Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAsh&Milan - Oh, girl, shock me like an eletric eel. - Page 2
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal


Ash&Milan - Oh, girl, shock me like an eletric eel.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
Moi, je n'ai pas grand chose à perdre dans la vie parce que je n'ai rien. On se sent léger quand on fonctionne comme ça, papillon jeté au vent, on plane, on flane, on vagabonde sans trop s'poser de questions sur les directions à prendre. Alors quand une fille comme la blonde apparait dans ma vie, et que j'sens la complicité naître d'elle-même, je ne peux m'empêcher d'me sentir habité par une nouvelle bouffée d'chaleur. C'est réconfortant j'crois d'savoir qu'il existe des gens comme elle, pour rire, déconner, pas s'prendre la tête, s'faire du bien et putain, tout colorier dans sa vie là-même où les autres ont tout laissé ternir comme un arc-en-ciel noir. J'suis couvert de tatouage de la tête aux pieds, celui qui m'a fait le plus mal, c'est mon pubis, évidemment. Mais j'sais pas pourquoi, l'épilation me parait être quelque chose d'encore plus douloureux. Pt-être parce que je ne connais pas, ou pt-être parce que j'vois à ses sourires carnassiers qu'elle n'a aucunement l'intention de m'épargner. Puis j'me connais, j'contrôle pas ma voix qui vrille fluette par moment, je gémis comme une fille, et c'est pas ce qu'il y a de plus séduisant chez moi : "T'as pas de tatouage, tu peux pas comparer !", je geins comme un boudeur. Mon esprit se résignant peu à peu, j'vais passer à la casserole et de toute façon, il faut bien ça. Parce que ça m'plait d'passer du temps avec la blonde et que la perspective d'une soirée infirmière allume en moi une insolence docile. J'avoue avoir germé l'idée de faire partie des cheerleaders parce que j'trouve ça marrant et qu'avec un peu d'chance, j'pourrais partager la douche avec toutes ces divines créatures. Mais mon sourire béat se transforme aussitôt en visage contrariée quand elle m'dit que là aussi j'devrais m'faire épiler : "Les garçons sont en cycliste moulant, arrête de m'faire croire que tous les trucs cools dans la vie sont conditionnés par le fait que j'doive m'faire épiler ! T'es sadique la blonde, j'te pensais pas comme ça la vérité". Evidemment, je ne m'offusque de rien, j'trouve ça même marrant le jeu de taquinerie qui s'est installé entre nous depuis le début. On dirait un chien et un chat. C'est moi le chat mignon, et elle le vilain chien : "Ha. Ha.", je dis de manière bien sarcastique quand elle m'dit qu'elle n'avait pas kiffé. Même pas vexé, j'étais là, j'ai participé, et j'sais que tout les deux on s'est bien éclatés : "Les marques sur mon dos disaient pas la même chose la blonde, te fatigue pas à essayer de m'contrarier, toi comme moi on sait ...". Clin d'oeil à la volée. J'tourne en bourrique, entre l'appréhension de cette putain de séance d'épilation et les coups de fourberie de la blonde. Tantôt souriant, tantôt grognon. J'ai même le visage liquéfié de peur quand elle s'met à parler de cimetière, elle n'est vraiment pas net cette fille. J'fais mine de répondre le plus calme du monde, faux calme, j'sais pas mentir, on l'entend bien ma voix chevrotante : "Non, non ....". J'tends la main comme pour lui mettre une pichenette : "Mais arrêeeeete !", avant d'me mettre à rire. Et j'la regarde en rigolant : "T'es plus effrayante quand tu fais pas semblant d'être un fantôme la blonde". Le pari est acté, encore un bon jeu d'abrutis, une bonne occasion de s'éclater, je me languis déjà. Mais j'préfère la laisser planer dans son assurance, j'aurais mille fois plus de chances de la surprendre comme ça : "Ok, ça me va, j'te trouve deux mecs, et on lance un plan à trois féminin. J'veux vous regarder depuis un trône, et porter une couronne". Rien que ça. Le plus sérieux du monde j'lui tape dans la main. Allé retour, expédition bière, quel enfer, la flemme m'habite. En fait, j'me calerais bien dans son lit pour faire une sieste tranquille, elle fait trop travailler mes émotions la blonde, moi ça m'épuise d'avoir le cerveau en surchauffe, j'préfère être imbécile heureux. Terrorisé, appréhendant clairement ses actions, j'obéis (parce qu'elle m'fait peur) et défait la braguette de mon pantalon, la suppliant d'être douce avec ce gentil Milan : "J'ai jamais nié, Jude et Judy sont d'un confort exquis, puis tes fesses sont agréables". J'me détends comme j'peux, en me repassant les images de la nudité de la blonde, ses gémissements, nos vas et viens. J'suis quand même suspicieux à l'égard de sa voix douce, j'la crois pas trop, j'arque un sourcil : "Ouai vas-y, fais ça vite. Et passe moi le pétard", complètement résigné, mon pantalon baissé tombé au sol avec mes chaussures, laissant voir mon magnifique caleçon avec des têtes de petits chats mignons. J'la regarde faire, tripoter ses trucs, s'mettre à genoux devant moi. Mmh, assez délicat comme position, surtout avec toutes les images qui me traversent la tête. Elle colle le truc sur ma cheville : "ça va, pas besoin d'un oreiller". Ouai, j'finis par me la jouer viril, mais tout l'monde sait que ça ne dure pas longtemps. Elle tire sur la bande et j'me mets à hurler comme une fille en levant le visage au ciel avant même qu'elle ait finit de la retirer totalement. A contre temps. En fait, je n'ai même pas eu mal, mais c'est l'appréhension qui me fait gémir. Et j'repose mes yeux sur elle, l'air presque décontracté : "Ah mais ça vaaaaaa, c'était pas la peine d'en faire tout un fromage la blonde". Presque arrogant, j'oublies un peu vite que c'était moi le plaignant depuis le début.


