► Pour noël, tout est permis.

Pour noël, tout est permis.
ft. MAËLYATT

Les jours passent et ce ressemble : entrainement et sujet d’archéologie. En ce moment même, le jeune homme était dans une grande réflexion. Allait-il oui ou non, continuer la natation ? Cela lui prenait énormément de temps. De plus, ses priorités avaient changés. Quelque chose en lui, lui dictait de changer de situation. L’archéologie était pour lui, sa vraie passion, mais cela voudrait dire, qu’il serait obligé de partir souvent. Il refusait de rester enfermé derrière un bureau, mais que diraient les enfants ? Il verrait encore moins Devyn.

Mettant les mains dans les poches, il arpentait le centre commercial. Les décorations de noël venaient d’être installées et les gens commençaient déjà leur cadeau. Avançant parmi la foule, il observait chaque individu d’un œil curieux. La plupart du public, était matérialiste. La plupart se créait des inquiétudes futiles sur leur quotidien. Même si dans le fond, l’humain avait besoin de ça pour subsister. Pour tenir bon. Wyatt quant à lui, pensait à ce qui se passait dans le monde et à l’avenir qu’il allait laisser à son fils et Cadence. Cadence qu’il considérait presque comme sa fille. Perdu dans ses pensées, il ne vit pas la queue qui s’était formé dans un recoin du centre commercial, ni, l’homme qui venait de le repérer. « Vous ?! » Surpris, Wyatt se retournait. Devant lui, se tenait un petit homme vêtu de l’uniforme des employés. « Nous vous cherchions depuis toute à l’heure ! Je sais bien que vous arrivez du canada, mais tout de même, soyez à l’heure ! » L’agrippant, il l’embarquait dans une salle d’attente. Il avait beau protester, l’homme ne voulait rien entendre. Eberlué, il se retrouvait assis sur une chaise. Il allait rebrousser chemin, quand son regard se posa sur une jeune femme qu’il connaissait très bien. Se rapprochant d’elle, il laissa échapper des mots : « On dirait bien qu’on se retrouve toujours dans des situations bizarre. » Il marquait une pause, avant de reprendre. « Tu sais ce qu’ils attendent de nous ? »

Pour noël, tout est permis.
ft. MAËLYATT

Déjà une semaine que j'étais revenue, j'avais plusieurs appartements à visiter mais aucun de me convenait. Soit c'était trop loin de Harvard, soit trop cher, soit trop miteux... j'en avais marre, ça commençait à me désespérer et depuis hier je vivais dans un hôtel, géniaaaaal. Je trouverais bien quelque part où dormir de toute façon, fallait que je vois avec mes potes. Pour l'heure, je me mettais à fond dans les recherches de meubles, de décoration sympa. Bon, le top serait que je trouve un truc meublé mais bon, sait-on jamais j'allais faire du repérage puis c'était noël bientôt alors c'était juste magnifique et magique de marcher dans ce milieu.

Marchant depuis une trentaine de minutes au milieu des galeries marchandes, je m'étais laissé embarqué dans un espèce de casting pour être lutin ou sujet dans une crêche ou j'sais pas quoi, l'horreur quoi. Assise sur une chaise nonchalement, je regardant mon téléphone portable, recherchant quelqu'un qui pourrait m'héberger. Relevant le regard sur quelqu'un qui venait d'arriver, toi. Oh putain. Je te souriais légèrement, cachant ma surprise. Je comptais pas te dire tout de suite que j'étais revenu ni même te croiser là.  On dirait bien qu’on se retrouve toujours dans des situations bizarre. Tu sais ce qu’ils attendent de nous ? haussant les épaules, je répondais ironiquement J'adore le cinéma et jouer un rôle mais.. être un lutin, c'est pas dans mes projets. On s'barre? à deux, ça le ferait mieux. Sinon, on était dans la merde. Puis ce serait l'occasion de prendre un peu de tes nouvelles, savoir ce que tu devenais depuis la dernière fois.

