Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAsh&Milan - Oh, girl, shock me like an eletric eel. - Page 3
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Ash&Milan - Oh, girl, shock me like an eletric eel.

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J'crois que j'suis maudit. Ou définitivement trop con. J'sais pas, mais il n'y a qu'un seul abruti sur terre capable de se coller une bande de cire sur le torse quand il essaye de se pécho une meuf, et c'est moi. Sérieux, qu'est ce qui tourne pas rond chez moi ? Pourtant ma mère me disait "Non Milan tu n'es pas fou, t'es juste spécial, très spécial". Spécial mes fesses, j'regrette presque d'être moi quand elle retire la bande et que j'me retrouve à hurler comme une fillette. La drama queen dans toute sa splendeur qui court et hurle dans la pièce, des larmes plein les yeux. J'sais pas pourquoi je cris en fait, est-ce que c'est parce que j'ai mal, est-ce que c'est parce que j'ai paniqué, est-ce que c'est parce que la blonde n'arrête pas de rigoler ? Puis comme un abruti, j'pense désinfecter la plaie en renversant un peu d'alcool dessus et ça ne fait qu'empirer les choses. J'me jette aux pieds de la blonde quémandant son aide et sa clémence : "J'ai trop maaaaal", dis-je en reniflant tandis qu'elle m'obligeait à m'taire se montrant tout à coup très maternel. Ouai ça m'rassure, ouai j'me calme. Continuant de renifler, j'pose ma tête sur sa poitrine et m'laisse cajoler : "Plus jamais ça s'approche de moi", dis-je boudon, en pointant du doigt un des paquets de cire sur le lit. J'sens bien au rythme cardiaque de la blonde qu'elle se marre, qu'elle s'retient de le faire pour de vrai : "Puis arrête de t'foutre de ma gueule, c'est ta faute tout ça, t'es qu'une traitresse, plus jamais j'te fais confiance, plus jamais je t'embra...". A peine le temps de le prononcer qu'elle relevait ma tête pour voler un baiser. Plus appuyé, plus réconfortant. Moi qu'était tout crispé laisse tomber mes épaules comme résigné. Elle se retire et j'repose ma tête sur ses seins. Ouai c'est seins, j'ai même pas remarqué que j'en profitais, mais maintenant que j'y suis elle peut crever pour m'en enlever. J'suis bien là, à m'appuyer dessus, puis avec cette voix de ronchon j'ajoute : "C'est pas ça un bisou magique". Allusion sexuelle ? Peut-être bien. T'façon là, j'pense que la séance d'épilation est terminée, si elle recommence, je m'enfuis en courant. J'me relève enfin, parce que par terre c'est pas hyper confort, et vient m'caler sur le lit à côté d'elle : "C'est bon, c'est finit les poils, je mettrais des collants". J'me laisse tomber à plat ventre, visage enfoncé dans le matelas, j'attrape un coussin et le met sur la tête comme pour disparaitre du montre. Et j'poursuis, presque inaudible, en bavant à moitié sur les draps : "Faut que tu m'soigne pour de vrai maintenant". J'relève la tête subitement et la tourne vers elle, avec ces yeux d'enfant énervé qui boude : "Viens là". J'tends le bras, l'attrape par le cou et la force à s'allonger à côté de moi. La tête de nouveau sous l'oreiller, tournée pour pour la regarder : "Tu fais sortir de la bière de tes seins ?", pour me réconforter allez, c'était traumatisant tout ça quand même.