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Il flippe vraiment trop avec cette épilation et te voilà en train de trouver mille et une astuces pour le rassurer ou surtout pour le pousser à porter ses couilles et se laisser faire. Tu profites même de lui parler des nombreux tatouages qui parcourent son corps en lui disant que ça doit faire bien plus mal que des bandes de cire. Non tu en n'a pas toi alors tu sais pas la douleur que ça fait, c'est vrai, mais tu en fais la déduction parce que t'es blonde mais t'es pas bête. Tu te doutes très bien que des aiguilles sur la peau ça fait plus mal que de la cire sur des poils. T'as jamais essayé de t'épiler donc tu sais pas et bim Milan. Arrête de faire la chochotte, tu sais absolument pas ce que ça fait. Tu vas pas lâcher l'affaire en tout cas et il peut plus revenir en arrière. Tu sautes même sur le fait qu'il propose de devenir cheerleader. Une cheer n'a pas de jambes poilus alors tu lui fais comprendre qu'il n'a pas le choix que de passer à l'épilation. Bien sur il trouve un truc à redire à ce propos et il te traite de sadique, faisant limite le mec déçu qui ne te pensait pas comme ça et qui tombe de haut. Toi ça te fait sourire, s'il croit que c'est ça qui va te toucher et te faire stopper, alors il se trompe. Un défi à la con est alors lancé entre vous, sur des lieux insolites à devoir faire pendant un mois. Le prix étant d'avoir l'autre comme esclave pendant trois jours. Un prix trop beau pour que tu ne puisses pas être la gagnante. Il va perdre, tu le sais et tu lui fais comprendre. Il n'est pas d'accord évidement et il profite de te faire une piqûre de rappel concernant votre sauterie de la dernière fois. Tu t'en souviens à merveille mais tu préfères faire comme si t'avais pas kiffé, comme si c'était pas un super bon coup. Tu savais que tes paroles n'avaient aucune crédibilité. Tu savais qu'il savait que tu avais prit ton pied avec lui. Tu te souvenais parfaitement de comment vous en était venu à coucher ensemble. Tu te souvenais bien de comment il t'avait coupé ta culotte en deux, prit dans le feu de l'action. Tu te souvenais de ses mains dans ton dos qui te griffait presque. De ses mains à lui sur ton corps, de ses lèvres parsemant des baisers de partout dans ton cou et ta poitrine. Oui tu te souvenais très bien de tout ça et tu savais que tu ne pouvais pas être prise au sérieuse vu les gémissements que tu avais poussé, vu la voix rauque que tu avais eut, vu ton souffle coupé et les baisers que tu lui avais donné remplis de fougue et de sauvagerie. Il te le fit comprendre tout en te faisant un clin d'oeil. Les griffures ? C'était parce que tu me faisais mal car t'étais nul dis tu le taquinant toujours plus. C'était faux, il t'avait fait que du bien mais tu n'allais pas ne rien répondre et encore moins lui confirmer la chose de vive voix. Tu préférais le taquiner, lui mettre limite un peu le doute. Peut être que tu avais besoin d'un round deux pour être certaine qu'il faisait bien les choses, ou juste pour lui faire croire. Tu donnais des lieux insolites et tu étais partie loin. Tu compris qu'il était pas fan des cimetières et tu en jouais, faisant un fantôme pour lui faire peur. Tais toi la sorcière dis tu en lui lançant un regard noir. Tu allais l'épiler, c'était vraiment le moment de te dire des choses comme ça ? Il était suicidaire le coco. Quant au pari tu lui dis de se charger de trouver les lieux et de t'en faire part par sms ou pigeon voyageur ou peut importe comment il veut. Tu aimes joué alors tu n'as pas peur de ce qu'il mettra sur la liste. Tu donneras le meilleur de toi même et tu feras le plus de lieux possible. Tu étais une battante, une warrior, une winneuse et non une louseuse. Puis sans savoir comment voilà que vous parlez de plan à trois. Il est chaud pour te trouver deux mecs pour ensuite te voir faire un plan à trois avec deux autres meufs. Il en rajoute même une couche et tu rigoles. Avec deux lions, un de chaque côté de ton trône aussi non ? Ce Milan alors tu n'en pouvais plus de lui et de ses conneries. Il te tape dans la main et tu souris tandis qu'il est temps de récupérer les bières. Il est de retour assez vite, toi en tenue d'infirmière, lui te zappant, toi le prenant pas très bien et lui se doutant que tu vas le torturer avec l'épilation. C'était ce qui était prévu mais t'as fini par changer d'avis, une meilleure idée en tête. Entre temps il surnomme tes seins avec des prénoms, sans pression. Le voilà désormais qu'il complimente ta poitrine ainsi que ton cul. Parfaitement parfait pour la vengeance que tu as en tête. Il est enfin temps de passer aux choses sérieuses. Plus vite s'est fait plus vite s'est bouclé et vous n'aurez plus besoin de débattre sur ça. Il fait tomber son pantalon et tu bloques sur son caleçon. Vraiment Milan ? Tu rigoles. C'est plus fort que toi, tu rigoles. Le mec trop viril. Je comptais qu'on remette ça mais là je sais pas trop tu vois le charries tu en regardant à nouveau les têtes de chaton sur son sous vêtement. T'en as marre de lui. Tu te mets ensuite à genoux, reprenant ton sérieux comme tu peux, étalant la première bande sur ses poils en partant de la cheville. Tu lui conseilles de mordre dans ce qu'il veut car cette partie fait mal, vraiment mal. Soudainement monsieur se transforme en homme. Il ne veut rien prendre, il veut faire le costaud. Pas de soucis, tu étales bien ta main sur la bande puis tu tires d'un coup sec et franc. Il hurle de douleur et toi ça te fait sourire. Sourire jusqu'à qu'il fait celui qui n'a pas eut mal au final, venant même à te mettre la chose sur le dos de celui qui en faisait tout un plat. Une pichenette sur la cuisse, et d'une. Tu vois je t'avais dit de pas faire la filette. Tu enroules la bande et tu la déposes plus loin. Tu poses alors la seconde bande, tu appuies bien dessus et tu te prépares à refaire exactement la même chose. Mais avant, tu poses ta main droite sur la cuisse gauche de Milan, bien près de son genoux et tu remontes vers le haut de sa cuisse, de façon sensuelle, tes doigts glissant presque vers l'intérieur de sa cuisse. Tu joues avec lui, ouvertement, dans le but de le rendre fou, de lui faire de l'effet. Dans le but de lui donner envie de toi et de te venger sur la déesse que tu étais dans cette tenue d'infirmière dont il avait quasi pas remarqué à son retour de la cuisine des verts. Puis, une nouvelle fois tu tires sur la bande. Un trou sans poils commence alors à s'installer sur sa jambe. Tu prépares une autre bande, la chauffant entre tes mains et séparant les deux. Tu recommences avec les deux bandes. A la fin de celle ci, tu approches ta poitrine de l'entrejambe du mather, histoire qu'il est une vue bieeeen plongeante sur ton décolleté vu qu'il est clairement en train de te dominer de par sa hauteur. Y a du monde au balcon Milan (a).


