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► Feat Ashleigh&Milan
JUKEBOX
Moi, je n'ai pas grand chose à perdre dans la vie parce que je n'ai rien. On se sent léger quand on fonctionne comme ça, papillon jeté au vent, on plane, on flane, on vagabonde sans trop s'poser de questions sur les directions à prendre. Alors quand une fille comme la blonde apparait dans ma vie, et que j'sens la complicité naître d'elle-même, je ne peux m'empêcher d'me sentir habité par une nouvelle bouffée d'chaleur. C'est réconfortant j'crois d'savoir qu'il existe des gens comme elle, pour rire, déconner, pas s'prendre la tête, s'faire du bien et putain, tout colorier dans sa vie là-même où les autres ont tout laissé ternir comme un arc-en-ciel noir. J'suis couvert de tatouage de la tête aux pieds, celui qui m'a fait le plus mal, c'est mon pubis, évidemment. Mais j'sais pas pourquoi, l'épilation me parait être quelque chose d'encore plus douloureux. Pt-être parce que je ne connais pas, ou pt-être parce que j'vois à ses sourires carnassiers qu'elle n'a aucunement l'intention de m'épargner. Puis j'me connais, j'contrôle pas ma voix qui vrille fluette par moment, je gémis comme une fille, et c'est pas ce qu'il y a de plus séduisant chez moi : "T'as pas de tatouage, tu peux pas comparer !", je geins comme un boudeur. Mon esprit se résignant peu à peu, j'vais passer à la casserole et de toute façon, il faut bien ça. Parce que ça m'plait d'passer du temps avec la blonde et que la perspective d'une soirée infirmière allume en moi une insolence docile. J'avoue avoir germé l'idée de faire partie des cheerleaders parce que j'trouve ça marrant et qu'avec un peu d'chance, j'pourrais partager la douche avec toutes ces divines créatures. Mais mon sourire béat se transforme aussitôt en visage contrariée quand elle m'dit que là aussi j'devrais m'faire épiler : "Les garçons sont en cycliste moulant, arrête de m'faire croire que tous les trucs cools dans la vie sont conditionnés par le fait que j'doive m'faire épiler ! T'es sadique la blonde, j'te pensais pas comme ça la vérité". Evidemment, je ne m'offusque de rien, j'trouve ça même marrant le jeu de taquinerie qui s'est installé entre nous depuis le début. On dirait un chien et un chat. C'est moi le chat mignon, et elle le vilain chien : "Ha. Ha.", je dis de manière bien sarcastique quand elle m'dit qu'elle n'avait pas kiffé. Même pas vexé, j'étais là, j'ai participé, et j'sais que tout les deux on s'est bien éclatés : "Les marques sur mon dos disaient pas la même chose la blonde, te fatigue pas à essayer de m'contrarier, toi comme moi on sait ...". Clin d'oeil à la volée. J'tourne en bourrique, entre l'appréhension de cette putain de séance d'épilation et les coups de fourberie de la blonde. Tantôt souriant, tantôt grognon. J'ai même le visage liquéfié de peur quand elle s'met à parler de cimetière, elle n'est vraiment pas net cette fille. J'fais mine de répondre le plus calme du monde, faux calme, j'sais pas mentir, on l'entend bien ma voix chevrotante : "Non, non ....". J'tends la main comme pour lui mettre une pichenette : "Mais arrêeeeete !", avant d'me mettre à rire. Et j'la regarde en rigolant : "T'es plus effrayante quand tu fais pas semblant d'être un fantôme la blonde". Le pari est acté, encore un bon jeu d'abrutis, une bonne occasion de s'éclater, je me languis déjà. Mais j'préfère la laisser planer dans son assurance, j'aurais mille fois plus de chances de la surprendre comme ça : "Ok, ça me va, j'te trouve deux mecs, et on lance un plan à trois féminin. J'veux vous regarder depuis un trône, et porter une