Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI try once, I try twice, I try over and over • Ashaël
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I try once, I try twice, I try over and over • Ashaël

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Tu te faisais grandement chier à la mather house, la plupart de tes potes n'étaient pas là. Pas de Caïn, de Lucky, de Sage, de Milan, ni de Denys ou de Maxime. Bordel ils étaient en train de se faire une fête tous ensemble sans toi ou quoi ? C'était étrange que tu sois pas foutu d'en trouver un seul et tu n'avais pas envie de passer du temps avec quelqu'un d'autre que l'un d'eux. Du moins en mather, c'est pourquoi tu pensas aux winthrops. Tu allais bien trouver un des rouges dans la mather house pour te tenir compagnie non ? Genre faire chier Milo, ou bien rigoler avec Roman, ou encore draguer ouvertement Dante même s'il a une copine, ou papoter avec Happy. Fin bref, tu avais juste envie de trouver un rouge pour t'occuper, te sortir de ton ennuie. Tu descendis donc de ta chambre, traînant un peu des pieds vu que tu n'étais vraiment pas certaine d'en trouver un. C'était apparemment pas ton jour il fallait croire. En tenue classique, des plus confortables, tu portais un legging noir et un débardeur. C'était un peu ta tenue de glandouille, de tu n'as rien à faire ou de cocooning. La première chose que tu fis c'était de te rendre dans la cuisine pour trouver une bière. C'était peut être pas tant ton mauvais jour vu qu'il y en avait quelques unes dans le frigo. Pour la peine tu en prit deux, comme ça si tu trouvais personne ben tu pourrais t'empéguer la gueule. C'était un grand mot étant donné que tu n'allais pas être raide morte avec deux bières. Il n'y avait personne dans la cuisine d'ailleurs, dans la salle de jeux tu n'avais aucun de tes amis rouges. C'est seulement en allant dans le salon, pour poser ton cul sur le canapé, que tu vis un visage familier. Tiens donc qui voilà. Le charmant Raphaël était installé en train de regarder la télé. Un sourire se dessina sur tes lèvres et tu vins poser tes fesses à côté de lui, te tournant légèrement vers lui pour lui parler. Que fais tu donc ici tout seul ? lui demandas tu limite comme si tu t'inquiétais pour lui, comme si tu prenais soin de lui, alors qu'en fait c'était plus une bonne chose pour toi. Tu l'avais pas revu depuis cet été au summer camp et tu n'avais pas réussi à le décoincer le coco. Il était devenu trop sérieux à ton goût mais tu étais persévérante comme nana, tu ne baissais pas les bras. Tu en veux une ? Tu montras les bières que tu avais en main, une entre tes jambes, l'autre dans ta main, tu essayais de l'ouvrir à l'aide de ton briquet. Après trois tentatives, la capsule sauta et tu lui tendis en attendant de savoir si oui ou non il l'a voulait cette bouteille. En fait, ça avait eut son avantage que leur maison crame, vous vous retrouviez avec des tas de mecs canon chez vous et c'était pas toi que ça allait déplaire. Surement pas non.