CODE BY RESSAPANDA.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
On se taquine, on se charrie, on se rentre dedans sans arrêt, et j'crois que c'est notre manière de nous apprécier. La blonde, prétresse qui s'veut déesse de mon univers, et moi petit sacripant là sans arrêt pour la contredire et la faire sortir de ses gonds. Elle a un truc pas banal, un truc attypique qui respire l'indépendance et la conscience de soi. N'importe quelle fille je crois, se cacherait de ses frasques, de ses sauteries, de ses voyages en l'air. Toutes tentent de masquer la dévotion secrète qu'elles portent au sexe par pudeur, honte, ou je ne sais quelle forme de respect. Et moi, j'déteste ça. Les sujets tabous, le manque de conviction. On est jeune, on a vingt ans. Je n'ai pas le temps avec les faux semblants, j'ai d'autres projets moi, vous voyez, je vais baiser, boire et fumer. Et j'crois que la blonde est de la même veine, c'est pour ça que mon esprit vacille. Entre la voir comme un pote presque viril, ou une espèce de mente religieuse. Si j'avais pas déjà couché avec elle, je penserais que ouai, elle allait jamais me laisser sortir de sa chambre et m'bouffer tout cru. Alors, bien sûre, je sur joue les garnements vexé, avec cette mine boudon, ces grognements, ces piques à la volée. Mais que voulez-vous. C'est comme ça qu'on vit quand on est insolent et indiscipliné, et même si elle est effrayante, j'compte pas être aux pieds de la blonde. J'aime bien le lui laisser croire et puis la regarder me dominer, c'est plaisant quand elles veulent vous dominer. Mais je n'ai pas non plus l'intention de l'épargner. C'est ce qui fait que c'est simple, facile, léger et juste beau entre nous. Il n'y a pas une once de méchanceté dans nos pensées, on cultive le plaisir partout où il est à déniché. Je reviens de l'expédition bière, assis sur le lit, peu rassuré par la séance à venir. J'obéis à ses invectives, baisse mon pantalon, et grimace en la regardant rire : "Beh quoi ?". J'baisse les yeux sur mon caleçon, moi je le trouve vraiment trop mignon, c'est un de mes préférés. J'relève les yeux vers elle, tout souriant : "Si mon caleçon te chagrine il te suffira de me l'enlever", dis-je espiègle, léger clin d'oeil jeté dans sa direction. Et là, j'dois dire que j'appréhende. J'appréhende grave. Quand je la regarder étaler le truc sur ma cheville, je me mords presque l'intérieur de la joue. Je joue les forts, ce n'est pas parce que je porte un caleçon chaton que je ne suis pas viril. Je sers les dents et ... je hurle à plein poumon quand elle retire la bande. Avant de me replacer, l'air de rien, comme si ça ne m'avait rien fait : "Aïe, ça fait mal ça par contre !", pestant contre sa pichenette : "C'est plutôt joli quand même", dis-je en levant ma jambe, observant le bout de cheville épilée, avant de la replacer. Elle applique la deuxième bande et j'remarque à peine son autre main qui court sur ma cuisse. Faut dire que je suis hyper concentré sur ma cheville, et j'ai pas le cerveau adéquat pour réaliser deux choses en même temps. Je sursaute encore un peu quand elle la retire, ça fait un mal de chien, mais j'fais le fier. J'veux pas lui donner satisfaction. Elle applique une nouvelle bande et là, ce sont Jude et Judy qui s'approchent de mon entre-jambe. Alors, le moins concerné et le plus sérieux du monde, je lui dis : "Pousse toi un peu, j'vois pas ce que tu fais". Sous-entendu, rien ne peut me déconcentrer de mon épilation.


