► Pour noël, tout est permis.

Pour noël, tout est permis.
ft. MAËLYATT

Cet instant faisait partie des rares moments où il pouvait se livrer presque sans gêne. Chose qui était exceptionnellement rare étant donné qu’il avait du mal à parler de ce qu’il ressentait en général, mais aujourd’hui, c’était différent. C’était une rencontre spontanée et qui n’avait pas été calculé à l’avance. A présent, ils se retrouvaient dans une sorte de bulle exclue du monde extérieur. Un instant de flottement sans une pensée pour la réalité. C’était peut-être un de ses rares moments où il était bon de dire clairement le fond de sa pensée. Et c’est ce qu’ils tentaient de faire tous les deux. Les excuses de Maëlys, lui arrachait un pincement. Pourquoi s’excusait-elle de faire partie de sa vie ? Alors, que lui-même ne voulait pas qu’elle le laisse. Quoi qu’il dise, la jeune femme faisait partie intégrante de son quotidien. Ce qu’elle disait par la suite, le désarçonnait pendant un moment, car ses mots étaient sincères sans aucun artifice. « On est toujours ensemble. » Tout se passait bien. Ils essayaient de faire en sorte qu’aucun dérapage ne brise leur ménage. C’était leur dernière chance. La chance de vivre leur relation et de donner une enfance normale à leur enfant. « T’es pas fautive, mais moi oui. » Fautif de quoi ? De toujours ressentir quelque chose ? De la bloquer dans cet étrange lien sans vouloir la partager ? Il voulait qu’elle soit heureuse, mais cela lui faisait peur. Peut-être s’était-il trop habitué à avoir cette relation confortable ? Comment savoir réellement ce qu’il se passait dans sa tête, alors qu’il n’en était pas toujours le maitre ? Inspirant un bon coup, il décidait d’être honnête, parce qu’il voulait croire que cela les aiderait tous les deux. « Je sais bien, que je n’ai pas toujours été honnête, mais je vais essayer de l’être. » Cette fois, il essayerait de s’appliquer et de ne pas parler trop vite. « Je ne suis pas revenu avec Torrey uniquement pour notre fils… Je l’aime depuis que j’ai quatorze ans. Je ne pensais pas ressentir des sentiments pour une autre fille. D’ailleurs, ce n’était jamais arrivé.. » A présent, il murmurait : « Avant toi… J’me suis retrouvé amoureux de deux filles totalement différentes… Je te dis ça, parce que j’veux pas que tu penses que j’ai joué avec toi. » Fin de sa tirade. Il se taisait pour lui laisser assimiler ce qu’il venait de lui avouer. Encore une fois, ses mots étaient brouillons, mais il espérait qu’elle ne s’en offusquerait pas et qu’elle comprendrait. Pendant tout le long, il avait parlé posément, les bras toujours autour d’elle, ses yeux bleu-vert plongés dans les siens.

Pour noël, tout est permis.
ft. MAËLYATT

On est toujours ensemble. cette révélation me faisait chier, même si je n'avais pas le droit d'avoir ce genre de réaction, c'était égoïste. Mais l'amour est égoïste. Ressentais-je de l'amour pour toi? Non, je ne pensais pas. J'étais redescendu sur terre depuis ces dernières années.. J'avais pleuré plus que trop pour toi. Même pour Wade, je ne m'attendais pas à tout ça, je ne m'attendais pas à souffrir mais la plupart du temps, la vie c'est ça, c'est de la souffrance. T’es pas fautive, mais moi oui. c'était faux.. Tu te rends compte, je ne serais pas là, tout serait plus simple pour.. tout le monde. y compris pour Torrey, elle devait savoir ce que tu ressentais, puis notre passé, enfin je pensais. Je sais bien, que je n’ai pas toujours été honnête, mais je vais essayer de l’être. c'était beaucoup. Tu n'étais pas un mec qui se livrait facilement ni qui parlait comme dans un livre ouvert. Je t'écoutais attentivement, te fixant pour ne pas perdre le fil de ce que tu allais avouer. Je ne suis pas revenu avec Torrey uniquement pour notre fils… Je l’aime depuis que j’ai quatorze ans. Je ne pensais pas ressentir des sentiments pour une autre fille. D’ailleurs, ce n’était jamais arrivé.. Avant toi… J’me suis retrouvé amoureux de deux filles totalement différentes… Je te dis ça, parce que j’veux pas que tu penses que j’ai joué avec toi. pendant un temps, j'avais toujours douté de tes sentiments pour moi, mais là, je te croyais. Comme une aveugle je croyais sincèrement en tes mots et même si je devais m'y perdre. Je te fixais, sans un mot. Ca voulait dire quoi tout ça.. En janvier tu m'aimais vraiment alors quand tu es parti, quand tu m'écrivais? La voix tremblante, je parlais doucement Aujourd'hui, tu l'aimes? Enfin, elle seule? réellement, comme jamais? Tu pensais vraiment faire ta vie avec elle?