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La Winthrop a brûlé depuis cette horrible tempête qui a ravagé Cambridge. Heureusement mes parents avaient été là pour occuper Mateo avec moi. On a réussit à l'occuper de notre mieux pour pas qu'il soit préoccupé par ce qu'il se passait dehors. Hors de question qu'il se mette à pleurer et qu'on doive après le réconforter. Donc on a passé la soirée à l'occuper, à jouer avec, jusqu'à ce que tout se calme. Heureusement je ne vis pas à la Winthrop et je n'ai rien perdu, mais ça m'embête quand même. C'est ma confrérie et ça m'embête qu'elle ait cramé. Maintenant il faut tout reconstruire, et j'ai décidé d'aller à la Mather en attendant. Pas pour y vivre, mais entre deux cours, au lieu de me poser dans le canapé de la Winthrop, j'irais dans celui de la Mather. La Mather House est une maison qui me plaît aussi. Ma confrérie à Yale était un mélange de la Winthrop et de la Mather, donc j'avais hésité à rejoindre les verts. Mais finalement mon choix s'est porté sur les rouges, et j'en suis content aussi. Donc aujourd'hui, entre deux cours, je décide d'aller à la Mather, pour me poser dans le canapé. J'entre à l'intérieur, personne. Bon ok très bien aussi. Je me pose dans le canapé, j'allume la télé. Mais elle n'est fait office que de bruit de fond, parce que je réfléchis et surtout je me dis que je dois arrêter de me morfondre et que je dois continuer de profiter de la vie. J'ai seulement 24 ans, je dois arrêter de me prendre la tête. Et surtout faut que j'oublie que c'est bientôt Noel et que ça fera bientôt un an qu'elle est morte. Faut que je sois heureux. Les paroles de mes amis montent enfin dans ma tête. Redevenir celui que j'étais. Voilà ce que je dois être. Je suis interrompu dans mes pensées en sentant quelqu'un s'asseoir à mes côtés. Je tourne la tête, et je reconnais Ashleigh directement. Et bien elle sera un bon moyen de voir si je suis prêt à redevenir celui que j'étais. " J'avais besoin de me poser entre deux cours, et comme la Winthrop a brûlé. " J'hausse les épaules en la regardant alors qu'elle me propose une bière, qu'elle tente d'ouvrir avec son briquet. Sauf qu'elle n'y arrive pas du premier coup, ce qui me fait sourire. " Encore besoin d'un peu d'expérience pour ouvrir avec le briquet. " Je souris amusé en la regardant. Un peu de taquinerie ne fait pas de mal. Et j'ai toujours eu l'habitude en soirée d'ouvrir avec mon briquet. " Mais merci. " J'attrape la bière qu'elle me tend, pour ensuite trinquer avec elle et boire une bonne gorgée. " Tu vas bien depuis le Summer Camp ? " Demandais-je finalement.
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Tu trouvais aucun de tes potes mathers, la grande poisse, mais ils allaient t'entendre ça c'est clair, parce qu'ils ne répondaient pas à leurs téléphones non plus et ils allaient pas te faire croire qu'ils sont sérieux et qu'ils touchent pas à leurs téléphones en cours, t'y croirai pas une seconde. Tu te dis que tu vas trouver un rouge à la place car si tu as beaucoup de verts dans ton carnet de contacts, tu en as autant chez les winthrops. Mais bon pas tout le monde loge ici chez les mathers, tu sais que certains ont leurs appartements ou qu'ils sont allés dans des hôtels ou autre. Mais tu perds pas espoir, tes bouteilles de bière en main, tu trouves finalement le beau Raphael dans le canapé. Ah ben voilà, tu vas pas être toute seule. Tu t'installes à ses côtés et tu commences à lui parler. S'il est ici c'est car la winthrop a brûlé et qu'il ne peut pas y aller. Tu sais pas combien de temps ça va prendre pour la remettre sur pieds mais tu n'es pas pressé que ça soit le cas. Dans ta chambre tu héberges le beau Dante et t'as pas très envie de le voir retourner chez les rouges, tu veux bien le garder le plus longtemps possible dans ta chambre, histoire d'avoir assez le temps de le faire succomber à tes charmes. Tu lui proposes alors une bière et tu te charges de les ouvrir avec ton briquet. Et sans pression le rouge se fout de ta gueule car tu galères un peu. Tu peux peut être m'apprendre à mieux le faire réponds tu du tac au tac. En vrai, t'as l'habitude mais parfois la capsule se fait plus difficile que d'autres. Mais qu'il t'apprenne s'il veut, qu'il te montre le mouvement à faire en posant ses mains sur les tiennes, no problem pour toi. Vos bières sont enfin ouvertes, tu trinques avec lui et bois une bonne gorgée. Il te parle du summer camp, ralala, qu'est ce que tu t'étais bien amusée là bas, même si t'avais pas réussi à le faire craquer. Très bien et tu mentais pas. Ta vie était parfaite entre soirées, pétards, alcools et coucheries, tu aimais vraiment cette université et les gens qui y étaient. Et toi ? Tu étais chez les rouges lors du feu ? Ca avait dû être vraiment la panique à l'intérieur des maisons qui avait prit feu, tu n'osais pas imaginer et tu étais bien contente que ta mather n'avait rien eut. Tu aurais été au bout de ta vie si c'est ta maison qui avait brûlé. Puis tu jettes un coup d'oeil à la télé. Tu te fais chier c'est ça ? Pour regarder la télé en étant chez les mathers c'est qu'il devait se faire chier ou qu'il était vraiment trop sérieux, un mot que tu n'avais pas dans ton vocabulaire.


