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Paris (+) J'ai besoin de toi pour ne pas me juger.

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Ces derniers temps je n'avais pas redonner beaucoup de nouvelles à Paris à part par téléphone mais depuis notre dernière soirée danse je m'étais effacé, je devais rencontrer sa fiancée mais j'annulais à chaque fois qu'il me le proposait parce que je n'étais pas en forme pour ça, je n'étais pas présentable et la seule chose dont j'avais envie en ce moment c'était disparaitre, j'avais laissé Zoé vers son père et c'était la chose la plus dur que j'avais eu à faire, sans ma fille je n'étais rien clairement et passer une nuit sans elle c'était juste impossible, j'étais partagé entre foutre ma vie en l'air ou prendre Zoé et me casser loin de cette ville mais vraiment pour le coup, il est clair que si je devais partir je ne partirais pas sans elle. C'était dur à dire mais avec Zoé on était beaucoup plus heureuse avant que Jamie revienne en ville et qu'il sache toute la vérité, si je savais que je souffrirais autant je n'aurais jamais avouer la vérité, pour le coup le seul dont j'avais besoin ce soir c'était Paris mais je ne voulais pas le déranger et encore moins le faire déplacé alors qu'il devait être avec sa petite femme, je lui envoyais juste un message suspect en lui demandant de rappeler à Zoé un jour si elle l'oubliait que je l'aimais puis j'étais partie pour boire verre sur verre au bar du coin de la ville. J'étais saoule et j'étais rester là jusqu'à que le barman me vire parce qu'il voulait fermer le café, j'étais sur le trottoir sans savoir quoi faire, je repensais à Zoé et je traversais la route, j'avais vu la voiture arrivé sur ma droite mais aucune importance je traversais la route, le conducteur m'avait vu et il avait essayer de m'éviter, je me retrouvais juste projeter au sol mais j'avais vraiment eu du bol. J'avais la cuisse toucher et le visage égratigner et je me réveillais dans une chambre d'hôtel le lendemain matin, je regrettais limite d'être épargner mais la douleur physique empêchait mon coeur de me faire mal, j'avais donner le nom de Paris dans la matinée auprès des infirmières parce que si je voulais sortir un jour et ne pas être interner surtout que je travaillais ici et heureusement le médecin était un ami de mon beau père, du coup j'avais besoin de Paris pour me faire sortir de là.
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Sally tapait dans les gamelles, il le savait, il le sentait mais il se sentait impuissant. Paris n’avait jamais été très doué en psychologie ni même en relations sociales. Toutefois, il avait essayé à mainte et mainte reprise de la faire sortir, d’établir cette fameuse rencontre entre Summer et elle mais rien. Puis, il y avait eu ce texto qui avait fait basculer sa soirée dans l’horreur. Et si elle se foutait la gueule en l’air ? Putain, ce soir-là, il avait dû la harceler de sms et d’appel mais aucune de ses tentatives de la joindre n’avait réussi. Au final, il avait été à son appartement mais toujours pas de réponse si bien qu’il était rentré chez lui, inquiet. Ce n’est que le lendemain qu’il sut où Sally était : à l’hôpital. Aussitôt, il avait quitté les cours pour se rendre au chevet de celle qu’il considérait comme sa meilleure amie, sa grande sœur. « Salut ma… euh belle » tenta-t-il une piètre tentative d’humour mais très vite son regard se fit inquiet. « Comment te sens-tu ? » lui demanda-t-il avec gentillesse, se retenant à grande peine de lui demander de but en blanc quelle connerie elle avait faite ou s’il s’agissait d’un banal accident. Pour l’heure, il voulait lui accorder le bénéfice du doute car c’est bien connu, on ne tire pas sur l’ambulance.