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Tu n'en peux plus de lui, tu sais pas ce que tu vas en faire mais tu comptes bien le garder dans ta vie quand même car c'est un sacré numéro. Il te fait bien rire, ça y a pas à dire et il n'a pas besoin de faire grand chose, juste d'être lui même en fait pour que tu rigoles. Il lui suffit de flipper à cause d'une bande de cire qui se trouve sur son torse, de bouger dans tous les sens, de se mettre à courir dans la pièce et voilà que t'es au bout de ta vie, que tu n'en peux plus. Il empire son cas en plus avec la bière qu'il se renverse sur lui. L'alcool ça désinfecte mais ça fait super mal aussi et lui il croyait quoi ? Que ça allait lui faire du bien ? Il comprend bien vite que non, il souffre, il le dit lui même et rien qu'à voir sa tronche tu le devines. Toi toute gentille ou plutôt machiavélique ben tu le prends contre toi afin de lui faire un câlin pour le consoler et qu'il ait bien ta poitrine sous les yeux et très proche de lui. Voilà qu'il fait le petit enfant et qu'il pointe les bandes de cire en mode traumatisé. Ca te fait sourire, t'as envie d'éclater de rire même mais tu te retiens. Et c'est dur. Très dur de te retenir en le voyant faire, en l'écoutant. Il le comprend bien que tu te retiens à mort et que tu as juste envie de t'exploser encore et là tu deviens la responsable de ses malheurs. C'est ta faute à toi. Tu l'écoutes à peine et lui demande s'il veut un bisous à la place, un bisous magique comme on fait aux enfants quand ils sont petits et qu'ils se font mal quelque part. Il parle trop donc tu n'attends pas sa réponse et tu déposes tes lèvres sur les siennes. Ta façon de lui dire de se la fermer en même temps. Profite du moment Milan, profite. I just wanna feel your lips and get to know you better (a). Tu t'éloignes alors en séparant vos lèvres et il trouve un truc à redire, bien sur. Il s'installe à côté de toi et il annonce que la séance épilation c'est fini. Il veut opter pour les collants à la place, toi tu trouves ça moins drôle. Tu veux continuer mais là tu sens qu'il va pas vouloir, là il est trop traumatisé. Il décampera pas de son avis alors tu vas laisser couler et tu reviendras à la charge plus tard. Je te pensais plus fort que ça chaton. Ce surnom te va très bien en fait, t'es tout fragile et sur ce tu pinces sa joue comme les grands mères bien relou font et tu secoues légèrement. Tu rigoles en le voyant alors enfourner sa tête sous l'oreiller. Qu'il est chou ce petit. Puis voilà qu'il faut que tu joues à l'infirmière selon monsieur. Pas le temps de répondre un truc il t'entraîne avec son bras. Tu tombes en arrière, allongée sur le dos et lui sur le ventre, l'un côte à côte. Tu le regardes, il te regarde et tu souris en secouant la tête devant son air d'enfant boudeur. Ralala celui là alors. Tu rigoles face à sa demande. J'obtiens quoi si je te fais sortir de la bière de mes seins ? Tu sais chez moi c'est donnant donnant, on obtient jamais rien gratuitement le cherches tu. Ben ouais t'es pas conne, si tu sors de la bière il va la boire, ouvertement, sur ta poitrine et toi t'y gagnes quoi ? C'était pas le monde des bisounours ici. Trouves un truc motivant, peut être que je pourrais faire l'infirmière ensuite... Ta phrase reste en suspense et tu hausses les sourcils plusieurs fois de suite tout en lui faisant un clin d'oeil. Fait moi un massage tu lui demandes alors, soudainement, d'une voix toute motivée et enjouée. Ouais, franchement ça va passer trop bien là. Un massage contre de la bière qui sort des seins. Il pourra bien te tripoter en plus et il pourra bien encore plus perdre la tête. Tu gagnes et tu gagnes.


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Beaucoup trop d'émotions dans un laps de temps réduit, de quoi m'réduire moi-même au silence. Je m'allonge sur le lit, clairement boudeur et grognon. Non, non, la blonde n'approchera plus ses mains traitresses pleine de bandes de cire de moi. Puis c'est pas tant que j'ai mal, mais l'effet de surpise était assez déstabilisant. Comme un ascenseur émotionnel. Et j'étais pas prés à m'arracher de la cire du torse, alors j'ai tout senti, et j'ai pas aimé. Tout fragile ? J'lui jette un regard de haine tellement même moi j'suis agacé contre moi-même. Elle me pince la joue comme ma maman le faisait, pfiou, j'me sens un peu humilié. Et comme un enfant, du genre c'est qui dit, c'est toi qui est, j'réponds d'une manière outrageusement puérile : "Ouai beh toi t'es bête, c'est ton surnom qui l'a dit". Et je renfonce ma tête sous l'oreille comme pour disparaitre du monde. Bien sûre que je n'en pense pas un mot, c'est juste que je suis ... traumatisé. Jamais personne n'a pensé à mettre l'épilation dans la liste des actes de torture ? Les filles sont vraiment courageuse. Moi j'suis pas une fille, alors j'ai l'droit d'être fébrile. J'aime paaaas quand elle s'moque de moi comme ça, j'sens bien qu'elle jubile de sa position en étouffant ses rires, puis qu'elle cherche à m'dominer. Puis c'est bon, on peut bouder mais rester collés, en plus j'ai envie qu'elle m'soigne maintenant. Alors j'passe ma main autour de son cou et la tire vers moi sans demander la permission, en appuyant bien du style "reste là". J'reste sous l'oreiller, mais j'tourne la tête vers elle, en fronçant les sourcils pour lui montrer que j'suis pas content. Puis elle, elle a l'air de s'amuser. Au début ça m'embête, puis après ça se communique, même moi j'ai envie de rire mais j'le retiens. Pt-être quand boudant bien, elle se sentira coupable et j'obtiendrais ce que je veux ? Mais c'est bien mal la connaitre. Avec la blonde, il n'y a jamais rien sans rien, toujours c'est elle qui décide, toujours c'est moi qui subit : "Tu obtiens d'me rendre heureux, c'est quand même important dans la vie de rendre heureux ses amis". J'sais d'avance que ce genre de tour de passe passe ne fonctionne pas avec elle, elle aime bien trop me taquiner. Je vire le coussin de sur ma tête, le balance derrière moi, m'redresse sur mon coude, ma tête appuyé sur la paume de ma main, allongé sur le flanc. Et j'dessine un sourire un peu masqué sur mes lèvres, qui jure avec mes sourcils encore froncé : "J'te montre ce qu'est un vrai bisou magique ?". J'pense avoir gagné, quand elle finit sa phrase par un massage. Mes yeux roulent au ciel, j'me laisse de nouveau tomber sur le matelas comme une crêpe et marmonne des mots inaudibles avant de relever la tête : "D'accord, mais tu te déshabille". Beh quoi ? J'la masse, j'lui fais plaisir, autant en profiter non ? J'me redresse, à genoux sur le lit : "Allez, enlève ta robe la blonde, j'ai soif !".


