs, avec ta fille. Oui si elle fréquentait un homme de prêt ou de loin, tu refuserais qu'il s'en occupe surtout en ces circonstances.
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"Je devrais faire quoi venir gâcher vos moments à tout les deux parce qu'elle me manque." Je l'avais dis je voulais qu'il est sa place et je ne voulais pas l'empêcher d'avoir sa fille, j'avais vraiment du mal à être loin d'elle simplement et sans Zoé j'avais l'impression de n'être plus rien, je ne pouvais pas rester chez moi le soir en voyant des affaires et des jouets trainer dans la maison sans l'avoir auprès de moi. "Justement à ce moment là on ne pense pas à ce genre de chose." Je regardais Zoé faire avec Jamie et je souris, c'est comme ci elle préférait qu'on porte son attention sur elle et simplement sur elle, sur ça elle allait me ressembler, être possessif c'était mon plus gros défaut parfois. "Non je n'attends personne mais tu n'es pas obliger." Je ne voulais pas lui faire perdre son temps, au pire je pouvais très bien me débrouiller comme j'allais le faire tout les jours d'après en fait, douleur ou pas à la cuisse j'allais devoir gérer.
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