Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAsh&Milan - Oh, girl, shock me like an eletric eel.
Le Deal du moment : -50%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
54.99 €


Ash&Milan - Oh, girl, shock me like an eletric eel.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
M'demandez pas où j'suis passé, qu'est-ce que j'ai foutu, ni même en quelle année j'suis né : je n'en sais foutrement rien. Y'avait cette soirée assez chelou y a quelques semaines où j'mettais retrouvé avec des lapins dessinés au marqueur sur les fesses et un pochon de champignons dans la poche, puis plus rien. J'crois que j'en ai trop bouffé, un peu trop. Au point que j'ai oublié d'aller à quasi tous mes cours. Et même ceux auxquels j'allais, j'étais pas vraiment dans mon cinquième élément. Puis parait qu'il y a eu le feu à Harvard à un moment donné, j'sais pas trop où j'étais, peut-être avec Jud un peu paumé. Ouai, j'crois qu'à un moment donné faudrait freiner sur les substances illicites, au moins le temps de redescendre. Redescendre ? Mmh. Non, j'peux pas, la vue de la vie est moins drôle vue d'en bas, puis j'sais pas. Au pire du pire, j'repique une année, même si maman va me tuer. J'lui ferais des bisous, elle ne pourra que m'pardonner. J'suis perché sur un arbre dans le parc de l'université, une sucette dans la bouche, un perfecto sur le dos. C'est pas hasardeux, c'est juste que le mardi à dix huit heures, y a l'entrainement des cheerleaders. J'me marre tout seul en matant leur popotins gigoter, leurs sautillent, leurs pirouettes. Ouai, j'prie secrètement pour que la brune là, pendant son poirier, laisse apparaitre sa culotte. C'que j'peux aimer cette fac, ce que j'peux adorer Cambridge. Et dans ma poche y a mon téléphone qui sonne, ça m'fait penser qu'il faudrait que j'écrive à Wade, ça fait à peu prés mille ans que je ne l'ai pas vu. Où il est passé ce con ? Instinctivement, par réflexe, j'tourne le regard autour de moi, comme si j'allais voir mon pote apparaitre. Et j'me souviens que si j'ai mon téléphone dans la main c'est parce qu'il venait de sonner. Un sourire, un rire même m'échappe quand j'vois le message de la blonde. Sourire, parce que j'suis content d'savoir qu'elle est toujours chaud. Vite crispé par l'idée d'une séance d'épilation. J'relève la tête vers les cheerleaders, qu'est ce qu'elles sont sexy. J'réponds à la blonde, range le téléphone dans la poche de ma veste et saute pour descendre de l'arbre. Elles ont l'air assez surpris d'voir ce mec sorti de nul part, et moi j'me marre en me mettant à courir vers la Mather. Toujours cette même odeur de weed, de tabac froid, et d'alcool. P'tain, y a du monde dans la salle commune, j'salue vite fait les gens, et grimpe les marches deux par deux jusqu'à la chambre d'Ash. Ma sucette dans la bouche, une main dans mes cheveux pour replacer ma mèche dandy, j'frappe à la porte.


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Tu étais dans ta chambre chez les verts, Lucky n'était pas là et tu fumais un petit joint tranquille quand tu te souviens de quelque chose : la soirée intégration des infirmières. Milan t'a donné aucune nouvelle à ce sujet là et pourtant des semaines ce sont écroulées depuis que tu l'as rencontré et que le feeling est passé comme une lettre à la poste entre vous. A tous les coups il se dégonfle. A tous les coups il flippe de devoir se faire épiler les jambes et il compte esquiver la soirée ou y aller sans toi. Putain ce que t'as la mort en y pensant. S'il ose te faire ça il va souffrir, pire que l'épilation. Alors tu prends ton téléphone et tu lui envoies un message, histoire de savoir quand aura lieu la soirée. Quelques minutes après tu reçois sa réponse. La soirée a lieu demain. Tu vois un peu vert sur le moment. Le con, si tu lui avais pas rappelé il vous aurait fait rater la soirée. Il va t'entendre celui ci et même s'il te prévient qu'il est sur le chemin pour venir à ta chambre. Tu lui avais promis d'être gentille pendant l'épilation mais s'il trouve pas une bonne excuse tu vas surement pas tenir ta promesse. Tu lui réponds que tu l'attends et tout en tirant une nouvelle taffe sur ton joint, tu vas dans l'une des salles de bains de la mather à la recherche de bande de cire. Ce sont pas les tiennes mais osef c'est pas ton soucis. Vu la touffe qu'il doit avoir va t'en falloir un bon nombre et les tiennes vont pas suffirent, c'est certain. Tu reviens dans ta chambre, tu déposes le tout sur ton lit, tu te réinstalles sur celui ci et tu profites de quelques lattes supplémentaire sur ton pétard. Tu check l'heure sur ton téléphone, une bonne quinzaine de minutes qu'il t'a dit qu'il arrivait. Tu te demandes où il est encore celui là et pour combien de temps il en a. T'es pas patiente, mais vraiment pas et ça te saoule d'attendre comme une conne sur ton lit. Tu faisais rien de spécial avant qu'il te dise qu'il débarque mais là tu savais que tu devais l'attendre et vu ce que tu allais lui faire déguster ben t'avais juste hâte qu'il arrive. Tu savais déjà que tu allais bien te marrer, parce que c'était Milan et parce qu'il allait faire des sales têtes et cris lorsque tu devras retirer les bandes remplies de ses poils. Tu voyais l'image dans ta tête et tu souriais déjà comme une débile. Puis tu entendis toquer à la porte. D'un bond tu te lèves de ton matelas et va ouvrir. Plus long la prochaine fois, t'étais où hein ? lui demandes tu limite comme si t'es sa mère ou sa meuf. T'étais impatience depuis toujours, c'était comme ça. Tu lui laissa la place pour rentrer dans ta chambre et ferma la porte derrière lui. La dernière fois que tu l'avais vu, et première aussi, vous aviez fini par coucher ensemble alors y aurait pu avoir un malaise entre vous en cet instant mais pas du tout. Tu étais pas gênée. Tu te posais aucune question, pour toi c'était normal. C'était un pote désormais et y avait pas de mal à coucher avec ton pote. Tu comptais me le dire quand que c'était demain la soirée ? Tu croises tes bras sur ta poitrine pour montrer que t'es pas contente. Tu veux une explication et tout de suite ! En attendant tu vas près de ton lit, choppe une des boîtes et lui met sous le nez. T'es prêt ? Tu fais un jeu de sourcil et un grand sourire se dessine sur tes lèvres. Est ce qu'il est prêt à se faire charcuter ? Toi ce qui est sur c'est que tu en meurs d'envie. Tu meurs d'envie de lui arracher les poils et de le voir par la suite en meuf. Tu la sens bien cette soirée, aussi bien que la précédente et aussi bien que celle à venir. Seulement la seconde fois que tu le vois mais tu sais déjà qu'entre vous y a ce feeling, cette connexion. Tu sais qu'il est aussi con que toi et que vous êtes sur la même longueur d'ondes.