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Quand tu avais rencontré Milan, dès les premières minutes tu avais su que tu allais bien t'entendre avec lui et que tous les deux ça risquait de promettre. C'était inexplicable, entre vous y avait cette connexion, ce feeling qui sortait de nul part. Les taquineries avaient commencé tout de suite, les chamailleries aussi et tu avais constaté que vous aviez beaucoup en commun, comme la maison mather mais votre goût pour la liberté, pour faire ce que vous avez envie de faire, quand vous avez envie de le faire. Ou bien pour ne pas vous prendre la tête, pour aimer rire, aimer faire les cons et profiter de la vie comme elle vient, avec ce qu'elle vous apporte. Vous vous étiez bien trouvés tous les deux. Tu savais que tu allais le revoir plus d'une fois, tu savais qu'il allait devenir une des personnes à qui tu parlerais le plus, que tu verrais le plus et dont tu serais le plus proche les mois à venir. Tu le savais car ensemble vous étiez deux petits cons, jouant avec l'autre et tu aimais bien ce lien qui vous unissez. C'était fluide, naturel et simple. Si simple que tu lui parlais de tes plans culs sans pression ou que vous vous taquinez concernant votre partie de jambe en l'air. Y avait pas de gêne entre vous et c'était assez cool à voir. C'était même agréable. D'ailleurs, y avait tellement pas de gêne que tu te mis à rire devant son caleçon remplis de tête de chaton et c'était plus fort que toi, tu devais le faire chier sur ça. Ce qui est bien c'est que tu es en parfaitement harmonie avec ton surnom, mon chaton. Tu appuyais bien sur le chaton, le surnom que tu lui avais donné suite à sa confession sur sa mère qui l'appelait comme ça. Il était bien dans le thème au moins. Vient alors le moment fatidique, celui de la torture. C'est pas que mais il a deux jambes poilues alors faut s'y mettre rapidement ou tu vas y passer la nuit à le faire hurler et tu préférerais que ce soit de plaisir que tu le fasses hurler toute la nuit plutôt que de souffrance, si vous voyez ce que je veux dire... Tu t'attaques à la tâche en le mettant en garde puis y allant franco. Si tu le fais trop doucement ça fait encore plus mal. Il crie comme une fille puis fait celui qui n'a pas mal. Tu lui fous une pichenette pour sa remarque et là il fait celui qui a mal. Il admire sa patte et tu te mets à rire. Tu vas y prendre goût fait gaffe. Y avait pas de mal après tout, certains mecs avaient les jambes épilées à cause du sport qu'ils font ou bien du métier comme certains mannequins. Tu continues de le martyriser avec les bandes, tout en le chauffant en même temps. Ta main glisse sur sa cuisse, tes seins eux se pointent sous son nez afin qu'il les remarque bien, mais que dalle. Il ne bronche pas et te demande même de te pousser. Il avait fait tout un cirque pour ne pas se faire épiler et voilà que là il préférait te regarder lui arracher les poils que te mater le décolleté. Soit il avait capté ton manège soit il était vraiment con. Et tu penchais plus pour la seconde option. Ne pipant pas un mot, tu repris une autre bande que tu séparas en deux. Tu continuais à lui arracher les poils en partant du bas de la cheville et quand tu étais à mi chemin, tu te redressas pour t'installer sur sa cuisse gauche. Tu lui levas la jambe que tu déposais sur le lit, le laissant légèrement se tourner, et tu te penchas un peu en avant afin d'étaler la bande sur le haut de sa jambe, tes fesses légèrement en l'air sous son nez, ta robe remontant. Tu tiras sur la bandelette et te reposas sur sa cuisse, posant ton avant bras sur son épaule gauche. Petite pause dis tu en choppant la bière entamée pour la porter à tes lèvres. Tu bus une gorgée, puis une nouvelle faisant cette fois bien exprès d'en renverser sur ta poitrine. Eh merde dis tu pour jouer l'innocente, celle qui n'avait pas fait exprès, lui laissant pas apercevoir que c'était tout calculé. Tu étais une bonne comédienne. Allez on s'y remet lui dis tu en déposant un baiser au coin de ses lèvres. Toujours plus provocante, toujours plus à le chercher, une nouvelle bande entre tes mains afin de lui retirer les poils restants sur sa première jambe. Bientôt le tour de la seconde, avant de peaufiner tout ça.


CODE BY RESSAPANDA.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
Quand on y pense, c'est à mourir de rire. Milan le casse-coup par excellence, couvert de tatouage de la tête aux pieds, qui se met à geindre comme un gamin parce qu'il a peur de s'faire épiler. J'sais pas pourquoi ça m'a parut aussi dangereux. Pt-être parce que ça fait partie de ces espèces de rituels secrets entre filles que je ne connais pas, ni ne comprend. Moi, ça ne m'a jamais dérangé les poils, j'trouve même que se les enlever c'est une sacré perte de temps. Après, les filles ressemblent à des enfants, et j'suis pt-être débile, mais je n'ai jamais été attiré par les enfants. Ou peut-être une fois, j'avoue. Mais c'est pas de ma faute, la petite sirène est carrément trop sexy, et malgré sa queue de poisson, ses roploplos m'ont toujours donné envie de plonger la tête dedans. Elle s'moque de mon super caleçon chatons et ça m'fait marrer. Sans gêne aucune, j'lui dit que si elle n'est pas contente elle n'aura qu'à me l'enlever. Mais voilà que j'me braque d'un coup, avec les yeux faussement hyper enervé parce que ... je déteste qu'elle m'appelle comme ça ! Dèjà, je n'aime pas quand maman me le fait, alors si en plus la blonde s'y met : "J'vais t'offrir une culotte avec plein de tête de Milan tu vas voir". C'est dit, c'est fait, j'vais trouvé la photo la plus absurde de ma gueule et lui confectionner le plus parfait des sous-vêtements. Du type étoiles, dauphins, et des têtes de Milan partout, même sur ses fesses. J'matte ma jambe, parce que c'est vrai que c'est jolie, même moi j'ai envie de la caresser : "Tu trouve pas ma jambe hyper sexy ?", dis-je en la pointant sous son nez avant de la replacer pour qu'elle poursuive son office : "Ils vont où les poils aprés ?". Dis-je intrigué, mec tellement à l'ouest qu'il n'a pas compris le procédé. Et j'suis tellement concentré par ce qu'elle fait à ma cheville que je ne remarque qu'à moitié sa main et ses seins qui s'amusent à me titiller. Lui demande même de se pousser un peu pour que j'puisse mieux regarder, complètement ailleurs, à côté de la plaque. Puis, elle grimpe sur moi, j'me tourne pour étendre ma jambe sur le lit. J'trouve ça bizarre, mais soit. Si c'est comme ça que ça se passe dans les salons d'épilations, ça doit être hyper chaud. J'aimerais bien y aller, mater les filles s'épiler les unes les autres et se grimper dessus. Ah ouai, j'aimerais bien les mater se mater le cul. Et là, j'peux être le mec le plus con du monde, j'peux pas passer à côté de ses fesses qui s'plante sous mon nez. J'en oublie ma jambe, louche complètement dessus tellement j'ai envie de les croquer. Et comme j'étais déconcentré, quand elle arrache la bande, ça me surprend, et j'me remet à crier : "Aiiiiiie !". L'air de rien, elle s'arrête et se réinstalle sur ma cuisse : "Comment ça petite pause ? J'ai deux jambes à faire j'te rappelle, au boulot l'infirmière !". Elle m'ignore à moitié, boit sa bière et ... vraiment ? Ouai non, ça ne peut pas être fait sans faire exprès. J'suis sure qu'elle cherche à me chauffer. Ouai, elle me chauffe, et j'souris comme un con à cette seule pensée. J'passe mon doigt sur sa poitrine pour essuyer le trait de bière qui y coule et le lèche en la regardant, me marrant à moitié : "T'as réussi, tes seins font sortir de la bière". On s'y remet ? Quoi, quoi quoi ? On ne s'y remet pas du tout, pas après ça : "A quoi tu joues la blonde ?", dis-je en la regardant avant de reposer ma jambe au sol pour bien lui montrer qu'on n'allait pas recommencer tout de suite, la pause n'est pas finit : "Tu veux jouer au docteur ?