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ft. MAËLYATT

Peut-être que les choses auraient été plus simple, mais d’un autre côté, il y avait aussi des soucis que Torrey et lui avait rencontré. Des soucis qui n’étaient pas liés à Maëlys. Inspirant un bon coup dans cet espace restreint, Wyatt décidait de se livrer. De tenter d’être claire pour qu’elle comprenne davantage. Après avoir fini sa tirade, un léger silence s’installait entre eux. Il était épais et déchirant. Que pensait-elle de ses mots ? Qu’allait-elle lui répondre ? Répondant à ses prières, les mots finissaient par quitter de ses lèvres, mais là, où une conclusion simple aurait été apprécié, elle lui donnait une nouvelle problématique. Torrey était-elle la seule femme qu’il aimait actuellement ? Avant d’arriver à Boston, il n’avait eu qu’elle en tête et d’une certaine manière, c’était toujours le cas. Seulement, les sentiments qu’il avait ressentie pour Maëlys, seraient toujours là. Peut-être pas aussi incontrôlable qu’avant, mais tout de même là. Néanmoins, au fond de lui, il voulait croire en sa relation avec Torrey. Il avait fait ce choix, car il l’aimait et ça depuis ses quatorze ans. Ce que l’archéologue éprouvait pour Maëlys, avait été tout récent et déstabilisant, mais était-ce aussi fort ? On ne pouvait pas comparer onze ans de sentiments à un ou deux ans. Cependant, est-ce que la durée était un facteur essentiel ? Pas forcément. Seul, il savait que c’était Torrey qu’il aimait, mais lorsqu’il se trouvait en présence de Maëlys, les choses étaient confuses. « Oui, je l’aime. » Il avait murmuré ses mots dans un souffle. « C’est juste qu’en ta présence, les choses sont confuses. Alors, que je sais que c’est elle que j’ai choisis. » Wyatt murmurait tellement bas, qu’elle devait peiner pour l’entendre. Son coeur battait tellement vite, qu'il le menaçait de sortir de sa poitrine.

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ft. MAËLYATT

Notre relation n'était pas saine, elle était destructrice, elle ne menait à rien au final parce qu'un moment ou à un autre, on allait se faire mal et c'était juste reculer pour mieux sauter comme on dit. Oui, je l’aime.  je le savais, sinon tu ne serais pas encore avec elle aujourd'hui. Tu murmurais si peu fort que je devais me concentrer et fixer ta bouche pour lire presque sur tes lèvres C’est juste qu’en ta présence, les choses sont confuses. Alors, que je sais que c’est elle que j’ai choisis.  au final, j'avais le mauvais rôle parce que d'un point de vue extérieur, j'étais la briseuse de couple, et je détestais cette sensation là, ce sentiment qui me dénigrait. Je te regardais dans les yeux, répondant par un fin sourire On devrait sortir de là maintenant.. les mecs étaient partis. Et c'était un moyen pour esquiver toute cette conversation et ce sujet trop fragile. J'ouvrais les portes de l'armoire en soupirant d'aise. On part par où du coup? Faut pas se faire choper.. je te regardais sortir de là, de haut en bas. Trop de souvenirs me revenaient, peut-être étais-ce trop nostalgique depuis le décès de ma grand-mère, je ne savais plus quelles étaient les bonnes décisions et les bonnes choses à faire.

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ft. MAËLYATT

En voulant être honnête, il avait brisé la bulle qui s’était créée entre eux. L’espace d’une seconde, tout prenait l’eau. Un sourire poli apparaissait sur les lèvres de Maëlys, mais il savait que cela n’était qu’apparence. Au fond de lui, il se doutait que ses mots, avaient pu la blesser. Elle lui proposait de sortir et sans attendre de réponse, elle ouvrait les portes du placard. La lumière venait éblouir ses yeux bleu-vert sans retenu. Il dû cligner des yeux plusieurs fois, avant de pouvoir discerner quelque chose correctement. En agissant aussi rapidement, l’archéologue devinait, qu’elle voulait se trouver loin de lui. Pour changer de sujet, elle lui posait une question sur la direction qu’ils devaient prendre et pendant ce laps de temps, il devinait le regard qu’elle posait sur lui. De haut en bas, comme pour se remémorer quelque chose qui lui échappait. « On pourrait aller boire un café. A moins que tu avais quelque chose à faire ? Tu voulais voir quoi comme magasin ? » Il y avait toutes sortes d’enseigne ici. Même des boutiques qui vendaient des lits et des matelas. Le genre d’endroit où vous pouviez tester le confort sans être emmerder par des vendeurs. Sauf, peut-être, pour acheter. Mal à l’aise, il s’extirpait définitivement du placard pour rejoindre la jeune femme. « On verra en chemin » Un sourire au bord des lèvres, il tentait de rattraper la situation.