CODE BY RESSAPANDA.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
C'est vrai, j'suis un cancre, j'aurais pu donner des nouvelles. Mais que voulez-vous, j'pense pas à mon téléphone, j'réfléchis pas aux "plus tard". Genre quand j'vois quelqu'un, j'le vois c'est tout, j'sais pas faire moi les trucs de rancards et de rendez-vous. J'cours à la chambre de la blonde parce que ouai, j'suis grave content de la revoir. Heureusement qu'elle m'a rappelé la soirée, en vrai, même moi j'avais oublié. Mes passes-temps illicites et la bande de cheerleaders me font un peu perdre la tête, mais j'me revigore instantanément à cette seule pensée de toucher le cul de toutes les futures infirmières de la ville. La blonde ouvre la porte et ... oua. Elle a le même regard que maman quand j'ai fait une bêtise, genre ça me glace le sang, on dirait qu'elle va me gronder. J'ris nerveusement en entrant : "La longueur c'est pas ce qui t'a déplu la dernière fois", la narguant d'un haussement d'sourcil. Bien sûre je la taquine, c'est gratuit, ça me fait plaisir, puis y a genre aucun malaise entre nous. Comment pourrait-il y en avoir ? Je ne l'ai vu qu'une fois et c'est déjà comme si je la connaissais depuis toujours. Il me faut du temps pour réaliser que je ne suis jamais entré dans cette chambre. Ce que ça sent bon, ce que c'est bien rangé. Et y a un second lit, j'tourne la tête vers ma blonde sexy en retirant ma veste : "Tu m'as pas dis que t'avais des copines, elles sont où ?". Si elles sont aussi délurées qu'elle, ça ne peut que créer une synergie détonnante, une bonne bande d'abrutis qu'en a rien à foutre, qui cherche juste à rigoler. J'balance ma veste sur le lit et vais m'asseoir dessus à mon tour, m'laissant tomber de tout mon poids, jambes croisées devant moi, appuyé sur le coude : "J'avais oubliéééé cette soirée, j'te jure, j'me suis un peu perdu. Tu savais qu'il y avait une énorme piscine municipale à Cambridge ? Genre, les meufs elles sont toutes en bikini. J'ai postulé pour être maître nageur mais ça c'est hyper mal passé. J'devais faire du bouche à bouche, j'pensais le faire à l'entraineuse, brune, bien roulée. Mais en fait, elle m'a foutu un gros gras bedonnant là avec son moule-bite, j'suis parti en courant !". J'me redresse en haussant les sourcils : "Et toi t'étais où ? J't'ai vu dans aucune soirée de la ville, t'as décidé de la jouer Mère Thérésa ? ". Et moi qui étais d'humeur si câline, si joviale, j'me fige instantanément en voyant le paquet qu'elle brandit sous mes yeux. Ah ouai, l'épilation. J'me relève brutalement, recule d'un pas ferme si bien que j'trébuche et retombe sur le lit m'cognant le dos au mur : "Va de retro la blondasse, on pose les règles d'abord !". Comme si j'allais la laisser me torturer gratuitement, puis vu son air sévère et la malice dans ses yeux, j'sens bien que malgré ses promesses elle ne va pas m'épargner : "Un pétard d'abord. Et une bière. Ou deux. Ou dix allez". La peur de l'enfan terrorisé dans mes yeux.


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Tu aimes pas attendre les gens, t'es impatiente et t'es aussi toujours en retard. La ponctualité tu connais pas ça alors tu te doutes bien que connaissant Milan, ça doit être un peu le même genre pour lui. Tu le vois bien prendre son temps, pas se presser une seule seconde pour te rejoindre. Voilà pourquoi tu attends aussi longtemps. Les minutes deviennent vite des heures quand tu dois attendre quelqu'un ou quelque chose. Toi quand tu veux quelque chose c'est à la seconde près. Tu fonces, tu perds pas ton temps, ni tu tournes autour du pot. Bon si avec Amare tu tournes autour du pot mais car c'est plus marrant de le faire languir. Heureusement que tu as ton joint sinon ça serait encore plus long d'attendre l'asticot. Puis ça toque, tu sais que c'est lui et tu fonces sur la porte pour le faire rentrer. T'es contente de voir sa petite tête de con mais tu te gêne pas de le sermonner sur le temps qu'il a mit pour débarquer. Digne de lui même il te lance aussitôt une vanne, te rappelant bien au passage comment vous vous êtes quittés la dernière fois. Parle comme si t'avais pas prit ton pieds toi aussi surtout. Ouais il allait pas te la faire à toi. Il avait kiffé vos échanges de baisers, de langues et bien plus, tu le savais, il le savait et il savait que tu savais (a). Il fait comme chez lui et commence à retirer sa veste tandis qu'il te pose une question concernant les deux lits, en plus du tien, qui se trouvent dans ta chambre. Oui j'en ai quelques unes. Je sais pas où est Lucky, mais la seconde je me la garde dis tu en laissant entendre une quelconque attirance pour les meufs. A moins que tu sois branché mec aussi ? Après tout tu le connais pas, tu sais quasi rien de lui et puis même si c'est le cas, tu le laisseras pas toucher. Déjà tu allais ramer pour faire craquer le winthrop qui était en coloc avec Lucky et toi, vu que monsieur avait apparemment une nana, alors pas question que Milan vienne se mettre en travers de tes projets. Le rouge tu comptais bien te le faire, au moins essayer de lui sous tirer un baiser, mais pas un baiser volé, un qu'il avait envie de te donner. Sa meuf pour toi elle était qu'un détail, qu'un micro détail. Toi tu étais libre comme l'air, rien ne te privé de sauter sur un mec en couple. M'enfin bon, pour le moment tu avais autre chose en tête comme épiler le garnement qui était devant toi. Surtout qu'il avait osé ne pas te prévenir plus tôt pour la soirée. Tu fais un air sérieux en le réprimandant mais difficile à tenir quand il se lance dans un discours incroyable mais vrai sur lui voulant être maître nageur. Tu l'écoutes jusqu'au bout puis tu éclates de rire devant sa connerie et devant le retournement de situation dans lequel il s'était fourré. Mais tu aurais voulu sauver qui avec tes trente kilos tout mouillé ? le taquines tu pour ne pas changer. Ouais limite même toi t'es plus grosse que lui. Cependant, tu aurais trop aimé voir la scène et sa tête lorsqu'il s'était retrouvé avec le mec bien gros au lieu de la bombasse. Celui là alors vraiment irrécupérable. Puis face à sa question, tu arques un sourcil avec un air limite fusilleur. Mère Thérésa ? Tu m'as bien vu ? J'étais occupée avec certains de mes plans culs lui balances tu nature peinture. Si toi tu étais mère Thérésa ben putain c'était en enfer qu'elle appartenait la Thérésa. Tu les enchaînais tous les mecs du campus, surtout les winthrops puis les mathers aussi tu avais ta petite collection. Mais bon tu allais lui épargner les détails et la liste de noms sauf si ça l'intéressait. Mais qu'il croit pas que ça allait te faire oublier la raison de sa venue dans ta chambre. Il a l'air tranquille pépère sur ton lit et tu te fais un plaisir de le charrier en lui montrant la boîte de bandes de cire. Il sait ce qui l'attend vu le regard qu'il pose sur toi, sur la boîte puis à nouveau sur toi et la phrase qu'il sort. T'es pas un démon, t'es pas possédé et on est pas dans Supernatural là. Tu te marres, surtout quand il se mange le mur en retombant sur le lit. Tu te poses alors sur lui, à califourchon, laissant une bonne vingtaine de centimètres entre vous. Il veut poser des règles, tu l'écoutes donc. C'est ça les règles qu'il veut ? Si c'est que ça. Ca me va, je croyais tu allais faire plus le difficile mais ça me convient. Tu lui files ton joint que tu as dans ta main. Ca sera pas suffisant pour les grands fumeurs que vous êtes mais osef. Puis tu lui reprends aussitôt. D'abord mate moi ça. Tu prends une grande taffe sur la roulé, tu jettes un regard à Milan et aussitôt tu fais ce qu'il t'avait apprit l'autre fois. Tu réussis à merveille et tu te sens trop fière. Bon t'as aussi passé ton temps à essayer, comme dans la chambre de Denys quand tu étais allée lui parler de Tate. Pour les bières faut descendre en prendre en bas, tu vois j'en ai pas ici et j'ai pas encore la possibilité d'en faire sortir de mes seins dis tu en rappel à la connerie qu'il t'avait sorti l'autre fois après avoir bieeeeeen mater ta poitrine. Tu lui redonnes le pétard et tu bouges de dessus lui, venant poser tes fesses à côté pour qu'il aille chercher les bières. C'est lui qui les veux, qu'il aille les chercher (a).


