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Ashleigh&Caïn - One by one, drinks are gone

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• J'pensais pas qu'elle allait me prendre au sérieux lorsque je lui avais fait comprendre qu'elle allait devoir jouer à l'infirmière pour se faire pardonner. Sauf qu'elle m'avait surpris et avait débarqué vêtu d'une blouse d'infirmière, et... Le drame. Elle aurait pas pu s'arrêter là et refaire mon bandage en fait, non, elle avait sorti une seringue de sa poche. Putain, on est d'accord, j'vais pas vous contredire, je suis et je resterais surement toute ma vie un putain de junky, mais je ne me pique pas, j'suis pas trop pour ces sensations là moi. Alors non, j'ai vraiment pas envie qu'elle me fasse une piqure, et encore moins dans le cul. C'est une blague, c'est pas possible, c'est à la main que j'ai mal, c'est pas au cul, ce dernier va très bien merde. Alors non, je mets mes mains devant mon visage et elle ne m'approchera pas. "Blablablablablablabla j'entends rien tu feras rien blablablablablabla" Un gamin, un vrai putain de gamin. Pourtant, j'ai pas peur des piqures, mais là, elle est pas qualifié pour me faire ça en fait, imaginer elle me refile une merde ou je ne sais quelle maladie ? J'pense que là, ça serait encore pire que de me planter une fourchette dans la main. Elle s'approche, elle a l'air d'être déterminé et putain, ça commence à me faire flipper, je sens qu'elle va vraiment me foutre cette aiguille dans le cul, sauf que j'veux pas, bordel j'en veux pas ! "Conasse." Avait-été le seul mot que j'avais répondu lorsqu'elle m'avoua qu'il n'y avait aucune aiguille, et qu'une fois de plus, elle était en train de se foutre de ma gueule. Putain mais je vais vraiment la niquer. Je la regarde, complètement blasé, et là, elle commence à foutre ces mains dans son soutiens-gorge pour en sortir une clope et un briquet. "T'es quand même super bizarre toi, tu fous des clopes dans ton soutif pour que les gens pensent que t'as des gros seins en fait ?" Non mais sérieusement, cette fille c'est une blague à elle toute seule. Du coup, j'me lève du lit et je vais attraper la cigarette qu'elle a entre ces mains ainsi que le briquet. M'approchant de la fenêtre que je débloqua, je porta la cigarette à mes lèvres pour l'allumer. "J'peux pas sortir tout de suite, j'ai des papiers à signer, j'dois attendre encore un peu !" Merci qui ça ? Merci elle ! Tirant sur la cigarette, je l'observa comme si c'était quelque chose de nouveau, et, haussant les épaules, je repris la parole. "En fait ça va, elle a pas un gout seins." Bah ouais, on sait jamais hein. Je savais d'ailleurs que fumer ici était interdit, mais honnêtement, j'en avais complètement rien à foutre. •


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Tu ne savais d'où toutes tes conneries te venais, peut être que c'était à force de traîner avec des mecs comme Caïn, Milan ou bien Amare que tu sortais de la merde à longueur de temps et que tu avais des idées loufoques. C'était donc la faute de Cain si tu avais eu cette idée de lui faire croire que tu avais une seringue et que tu voulais lui faire une piqûre. C'était toujours la faute de quelqu'un et autant que ce soit la faute de quelqu'un d'autre que la tienne haha. Puis il avait voulu que tu fasses l'infirmière et il n'allait pas être déçu. Tu prenais ton rôle très au sérieux. Cette piqûre tu voulais la lui faire et tu lui réclamais ses fesses en plus de t'approcher de lui dangereusement. Ton regard était vicieux telle une infirmière sadique qui prenait plaisir à piquer ses patients et leur faire du mal. Tu prenais ton rôle très au sérieux en effet et Cain n'appréciait pas vraiment. Le jeune homme fit l'enfant quand tu lui disais de ne pas bouger et que tout se passerait bien. C'était trop marrant à voir. Il fallait que tu trouves les vidéos de surveillance histoire de piquer la vidéo de ce moment là et d'en garder un bon souvenir, parce que tu étais sur que ça valait de l'or. Tu fis semblant de le planter dans le bras, te marrant bien et lui avouant la feinte. Sa réaction arriva avec un mot d'amour des plus tendres. Tu lui envoyas un bisous en échange tandis que tu sortais une clope de ton soutien gorge. Tu voulais bouger d'ici, de cette chambre et cet hôpital. C'était pas ton truc les hôpitaux. Tu trouvais ça morbide, puant et bien trop déprimant. Voilà pourquoi tu avais opté pour la médecine mais vétérinaire. Un cabinet vétérinaire c'était tellement plus gai et moins morbide qu'un hôpital. Tu crois que c'est quatre clopes qui vont me faire gagner du volume ? Tu levais les yeux au ciel. Regarde bien. Tu ouvrais la blouse d'infirmière pour laisser ton haut apparaitre et tu le soulevais laissant ainsi la pleine vue sur ton soutien gorge et ta poitrine. T'as bien vu ? dis tu alors que tu enlèves les quelques clopes restantes qui sont dans tes seins. Et là ? Tu vois vraiment une différence ? lui demandes tu nature peinture comme si tu venais pas d'exposer ta poitrine sous ses yeux. Non mais toi alors t'étais irrécupérable. Il te choppe ensuite ta cigarette et ton briquet pour l'allumer tout en expliquant qu'il ne peut pas encore partir à cause de foutus papiers. Fait chier, pourquoi tu lui avais planté ta fourchette dans la main toi aussi ? Quelle conne. Tu t'approchas alors de lui qui fumait sans pression, comme s'il était pas dans un hôpital et que c'était pas interdit. Tu lui piques la clope, tu tires une latte et tu t'éloigne doucement en lui disant Bon ben je me casse alors, tchuss. Tu lui faisais croire que tu allais le laisser en plan et seul. Tu marchais doucement mais tu avais le dos tourné, genre déterminée à te barrer. Tu fis demi tour pour revenir vers lui. Ca c'est le mien dis tu en lui reprenant TON briquet des mains. C'était toi qui piquait le briquet aux autres et non l'inverse. A nouveau dos à lui, tu faisais encore une fois celle qui allait se barrer. T'étais une pute quand même avec lui mais il te le rendait si bien.