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Seulement la seconde fois que tu partages un moment avec Milan, mais tu t'amuses bien. Tu savais que ce moment allait être comique, tu l'avais attendu avec tellement d'impatience et tu avais encore plus hâte de vous voir à la soirée intégration des infirmières. Ca s'annonçait prometteur tout ça, mais en attendant il fallait épiler le garnement qui faisait son petit bébé et qui possédait un caleçon remplit de tête de chat. Fou rire assuré, tu ne t'empêchas pas de le taquiner. Franchement, y avait que lui pour porter un truc comme ça. Un beau tue l'amour mais c'était du Milan tout craché. Du naturel, du non prise de tête, du je m'en foutiste. C'est ce que tu aimais chez lui. Cette façon d'être lui, de ne pas chercher à être quelqu'un d'autre ni même de plaire aux autres. C'est comme ça qu'il avait réussi à te conquérir. Je dis pas non, si tu m'en fais cadeau une, je te fais ce que tu veux lui dis tu avec un clin d'oeil. Tu étais un peu suicidaire de lui dire une telle chose car tu savais qu'il pouvait aller loin dans sa connerie, très loin, mais bon il te fallait d'abord la culotte comme preuve. Et puis tu t'en foutais des conséquences, tu étais joueuse, tu aimais relever les défis alors osef. Tu passas alors à l'épilation, monsieur trop obnubilé par sa jambe manquante de poils. Oui, oui dis tu quand il te demanda pour sa jambe. Un oui oui qui voulait dire que tu n'étais pas du tout sérieuse ni intéressée par le sujet. Une réponse qui montrait ton ennuie. Toi tu voulais juste le rendre fou, le faire baver et jouer avec ses nerfs, tandis que lui pensait juste à sa jambe et désormais à où les poils allaient. Tes yeux se levèrent au ciel. Qu'allais tu faire de lui ? Ta gueule Milan lui lanças tu d'une façon limite saoulée parce que tu glissais ta main avec sensualité sur sa cuisse ou tu lui exposais ouvertement ta généreuse poitrine et il captait rien. Spas possible il était devenu gay ou comment ça se passe ? Il c'était découvert une nouvelle tendance et qu'il craquait pour les filles uniquement car il se cachait la vérité tout ce temps ? Impossible. Concentre toi sur mon corps à la place pensas tu, mais aucun mot ne sortirent de tes lèvres. Tu préférais passer un peu plus à l'action, t'installant sur ses jambes afin de l'épiler. Clairement pas la meilleure des positions il fallait le dire, mais tant qu'il pouvait te sentir près de lui, avoir encore plus accès à ton décolleté, alors c'était jouable. Tu te mis bien en bûche, lui offrant tes fesses en gros plan dans le but de le faire baver une fois de plus, de le faire craquer, de lui faire tourner la tête, pour arracher alors la bande de cire et revenir te poser sur lui, comme si rien n'était. Tu prétextas une petite pause afin de boire dans la bière ouverte. Il proteste le gonflé. Tu l'écoutes pas et ta bière dégouline légèrement sur ton décolleté. Zut alors ! Feignant la fille maladroite tandis que tout était calculé, il passe son doigt sur ta poitrine pour le porter à ses lèvres. Est ce que ça commence à fonctionner ? Je peux en faire sortir encore plus enchaînes tu du tac au tac après sa remarque. Lui qui avait confié que ça serait bien son kiff que de la bière sorte des seins des meufs, tu lui faisais entendre qu'il pouvait en voir encore plus. Puis un baiser sur le coin de ses lèvres tu lui annonces qu'il est temps de t'y remettre. Y a encore du boulot après tout. Tu te demandes s'il a comprit ton manège vu la question qu'il t'adresse, mais tu fais celle qui comprend pas. Ben je dois finir ton épilation chaton, t'as oublié ? La bande de cire entre tes mains, tu la frottes entre tes paumes mais le mather redescend sa jambe au sol tout en te posant une question. Un sourire se dessine sur tes lèvres et ton visage se rapproche du sien. Une fois qu'on en a fini avec tes jambes si tu veux. Une voix douce et remplit de sous entendus, tu t'approches plus près de lui et dépose tes lèvres sur les siennes, juste à peine. A peine pour qu'il sent le contact de tes lèvres. A peine pour qu'il ait envie de les sentir un peu plus contre lui. Ta main droite se pose contre sa joue gauche et du bout de tes doigts tu le tapotes gentiment. Plus vite on s'y met, plus vite je pourrais prendre ta température. Tu te mords la lèvre inférieure et tu sépares les deux bandes de cires pour lui montrer que tu vas re attaquer sa jambe.