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Ce mec est un vrai enfant en fait. A première vue on dirait pas mais au final si. Il te fait marrer, toujours plein de conneries et de réactions aussi surprenantes les unes que les autres. Le voilà qui réplique un truc qui n'a aucun sens et tel un enfant boudeur. Tu te marres pour pas changer. Avec lui tu fais que ça de toute façon. Même quand il s'allonge sur le lit et se recouvre la tête avec l'oreiller, en mode tout grognon, tu rigoles encore. Jusqu'à qu'il te fasse basculer en arrière pour t'attirer près de lui. Son attitude t'amuse, te fait rire et quand il réclame de faire sortir de la bière de tes seins ben tu le regardes. Tu vois qu'il perd pas le nord mais toi non plus. Tu vas pas lui donner ce qu'il veut comme ça, sans rien en retour. T'es pas le genre super dévouée. T'es pas le genre qui donne sans rien en échange. Toi faut tu sois gagnante aussi alors tu réclames quelque chose à ton tour. Mouais réponds tu face à son speech sur rendre heureux les amis c'est important. En vrai t'es loyale et tu peux faire n'importe quoi pour tes amis, mais lui t'aimes bien le narguer, le torturer et le taquiner. Avec Milan t'aimes bien le chercher et ne pas lui donner les choses trop facilement. Le faire languir ça te plait. T'es un peu sadique, mais lui aussi. Il se redresse alors, sortant enfin sa tête de l'oreiller. Tu l'analyses tandis qu'il est au dessus de toi, toi, toujours allongé contre le matelas. Tu rates rien de son sourire sur ses lèvres. Un sourire qui en dit long, il va te sortir une connerie d'une minute à l'autre, tu le sens venir et bingo. Il veut te montrer ce qu'est un vrai bisous magique, mais là haut dans ta tête, l'ampoule s'allume et tu lui demandes un massage. S'il veut de la bière de tes seins il doit te faire un massage, ça sera ça le deal. Tu lui as brisé son moment et la chance de te donner un baiser et ça te fait sourire la façon dont il se laisse tomber en arrière. Il t'avais quand même zappé quand il était revenu dans la chambre. Il avait ignoré comment tu étais bonne dans cette tenue et il croyait pas que tu allais t'offrir à lui comme ça. Non, tu le faisais galérer, c'était bien plus drôle. T'as cru que t'allais me masser sur les vêtements ? Tu lèves les yeux au ciel. Il te connait pas encore ? En quelle année un massage se fait sur les vêtements pour toi ? Pour le coup tu t'exécutes, car ton massage tu le veux. Tu te redresses sur le lit, tes mains se posent sur le bas de la robe et le vêtement se retrouve au dessus de ta tête, pour finir sur le sol. En sous vêtements, tu vires les collants qui te serrent trop à la taille. Pas gênée, super à l'aise, après tout t'es dans ta chambre, tu passes une main dans tes cheveux pour les remettre en place et tu t'allonges sur le dos. Les bras posés sur l'oreiller, ton menton posé sur tes mains, tu attends que le mather se mette en place. Tu t'appliques sinon tu fais une croix pour boire ta bière sur moi. Ta voix est imposante et autoritaire, histoire qu'il croit pas qu'il peut faire n'importe comment son massage et s'en sortir pénard. Bon j'attends là dis tu en mode impatiente. Si tu veux j'ai de l'huile dans mon tiroir de la table de nuit. Une huile au chocolat. Tant cas faire que ça embaume bien la pièce et que tu sentes délicieusement bon, genre que ça lui donne envie de te croquer peut être.


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