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Je pensais être tranquille en venant à la Mather. Tranquille pour réfléchir à tout cela. A tout ce qui se passe dans ma vie, et finalement, je suis rejoins par Ashleigh. Ca ne me dérange pas. Je l'apprécie malgré tout. Même si je n'ai pas craqué à ses avances durant le Summer Camp. C'était encore trop récent dans ma tête. Ca l'est toujours, mais faut que je me bouge, et que je continue de profiter de ma vie. Pas que je devienne un pauvre con qui finira sa vie seule avec son fils. Non j'ai envie de plus. J'ai envie de refaire ma vie. J'ai envie de profiter de la vie. Donc oui peut être que je regrette un peu de lui avoir fait de la résistance au Summer Camp. J'aurais mieux fait de craquer, ça m'aurait fait du bien je pense. Enfin, elle s'installe à mes côtés, pour ensuite décapsuler ma bière avec son briquet. Sauf qu'elle doit s'y prendre à plusieurs reprises, ce qui me fait sourire malgré tout. " A la prochaine bière alors. " Oui ce qui signifie qu'il y aura une prochaine. Oui on ne va pas se contenter que d'une seule bière tout de même. Enfin commençons par la première et d'ici là on verra bien. On ne s'était pas vu depuis le Summer Camp, donc ça date un peu désrormais, mais apparemment elle se porte plutôt très bien pour reprendre ses paroles. Oh je n'en doute pas une seule seconde. Elle a du bien s'amuser durant le summer camp, malgré que je lui ai fais de la résistance. Les autres mecs ont du céder à son charme. " Non non heureusement, j'étais chez moi, avec mes parents et Mateo mon fils. " Qui dans quatre mois aura deux ans. Il grandit beaucoup trop vite ce petit. Je bois quelques gorgées de ma bière, alors que la télé tourne toujours en fond, mais en aucun cas je la regardais. " Un peu, y a rien à la télé, alors j'étais plongé dans mes pensées. Mais bon je ne vais pas t'embêter avec ça. " Oui non inutile que je l'embête avec mes questions, avec le fait que je veux changer et redevenir celui que j'étais. " Et t'as réussis à trouver quelqu'un à ton goût à la soirée où nous étions ? " Je suis sûr que oui. N'importe qui craquerais pour elle, moi le premier.