CODE BY RESSAPANDA.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
Bouh, son air sévère me donne des frissons. Genre, j'voudrais courir, me cacher sous le lit, et ne plus sortir avant qu'elle ne me promette de ne pas me gronder. Ouai, elle fait peur la blonde, avec ses regards réprimands, comme une maman sévère ou une maîtresse mal lunée. De la peur. Ou de l'excitation ? J'sais pas. Faut dire que l'frisson devient plaisant quand j'reconnais sur son visage ses allures de provocatrice. Ah, comme elle m'avait manqué cette saleté, si elle n'était pas aussi braquée j'lui aurais peut-être même sauté dans les bras : "Mmmhhh, j'sais pas", fis-je mine de répondre, feignant de réfléchir. Faut pas se mentir, l'air du mec qui réfléchit, ça ne me va pas du tout, genre ma tête c'est une grimace en fait : "Faudrait que tu me rafraichisse la mémoire ...". Une suggestion pour recommencer ? Pourquoi pas. En fait j'm'en branle, j'l'aime bien la blonde, et j'sais d'avance que c'était pt-être la première fois, mais sans doute pas la dernière qu'on s'envoyait en l'air. Et même si j'me trompe, c'est pas grave, c'est pas important, j'm'en branle, j'suis pas là pour me créer des problèmes futiles, j'croque la vie à pleine dent, j'la prends comme elle vient. Mes yeux butent sur les lits en plus, Lucky ? J'connais pas de Lucky, elle est comment, elle est bonne ? J'tourne la tête vers elle, tout enjoué quand j'saisis sa subtilité. Elle aime aussi les filles ? Ah ouai, décidémment, c'est mon meilleur pote la blonde. Et j'grimace légèrement à sa question : "J'suis branché nichon, alors à moins d'm'en trouver un avec une belle paire de loche, peu d'chance que j'baisse mon caleçon". Quoique. J'en sais rien en fait, j'ai déjà embrassé un millier de mecs, ça ne m'a jamais fait ni chaud ni froid. J'me balance dans son lit, j'suis chez moi, c'est pas elle qui va dire le contraire. J'vois bien qu'elle a encore envie de m'engueuler, mais moi, j'fais que sourire pour essayer de la faire sourire à son tour. Tête de chat mignon, j'lui fais doucement les yeux doux et m'lance dans le récit d'une de mes nouvelles épopées. Elle éclate de rire et ça me fait marrer, ahhhh, j'préfère ça, là j'peux me détendre : "Sauver ? D'quoi tu parle, j'viens de te dire que TOUTES les filles sont en bikini !". Ouai non, j'suis pas vraiment l'Abbé Pierre, j'pense toujours avec le ventre et la pulsion. Et elle reprend son air sévère, moi j'ai toujours le sourire aux lèvres. J'sors un pochon de weed de la poche de mon pantalon, m'penche à ma veste pour attraper des feuilles en l'écoutant me répondre : "Beh t'as raté pas mal de soirée, c'était de la balle !". Dis-je avant de me redresser, m'apprêtant à effriter la tête de weed que j'sortais. J'lève un regard précipité vers elle, mec ultra sérieux, ultra concerné : "Tu t'protège hein ? Ma maman m'a toujours dis qu'il fallait se protéger sinon on pouvait attraper des trucs, genre des enfants". C'est tellement naturel entre nous, et j'suis tellement le mec le moins prise de tête de la terre qu'il ne peut pas y avoir la moindre once de jalousie. C'est ce que j'aime dans la vie, c'est ce que j'aime avec cette fille. La liberté, parler de tout et de rien sans aucune forme de subtilité. J'laisse tout tomber à ma place quand j'me relève rapido pour reculer et trébucher encore sur le lit. Là, elle m'fait vraiment flipper la blonde, j'veux pas m'faire épiler, j'vais avoir trop mal. Et là, j'ai mal derrière la tête, j'me la frotte machinalement quand la blonde s'installe sur moi. Ptain, jle vois dans ses yeux qu'elle se marre de mes frayeurs : "Pétard, bière. Et tu jure d'être sympa, d'y aller doucement. T'avais promiiiiis la dernière fois", avec ma moue d'enfant chagriné. J'choppe son pétard : "J'ai tout renversé sur ton lit là", j'tire une latte, elle le récupère. Ahhh, une bouffée, je m'oxygène, je me détends. J'vais cesser de penser à l'épilation et m'rendre compte qu'une blonde super canon est à califourchon sur moi. J'regarde avec attention ce qu'elle me montrer, et j'suis comme un fou, trop content, le sourire grand aux lèvres. Comme si j'avais appris à mon enfant à faire du vélo : "Bravooooooooooo la blonde, tu m'épate presque". Ma tête tombe en arrière contre le mur : "Oh non, j'ai trop la flemme d'y aller". Et j'la relève précipitamment quand j'entends le mot "sein". J'baisse mes yeux sur sa poitrine : "Ah ouai, je les avait oublié. J'vais les baptiser, leur trouver un petit nom". J'la pousse pour la faire basculer sur le côté, me redresser, venir au pied du lit pour ramasser ma tête de weed et le peu que j'en avais effrité : "T'as intérêt d'être à poil quand je remonte", dis-je d'un ton blasé, pour rire, avant de lui filer la weed et les feuilles : "Et roule un pétard". Avant d'sortir de la chambre.  