CODE BY RESSAPANDA.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
J'réfléchis déjà à la photo que j'vais faire imprimer sur la futur culotte de la blonde. Rien que l'idée qu'elle s'ballade avec ça m'fait marrer, puis j'trouve ça limite mignon en fait. On s'fait déjà des cadeaux, on prend soin l'un de l'autre, comme un petit chat et un petit chien qui s'taquine sans cesse mais qui s'aiment bien. Puis la blonde elle a ce truc qui rendrait fou à peu prés tous les mecs. J'parle pas uniquement de sa superbe paire de seins, mais surtout de ses airs provocateurs, faussement insolents. Genre à la fois je m'en foutiste à souhait, et à la fois femme fatale sûre d'elle qu'a des yeux à croquer. J'me mords la lèvre à sa proposition. Elle me fait ce que je veux si j'lui offre la culotte ? Ouai, ça n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd, et mes pensées obscènes prennent le pas sur mon anxiété vis à vis de l'épilation. Elle est à croquer, elle m'fait craquer, le meilleur pote qu'on puisse avoir. Non seulement on boit des bières, mais en plus, j'peux toucher ses seins. C'est le graal cette nana. Et j'finissais par me reconcentrer sur ma jambe, remarquant à quel point elle commençait à devenir sexy. J'crois que j'fais chier la blonde, elle a pas l'air de vouloir parler. Ouai, j'la fais clairement chier, son ta gueule sorti de nul par m'arrache un regard offusqué. Et un sourire, parce que c'est mignon, j'lui tape sur le système mais j'vois bien qu'elle m'aime bien quand même. Je ne disais plus rien, la laissant m'épiler tranquillement. Un peu surpris par les allures que prenaient cette séance. Et finalement, complètement obnubilé par son magnifique fessier. Mon dieu, y a rien de plus beau qu'un cul directement pointé sous mon nez. Avec sa petite jupe d'infirmière relevée je ... mmh. Et Aiiiiie. J'ai pas vu venir l'arrachage de bande, et cette fois, ça pique vraiment. Elle se rassied sur moi, prétextant une pause. Au début, ça m'ennuie, j'veux vite avoir les jambes sexy. Mais quand j'vois la bière dégouliner sur son décolté je ... perds un peu la tête ? Peut-être. Un doigt pour l'essuyer, et puis lécher. Et là, c'est comme si tout prenait sens enfin dans ma tête : clairement, elle cherche à me chauffer : "Comment ça finir mon épilation ? T'as dis que tu pouvais faire sortir plus de bière, j'veux voir !". Presque autoritaire, clairement pas enclin à retourner à l'ouvrage. Là, de suite, j'ai une autre idée en tête. J'lui demande si elle veut jouer au docteur et la garce me fait languir. J'esquisse un sourire insolent avant d'approcher mon visage du sien : "Mais .... je suis malade", fis-je mine de dire plaintif avant de lever mon index à ma bouche : "Ma bouche me fait très, très mal", repris-je en hochant la tête, faussement peiné. Elle pose ses lèvres sur les miennes, j'suis presque satisfait dans mon sourire. Pas assez, ce n'est pas assez. Pourquoi elle m'allume sans passer à l'acte ? Elle m'rend dingue putain ! Son doigt tapote ma joue, moi je me mords la lèvre. J'la regarde faire son manège, ça me rend dingue, mes yeux deviennent noir d'envie, et j'ai clairement pas envie de la laisser faire : "J'crois pas non". Et presque précipité, ce qui jure avec sa fausse douceur, je l'attrape par les hanches et la fait basculer sur le lit. Pour qu'elle se retrouve allongée, mon allongé sur elle, entre ses jambes : "On attendra un peu pour l'épilation", dis-je mielleux avant de me coller un peu plus à elle, prêt à l'embrasser. Sauf que j'avais oublié un détail important : elle avait les bandes de cires dans la main, et dans le mouvement, l'une d'elle est venue se coller sur mon torse, pile entre les pectoraux. J'la sens, me liquéfie sur place en regardant les yeux de la blonde, complètement effrayé. Me redresse pour me retrouver à genoux entre ses jambes, baisse le regard très lentement vers mon torse et .... "AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHH", le cri de panique totale.