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Toi tu fonces toujours dans le tas, dans le mur, tu y vas toujours franco et tu ne passes pas par quatre chemins. Quand tu avais revu Raphael au summer camp forcément tu avais jeté ton dévolu sur lui et tu avais essayé de raviver les souvenirs entre vous. Les souvenirs de Yale, de vos soirées à prendre votre pieds ensemble, parce que ça avait été des chouettes moments, y avait pas à dire. Lui par contre, il n'était plus sur la même longueur d'ondes. Deux années c'étaient écoulées donc il avait changé. C'était devenu le mec sérieux et stable que toi tu n'étais pas. Voilà pourquoi tu n'avais pas réussi à le faire succomber et c'était pas faute d'avoir essayé, mais non, il était devenu un autre. Mais tu étais pas le genre qui lâche l'affaire. Plus on te résiste et plus tu fais du rentre dedans. Ca te faisait grandement chier qu'on te résiste mais d'un autre ça te plaisait et ça t'attirait. Tu profitais donc de sa taquinerie sur l'ouverture des bières pour lui faire un peu de ton charme. C'était pas grand chose, c'était tout gentil mais c'était un début. Un début auquel il répondit en acceptant une prochaine bière à venir. Aaaaaah il fallait pas qu'il te prenne par les sentiments comme ça, oubliait-il qu'il avait affaire à une mather ? Ca me va. Bien sur que ça t'allais, tu refusais jamais une bière ou alors c'est que ça n'allait pas et il fallait vraiment se planquer. Tu évoques le feu chez les winthrops et il n'y était heureusement pas. Une bonne chose pour lui même s'il avait dû grandement s'inquiéter vu le nombre de personnes qu'il connaît là bas. Tu lui fis donc un sourire et te retournes vers l'écran de la télé. Tu comprends bien vite qu'il se fait chier et il te le confirme. Je te connais pas des masses mais je trouve que tu penses un peu trop, tu vas faire fumer ton cerveau à force. Toi tu étais tout l'opposé, tu pensais jamais. Enfin si t'étais blonde mais pas conne, mais tu étais pas le genre à te poser des milliards de question et te torturer l'esprit. Tu te demandais pas pourquoi tu avais fait ça au lieu de ça, pourquoi ce mec agissait comme ça et pas comme ça. Oula que non, les emmerdes sentimentales c'étaient pas ton délire. Tu les laissais pour les autres mais Raphael il se prenait trop le chou, tu avais mal au crâne pour lui quoi. Puis il te posa une question sur le summer camp. C'était un piège ? Pour te prouver qu'il avait bien fait de refuser tes avances car tu avais finalement trouvé d'autres mecs ? Ben comme tu n'as pas voulu de moi, ni me présenter à tes amis, j'ai dû me débrouiller par moi même ouais et je m'en suis pas trop mal sorti. Pas du tout même vu que tu avais fait une sextape pendant ton summer camp. Merci Maxime (a). Tu ne te voyais tout de même pas être plus explicite, sinon c'était te griller toi même et avoir encore moins de chance de le faire succomber. Tu t'es quand même bien amusé toi ? Ton quand même signifiait beaucoup là. Ca signifiait "malgré que t'as pas passé une nuit avec moi t'as réussi à t'amuser ?" T'étais pas croyable toi, mais t'étais si faible devant les winthrops, devant leur corps si musclé, si parfait. Tu avais pas besoin d'être une cabot pour tomber dans leurs bras. Ils avaient cas être plus moches aussi. Ta mère t'avais fait des yeux c'était pour t'en servir, pour te rincer l'oeil. Quant à tes mains c'était aussi pour t'en servir et toucher les beaux mâles que la vie mettait sous ton nez. Tu étais si faible devant la gente masculine, vraiment pas ta faute.