Il ne leur fallut pas plus de cinq minutes pour rejoindre les galléries marchandes. Les mains dans les poches, il avançait distraitement, Maëlys à ses côtés. « Sinon, les études, ça se passe bien ? » Wyatt savait qu’elle avait redoublé son année.

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Ce moment était magique mais il fallait qu'il se stoppe, ça servait à rien d'en parler pendant des heures ça ne changerait pas l'état de nos vies actuelles: tu étais en couple, papa, et moi j'étais bien seule et j'étais surtout perdue. Sortant de cette armoire, tu me proposais comme pour me sortir de mes pensées On pourrait aller boire un café. A moins que tu avais quelque chose à faire ? Tu voulais voir quoi comme magasin ?  beaucoup de questions, tu étais nerveux? Je n'étais pas habitué à t'entendre parler autant, mais c'était pas déplaisant, bien au contraire. Et bien, des magasins de mobilier.. j'cherche un appartement, j'vis à l'hôtel là. Alexys m'avait proposé de venir vivre avec elle mais je n'avais pas envie d'abuser, j'allais rapidement trouver quelque chose, enfin je l'espérais.. On marchait tous deux dans les galeries, retrouvant la foule.  Sinon, les études, ça se passe bien ?  pour le moment, ça allait. Oui, ça va pour le moment, j'suis revenue que depuis quelques jours donc on verra, mais j'compte vraiment bosser cette année. L'an dernier c'était n'importe quoi. ma vie avait été n'importe quoi de toute façon. M'arrêtant devant un café, je te regardais On se le boit, ce café? après tout tu m'avais proposé et les meubles attendront, fallait que je continue à visiter des appartements et je finirais bien par avoir LE coup de cœur. Et toi du coup, tu fais quoi maintenant?

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Quittant cette bulle, ils revenaient rapidement à la réalité comme pour mettre cet épisode de côté. Ne voulant pas la quitter aussi vite, Wyatt lui demandait ce qu’elle voulait faire au centre commercial. C’est de cette manière, qu’il apprenait que son logement actuel était un hôtel. Comment cela se faisait-il ? Il est vrai qu’elle avait quitté la Cabot, mais n’avait-elle pas des amies qui pouvaient l’héberger ? Il s’arrêtait quelques secondes, avant de reprendre leur route. « Attend, t’es sérieux ? Personne ne peut t’héberger ? » Il ne voulait même pas imaginé à combien ça devait lui revenir par mois. Tant qu’à parler de son logement, autant parlé de ses études. Maëlys, lui racontait, qu’elle allait vraiment travailler cette année. « Je ne doute pas de toi » Un sourire confiant sur les lèvres, il savaient Maëlys intelligente. Il suffisait juste qu’elle se concentre plus. Une année à Harvard était à un prix faramineux. Avait-il contribué à son abandon de l’année précédente ? En y pensant, une légère culpabilité s’emparait de lui. Continuant de marcher, elle le surprenait à s’arrêter devant un café, tout en lui proposant d’en boire un. Avec tout ce qui s’était passé cette dernière heure, ce n’était pas de refus. « Qu’est-ce qu’on attend ? » Tout sourire, ils rentraient dans le café pour prendra place dans un coin isolé. « Je fais des remplacements à Harvard et je continue la natation pour l’instant. » Il était rentré grâce à Harvard grâce à ce sport, mais cela n’avait jamais été une vraie passion. D’ailleurs, par un miracle, il avait réussis à choisir les deux filières qui lui plaisaient tout en promettant de faire partie de l’équipe de natation. Il avait même signé un contrat pour ça et il en avait été le président pendant une année. « Mais pour être honnête, j’suis pas sûr de vouloir continuer. » Tout en finissant cette phrase, il fut interrompu par la serveuse. « Un cappuccino et toi Maë ? »