Pour noël, tout est permis.
ft. MAËLYATT

« C’est ce que je m’apprêtais à faire. » Un sourire nonchalant sur les lèvres, il parlait avec décontraction comme s’ils se croisaient tous les jours. Ce qui n’était pas le cas, étant donné que Maëlys était partis durant un petit moment. Avant qu’il est pu dire un mot de plus, quelqu’un venait les chercher, tout en leur donnant une tenue. Rapidement, ils furent séparés et cela malgré les protestations. Après tout, cela pouvait faire un souvenir et détendre les rapports entre lui et elle. C’est ainsi, qu’il se retrouvait vêtu de l’uniforme devant un petit lutin. « Comme t’es mignonne » ironisait-il. « Installez-vous devant la caméra et dite hoho. Quant aux lutins, souriez.  Et action !». L’homme faisait preuve d’un tel sexisme. Juste pour rendre la situation encore plus ridicule, il attrapait Maëlys par la taille et l’installait sur ses genoux, avant de dire : « Et n’oubliez-pas, pour noël, commandé tout ce qu’il vous plaira. Hoho ! » Ne voyez pas là, un sous-entendu. Pas du tout.  Sourire charmeur, dents étincelantes, ils furent tous les deux assaillis de reproche par l’équipe. Aussi, Wyatt se redressait rapidement tout en déposant Maë. Puis, l’attrapant par la main, il la tirait vers l’extérieur, toujours habillé en père noël et lutin. « Dit, tu ne saurais pas où ce trouve les toilettes pour cacher les preuves de notre crime ? » A savoir que les déguisements, avaient étés mis par-dessus leur vêtement.

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ft. MAËLYATT

« C’est ce que je m’apprêtais à faire. » très bien, nous avions les mêmes projets à priori, quand soudain, on nous obligeait à mettre des tenues ridicules de Noël pour divertir la galerie et faire des photos. Bon, on va dire que c'était pour la bonne cause parce que ces oreilles de lutins me déplaisaient fortement.. Comme t’es mignonne   tu étais en père noël et je retenais un fou rire J'peux en dire autant de toi.. papa noël sur ces mots, un mec nous disait de poser, que tu devrais dire ohoh et moi juste sourire, bêtement. Tu m'attrapais sur tes genoux, je m'y attendais tellement pas.. même si nos tenues faisaient quelques millimètres, j'étais assise sur toi et c'était.. étrange. Et si quelqu'un qu'on connaissait passait par là? Ah mais.. on passerait incognito. Niquel!   Et n’oubliez-pas, pour noël, commandé tout ce qu’il vous plaira. Hoho !  mon dieu, comment ne pas rire? Je sais pas.. Tu me reposais ensuite et tu me demandais plus sérieusement   Dit, tu ne saurais pas où ce trouve les toilettes pour cacher les preuves de notre crime ? oui parce que cette scène pourrait nous suivre pour des années si des potes nous croisaient là. Je regardais à gauche et à droite et je tirais ta main derrière les coulisses, pénétrant dans un couloir, c'était pas beau les envers du décor de la galerie marchande.. plafond très très haut, sol des années 80.. beurk. J'ouvrais une porte, des balais.. ok. Une suivante, des cartons.. Bon bah, on peut se déshabiller vite.