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J'étais un vrai coureur de jupons à Yale. Jusqu'à ce que je rencontre mon ex fiancée. J'enchainais les filles, et même de temps en temps des mecs, mais c'était plus rare. Oui j'ai quand même ma préférence avec les filles. Les hommes j'aime bien de temps en temps, ça s'arrête là. Et même quand j'ai rencontré mon ex fiancée, au début je la voulais juste dans mon lit, jusqu'à ce qu'elle me mette des batons dans les roues. Oui elle me résistait, pour une seule et unique raison. J'étais son premier. Et à force de passer du temps avec elle, je me suis fais prendre à mon propre piège, étant donné que je suis tombé amoureux d'elle. Je n'avais pas du tout prévu de tomber amoureux d'elle, et pourtant ça s'est passé si vite, sans que je me rende compte de quelque chose. Enfin maintenant c'est de l'histoire ancienne malheureusement, et faut absolument que je continue ma vie et que j'avance dans la vie. Je rentre d'ailleurs dans le jeu d'Ashleigh. Je suis prêt à boire une deuxième bière pour pouvoir lui montrer comment ouvrir du premier coup une canette avec un briquet. Je suis un spécialiste pour ça. Alors je lui dis que je réfléchissais et je souris à ses paroles. Oui je sais je réfléchis trop. " Il fume déjà, faut que j'arrête de me prendre la tête. " Elle me l'a bien répété au Summer Camp pour que je puisse me lâcher et qu'on puisse passer la nuit ensemble, sauf que je lui ai résisté. Oui j'ai réussis à résister à une femme comme Ashleigh. J'ignore comment j'ai fais, mais j'ai réussis. Je lui demande alors si elle a trouvé chaussure à son pied le soir où on a passé la soirée ensemble. Et elle me répond qu'elle s'en ai pas mal sortit. Je n'en doute pas une seule seconde. " Je ne doute pas de tes capacités à séduire, même si je t'ai résisté. " Je ne sais pas où j'ai trouvé cette force pour lui résister, mais je l'avais trouvé la dernière fois. " Oui je me suis quand même bien amusé. Sans avoir besoin de m'envoyer en l'air. " On peut s'amuser autrement tout de même non ? J'ai passé de bons moments durant ce Summer Camp, avec mes amis, avec mon fils, et lors de quelques soirées organisés. " J'espère que ma résistance ne t'as pas démoralisé. " Je rigole. Autant rentrer un peu dans son jeu. Je sais qu'elle me veut encore. ELle n'abandonnera pas l'idée. Je le sais parce que je suis pareil. Quand j'ai une idée en tête, je ne l'oublie pas. Je termine rapidement ma bière. A croire que j'avais soif. " T'en reveux une ? Je vais pouvoir te montrer mes talents. " Je souris amusé pour ensuite me lever du canapé pour aller dan sla cuisine des Mather, et revenir avec deux bières.
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Raphael était bien d'accord avec toi et il t'informait que son cerveau fumé déjà. Bon ben voilà c'était signe qu'il devait arrêter de réfléchir et de se tracasser la tête et plus de profiter quoi. Du coup, pour la peine, tu plonges une de tes mains dans ton débardeur pour que tes doigts se glissent dans ton soutien gorge et là tu en sors une clope. Cachette spéciale Ashleigh. Là tu savais que tes clopes étaient toujours en parfaite sécurité, à l'abri de te les faire piquer. A moins que quelqu'un vienne te tripoter à cet endroit et remarque les cigarettes. Tu lui tends la cigarette du coup, ça va c'est qu'une clope, c'est pas un pétard. Au moins ton cerveau fumera pour une bonne raison. Tu en prends une pour toi et tu l'allumes avec ton briquet pour venir alors tirer une latte dessus. La discussion suit sur le summer camp et tu lui fais donc part que oui tu avais trouvé quelqu'un d'autre comme lui n'avait pas voulu de toi. Histoire de lui rappeler que tu n'as pas oublié qu'il t'avait résisté. Lui non plus n'a pas oublié vu qu'il le reconnaît ouvertement. Il c'est quand même bien amusé selon ses paroles mais toi tu restes convaincu qu'il c'est beaucoup moins amusé que si ça avait été avec toi, comme au bon vieux temps, comme y a deux ans à Yale. Puis il en joue. Il te taquine sur le fait qu'il n'a pas cédé et si toi tu n'es pas démoralisé. Oh le mec ! S'il veut jouer, tu vas jouer. Non, j'ai trouvé mieux après donc ça va. Un beau brun encore plus musclé, une gueule encore plus belle, un dieu au lit et puis... tu laisses ta phrase en suspense tout en te mordant la lèvre inférieure. Tu parles de Maxime vu que c'est lui que tu as pécho le premier au summer camp. Tu penses pas à votre nuit mais tu fais comme si c'était le cas, comme si tu te remémorais de vos moments histoire de frustrer Raphael, de lui montrer qu'il n'était pas le meilleur et que lui par contre avait raté quelque chose avec toi. Il avait raté une sextape pour sur. Tu termines toi aussi ta bière, tout comme lui et tu hoches la tête à sa question. Il avait même pas besoin de te la poser, tu avais eut deux bières dans les mains pour toi à la base et non pour les donner au rouge. Si tu arrives à ouvrir la bière du premier coup, t'as le droit à un voeu dis tu alors qu'il revient vers toi avec les deux nouvelles bières.Tu étais pas le génie mais presque. Tu étais en tout cas plus bonne que lui.


