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► Feat Ashleigh&Milan
JUKEBOX
J'crois que j'suis maudit. Ou définitivement trop con. J'sais pas, mais il n'y a qu'un seul abruti sur terre capable de se coller une bande de cire sur le torse quand il essaye de se pécho une meuf, et c'est moi. Sérieux, qu'est ce qui tourne pas rond chez moi ? Pourtant ma mère me disait "Non Milan tu n'es pas fou, t'es juste spécial, très spécial". Spécial mes fesses, j'regrette presque d'être moi quand elle retire la bande et que j'me retrouve à hurler comme une fillette. La drama queen dans toute sa splendeur qui court et hurle dans la pièce, des larmes plein les yeux. J'sais pas pourquoi je cris en fait, est-ce que c'est parce que j'ai mal, est-ce que c'est parce que j'ai paniqué, est-ce que c'est parce que la blonde n'arrête pas de rigoler ? Puis comme un abruti, j'pense désinfecter la plaie en renversant un peu d'alcool dessus et ça ne fait qu'empirer les choses. J'me jette aux pieds de la blonde quémandant son aide et sa clémence : "J'ai trop maaaaal", dis-je en reniflant tandis qu'elle m'obligeait à m'taire se montrant tout à coup très maternel. Ouai ça m'rassure, ouai j'me calme. Continuant de renifler, j'pose ma tête sur sa poitrine et m'laisse cajoler : "Plus jamais ça s'approche de moi", dis-je boudon, en pointant du doigt un des paquets de cire sur le lit. J'sens bien au rythme cardiaque de la blonde qu'elle se marre, qu'elle s'retient de le faire pour de vrai : "Puis arrête de t'foutre de ma gueule, c'est ta faute tout ça, t'es qu'une traitresse, plus jamais j'te fais confiance, plus jamais je t'embra...". A peine le temps de le prononcer qu'elle relevait ma tête pour voler un baiser. Plus appuyé, plus réconfortant. Moi qu'était tout crispé laisse tomber mes épaules comme résigné. Elle se retire et j'repose ma tête sur ses seins. Ouai c'est seins, j'ai même pas remarqué que j'en profitais, mais maintenant que j'y suis elle peut crever pour m'en enlever. J'suis bien là, à m'appuyer dessus, puis avec cette voix de ronchon j'ajoute : "C'est pas ça un bisou magique". Allusion sexuelle ? Peut-être bien. T'façon là, j'pense que la séance d'épilation est terminée, si elle recommence, je m'enfuis en courant. J'me relève enfin, parce que par terre c'est pas hyper confort, et vient m'caler sur le lit à côté d'elle : "C'est bon, c'est finit les poils, je mettrais des collants". J'me laisse tomber à plat ventre, visage enfoncé dans le matelas, j'attrape un coussin et le met sur la tête comme pour disparaitre du montre. Et j'poursuis, presque inaudible, en bavant à moitié sur les draps : "Faut que tu m'soigne pour de vrai maintenant". J'relève la tête subitement et la tourne vers elle, avec ces yeux d'enfant énervé qui boude : "Viens là". J'tends le bras, l'attrape par le cou et la force à s'allonger à côté de moi. La tête de nouveau sous l'oreiller, tournée pour pour la regarder : "Tu fais sortir de la bière de tes seins ?", pour me réconforter allez, c'était traumatisant tout ça quand même.
J'crois que j'suis maudit. Ou définitivement trop con. J'sais pas, mais il n'y a qu'un seul abruti sur terre capable de se coller une bande de cire sur le torse quand il essaye de se pécho une meuf, et c'est moi. Sérieux, qu'est ce qui tourne pas rond chez moi ? Pourtant ma mère me disait "Non Milan tu n'es pas fou, t'es juste spécial, très spécial". Spécial mes fesses, j'regrette presque d'être moi quand elle retire la bande et que j'me retrouve à hurler comme une fillette. La drama queen dans toute sa splendeur qui court et hurle dans la pièce, des larmes plein les yeux. J'sais pas pourquoi je cris en fait, est-ce que c'est parce que j'ai mal, est-ce que c'est parce que j'ai paniqué, est-ce que c'est parce que la blonde n'arrête pas de rigoler ? Puis comme un abruti, j'pense désinfecter la plaie en renversant un peu d'alcool dessus et ça ne fait qu'empirer les choses. J'me jette aux pieds de la blonde quémandant son aide et sa clémence : "J'ai trop maaaaal", dis-je en reniflant tandis qu'elle m'obligeait à m'taire se montrant tout à coup très maternel. Ouai ça m'rassure, ouai j'me calme. Continuant de renifler, j'pose ma tête sur sa poitrine et m'laisse cajoler : "Plus jamais ça s'approche de moi", dis-je boudon, en pointant du doigt un des paquets de cire sur le lit. J'sens bien au rythme cardiaque de la blonde qu'elle se marre, qu'elle s'retient de le faire pour de vrai : "Puis arrête de t'foutre de ma gueule, c'est ta faute tout ça, t'es qu'une traitresse, plus jamais j'te fais confiance, plus jamais je t'embra...". A peine le temps de le prononcer qu'elle relevait ma tête pour voler un baiser. Plus appuyé, plus réconfortant. Moi qu'était tout crispé laisse tomber mes épaules comme résigné. Elle se retire et j'repose ma tête sur ses seins. Ouai c'est seins, j'ai même pas remarqué que j'en profitais, mais maintenant que j'y suis elle peut crever pour m'en enlever. J'suis bien là, à m'appuyer dessus, puis avec cette voix de ronchon j'ajoute : "C'est pas ça un bisou magique". Allusion sexuelle ? Peut-être bien. T'façon là, j'pense que la séance d'épilation est terminée, si elle recommence, je m'enfuis en courant. J'me relève enfin, parce que par terre c'est pas hyper confort, et vient m'caler sur le lit à côté d'elle : "C'est bon, c'est finit les poils, je mettrais des collants". J'me laisse tomber à plat ventre, visage enfoncé dans le matelas, j'attrape un coussin et le met sur la tête comme pour disparaitre du montre. Et j'poursuis, presque inaudible, en bavant à moitié sur les draps : "Faut que tu m'soigne pour de vrai maintenant". J'relève la tête subitement et la tourne vers elle, avec ces yeux d'enfant énervé qui boude : "Viens là". J'tends le bras, l'attrape par le cou et la force à s'allonger à côté de moi. La tête de nouveau sous l'oreiller, tournée pour pour la regarder : "Tu fais sortir de la bière de tes seins ?", pour me réconforter allez, c'était traumatisant tout ça quand même.
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