couronne". Rien que ça. Le plus sérieux du monde j'lui tape dans la main. Allé retour, expédition bière, quel enfer, la flemme m'habite. En fait, j'me calerais bien dans son lit pour faire une sieste tranquille, elle fait trop travailler mes émotions la blonde, moi ça m'épuise d'avoir le cerveau en surchauffe, j'préfère être imbécile heureux. Terrorisé, appréhendant clairement ses actions, j'obéis (parce qu'elle m'fait peur) et défait la braguette de mon pantalon, la suppliant d'être douce avec ce gentil Milan : "J'ai jamais nié, Jude et Judy sont d'un confort exquis, puis tes fesses sont agréables". J'me détends comme j'peux, en me repassant les images de la nudité de la blonde, ses gémissements, nos vas et viens. J'suis quand même suspicieux à l'égard de sa voix douce, j'la crois pas trop, j'arque un sourcil : "Ouai vas-y, fais ça vite. Et passe moi le pétard", complètement résigné, mon pantalon baissé tombé au sol avec mes chaussures, laissant voir mon magnifique caleçon avec des têtes de petits chats mignons. J'la regarde faire, tripoter ses trucs, s'mettre à genoux devant moi. Mmh, assez délicat comme position, surtout avec toutes les images qui me traversent la tête. Elle colle le truc sur ma cheville : "ça va, pas besoin d'un oreiller". Ouai, j'finis par me la jouer viril, mais tout l'monde sait que ça ne dure pas longtemps. Elle tire sur la bande et j'me mets à hurler comme une fille en levant le visage au ciel avant même qu'elle ait finit de la retirer totalement. A contre temps. En fait, je n'ai même pas eu mal, mais c'est l'appréhension qui me fait gémir. Et j'repose mes yeux sur elle, l'air presque décontracté : "Ah mais ça vaaaaaa, c'était pas la peine d'en faire tout un fromage la blonde". Presque arrogant, j'oublies un peu vite que c'était moi le plaignant depuis le début.
Moi, je n'ai pas grand chose à perdre dans la vie parce que je n'ai rien. On se sent léger quand on fonctionne comme ça, papillon jeté au vent, on plane, on flane, on vagabonde sans trop s'poser de questions sur les directions à prendre. Alors quand une fille comme la blonde apparait dans ma vie, et que j'sens la complicité naître d'elle-même, je ne peux m'empêcher d'me sentir habité par une nouvelle bouffée d'chaleur. C'est réconfortant j'crois d'savoir qu'il existe des gens comme elle, pour rire, déconner, pas s'prendre la tête, s'faire du bien et putain, tout colorier dans sa vie là-même où les autres ont tout laissé ternir comme un arc-en-ciel noir. J'suis couvert de tatouage de la tête aux pieds, celui qui m'a fait le plus mal, c'est mon pubis, évidemment. Mais j'sais pas pourquoi, l'épilation me parait être quelque chose d'encore plus douloureux. Pt-être parce que je ne connais pas, ou pt-être parce que j'vois à ses sourires carnassiers qu'elle n'a aucunement l'intention de m'épargner. Puis j'me connais, j'contrôle pas ma voix qui vrille fluette par moment, je gémis comme une fille, et c'est pas ce qu'il y a de plus séduisant chez moi : "T'as pas de tatouage, tu peux pas comparer !", je geins comme un boudeur. Mon esprit se résignant peu à peu, j'vais passer à la casserole et de toute façon, il faut bien ça. Parce que ça m'plait d'passer du temps avec la blonde et que la perspective d'une soirée infirmière allume en moi une insolence docile. J'avoue avoir germé l'idée de faire partie des cheerleaders parce que j'trouve ça marrant et qu'avec un peu d'chance, j'pourrais partager la douche avec toutes ces divines créatures. Mais mon sourire béat se transforme aussitôt en visage contrariée quand elle m'dit que là aussi j'devrais m'faire épiler : "Les