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Entre vous c’est vraiment super naturel. Vous vous voyez pour la seconde fois seulement, vous avez couché ensemble lors de la première fois et pourtant ça ne vous empêche pas de parler de ça comme si vous parliez d'une simple sortie au McDo du coin. Y avait vraiment aucune gêne et c'était à croire que vous vous connaissiez depuis toujours alors que pas du tout. Y avait des gens comme ça avec qui tu accrochais si bien dès la première minute et d'autres comme les eliots avec qui la haine prenait place dès les premières secondes. Milan, dieu merci, il faisait partit de la première catégorie. Oui t'étais contente de l'avoir croisé l'autre fois en rentrant de tes cours. Contente qu'il t'ait proposé une bière, contente de lui avoir fait entendre qu'il allait avoir besoin d'aide pour descendre le pack et contente qu'il t'avait invité à l'aider et le rejoindre dans sa chambre. T'étais contente parce que c'était une putain de bonne rencontre. Il était comme toi, il se prenait pas la tronche, il fonçait, il profitait et il vivait au jour le jour, prenant ce que la vie lui donnait. C'était un sacré numéro ce mec mais tu l'adorais déjà. C'était bien pour ça que tu lui avais envoyé ce message, parce que tu avais juste trop envie de passer avec lui cette fameuse soirée dont vous aviez parlé. Ca sentait les fous rire et des souvenirs inoubliables, mais il t'avait fait attendre et ça tu aimais moins. Tu le réprimandais donc au lieu de l'accueillir en lui sautant dessus et pour pas changer les taquineries reprirent entre vous. Peut être quand on aura fini ton épilation, genre comme un lot de consolation tu sais dis tu en lui faisant un clin d'oeil. T'étais sympa non ? T'allais le faire souffrir mais peut être qu'après t'allais aussi le consoler et lui enlever la douleur en le laissant profitant de ton corps parfait. Trop aimable en effet. Il capte alors qu'il y a trois lits dans la chambre, donc deux de plus sans compter le tien et c'est plus fort que toi, tu le taquines. Tu lui fais croire que tu es intéressée par les femmes alors que non. Toi ta came c'est les mecs, les mâles, la testostérone et tout le tralala. Fin bon, t'as jamais tenté avec une fille aussi faut dire, peut être que ça peut te plaire mais tu t'es jamais senti attirée par une nana en tout cas donc l'idée t'étais jamais venue à l'esprit. Tu avais embrassé plus d'une copine ça c'est clair mais rien de plus. Tu hausses donc les épaules. Des mecs avec des nichons c'est possible, parfois y en a ils en ont plus que des femmes, bon c'est plus souvent du gars mais ça reste comme des nichons. Tu t'égares, passons. Tu l'écoutes raconter sa petite histoire et son envie soudaine pour vouloir être maître nageur dans l'unique but de reluquer des meufs en bikini à la piscine. Quand tu disais que c'était le même que toi c'était vrai. Tu avais eut la même idée mais pas dans le même domaine. Tu sais que j'ai fait comme toi ? J'ai rejoint les cheerleaders au début du mois car elles ont une petite tenue à faire craquer plus d'un mec et puis elles soutiennent les footballeurs, basketteurs donc je me suis dit que c'était le bon plan pour m'en faire. Et ça fonctionne, je m'en suis fait un dans les douches l'autre fois. Aucune gêne en effet, tu lui racontes que tu t'es tapé un mec et où. Ben quoi ? Tu sais qu'il va en rire plutôt que te faire une crise de jalousie. Y a pas de ça entre vous. Vous vous connaissez à peine et c'est pas ton genre d'être jalouse. Les sentiments c'est pas ton truc il faut dire ni les relations posées alors pas de raison qu'il y ait de la jalousie entre vous deux. Il fait sa vie, tu fais la tienne et au contraire c'est drôle que tu puisses lui en parler. Peut être qu'il pourra te filer des tuyaux sur des lieux insolites... Tu lui expliques également que tu étais bien trop occupée les derniers temps avec tes plans culs. Entre Gidéon, Milo, Amare même si tu te le faisais pas, Caïn, Frank, le prof d'art, l'autre prof Aleksei. Putain c'était un vrai bordel ta vie. Les mecs y rentraient et y sortaient comme dans un moulin. Pas ta faute, personne avait réussi à te faire tourner la tête et te faire devenir une fille sage et raisonnable, alors tu profitais en attendant que ce jour arrive. Tu avais raté des soirées tu en doutes pas mais c'était sa faute à lui aussi. Ben si tu m'envoyais un message pour me faire rappliquer aux soirées, je les raterais pas tu vois. Puis bien sur que je me protège, spas demain que je vais devenir mère.Tu te mis à rire mais genre un rire foutage de gueule. T'aimais les enfants mais pas pour toi. Les biberons, les couches et tout le bordel non merci. Tu laissais volontiers cette chance à d'autres. Tu en vins finalement au but de votre réunion : son épilation. Il pose les règles, faciles sont-elles, et tu acceptes. Oui mais ça c'était avant que tu te pointes en retard, avant que tu manques de nous faire rater la soirée d'intégration. Alors si tu veux je sois sympa va falloir tu me donnes de bonnes raisons à présent. Toujours plus de pression sur lui, tu aimes jouer avec ses nerfs. Tu aimes le faire chier, le taquiner, le clasher gratuitement et tu sais pertinemment qu'il le prend avec le sourire. Tu sais qu'il sait que si tu agis ainsi c'est car tu l'apprécies dans le fond et que comme dit le proverbe "qui aime bien châtie bien". Assise sur lui, à califourchon, tu regardes le bordel qu'il a foutu sur ton lit et tu lui fous une tape sur la tronche. Ramasse dis tu avec une voix dominatrice et un sourire sur le coin des lèvres. Tu prends tout de même un air sérieux bien que tu as envie de rigoler comme pas possible. C'est plus fort que toi, tu aimes le faire chier et puis ton côté dominatrice ressort bien trop dans ce genre de moment. Tu lui montres ensuite le fameux rond avec la fumée qui va à l'intérieur. Tu veux montrer à ton prof qu'il a eut une parfaite élève. Il est fier de toi, tu le vois et tu l'entends à sa voix. Ca te fait sourire et t'es contente. Ouais parfois il t'en faut peu pour te satisfaire. Il veut de la bière mais ici tu n'en n'a pas alors il faut qu'il lève ses petites fesses pour en prendre dans la cuisine. Il est pas motivé mais tu vas le motiver toi, ou lui il va se motiver tout seul en pensant à tes seins qu'il veut baptiser. Carrément ? Le voilà qu'il veut s'approprier tes seins. Si ça te fait plaisir mais croit pas qu'ils seront chasse gardé. Il est bien mignon, bien gentil, mais toi tu comptes pas te contenter que de lui. Tu joues pas dans l'exclusivité, désolée Milan, peut être dans quelques temps si tu veux. Tu te bouges de dessus lui pour qu'il se donne à la tâche de vous trouver des bières et voilà qu'il réclame que tu sois à walp. Toujours plus lui. Il réclame aussi un pétard, bon ça, ça peut se négocier. Tu le regardes sortir de la chambre et tu te mets à effriter la weed. Une fois fait tu la déposes sur ta roulé et d'un coup de langue tu viens coller le tout. Parfaitement parfait, tu analyses ton pétard, fière de toi. Tu l'allumes pas encore, tu cherches une connerie à faire. Tu fermes la porte à clé de ta chambre et tu vas dans ton placard. Tu choppes un vêtement et tu te changes. Une fois fait, tu déverrouilles la porte de la chambre et tu restes de dos à la porte. Sur toi, tu as une robe d'infirmière que tu as acheté pour la soirée d'intégration. Des collants blanc en résille, une paire de talon rouge, un petit chapeau d'infirmière sur la tête et bien sur un stéthoscope autour de ton cou qui pend sur ta poitrine et ton torse. Tu allumes le pétard que tu portes à tes lèvres. Quand la porte s'ouvre à nouveau, tu te retournes aussitôt pour faire face au mather, un sourire aux lèvres. Tu en penses quoi ? Tu crois que je vais me fondre dans le décor ? dis tu en jouant avec le cordon du stéthoscope. Alors Milan, tu approuves ? Tu baves ?