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J'avais besoin de quelqu'un aujourd'hui et j'avais bien vu que Paris m'avait harcelé toute la soirée d'hier au téléphone, je savais qu'il viendrait et qu'il ne me jugerait pas parce qu'il savait combien j'étais mal dans ma peau depuis un certain moment, d'abord cela à commencer avec Jamie qui me repousse puis Zoé qui devait commencer à vivre chez son père pour quelques jours et je le supportais mal alors même si Paris avait essayer de me faire sortir je ne voulais pas, je savais que j'étais de mauvaise compagnie et je préférais aller dans un bar au point d'être ivre et apaisé ma tristesse que foutre en l'air la soirée de quelqu'un d'autre. Ce matin je me sentais moche, vraiment j'étais dans une blouse laisse tomber la dégaine que j'avais, ma collègue devait venir m'apporter des affaires parce que je ne pourrais pas rentrer dans mon jean vu l'état de ma cuisse et j'avais plusieurs égratignures sur le visage qui faisait peur donc j'avais même besoin de fond de teint pour cacher un peu l'horreur. J'attendais Paris avec impatience pour pouvoir sortir une fois que j'aurais des vêtements et les papiers en règle, puis avoir de la compagnie en attendant ne me ferait pas de mal, j'entendis la porte, je pensais que c'était ma collègue mais en voyant Paris je souris, premier sourire depuis l'accident volontaire. "Salut.." Je le laissais s'approcher et j'essayais de me redresser, j'étais magnifique dans ma blouse c'est sûre que là j'étais à mon maximal niveau sexattitude. "Je vais bien, ça aurait pu être pire." Vu le sms que je lui avais envoyé il devait être au courant que cet accident n'en était pas un, j'étais ivre et j'avais ps réfléchi sur le coup, je voulais juste avoir moins mal mais ce matin je le regrettais pour Zoé.
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Il s’était vraiment inquiété pour elle et la voir allongée sur ce lit d’hôpital, cela lui donnait envie de faire demi-tour pour mieux oublier cette image. Il détestait les hôpitaux. Ces lieux ne lui rappelaient que des mauvais souvenirs. Or, il ne voulait pas l’abandonner car si Sally pouvait compter sur quelqu’un, c’était bien sur lui. « Je sais… Putain Sally, j’ai envie de t’étrangler et de te prendre dans mes bras pour m’assurer que t’es bien vivante » grommela-t-il dans un mélange de colère et de tendresse fraternelle. « C’était quoi ce message que tu m’as envoyé ? » lui demanda-t-il pour la faire parler. Entre temps, il s’était rapproché pour s’asseoir sur le bord de son lit. Il ne voulait pas la descendre, la mettre plus bas que terre mais il voulait aussi lui faire passer un message : elle n’était pas seule. « Tu t’es pas ratée » souligne-t-il en faisant référence à ses blessures. « Mais ça va, tu seras pas défigurée... » ajouta-t-il pour qu’elle ne s’imagine pas dans la peau d’un Quasimodo au féminin. Sans le vouloir, il avait effleuré l’une de ses joues en fronçant les sourcils. Elle aurait pu mourir dans cet accident et cela l’énervait comme cela l’affligeait. Elle était comme sa sœur, elle n’avait pas le droit de vouloir l’abandonner aussi connement.



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Je savais que Paris le prendrait mal, qu'il allait me le faire comprendre et à s place je l'aurais aussi étranglé avant de le consoler donc je comprenais mais sur le coup je n'avais pas réfléchie et en plus j'étais ivre mais il avait raison et c'était idiot. "Je suis désolé.. C'est bon j'ai rien de grave." C'est vrai tout était superficielle mais sa question pas la suite me fit grimacer. "J'étais pas bien je voulais disparaitre mais je voulais que Zoé sache que je l'aime de tout mon coeur c'était idiot je te l'accorde." Je ne pouvais que l'avouer, je remontais le drap sur moi parce que bon pour le coup j'étais vraiment ps présentable et je souris quand il s'asseyait près de moi. "Je suis toujours aussi belle." J'essayais d'ironiser pour lui faire montrer que je n'étais plus dans le même état qu'hier et que ce n'était qu'une passade. "Non la cuisse a tout prit." C'était ma cuisse qui me faisait souffrir et encore c'était pas atroce, les égratignures sur mon visage prendront un peu de temps à disparaitre mais bon rien d'affreux.
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C’était même carrément con ! Comment pouvait-elle abandonner sa fille et lui dire : maman t’aime mais elle te lâche pour s’envoyer une dernière fois en l’air mais de manière définitive ?! « Je suis content que tu te sois loupé mais si tu recommences Sally, je te promets que ta fille sera le cadet de tes souci car je te rosserai tellement le cul que tu auras du mal à t’asseoir pour le siècle à venir » grogna-t-il car il avait besoin qu’elle comprenne qu’il s’était inquiété, qu’il avait eu peur pour elle. Paris ne savait pas user de tendresse ou de gentillesse. Quand il souffrait, quand il angoissait, il devenait violent non avec les autres mais dans ses mots. Là, il faisait un effort car il la savait mal dans sa peau mais il ressentait le besoin de lui faire passer le message comme quoi elle était importante pour lui. « Tu l’es… arrête d’en douter ! »dit-il en prenant sa main dans la sienne. « C’est grave pour ta cuisse ? »