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Tu lui proposes de faire ce qu'il veut s'il t'offre vraiment cette culotte avec sa tronche de partout dessus. Ca te sors tout seul, tu penses pas aux conséquences en lui disant ça et puis osef des conséquences. T'es joueuse, tu te prêteras au jeu et selon ce qu'il te demande ben tu lui feras payer le prix. Il n'y répond rien mais à son regard tu comprends qu'il ne va pas oublier ceci d'aussitôt. Tu comprends qu'il va y réfélchir attentivement et ça te fait sourire. T'aimes bien ce jeu débile qui y a entre vous, vos taquineries, et le faire chier comme pas possible. C'est marrant et tu te marres vraiment bien. Comme avec cette épilation, avec les tronches qu'il fait pour esquiver ça puis les cris qu'il pousse quand les poils s'arrachent. Toi tu prends ton pieds, tu le vois un peu souffrir, un peu sous tes ordres et tu kiff tout simplement. Tu kiff un peu plus à le torturer, à le faire craquer, à le chauffer. Bien qu'il capte absolument rien au départ, trop perché sur sa jambe et ses poils à la con, tu réussis enfin à faire détourner son attention sur toi. Tes fesses en gros plan on eut leur effet sur lui apparemment. Ca te rassure c'est bien un mec et il aime bien les meufs. Cependant, toi tu veux pas juste lui donner tes atouts en vision, tu veux que ses neurones flambent parce qu'il pense trop à ton corps et qu'il se rappelle bien votre dernière entrevue et comment ça a finit. Tu veux qu'il se mord la lèvre, qu'il bave même. T'as envie que dans son caleçon il se sente à l'étroit et tu fais tout pour, augmentant le niveau en renversant de la bière sur toi et sur ta poitrine plus précisément. Il se gêne pas pour passer son doigt sur ta peau et le porter à sa bouche. Tu comprends alors qu'il n'est pas insensible, qu'enfin le mâle en lui est de sortie et plus obnubilé par son épilation. Epilation qu'il faut reprendre car il reste encore beaucoup de travail. Lui forcément il n'en n'a plus envie, tu souris donc intérieurement et le pousse un peu plus en lui disant que la partie de docteur ça sera pour plus tard. Il croit pas qu'il va zapper ta tenue, ta sexitude et qu'il va obtenir ce qu'il veut si facilement non ? C'est pas encore noël, faut pas rêver. Il fait donc semblant d'être malade, d'avoir mal à la bouche. Oui, tout à fait, d'une seconde à l'autre il se montre souffrant. Tu déposes tout de même tes lèvres sur les siennes, mais très légèrement, juste pour un fin contact afin qu'il en veuille plus, afin qu'il soit déçu de ne pas en avoir eut assez. Tu le pousses jusqu'au bout et tu reprends les bandes de cire pour passer à l'action et enlever la touffe restante. Bien sur il ne l'envisage pas comme ça et tu te retrouves en un rien de temps allongée sur le lit, Milan au dessus de toi. Il veut pas reprendre l'épilation maintenant et son visage se rapproche du tien, mais une bande de cire vient le couper dans son élan. Cette dernière s'est collé à son torse pendant qu'il essaye de te grimper dessus et tu te marres. Tu te marres en le voyant se mettre à genoux entre tes jambes. En voyant la tronche qu'il tire et la bande collait à lui. Tu en peux plus de rire. Ce mec est définitivement con. T'en as marre de lui. De ses conneries. Si tu voulais que je m'attaque à là aussi il suffisait de me le dire chaton et tu rigoles à nouveau. T'as même envie de prendre une photo mais tu ne sais pas où ton téléphone se trouve. Tu regardes à droite puis à gauche, il devrait être sur ton lit mais c'est tellement le bordel entre les boites et bandes de cire, entre vous deux dessus, que tu ne l'aperçois pas. Tu échappes à une photo dossier là et tu rigoles encore. Tu te redresses alors pour te mettre assise. Ton visage se trouve juste au niveau du torse du mather. Tes yeux montent vers le visage de Milan tandis que ta main se pose sur son torse de façon sensuelle. J'étais si partante pour jouer au docteur lui dis tu d'une voix légèrement allumeuse afin qu'il se concentre sur ta voix, sur ta main sur son corps, sur ta lèvre qui se pince sous la première, pour ensuite tirer sur la bande. Voilà c'était rien, on peut reprendre les jambes désormais. Sans pression tu fais l'indifférente et tu le fais basculer sur le côté prête a reprendre ton rôle d'esthéticienne.


CODE BY RESSAPANDA.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
Elle me rend dingue avec ses allures de pimbêches, quand elle fait comme si de rien n'était, quand elle fait comme si elle ne savait pas. Pourquoi je n'avais plus du tout la tête à me faire épiler et pourquoi je la regardais comme ça. La blonde c'est une putain de plaie, un truc pas cool qui s'plante dans le pied et qui vous empêche de marcher droit. Elle a du pouvoir, elle le sait, elle en use et en abuse. Et moi, j'suis bon public, puis probablement très con, il ne m'en faut pas plus que quelques regards jetés à son postérieur pour faire une fixation. Ouai, j'ai envie de l'attraper, de la retourner dans son pieux, d'arracher ses vêtements et de la baiser. Ouai, elle a réussit à m'allumer, et ça m'rend encore plus fou quand elle cherche à faire comme si ça n'avait pas d'importance. Comment ça tu joue avec moi ? A quelle heure tu souffle le chaud et le froid ? J'suis pas du genre patient, assis sagement, couché, pas bouger. Dès que j'ai une idée en tête, j'y succombe, alors sans plus réféchir ni lui laisser le choix, j'la braque dans ce lit, hold up des sens. Je m'allonge sur elle prêt à passer aux choses sérieuses. Rien à branler de la soirée, des infirmières et de l'épilation. J'viens de la voir se trémousser devant moi, puis ses lèvres qui se sont amusées des miennes, j'ai plus qu'une seule idée en tête, et j'vais pas en démordre. Un brin insolent, carrément indiscipliné, j'me jette sur elle comme si j'allais me mettre à l'embrasser. Quand je sens cette bande se coller sur mon torse. Et là, c'est la crispation, le moment silencieux de l'effroi, j'suis figé comme une statue, me redresse doucement, et baisse les yeux vers mon corps. Avant d'hurler, hurler à plein poumon comme si on venait de me balancer de l'acide dessus tandis que la blonde éclate de rire. Et moi j'remue les bras dans tous les sens : "Enlève moi ça, enlève moi ça, enlève moi ça, NON ! Touche pas, TOUCHE PAS". Complètement paniqué, j'perds pieds, à deux doigts d'pleurer comme un gamin déboussolé : "J'm'en branle de ta putain de photo, fais quelque chose", gémissant clairement. Et bien sure que non, j'veux pas qu'elle l'enlève, ça va faire hyper mal, j'vais souffrir la mort, le torse c'est pas comme les jambes. Puis je vais avoir l'air de quoi avec cette bande épilée au milieu de ma maigre pilosité ? Elle s'relève, et comme si ça ne suffisait pas, elle continue de m'aguicher. A croire qu'elle adore m'voir souffrir la blonde. J'me calme enfin, du moins, à peu prés, essayant d'réfléchir à une solution qui ne vient pas. J'fixe la blonde pour penser à autre chose et ... AHHHHHH. Là, j'me remet à hurler, m'jette en arrière, descend du lit complètement effrayé, m'frotte machinalement le torse, cours dans tous les sens avant de m'arrêter devant elle : "Traitre, j'suis sûre que tu l'as fait exprès ! ". J'lui en veux sans raison, j'marche encore, regagne mon calme sous son regard amusé. Puis j'attrape la dernière bière, bois quelques gorgées, et dans l'euphorie, je fais exprès d'en renverser la moitié sur mon torse : "Faut désinfecter, ça brûle". Ouai ça brûle. Même que ça brûle mille fois plus maintenant. Je pleure presque grossièrement et me jette aux pieds de la blonde : "Aide moi, je souuuuuffre !". Quel drama queen celui-ci.