CODE BY RESSAPANDA.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
J'vais la garder la blonde. J'veux dire, dans ma vie, dans mes élucubrations, dans tout ce qui fait que j'suis Milan et que j'suis un vagabond. J'vais la garder. Comme un partenaire de crime, j'sens bien qu'avec elle il y a une osmose particulière qu'est très forte malgré le peu de temps qu'on a passé ensemble. J'veux dire, quand j'la vois, c'est comme si je l'avais toujours connu, j'saurais même pas m'souvenir d'un jour où elle n'était pas dans ma vie. C'est mon cerveau ça, il est un peu malade, quand il intègre une nouvelle donnée il a du mal à percevoir ce qu'il était avant. Puis moi ça m'fait marrer, même quand elle fait peur avec ses airs de maman méchante, ça m'fait marrer. Parce que c'est la blonde, qu'elle est nature, pas prise de tête et qu'il y a cette espèce de jeu du chat et de la souris que j'aime bien dans le fond. Comme les deux garnements insolents d'une cours de récré, avec cet avantage non négligeable qu'on peut baiser. Beh ouai, l'faire une fois, c'est l'faire dix dans mon esprit, c'est acté, la relation est comme ça. Son lot de consolation aurait dû m'faire sourire, mais la perspective d'une séance d'épilation m'a complètement retourné l'estomac : "Où alors on s'envoie en l'air et on dit aux gens que si j'suis poilue, c'est parce que j'suis portugaise, d'accord ?". Ouai, touts les moyens sont bons pour y échapper. Mais j'sais d'avance en regardant son visage malicieux et espiègles que j'vais y avoir droit, que la blonde prendra même plaisir à m'torturer. Etalé sur le lit comme un gros tas, j'raconte mes péripéties et quand elle m'répond, y a rien que le mot "cheerleaders" qui retentit. J'fais de grands yeux ronds, m'redresse précipitamment : "T'es sérieuse ? Mais j'étais à leur entrainement toute à l'heure et ....", j'secoue la main, "Mama, y 'en , j'ai bien envie qu'elles fassent des pirouettes sur mon corps". Et j'finis par éclater de rire en l'imagineant dans la douche avec un mec. Sérieux, y a pas à dire, c'est le meilleur pote du monde, elle profite de la vie, elle ne s'en cache pas, et moi j'adore ça, cette légereté, cette liberté : "T'sais ce qu'on devrait faire ? Dresser une liste des lieux les plus absurdes où s'envoyer en l'air à Harvard". Et comme si j'venais d'avoir une illumination, j'la regarde avec plus d'insistance : "Viens on s'donne un mois pour tous les faire ! Le premier qui y parvient gagne .... j'sais pas moi", j'réfléchis un instant avant d'étaler mon sourire : "Il devient l'esclave de l'autre pendant trois jours". Aussi bête que moi mes idées, que voulez vous, je m'amuse d'un rien et ris de tout. Et j'lui fais part de mes angoisses, de la promesse qu'elle avait faite d'y aller doucement. J'me braque comme un chat sauvage quand elle sous-entend qu'elle ne sera pas si gentille que ça étant donné mon retard : "Traître ! Tu m'as trahiiiiiis, j'veux plus jouer avec toi, j'suis plus ton copain", enfant boudeur, j'boude presque vraiment. Je joue rarement, le truc assez dingue j'crois sur mon faciès, c'est que j'ai vraiment les réactions d'un enfant et que j'force même pas pour qu'elles apparaissent. Et voilà qu'elle m'décolle une tape et moi qui la regarde presque effrayé : "Non mais t'es trop méchante !". Pour m'dominer, elle m'domine clairement là, puis moi j'suis tellement effrayé par l'épilation à venir que mon âme est en PLS. Heureusement, elle m'fait sourire et m'rend fière d'elle avec ses ronds. Puis quand je jette un coup d'oeil à sa poitrine, j'me remets à rire automatique : "J'vais les appeler Jude et Judy, et comme ça, j'pourrais passer du temps avec eux sans être obligé de te parler vu comment t'es méchante avec moi". J'la pousse sur le côté, ramasse c'que j'peux de ce que j'ai fais tomber et m'décide, en trainant les pieds, boudant clairement, à aller chercher des bières. Ptain, la flemme, ça m'parait être une expédition insurmontable, puis j'crois que j'commence à être grognon, j'ai faim. J'descend les marches, dis bonjour aux gens présents, fouille dans le frigo, deux bières. Deux pauvres bières, beh allez, ça fera l'affaire. J'remonte rapidement à la chambre d'Ash, pousse la porte et .... Ok, elle est carrément canon. Pire que ça. Mais cette pensée s'efface aussitôt que j'réalise que moi aussi j'devrais porter cette tenue : "Non mais voilà, j'mets des colants comme toi, et les poils ne se verront pas !". Ptêtre que mon inconscient ignore délibéremment l'effet qu'elle m'fait, histoire de la replacer dans sa domination. Ptêtre que j'réalise pas tout à fait. Ou ptêtre juste que jsuis trop grognon et trop préoccupé par l'épilation pour m'en soucier : "Y avait que deux bières, c'est la mort". J'retourne m'asseoir sur le lit, pose une bière par terre, ouvre l'autre et bois une bonne gorgée. Avant d'reposer mes yeux sur la blonde. Ah voilà. Milan reprend ses esprits. Milan sourit devant son décolté : "T'as mis une petite culotte ?".  