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ft. MAËLYATT

S’ils ne trouvaient pas vite un abri, ils seraient sans doute arrêtés pour vol de costume et mensonge. Sans compter, que celui qui faisait le casting, avait confondu Wyatt avec un gars venu du canada. Ce qui était loin d’être le cas. Main dans la main, la jeune femme tirait l’archéologue pour l’emmener dans les coulisses. Premier arrêt, un placard à balais. Beaucoup trop petit pour contenir deux personnes. Dans ces conditions, il allait écraser la pauvre Maëlys. Finalement, ils firent escale dans une pièce remplie de carton. C’était un peu mieux que les balais. A la proposition de l’étudiante, Wyatt acquiesçait. Prenant les devants, il entrait le premier. Se plaçant au centre de la pièce, il se débarrassait de sa barbe et de son costume. Puis, il les balançait dans un recoin de la pièce. Aucune preuve, donc aucune condamnation possible. « J’crois qu’une malédiction plane sur nous. A chaque fois, qu’on est ensemble, il se passe un truc. » Il parlait avec un ton légèrement ironique, mais sans reproche. A peine avait-il eu le temps de finir sa phrase, qu’il entendit des gens approcher. Attrapant Maëlys par le poignet, il la tirait dans le fond de la salle, derrière des cartons. Seule la lumière qui filtrait à travers les fenêtres, réussissait à les éclairer. Ils venaient tout juste de s’assoir derrière deux immenses colonnes de cartons, lorsque la porte s’ouvrait pour finir par se refermer. Ouf. « On devrait peut-être attendre quelques minutes, avant de se fondre dans la masse. » Et boire un petit remontant !

Pour noël, tout est permis.
ft. MAËLYATT

Après avoir joué les débiles devant un photographe, je t'avais attiré dans les coulisses, pour trouver un endroit où enlevé nos costumes, on allait encore nous prendre pour des voleurs et vu qu'on était tous les deux, on allait se retrouver en garde à vue ou j'en sais trop rien, on avait tellement la poisse ensemble. Arrivés dans cette pièce, je faisais pareil que toi, rapidement je retirais ce costume de lutin pour le mettre dans un coin J’crois qu’une malédiction plane sur nous. A chaque fois, qu’on est ensemble, il se passe un truc. je répondais à ton rire mais très rapidement, du bruit se faisait entendre. Nos regards se croisèrent et tu m'arrachais le poignet presque pour se cacher derrière une pile de carton. Je n'osais même plus respirer, comme une enfant qui vient de faire une grosse connerie. Je m'asseyais doucement en respirant calmement puis tu me murmurais On devrait peut-être attendre quelques minutes, avant de se fondre dans la masse.  souriant d'un coup, je regardais le mur pour tourner mon visage vers le tien Bonne idée.. et j'avais juste envie de me dire qu'on avait vraiment une malédiction tous les deux, c'était dingue. Ce genre de situations m'avait manqué.. sur mes pieds, je sentais quelque chose tout d'un coup. Et là.. AAAAAAAAAH! une souris. Je me taisais d'un coup mais c'était pas possible, je t'attrapais pour te tirer dans un genre de.. placard? Te poussant dedans avec moi, je refermais ça en chuchotant J'suis désolé... ils allaient venir c'était sûr, j'avais hurlé à cause de cette putain de.. ce truc là, avec des poils et des griffes.