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ft. MAËLYATT

Pourquoi l'être humain aime autant se faire souffrir? Remuer le couteau dans la plaie et piquer là où ça fait mal? Trop de questions sans réponses. Mais pour l'heure, la question qui m'importait le plus c'est où est ce que j'allais dormir et vivre ces prochaines semaines? Tu me demandais si personne ne pouvais m'héberger donc  j'haussais les épaules J'en ai parlé qu'à Alexys, j'ai vu qu'elle enfaite et elle me force à aller chez eux.. chez zakhar et elle, mais j'sais pas. J'aime pas dépendre de quelqu'un, tu vois? tu étais pareil que moi sur ce point. J'voulais me débrouiller par mes propres moyens et rien devoir à personne, même si c'était ma copine. Puis tu m'avouais que tu ne savais pas si tu allais continuer la natation. Ta révélation me surprenait, j'étais venue plusieurs fois te voir en compétition ou même pendant des entraînements.. Pourquoi ça? Tu as d'autres priorités? peut-être que Torrey te demandait d'être plus présent, ce qui pourrait sembler logique par rapport à Devyn mais.. bref, j'voulais pas penser à elle. Nous asseyant à une table pour un café, tu commandais La même chose pour moi s'il vous plaît.. la magie de Noël, c'était si beau. Tu vas faire Noël où? je m'attendais plus ou moins à ta réponse. Rien que d'imaginer ce réveillon, toi, entouré de ta petite-amie, ton fils, ses parents et je n'sais qui d'autre. La vie parfaite.

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Ne pas vouloir dépendre de quelqu’un, était un fait compréhensible, mais lorsqu’on avait plus le choix, pouvait-on éternellement refusé ? « J’comprends, mais le temps trouver un logement, ça t’éviterait de dépenser de l’argent, non ? » Wyatt venait d’un milieu modeste. Pour lui, aucune économie n’était inutile. Du moins, quand on pouvait le faire. Parlant de tout comme autrefois, il lui confiait ses doutes quant à la natation. Cela faisait partie de lui, mais ce n’était pas une passion qu’il voulait transformer en métier. C’était un milieu beaucoup trop stressant. Un stresse pour lequel il ne voyait pas d’intérêt. De plus, cela ne lui apportait pas autant d’argent qu’on pouvait le penser. C’était donc énormément de temps utilisé pour peu. Maëlys, semblait être surprise par sa révélation. Instinctivement, il mettait ses mains dans ses poches tout en haussant les épaules. « Non, c’est juste que je n’en voit pas vraiment l’intérêt. J’ai toujours aimé nager, mais de là, à en faire mon métier… J’ai continué en club, car cela faisait partie de mon accord avec l’université pour avoir droit à la bourse. » Et encore, il avait eu de la chance qu’ils acceptent, car au début, ils voulaient qu’ils fassent des études sportives. Ce qui était loin de l’intéresser. Prenant place à une table, ils commandaient chacun une boisson. « J’pense ici. Peut-être que ma famille fera le déplacement, mais j’suis pas sûr. Ils ont leur petite habitude à Roswell. Et toi ? » Sa mère aimait participer à la mise en place des activités à Roswell. Puis, son frère ainé allait présenter sa compagne. Quant à Maëlys, allait-elle retourner à Londres ?

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ft. MAËLYATT

J’comprends, mais le temps trouver un logement, ça t’éviterait de dépenser de l’argent, non ? oui c'était vrai aussi. J'haussais les épaules, comme si tu étais mon père, comme si la vérité sortait de ta bouche. Oui, mais bon.. j'avais pas envie de faire chier Alexys, mais j'allais pas avoir le choix de toute façon je pense Puis j'espère que je trouverais vite un appart! ma liberté je la voulais. Terminé la vie en confrérie. Tu me confiais que tu voulais arrêter la natation, et ça me surprenait parce que tu adorais ça! Non, c’est juste que je n’en voit pas vraiment l’intérêt. J’ai toujours aimé nager, mais de là, à en faire mon métier… J’ai continué en club, car cela faisait partie de mon accord avec l’université pour avoir droit à la bourse. alors ça, je comprenais totalement. Je souriais en te regardant, compréhensive J'comprends... J'adore la photo et j'aurais pas aimé faire des études là-dedans.. même si ça m'aurait servi hein! Le serveur vint nous poser nos boissons chaudes et je glissais un billet. Bientôt Noël et je faisais ma curieuse à vouloir savoir où et avec qui tu allais être.. J’pense ici. Peut-être que ma famille fera le déplacement, mais j’suis pas sûr. Ils ont leur petite habitude à Roswell. Et toi ? A Londres avec ma famille aussi. c'est bien la période de l'année où il faut se retrouver en famille presque obligatoirement.. je laissais mes lèvres toucher la tasse pour boire une gorgée et regarder autour de nous, y avait sacrément du monde. Tu sais Wyatt, si on nous voit tous les deux là ça risque de.. parler.. fronçant les sourcils, je te regardais en te détaillant. J'vais pas tarder de toute façon, c'était cool de te voir, monsieur l'père noël.. aha, quelle retrouvaille!