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Il avait dû faire genre d'oublier la soirée c'était pas possible, parce que tu voyais bien qu'il était grave flippé à l'idée de se faire épiler. Et il cherchait n'importe quel moyen et n'importe quelle excuse pour ne pas devoir le faire. Il pouvait essayer, toi t'étais pas le genre à lâcher l'affaire. Son épilation tu allais lui faire, pas moyen qu'il soit épargner. Il allait voir combien c'était chiant d'être une nana. Vous, vous deviez vous épiler de partout, en partant des aisselles aux jambes, à l'intimité. Tandis qu'eux les mecs ils avaient la vie belle, ils pouvaient rester avec leurs poils et ça leur donnait même de la virilité pour des filles. Il devait donc se mettre dans ta peau, dans votre peau, au moins pour un soir. Non non non, même les Portugaises s'épilent, elle reste pas en mode singe. Puis au moins tu vas compatir avec nous et tu seras peut être moins exigeant avec tes futurs nanas sur les poils. Ou pas. Même si ça te saoulait de devoir sans cesse être la peau douce et ne pas laisser tes poils sortirent, tu te voyais pas les garder. Non toi t'étais pas Miley Cyrus. Elle voulait peut être se la jouer bien, en mode pourquoi on vous a mit cette idée dans la tête que les femmes doivent se raser sinon c'est moche, c'était peut être en mode féministe, en mode vous êtes égales aux hommes, vous êtes bonnes même avec des poils, sauf que toi ça passait pas. Tu aimais trop tes jambes toutes douces après une bonne épilation. Je serai cool t'inquiète, puis au pire tu mords dans ma couette ou mon oreiller si tu fais trop la chochotte le taquines tu. Est ce qu'il va se décider à faire le bonhomme et pas le pd ? Tu le pousses en mode c'est une tapette comme ça il va prendre sur lui, enfin tu espères que ça va marcher, mais dans tous les cas il va passer à la casserole. Puis tu l'écoutes avec son histoire de maître nageur, tu te marres bien de la façon dont il s'est fait prendre à son propre jeu et tu lui fais part de ta rentrée chez les cheerleaders. En effet, tu as la preuve sous les yeux que les cheerleaders excitent les mecs, Milan te le montre bien et tu captes seulement après ce qu'il a dit. Quoi ? Tu étais à leur entraînement ? Tu te rends compte à ce moment là que si toi tu étais ici tandis que tu es membre des cheerleaders et qu'elles elles étaient à un entraînement ben y a comme un soucis. T'as loupé l'entraînement. Il t'est complètement sorti de la tête. Putain qu'elle conne tu es. Tu te tapes donc le front. T'en as marre de toi et d'avoir la tête en l'air parfois. Tant pis, tu allais sortir un gros mytho à la capitaine des cheerleaders et ça serait dans la poche, surtout que tu connais bien la co capitaine alors elle te croirait surement. Tu allais t'inventer une petite maladie ou un blocage du dos et ça serait dans la poche. Le mytho et la manipulation ça te connaissait bien. Tu lui avais donc parlé du mec que tu t'étais tapée dans les douches des vestiaires du gymnase. Tu revoyais la scène avec ce Gidéon, cet apollon avec un cul à te faire voir trouble. Tu passais de mec en mec et Milan n'allait pas t'aider à te stopper vu qu'il lança un défi entre vous. T'étais pas le genre à refuser un défi. tu étais une grande joueuse et aussi une très mauvaise perdante. Il voulait jouer et tu n'allait pas dire non, surtout que son défi allait te permettre de prendre ton pieds. D'une pierre deux coups. J'accepte, je veux que tu sois mon esclave. Je veux que tu sois à ma merci dis tu dans une voix dominatrice et sauvage. Putain rien que pour ça tu allais faire péter ton record de baise. Juste pour le gagner, juste pour qu'il soit ton esclave. Tu proposes quoi comme lieu ? Là tout de suite je pense au cimetière, bien morbide entouré par des tombes, dans un lit d'hôpital mais je l'ai déjà fait, y a pas si longtemps d'ailleurs, dans la chambre d'un eliot, celui ci allait être pas mal compliqué mais pas mal amusant, ou bien dans un parc sur une aire de jeux pour enfants et là tu éclates de rire. Pauvres mioches quand ils allaient venir le lendemain jouer au parc, ils se douteraient pas que des adultes ont fait des choses peut catholiques sous leurs fesses et leurs mains. C'était hard core mais il avait dit les plus absurdes non ? A voir si lui a d'autres idées du genre et tu sais bien qu'il doit avoir des pas mal de farfelues. Milan continue alors à vouloir négocier pour l'épilation, te disant que tu lui avais promis d'être gentille. Oui mais c'était avant qu'il  manque de justesse de te faire rater la soirée d'intégration. Tu souris en le voyant agir tel un enfant. Il fait parfaitement bien le boudeur et il est mignon mais t'es pas une pédophile toi, tu veux avoir un homme, un vrai, en face de toi. Et cela même si tu le domine en lui ordonnant de ramasser le bordel qu'il a foutu sur ton lit. Tu rigoles devant ses paroles, pauvre petit garçon. Tu veux me voir vraiment méchante ? Je peux coucher avec ta meuf et faire en sorte que tu nous retrouve ensemble dans le lit rien que pour bien te montrer cette image et que tu sois bien brisé. Petit clin d'oeil à ta soeur aînée à qui tu avais fait ce coup de pute. Mais Milan tu te doutais qu'il risquait de prendre son pieds à cette image là et qu'il serait plus du genre à demander à rejoindre la partie. Deux meufs pour lui seul ? Tu le voyais mal refuser une telle chose. Tout comme tu refuserais pas un plan à trois avec deux beaux mecs rien que pour toi. D'ailleurs faudrait que ça soit dans ton objectif un de ces quatre. Puis montre moi comment tu peux être méchant et sauvage rajoutes tu pour bien le chercher. Un Milan sauvage ça devait être beau à voir. Sisi. Puis voilà qu'il te parle de tes seins et qu'il veut les nommer. Tu mets les choses au clair, qu'il les nomme y a pas de soucis mais ils ne lui appartiendront pas qu'à lui. Tu donnes pas dans l'exclusivité et déjà tu vas le laisser les nommer, t'es bien gentille comme ça. Car qu'il les nomme ça fait un peu exclusive. Jude et Judy ? T'as pas mieux ? C'était des surnoms excitants pour lui ? Tu hausses donc les épaules et descend de dessus lui pour qu'il aille chercher les bières. La motivation n'est pas là mais tu décides de le motiver pour son retour et pour la soirée infirmière. Tu te mets en tenue pour la soirée, robe moulante, assez courte, collants résille, matériel d'infirmière, talons qui mettent en valeur tes sublimes jambes et te voilà prête. Tu attends juste avec impatience son retour. Sauf que voilà monsieur est trop flippé sur son épilation qu'il ne capte limite même pas vraiment ta tenue et combien t'es bonne. C'est tout ce que tu remarques ? C'est tout ce que tu as à dire ? Tu secoues tes mains devant lui. T'as besoin de lunettes Milan ou bien ? T'es posée sous ses yeux dans une telle tenue et lui il bloque sur sa foutue épilation. Le con. Tu vois rouge. Il s'occupe des bières et tu t'en moques bien qu'il en reste que deux sur le coup. Tu l'as mauvaise là. Non j'en ai pas et spas ton problème. T'en as une en vrai mais tu lui fais croire que non pour le faire saliver, une mini vengeance pour le fait qu'il n'ait quasi pas calculé ta bonnassetitude. Tu lui arraches la bière des mains du coup et tu bois la moitié sous ses yeux et tires une grosse bonne latte sur ton pétard. Tu te diriges alors sur le lit pour prendre une des boîtes de bandes, tu ouvres la boîte et en sors une première bande. Tu poses ton pétard dans le cendrier et tu frottes la bande entre tes deux mains pour réchauffer la cire et décoller les deux bandes. Enlève ton pantalon lui dis tu comme un ordre avec une voix imposante. Non tu n'allais pas le torturer avec l'épilation, tu avais une bien meilleure idée en tête pour te venger...