Pour noël, tout est permis.
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A vrai dire, cela lui avait aussi manqué. Le fait de se retrouver dans des situations totalement loufoque avec elle, pimentait son quotidien et surtout, créait un lien spécial entre eux. A croire qu’ils retrouvaient un peu de leur complicité perdu. Malheureusement, ils furent à nouveau pris par le cours des évènements et Wyatt ne put lui répondre. Maëlys s’était soudainement mise à hurler à cause d’une sourie qui escaladait sa jambe. Hurlant à plein poumon, elle avait surement alerté les agents de sécurité. Sous le coup de la panique, elle l’avait tiré dans un placard étroit. Encore plus étroit que le placard à balais que Wyatt avait vu quelques minutes auparavant. Là, il avait carrément peur de l’empêcher de respirer. Doucement, elle s’excusait. Ce geste, arrachait un sourire attendrissant au jeune homme. Pendant une fraction de seconde, il oubliait le fait qu’il était pratiquement appuyé sur elle. « C’est pas grave. J’savais pas qu’une minuscule sourie faisait peur. » La lumière qui filtrait à travers la fine interstice du placard, venait illuminer faiblement le sourire qui avait pris possession de ses traits. Mettant fin à cet instant de flottement, des murmures se firent à nouveau entendre. Une seconde fois, la porte s’ouvrait. On pouvait distinctement entendre les agents de sécurité. « Ils sont peut-être là.. » disait la première voix. « On a déjà fouillé Vin’s. C’est surement que t’entends des voix ! » répondait d’une voix lasse un second homme. Les pas se rapprochaient dangereusement de leur cachette et vu la position inconfortable dans laquelle était Wyatt, il n’allait pas tarder à tomber sur le côté. Tout en évitant de faire le moindre bruit qui aurait pu les démasquer, il tentait de se remettre droit. D’un léger mouvement, il faisait comprendre à Maëlys de s’appuyer contre lui. Elle aurait peu de chance de l’écraser. Puis, cela lui permettrait de respirer aussi. Être à nouveau aussi proche d’elle, le perturbait. Il n’imaginait même pas la tête que Torrey ferait en les voyants ainsi. Pourtant, ce n’était pas de leur faute. Il savait que le femme avec qui, il devait construire sa vie était Torrey. Néanmoins, malgré ça, il ne pouvait s’empêcher de ressentir quelque chose pour Maëlys. D’une certaine façon, il ressentirait toujours quelque chose. Soudain, un des agents, se rapprochait dangereusement. Allait-il ouvrir la porte ?  

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Comme d'habitude on se rencontrait dans des situations improbables et même si ces situations m'avaient manqués, et bien au fond tout ça me fatiguait. Pourquoi on ne pouvait pas juste avoir une relation normale, une amitié normale? Pouvions nous parler d'amitié? Je n'en savais rien. J'avais crié un peu trop fort au vue de la souris sur mon pied et donc pour ne pas se faire prendre je t'embarquais dans une armoire, toute étroite. C’est pas grave. J’savais pas qu’une minuscule sourie faisait peur. c'était ma faute et je secouais la tête en soupirant, j'étais vraiment imbécile, je m'en voulais.. je murmurais encore désolé.. par ma faute, on allait peut-être se faire prendre. Puis dans cette armoire, ça sentait le renfermé, il faisait noir mais bon, tu étais contre moi.. égoïstement, j'oubliais tout le reste et Torrey par la même occasion. Puis, je ne savais même pas si tu étais encore avec à l'heure actuelle. Ils sont peut-être là.. On a déjà fouillé Vin’s. C’est surement que t’entends des voix ! je déglutissais en fermant les yeux un instant. Tu allais tomber et donc, tu me fis signe de m'approcher mais de.. d'écraser mon corps contre le tien. Pour pas se faire prendre, doucement, je m'avançais contre toi, écrasant mon corps contre le tien, n'osant même pas bougé de peur que tu me rejette. Un mec était juste derrière l'armoire et je te regardais dans les yeux, j'avais tellement la trouille là. De longues secondes se passaient et le mec s'en allait avec l'autre. Je fermais les yeux une seconde, soulagée. Mais je n'osais pas faire de bruit.. Bizarrement, j'étais bien là dans cette armoire avec toi. Je détaillais ton visage en souriant que très légèrement, chuchotant juste, posant un baiser contre le haut de ta mâchoire Tu m'as manqué Wyatt..