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

T'aimes jouer avec le feu, oui tu aimes beaucoup jouer avec le feu et même si ça brûle tu t'en moques, tu prends le risque parce que tu prends toujours des risques. Tu te jettes toujours dans la gueule du loup. Tu fais toujours la conne, tu fais toujours des conneries et rien ne t'arrêtes. Et être tombée sur Milan ce jour là à la mather house, l'avoir suivit dans sa chambre pour fumer et boire des bières eh bien ça n'a en rien arrangé ta vie et tes façons de faire. Au contraire, il est aussi con que toi, aussi fatigué du ciboulot, voir plus et à vous deux c'est certain que les conneries vous allez en faire des belles. Rien qu'à voir la raison de pourquoi tu l'épiles. Tout ça pour une soirée infirmière, pour s'incruster à une soirée étudiante à laquelle vous n'êtes pas invités et dont vous avez rien à faire là bas. Tu étudies la médecine mais vétérinaire quoi. Vous êtes deux boucans ensemble et lui encore plus que toi. Lui il se suffit à lui même. C'est un numéro de cirque à lui tout seul. La preuve encore avec cette bande de cire qu'il a réussi à se coller sur le torse. Il voulait te pécho et il se retrouve en mode panique avec une bande de cire sur le torse et a hurler comme une fillette. Bordel ce que tu n'en peux plus de rire. C'est trop comique à voir, il s'agite dans tous les sens et te supplie de lui enlever puis de ne pas le faire. Il panique, ça s'entend, ça se voit et toi tu n'en peux plus. Tu en as marre de lui mais à la fois tu le kiff. Tu vivras plus longtemps grâce à lui car rire il parait que ça permet de rallonger ton temps de vie. Avec Milan à tes côtés c'est bon tu crèveras jamais, tu vas vivre jusqu'à tes cent ans, voir cent cinquante même. C'est sur. Tu rigoles toujours de plus belle, t'as envie de prendre une photo même mais ton téléphone s'est fait la malle. Il a dû prendre peur de Milan et de ses cris. Il doit être en train de se cacher parce qu'il est trop effrayé par le vert. T'es un peu dég du coup et lui il s'énerve. Il te crie dessus en te demandant de l'aide, ce qui te fait encore plus rire. Plus il s'énerve, plus il s'agite et plus tu rigoles. C'est presque nerveux, tu n'en peux plus, tu vas clapser dans une minute tellement tu vas t'étouffer de rire. Tu souffles, tu fais rentrer de l'air dans ton corps histoire de te calmer, de reprendre un peu ton sérieux et tu lui refais un numéro de charme. Tu t'approches de lui, lui lance un regard de braise, une main sur son torse pour qu'il oublie son malheur, qu'il se concentre sur toi, qu'il ne pense plus qu'à toi et le contact de ta peau sur la sienne. Ca a l'air de fonctionner, il s'agite beaucoup moins, il te fixe et, là, tu arraches la bande. Malheur ! Il hurle de plus belle et voilà qu'il se met à courir de partout. Non mais aussi s'il t'aide pas c'est pas de ta faute si tu rigoles. Qu'il arrête de faire le clown. Il t'accuse de traître et tu rigoles toujours plus. Milan chuuuuuuuuut tu lui fais en posant ton index sur tes lèvres. Tout le monde va croire que je te torture et ils vont vouloir que je fasse pareil avec eux. Bien sur tes propos ont un sens sexuel et tu rigoles. Non tu te fous pas du tout de sa gueule. Bon un peu, mais c'est qu'il est presque mignon en mode énervé et en mode torturé. Il pique la bouteille de bière et à son tour il s'en renverse sur lui, pile là où la bande a retiré les poils. Quel con ! Tu le regardes faire, il se jette à tes pieds et te demande de l'aide. Tu te marres à nouveau, putain mais c'est un vrai cas celui là. Il en rajoute des tonnes, il exagère comme jamais. Toi tu en profites pour le torturer un peu plus, ta vengeance toujours à l'esprit, tu perds pas le nord. Viens là, viens faire un câlin. Tu t'avances vers lui et tu poses une de tes mains à l'arrière de sa tête tandis que l'autre se pose sur le haut de ses épaules. Tu lui appuies sa tête contre ta poitrine, bien calculé, bien pour qu'il ait les yeux au bon endroit, soit dans ton décolleté. Tu veux un bisous ? lui demandes tu alors continuant dans ta connerie et dans la sienne également. Un bisous magique ? Sans attendre sa réponse tu relèves son visage et tu poses tes lèvres sur les siennes, mais cette fois ci plus prononcé que la dernière fois. Cette fois ci il peut bien sentir le contact de tes lèvres sur les siennes. Tes lèvres se pressent contre ses lèvres et elles se séparent ensuite. C'est bon ça va mieux là ? Tu te mords l'intérieur de la joue car t'as envie de rire comme pas possible. D'ailleurs ton sourire sur les lèvres impossible de le retirer.


CODE BY RESSAPANDA.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)