garçons sont en cycliste moulant, arrête de m'faire croire que tous les trucs cools dans la vie sont conditionnés par le fait que j'doive m'faire épiler ! T'es sadique la blonde, j'te pensais pas comme ça la vérité". Evidemment, je ne m'offusque de rien, j'trouve ça même marrant le jeu de taquinerie qui s'est installé entre nous depuis le début. On dirait un chien et un chat. C'est moi le chat mignon, et elle le vilain chien : "Ha. Ha.", je dis de manière bien sarcastique quand elle m'dit qu'elle n'avait pas kiffé. Même pas vexé, j'étais là, j'ai participé, et j'sais que tout les deux on s'est bien éclatés : "Les marques sur mon dos disaient pas la même chose la blonde, te fatigue pas à essayer de m'contrarier, toi comme moi on sait ...". Clin d'oeil à la volée. J'tourne en bourrique, entre l'appréhension de cette putain de séance d'épilation et les coups de fourberie de la blonde. Tantôt souriant, tantôt grognon. J'ai même le visage liquéfié de peur quand elle s'met à parler de cimetière, elle n'est vraiment pas net cette fille. J'fais mine de répondre le plus calme du monde, faux calme, j'sais pas mentir, on l'entend bien ma voix chevrotante : "Non, non ....". J'tends la main comme pour lui mettre une pichenette : "Mais arrêeeeete !", avant d'me mettre à rire. Et j'la regarde en rigolant : "T'es plus effrayante quand tu fais pas semblant d'être un fantôme la blonde". Le pari est acté, encore un bon jeu d'abrutis, une bonne occasion de s'éclater, je me languis déjà. Mais j'préfère la laisser planer dans son assurance, j'aurais mille fois plus de chances de la surprendre comme ça : "Ok, ça me va, j'te trouve deux mecs, et on lance un plan à trois féminin. J'veux vous regarder depuis un trône, et porter une couronne". Rien que ça. Le plus sérieux du monde j'lui tape dans la main. Allé retour, expédition bière, quel enfer, la flemme m'habite. En fait, j'me calerais bien dans son lit pour faire une sieste tranquille, elle fait trop travailler mes émotions la blonde, moi ça m'épuise d'avoir le cerveau en surchauffe, j'préfère être imbécile heureux. Terrorisé, appréhendant clairement ses actions, j'obéis (parce qu'elle m'fait peur) et défait la braguette de mon pantalon, la suppliant d'être douce avec ce gentil Milan : "J'ai jamais nié, Jude et Judy sont d'un confort exquis, puis tes fesses sont agréables". J'me détends comme j'peux, en me repassant les images de la nudité de la blonde, ses gémissements, nos vas et viens. J'suis quand même suspicieux à l'égard de sa voix douce, j'la crois pas trop, j'arque un sourcil : "Ouai vas-y, fais ça vite. Et passe moi le pétard", complètement résigné, mon pantalon baissé tombé au sol avec mes chaussures, laissant voir mon magnifique caleçon avec des têtes de petits chats mignons. J'la regarde faire, tripoter ses trucs, s'mettre à genoux devant moi. Mmh, assez délicat comme position, surtout avec toutes les images qui me traversent la tête. Elle colle le truc sur ma cheville : "ça va, pas besoin d'un oreiller". Ouai, j'finis par me la jouer viril, mais tout l'monde sait que ça ne dure pas longtemps. Elle tire sur la bande et j'me mets à hurler comme une fille en levant le visage au ciel avant même qu'elle ait finit de la retirer totalement. A contre temps. En fait, je n'ai même pas eu mal, mais c'est l'appréhension qui me fait gémir. Et j'repose mes yeux sur elle, l'air presque décontracté : "Ah mais ça vaaaaaa, c'était pas la peine d'en faire tout un fromage la blonde". Presque arrogant, j'oublies un peu vite que c'était moi le plaignant depuis le début.
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