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Les voix s’éloignaient en même temps que les pas, jusqu’à complètement disparaitre. Tous les deux, auraient dû se sentir soulagés. Pourtant, c’était loin d’être le cas. Pressé contre lui, il pouvait sentir son souffle tiède caresser sa peau. Les yeux dans les yeux, il vit un éclat briller, alors qu’elle déposait un baiser sur le haut de sa mâchoire. A ce contact, son cœur s’emballait un peu plus. Pendant un instant, il perdit le fil. Entendant au loin les mots qu’elle lui murmurait. Néanmoins, sa raison n’était pas très loin. L’image triste de Torrey revenait en force. Fermant les yeux, il se maudissait de toujours ressentir quelque chose à son égard. Il aurait beau avancer, des sentiments persisteraient toujours un peu. Le jeune homme tentait de reprendre son souffle. Décollant tant bien que mal ses bras qui étaient le long de son corps, ils venaient encercler la jeune femme. « Toi aussi Maëlys.. » C’était une des rares fois où il prononçait son prénom. Elle lui avait manqué. Énormément. Son cœur avait choisi Torrey en tant que femme. Elle était celle qu’il aimait, mais à côté, il éprouvait toujours quelque chose pour Maëlys et cela même, si c’était enfoui au fond de lui. Pendant un temps, l’archéologue, s’était même imaginé être en couple avec elle. Alors pourquoi avait-il choisit Torrey ? Surement, parce qu’ils avaient un lien différent. Quelque chose de plus fort, peut-être. On disait qu'on n’aimait qu’une fois réellement, mais à l’inverse, Wyatt avait aimé deux fois. Ce geste tendre, était presque inévitable. Ils auraient beau tout évité, il se passerait toujours quelque chose qui les mettrait en danger. A l’heure actuelle, Wyatt savait qu’il agissait mal envers Torrey. Un sentiment de culpabilité s’emparait doucement de lui, alors qu’il chérissait cet unique instant. « Je suis désolé si je t’ai fait du mal… Je sais que j’me suis déjà excusé, mais je le pense sincèrement. » Lui aussi avait souffert et d’une certaine manière, il ressentirait toujours un pincement au cœur en pensant à elle.

Pour noël, tout est permis.
ft. MAËLYATT

Toujours des situations improbables, avec toi c'était toujours comme ça que ça se passait et que ça devait se passer.. Moi, j'étais juste venue au centre commercial pour regarder des meubles et des bricoles, j'avais franchement autre chose à penser que de me déguiser en petit lutin et surtout me retrouver dans une armoire de 1 metre carré avec toi. Ce n'était pas déplaisant bien au contraire.. J'aimais te voir, j'aimais qu'on soit tous les deux et qu'on se retrouve comme avant mais une partie de moi voulait plus, une putain de partie de moi était jalouse de Torrey, jalouse de la vie que vous meniez. Mais l'aimais-tu réellement? Je n'en savais rien. Bref, les mecs repartaient et en déposant un baiser sur ton visage, je murmurais que tu m'avais manqué, mais c'était la vérité.. J'avais eu besoin de toi, besoin de ton épaule pour pleurer, besoin que tu me fasses rire comme tu savais le faire Toi aussi Maëlys.. à tes mots, tu me serrais doucement contre moi et je fermais les yeux, réconforté par ce sentiment de réciprocité. Tu m'apaisais, tu me rassurais et ça, peu de personnes en avait le pouvoir. Etais-tu avec Torrey en ce moment? Je me le demandais, ton regard te trahissait quelques peu.. Je suis désolé si je t’ai fait du mal… Je sais que j’me suis déjà excusé, mais je le pense sincèrement. avalant ma salive, je parlais toujours doucement, comme si on pouvait encore nous entendre, ou comme si ce moment n'appartenait qu'à nous.. Mon regard déviait, entre ton regard, ta bouche, l'expression que tu prenais T'excuses pas.. on contrôle rien.. moi aussi je m'excuse d'être toujours dans ta vie à l'heure actuelle, de ne pas t'arrêter.. j'aurais pu mettre un terme à tout ça, et je le faisais pas. Je suis fautive de te regarder comme je le fais et de vouloir toujours plus. Donc ne t'excuses pas.. tu as ta vie avec ton petit garçon, puis je sais pas si tu es avec elle ou pas à l'heure actuelle mais.. je respecte tes choix. tu étais mon ami, tu étais plus que ça. Je comprenais totalement.