CODE BY RESSAPANDA.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
Mais comment est-ce que ça a pu m'sortir de la tête ? Ah ouai. Je sais. J'suis Milan, il n'y a rien qui reste bien longtemps dans ma tête. P'tain, si j'avais été intelligent, j'serais allé trouver une esthéticienne, quelqu'un qui m'le fasse propre et sans grand mal. Mais voilà que j'me retrouvais devant une blonde grognon qu'avait les yeux qui criaient clairement "j'suis sadique et tu vas souffrir". Ouai, elle m'fait peur. Mais j'l'aime bien même quand elle m'fait peur, en fait, j'suis bien là, calé dans sa chambre, à la revoir et à m'dire qu'on va passer une putain d'soirée ensemble. C'est clairement la pote fille que j'préfère, t'façon, j'sais pas trop si j'ai beaucoup d'potes, en général, j'vais, j'viens, j'entretiens rien, j'oublie tout le temps. Mais elle, ouai, j'veux bien m'enfermer là avec un kilo de weed et passer le week-end comme deux loques devant des vidéos de chats. J'adore les chats, c'est trop mignon les chats. J'tente comme j'peux de m'sortir de cette affaire, m'faire passer pour une portugaise ? Dans ma tête, ça sonne comme une idée de génie. Très vite balayée d'un revers de main par la blonde : "Mais j'suis pas exigeant moi, j'm'en fou des poils, j'te jure, tu peux même devenir chewbacca, c'est pas grave. Allez, steuplé, deviens chewbacca et on lance une nouvelle mode, d'accord ?". Ouai, non, j'sais clairement que ça ne passera pas, elle ne m'laissera pas tranquille sur ça : "D'habitude, c'est toi qui mords l'oreiller ....". Encore une allusion sexuelle, gratuite, histoire de m'détendre, et parce que c'est rigolo. Et là, affalé comme une merde sur le lit, j'percute sur le fait qu'elle soit cheerleaders. P'tain, en vrai, elle a toutes les qualités qu'il faut pour être la blonde parfaite, ça m'fait marrer, j'ai même des étoiles plein les yeux : "Beh ouai, j'ai grimpé sur Brandon, mon arbre préféré, et j'les ai matté. J'hésite même à devenir cheerleader, tu crois que j'pourrais ?". Si ça peut me permettre de m'rappocher des filles, évidemment que je le ferais. Puis, ça doit être marrant de me voir moulé dans leur tenu à faire des cabrioles : "Wow wow wow ! Attends, je n'ai pas encore perdu, et pour avoir gouter la marchandise ...", dis-je en baissant les yeux vers mon entre-jambe : "Toi-même tu sais que j'suis un adversaire redoutable ! ". J'éclate de rire en me dandinant, comme si j'dansais la salsa assis avant d'reposer mes yeux sur elle. Nouveau défis, nouveau jeu, j'adore ça. Surtout que j'sais d'avance qu'elle va m'faire marrer en m'racontant toutes ses histoires. Et j'me liquéfie sur place parce que ... ouai j'suis un peureux, ouai j'aime pas trop le noir ni les fantômes, ni les morts vivants et ... brr .. : "Un ...", dis-je d'une voix très basse, presque fluette, avant de déglutir : "cimetière ?". Elle est vraiment effrayante la blonde : "J'pensais plus au bureau du doyen, dans la salle commune des Cabots ... ouai, ou la chambre d'un Eliot !". Parc pour enfant ? : "T'es vraiment tordue la blonde, j'suis plus sûre de vouloir jouer avec toi". Bien sure que j'allais jouer, mais ... wow, elle est bizarre quand même, tout à coup j'me mets à la regarder avec suspicion, s'il faut c'est ... un monstre sanguinaire ou pire, un vampire ! Machinalement, je touche mon cou, la regarde encore un peu. Et j'boude, j'boude parce qu'elle est vraiment trop méchant. J'prends un air faussement offusqué quand elle me menace : "Mais comment peux-tu croire que ça pourrait m'faire du mal ? T'as oublié à qui tu parle la blonde ?", et j'ris à cette vision : "j'aimerais bien te voir faire des galipettes avec une fille dans mon lit. Même deux filles. Elle est où Lucky ?". L'idée est tentante : "J'suis pas méchant et sauvage moi", dis-je avec une petite moue en haussant les épaules : "C'est nul d'être méchant, ma maman elle m'a dit que c'était pas bien". Il va falloir bien plus que ça pour me faire sortir de mes gonds, je ne me suis jamais énervé de ma vie, bouder, c'est le seul truc négatif que j'ai en moi. J'crois que la blonde me confond un peu avec tous les mecs qu'elle a l'habitude de fréquenter, mais j'm'en fiche, moi j'suis Milan le mignon : "Jude et Judy comme la chanson des Beattles, c'est trop bien !". Elle est de mauvais poil la blonde, c'est elle qui devrait s'épiler l'âme. Et j'deguerpis en trainant les pattes à la recherche de bière. J'reviens dans la chambre face à l'infirmière sexy. Évidemment, j'suis trop con pour penser avec mon sexe, le premier truc que je vois, ce sont ses bas, et la potentialité de pouvoir m'éviter la séance d'épilation : "Ben quoi ?", dis-je en haussant les sourcils. Ahhh oui, là, j'remarque enfin, quand j'me concentre, son allure de bombe. Et j'me marre tout seul comme un abrutis : "Pourquoi t'es aussi agressive ? T'as tes règles ? Si t'as tes règles, vaut mieux mettre une culotte hein". Toujours aussi à l'ouest, l'air de rien, bien trop con pour comprendre les choses. Elle m'arrache la bière des mains et j'pousse un cri grognon, restant figé, ma main tendue. J'la vois chopper des trucs bizarres qu'elle frotte, mais j'aime pas son regard. Non j'aime pas du tout son regard : "Tu me touche pas tant que t'as pas retrouvé ta bonne humeur, tu m'fais peur ...". Gamin terrorisé par une grande blonde trop intelligente pour être dominée par lui. J'sers les jambes par réflexe et défait doucement la braguette de mon pantalon : "Ok, mais ... steuplé la blonde, j'suis gentil et j't'ai fais beaucoup d'bien la dernière toi, souviens toi ...". J'essaye de l'amadouer comme j'peux hein !