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Mon cerveau fume beaucoup trop. Il fume quand je vais en cours, mais aussi en dehors des cours malheureusement. Donc c'est décidé je ne me prends plus la tête. Et Ashleigh tombe bien en réalité. Je la vois mettre sa main dans son soutien gorge, et je fronce les sourcils. Elle fait quoi là ? Elle veut déjà se mettre à poil sous mes yeux ou c'est quoi le délire ? Mais elle en sort une cigarette. Ah oui carrément ? Elle a peur qu'on lui vole des clopes ou bien ? Elle m'en tend une et je l'attrape. Je suis fumeur, donc forcément j'accepte sa cigarette. J'ai voulu arrêté quand Mateo est née, mais j'y suis accro à ce truc, donc forcément c'était impossible. " Merci. " J'attrape ensuite son briquet pour ensuit epouvoir l'allumer et tirer une première latte. Ca va ce n'est qu'une cigarette, et comme elle fume à l'intérieur, je le fais aussi. Sans elle, j'aurais été fumé à la fenêtre. mais après c'est vrai je suis à la Mather House, ils sont connus pour ça. Fumer et pas que des cigarettes en plus. Alors je la questionne sur le Summer Camp, lui rappellant que oui je lui ai résisté, et je sais ce que ça fait. J'avais horreur qu'une femme me résiste, donc je sais bien ce qu'elle a pu ressentir lorsque je lui ai résisté. Et là elle me dit avoir trouvé mieux, un mec plus musclé que moi, une gueule encore plus belle et un dieu au lit. Maxime te dit merci Ash (a). Et je la vois se mordre la lèvre inférieure comme si elle repensait à sa nuit avec ce mec. " Et bien ravi de l'apprendre, mais je sais que je suis à ton goût et que si j'avais craqué, on aurait passé une nuit explosive. " Mais je n'ai pas craqué, donc inutile d'en parler à vrai dire. Je termine rapidement ma bière et je lui en propose une deuxième. Je vais dans la cuisine, pour ensuite revenir avec deux bières en main. Et maintenant j'allais pouvoir lui montrer comment je décapsule une canette de bière. " J'ouvre la mienne et je te montre comment on fait. " Un clin d'œil pour ensuite prendre son briquet. J'attrape ma canette et je l'ouvre du premier coup avec son briquet. " On ne perd pas une bonne habitude. " Oh ça non. " Je te montre ? " Je souris amusé en lui tendant son briquet.