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Je n'avais pas dans l'idée de recommencer et surement pas de me bourré la gueule toute seule à l'avenir, je n'étais pas bien d'avoir fait ça au final, tellement que je ferais attention les autres fois e ne pas aller boire seule et puis bon je n'avais pas envie de recommencer. Je pensais que c'était la solution mais au final non, je souffrais physiquement et j'oubliais la douleur mentale quelques instants mais au fond j'aurais fait souffrir d'autres personnes et je préférais souffrir moi en silence que les autres souffrent par ma faute. "Tu n'en aura pas l'occasion, je ne le ferais pas c'est promis." J'avais besoin de lui en partie pour ça aussi, pour me remettre à ma place quand je faisais ce genre de connerie et puis bon je le méritais amplement là même si pour le coup j'avais eu tellement mal pour en arriver là. "C'est le dernier de mes soucis en fait." Je me foutais d'être belle ou pas et là je savais clairement que je ne l'étais pas vu ma tenue, je sera sa main dans la mienne en lui répondant. "Non quelques points de suture rien de grave."
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« Tu as intérêt à la tenir cette promesse » rétorqua-t-il et il ferait tout pour le lui rappeler si elle en avait besoin. Sally pouvait compter sur lui car ils avaient souffert l’un comme l’autre par le passé. Paris savait ce que cela faisait de perdre le contrôle de sa vie, de ressentir ce besoin d’en finir. Quelque part, s’il n’avait jamais cherché à se foutre en l’air, tous ses combats clandestins auxquels il avait pris part, ressemblaient étrangement à des tentatives de suicide. Partir dans la souffrance, dans la violence aurait été une façon de boucler la boucle vis-à-vis de cette enfance dans laquelle, il s’était construit coûte que coûte. « Je suis rassuré de savoir que l’on pourra toujours danser ensemble ! Tu peux me dire ce qui t’est passé par la tête ? Je pense que tu as besoin de vider ton sac » lâcha-t-il en essayant de lui témoigner tout son soutien. Paris ne voulait pas la juger et croyez-le, il faisait un énorme effort à cet instant précis pour elle, pour leur amitié.


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"Mais oui je ne pourrais pas être plus malheureuse que je le suis de toute façon alors oui." Je savais que j'avais fait une connerie et je savais que je tiendrais ma promesse à moins que je perde Zoé là je pourrais me foutre en l'air clairement parce que sans ma fille je n'étais plus rien, le fait qu'elle soit chez son père déjà me rendait malade puisque je n'arrivais pas à passer une nuit loin d'elle alors bon. Je en me trouvais pas à ma place ici dans un lit d'hôpital, en principe quand j'étais ici c'était pour le boulot donc c'était bizarre pour moi d'être là en tant que patiente. J'étais contente que Paris soit là vraiment, je ne pouvais pas rêver meilleur personne à mes côtés, il était comme mon grand frère et je ne voulais pas être seule aujourd'hui. "J'étais pas bien, l'histoire avec le père de Zoé, je lui ai dis que j'avais encore une attirance pour lui et qu'il pourrait y avoir plus si on continuait à passer du temps ensemble pour Zoé j'ai eu le droit à un gros stop et puis aujourd'hui il veut avoir Zoé chez lui, c'est pas que je suis contre c'est juste que sa fait 7 mois que j'ai ma fille constamment avec moi et là je dois apprendre à vivre sans elle et c'est tellement brusque pour moi, enfin franchement j'en ai ras le bol." Cela paraissait futile mais vaiment au fond de moi je souffrais et je ne pensais pas qu'on pouvait deviner à quel point.
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Cela le peinait vraiment de voir sa petite Sally dans cet état là. Il aurait tant aimé pouvoir lui dégoter un prince charmant dans la seconde afin qu’elle comprenne qu’elle valait mieux que ce qu’elle croyait. Et puis, il ne pouvait pas lui dire qu’elle était beaucoup mieux toute seule qu’accompagnée d’un crétin ?! Cela aurait bien fonctionné s’il avait toujours été célibataire mais Paris appréciait un peu trop la vie de couple pour faire la publicité du célibat. « Il souhaite la garde partagée ou simplement l’avoir un ou deux jours ? » lui demanda-t-il en la toisant avec tendresse. Il comprenait sa solitude pour l’avoir vécu tout comme il n’osait imaginer ce qu’il ressentirait si on lui prenait Ashlynn. Il serait dévasté ! Paris avait plus ou moins ressenti cela avec la perte des enfants à son retour du Spring Break alors qu’on lui prenne à nouveau sa fille.. Il détruirait tout sur son passage. « Tu aurais du m’appeler au lieu d’essayer de te foutre en l’air. Je ne sais pas, on se serait murger la gueule tous les deux si tu en avais besoin. Tu as essayé de t’inscrire sur un site de rencontre ? »


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