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Il essaye par tous les moyens d'échapper à l'épilation, mais genre vraiment. Le pire c'est qu'il a jamais dû essayer, il sait pas si ça fait vraiment mal. Bon d'accord, tu reconnais que c'est douloureux, surtout les premières fois mais après à force tu t'habitues à la douleur, tu la sens plus ou beaucoup moins. Pour de vrai, tu mens pas. Mais ça te fait rire intérieurement de voir comment il essaye d'y échapper, de voir combien ça lui fait peur et qu'il est près a accepter les poils. Tu te marres quand il parle de Chewbacca. C'est un de tes personnages préférés dans Star Wars mais quand même tu n'accepteras jamais de lui ressembler. Pourtant y a des gens qui ont cette maladie, qui ont des poils de partout, même sur le visage, tel un singe. Les pauvres, tu compatis pour eux car toi si tu étais comme ça soit tu te passes la tondeuse sur toi, soit tu restes enfermée à vie dans ta maison, soit tu te flingues. Arrête tu sais même pas la douleur que ça fait puis avec tous tes tatouages franchement, tu crois que c'est une petite bande de cire qui va te faire mal ? Toi tu avais pas de tatouage mais tu étais sûre que ça devait faire plus mal une aiguille dans la peau qu'une bande de cire qui arrache quelques poils. Alors qu'il arrête de faire la filette. Il avait des couilles, tu les avais vu, tu les avais testé, alors c'était le moment pour lui de les sortir et pas au sens propre. Tu lui proposas même d'utiliser ta couette ou ton oreiller pour mordre dedans si ça le faisait trop souffrir, histoire qu'il réveille pas tout le voisinage ou qu'on ne croit pas que tu étais en train de l'égorger. Il te fait une allusion sexuelle et tu lèves les yeux au ciel. T'aimais le mordre l'oreiller et t'allais pas le nier, pas à lui en plus, il était bien placé pour le savoir. T'apprends ensuite que les cheerleaders avaient un entraînement vu que Milan y était juste avant de te rejoindre ici. T'avais loupé ça et t'étais bien conne mais tu paniquais pas pour autant. Oula que non. Y avait plus grave sur terre, t'allais pas te prendre la tête pour ça, tu allais juste sortir un beau bobard  et ça serai réglé. T'as aucune chance si tu t'épiles pas les jambes. Toute occasion était bonne à prendre pour le motiver. Une cheerleader avec des poils c'était clairement pas possible. Déjà qu'il avait peu de chance d'être crédible en meuf et que la danse et l'agilité ça devait peut être pas être son dada, alors s'il avait des jambes poilus c'était absolument impensable. Voilà qu'il lance une idée de défi après que tu lui avais raconté t'être tapé quelques mecs dernièrement dont un dans les douches des vestiaires des cheerleaders et sportifs. Pour toi c'était tout gagné, tu étais une chaude lapine et tu aimais les lieux insolites, sans compter que tu étais une grande joueuse et mauvaise perdante. Tu te voyais déjà remporter le jeu sans même l'avoir officiellement commencé et Milan ne put s'empêcher de te remémorer votre petite sauterie. J'ai pas dit que j'avais kiffé le moment que l'on a partagé dis tu d'une voix des plus sérieuses et d'une façon comme si en fait ça avait été super banale et ennuyant votre coucherie. C'était faux, tu avais beaucoup aimé, mais tu le taquinais une fois de plus. Si fallait que tu remettes le couvert avec le vert, tu n'allais pas te gêner, il était un bon coup y avait pas à dire, mais toi le lui avouer ? Plutôt crever. Tu lui proposes alors des idées de lieux insolites et tu te marres en voyant son visage limite blanchir quand tu parles du cimetière. Puis tu rigoles quand il te dit ne plus être sûr de vouloir jouer avec toi. Bon c'est vrai que tu étais partie loin avec le parc pour enfant mais après tout ça restait un lieu insolite. T'as peur des fantômes pour le cimetière ? dis tu en plaçant tes mains devant ton visage, crispant tes phalanges et faisant une grimace avec ta bouche, soufflant un Ouuuuuuh digne d'un fantôme dans un film d'horreur bidon. Bon eh bien choisi les lieux si tu veux, tu me fileras la liste par message ou tu la glisseras sous ma porte et dans un mois on fait le point. Maintenant qu'il t'avait chauffé avec ce défi, tu allais le faire et il allait le faire aussi. Puis Milan te traite de méchante et toi tu lui expliques que tu es un ange avec lui, que tu peux être bien plus méchante et tu prends comme exemple ce que tu avais fait à ta soeur. Sauf que sur lui ben c'est pas le même effet. Lui s'il te retrouve au lit avec sa meuf c'est clair qu'il va kiffer et qu'il voudra vous rejoindre au lieu de péter un plomb. La preuve était qu'il te demandait limite de te taper une meuf voir deux sous ses yeux et qu'il cherchait ta coloc Lucky pour réaliser son fantasme. Si je dois faire un plan à trois d'abord ça sera avec deux mecs, le jour où ça se fait aloooooors je pourrais faire un plan à trois avec deux meufs si tu veux. Si il voulait que son fantasme devienne réalité il savait ce qu'il lui reste à faire : trouver deux mecs qui accepterait de faire un plan à trois avec toi. Ensuite il pourrait négocier pour te voir avec deux meufs. Tu lui dis même d'être méchant et sauvage et l'enfant qu'il est refait surface. Je parle au pieux chaton lui dis tu en souriant et levant les yeux au ciel. Ben ouais toi ça te dérangeait pas un peu de sauvagerie au lit, ça pouvait même t'exciter. Voilà qu'il baptise ensuite tes seins, comme une des chansons des Beattles en plus. Tu lui indiques la sortie, soit la porte, afin qu'il aille vous cherchez des bières. En attendant tu te changes en infirmière assez sexy et quand il revient il te capte même pas.Trop préoccupé encore par son épilation puis par les deux seules bières qu'il a trouvé. S'il t'avait pas énervé à ne pas te remarquer de la sorte il était évident que tu aurais râler contre les deux seules bières que vous avez. Parce que vous allez aller où avec deux bières ? Ca te faisait absolument pas monter l'alcool. Du coup tu lui bois la moitié de celle qu'il a entre les mains et tu lui répond sèchement quand il s'intéresse à ta culotte. Non t'as pas tes règles et tu ne réponds pas à sa petite provocation. Tu lui ordonnes à la place de virer son pantalon car tu vas commencer l'épilation. Tu te marres devant son visage effrayé. On dirait que tu étais en train de le traumatiser le pauvre. Il défait quand même sa braguette, non sans te supplier d'y aller en douceur et qu'il t'a fait du bien la dernière fois. Je t'en ai fait aussi oublie pas chéri tu lui dis avec un clin d'oeil. Avec une voix plus douce et sincère tu lui dis alors. Promis, je te fais pas mal et tu étais sérieuse, tu avais finalement trouvé une bien meilleure idée pour te venger de lui et le torturer. Plus vite on s'y met, plus vite c'est fini et tu souffriras plus. Plus il attendait et plus il se mettait une pression de malade pour rien. Tu continuais à chauffer la bande entre tes deux mains et tu commenças à écarter les deux bouts, te retrouvant avec deux bandes. Tu te mets à genoux afin d'être à la hauteur de ses jambes et tu déposes une première bande vers le bas de sa jambe, juste un peu au dessus de la cheville. Fait gaffe, cette partie peut être très sensible selon des personnes, prend mon oreiller et bouffe le lui conseilles tu toute gentille, toute douce. La cheville ça pouvait vraiment faire mal comme zone. Ta main se presse alors sur la bande afin de chauffer toujours plus la cire et que les poils s'imprègnent bien puis tu jettes un regard au brun. Prêt ? Et là tu tires sur la bande, assez vite pour que ça arrache le plus de poils mais sans faire la barbare.


CODE BY RESSAPANDA.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)