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Il te regarde un arquant un sourcil quand tu plonges ta main dans ton soutien gorge. Il doit pas comprendre ce qu'il se passe et là tu repenses à Caïn et toi à l'hôpital quand tu lui avais fait le même coup et qu'il t'avait bien cherché sur ça, comme quoi tu rembourrais avec tes clopes car tu avais des piqûres de guêpes. Gros foutage de gueule mais tu lui avais montré que tu avais pas des piqûres de guêpes et tu lui avais cloué le bec. Raphael accepte donc ta clope, cool c'est déjà ça. Et quand il se renseigne sur ton summer camp et si tu avais trouvé quelqu'un d'autre, tu décides de le faire narguer et tu lui parles de Maxime. Tu balances pas le prénom, tu le décris juste, exagérant bien les choses c'était pas non plus un dieu au lit (sorry not sorry) et tu te pinces la lèvre inférieure pour appuyer tes dires et montrer que tu repenses à cette folle nuit. Ca fonctionne puisque le rouge ne peut s'empêcher de parler de vous, de la merveilleuse nuit que vous aurez passé ensemble s'il avait craqué. Pour toi il se trahissait. T'es sur ? Ca fait plus de deux ans, c'est à peine si je me souviens si t'es bon dans ce domaine. Gros mensonge, mais tous les moyens étaient bons pour le faire craquer. En le taquinant à ce niveau là tu espérais que sa fierté soit touchée. Tu espérais qu'il est envie de te raviver la mémoire. Pas bête la petite. Il va ensuite chercher deux bières car oui toi aussi t'en veux une autre. Il ouvre sa bière et il y arrive du premier coup. Lui au moins c'est pas comme ton ami mather qui se dit être trop fort au jeu de la capsule et qui réussi un tir sur cinq (a). Raphael est vraiment fort pour le coup, ce ne sont pas que des paroles et il te propose de te montrer en te donnant le briquet. T'as clairement pas besoin de ses conseils mais tout moyen est bon à prendre pour le faire céder. Ouep mais tu le fais avec moi, tu me montres comme il faut dis tu pour être crédible, pour faire celle qui veut vraiment apprendre et y arriver. Ralala qu'elle comédienne tu fais. Tu viens coincer la bouteille de bière entre tes cuisses puis tu tiens le briquet dans une main tandis que tu regardes le jeune homme comme en attente à ce qu'il te montre les gestes. Si je réussis à l'ouvrir parfaitement avec tes conseils, j'ai un voeu aussi. C'était donnant/donnant. Si lui voulait pas utiliser son voeu, le mien j'allais bien l'utiliser.


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Je prends la cigarette qu'elle me tend. J'avoue que c'est une drôle de cachette pour des cigarettes. Après chacun sa cachette, mais dans son soutif c'est bizarre. C'est comme si je cachais mes clopes dans mon boxer ça serait vraiment bizarre non ? Bon le soutif et le boxer c'est pas pareil, mais c'est pour la comparaison. Enfin, je l'allume pour pouvoir fumer tranquillement, alors qu'on parle du Summer Camp et surtout du fait qu'elle a trouvé chaussure à son pied le soir où j'ai résisté à son charme, à ses avances. Parce que oui elle a tout fait pour me faire craquer, mais rien n'a marché. Pourtant j'aurais pu craquer lorsqu'on a partagé cette danse, mais non je ne l'ai pas fais. Je ne voulais pas craquer et quand j'ai quelque chose en tête, je m'y tiens. Je la regarde, en haussant un sourcils. Elle va me faire croire qu'elle ne se souvient pas si je suis doué dans le domaine. Moi je me souviens bien de nos nuits ensemble par contre. " Alors là je suis blessé. " Touché dans ma fierté pour le coup. Toutes les femmes se souviennent de leur nuit passée à mes côtés. Non mais qu'est ce qu'elle raconte ? Je vais alors chercher deux bières. Je lui tends sa bière, alors que je prends son briquet pour ouvrir ma canette du premier coup. Je lui avais dis que je suis un pro dans ce domaine. Je lui dis que c'est à son tour et que je peux lui montrer si elle le souhaite. " Ok je te montre. " Je pose ma bière, alors que je lui tendais le briquet qu'elle finit par prendre. Sa bière est entre ses cuisses. Franchement là ça se voit que je ne me prends pas la tête. Sinon je n'aurais pas pris de deuxième bière et je n'accepterais pas de lui montrer. " Alors je te montre. " Je me rapproche d'elle, pour attraper les mains d'Ashleigh. L'une qui vient tenir la bière entre ses cuisses, et l'autre qui tenait le briquet. Je place le briquet sous la capsule. " Tu le places bien comme ça, et avec un peu de force, bim tu l'ouvres. " Et hop la capsule s'enlève.
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