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• J'sais pas combien de temps je vais rester ici encore, j'espère qu'ils ne vont pas tarder à venir me donner les papiers à signer car j'suis loin d'être un grand fan des hôpitaux, plus j'en suis loin, mieux je me porte. Comme un peu tout le monde je pense en fait. D'ailleurs, j'comprends pas les gens qui travaille là-dedans. Le pire, c'est les croques morts. Eux, c'est des grands malades, leur boulot c'est de la tristesse toute la journée. J'pourrais pas faire ça, j'sais que j'ai une vie de merde, alors si en plus j'suis confronté à la mort toute la journée, au bout d'une semaine je me met une balle après être parti en déprime. Alors quand je la vois sortir une clope de sa cachette secrète, peu importe l'endroit où on se trouve, direct je lui arrache et je l'allume. J'en ai toujours rien eu à foutre de l'endroit où je me trouvais pour fumer, si quelqu'un à un problème, qu'il vienne me voir et j'irais lui remettre les idées en place. Je m'apprêtais à répondre à sa question lorsqu'elle souleva la blouse pour me montrer sa paire de seins cachés sous son soutiens-gorge. "Hm..." Puis, elle retira les quelques cigarettes qui s'y trouvait pour ensuite me demander si là je voyais une différence. "J'ai un problème de vue en fait tu devrais te rapprocher pour que je puisse mieux voir !" J'sais très bien que ça ne marchera pas, et elle sait très bien que j'ai aucun problème de vue. J'avais pris sa cigarette que j'étais en train de fumer, et, j'me doutais bien qu'elle allait soit en prendre une autre, soit me reprendre celle là, et... La deuxième option était la bonne... Sauf que je ne m'attendais pas à la suite. "Non !" Elle voulait se casser, elle avait récupérer la clope et elle avait tourné les talons pour sortir de cette chambre, sans moi. Mais elle revient. Ah, elle est pas si mauvaise que ça. Ah bah si en fait. Elle a juste récupérer son briquet et elle recommence à partir. Non non, j'suis pas d'accord, tu m'envoies à l'hôpital alors maintenant tu restes avec moi. Je la suis, rapidement, et je lui attrape le bras pour la retourner face à moi, vraiment face à moi en fait. "Tu m'as envoyé ici, alors tu restes avec moi." Je ne lui laissais pas vraiment le choix en fait, elle allait rester, dans tous les cas, elle devait rester, c'était mon infirmière non ? Et une infirmière ne quitte pas son patient. •



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Il avait avoué qu'il te cherchait concernant tes seins pour que tu les lui montre. Même pas étonnant venant de lui. Mais au final il allait avoir ce qu'il voulait puisqu'il continuait à te chercher en disant que tu utilisais des clopes pour te les grossir et tu voulais avoir le dernier mot et lui prouver que non. Voilà pourquoi tu soulevas ton haut pour lui montrer ta poitrine et que tu le poussais à voir la différence entre avec les clopes dans tes seins et sans. Franchement ça changeait clairement rien au volume. T'avais une bonne poitrine, bien généreuse et surement pas besoin d'implant ou de rembourrage. Forcément c'était pas suffisant pour lui, il en voulait toujours plus faisant semblant d'avoir une mauvaise vue. La blague. Il voyait très bien, il voulait juste les voir de plus près le pervers. Je note : acheter des lunettes de vues pour Cocaine à Noël et tu fis semblant d'écrire sur un bloc note imaginaire, que tu rangeas dans la poche de ta blouse une fois que tu avais fini de noter. Si si il existait ce bloc note, pour de vrai, seulement toi était en position de le voir, trop la classe. Puis il se barra vers la fenêtre avec ta clope et ton briquet pour fumer tranquillement dans cette chambre d'hôpital. Il avait encore des papiers à signer pour pouvoir sortir et ça te faisais chier. C'était relou d'être ici, tu voulais prendre l'air toi, pas rester coincé ici. Alors tu faisais semblant de te barrer, foutant un coup de pression à Caïn. Coup de pression qui fonctionnait vu son "non". Tu revins vers lui mais uniquement pour récupérer ton briquet. Ben ouais t'allais pas lui faire cadeau, Noël c'était que dans un mois et demi et tu prévoyais déjà de lui offrir une paire de lunettes de vues. Tu souriais en étant de dos à lui, toujours faisant semblant que tu allais vraiment partir. Tu le connaissais un peu et tu prédisais qu'il n'allait pas te laisser partir comme ça, pas aussi facilement. Pas après lui avoir planté une fourchette dans la main. Ca ne rata pas, en quelques secondes il avait sa main sur ton avant bras et il te retourna pour que tu lui fasses face. Sinon quoi ? le défias tu un sourire sur le coin des lèvres apparaissant. Il allait faire quoi si tu t'en allais hein ? Pourquoi devrais je rester bloqué moi aussi ? J'ai joué à l'infirmière comme tu avais demandé, mon job est rempli désormais dis tu avec un sourire moqueur. Tu savais que quand il avait voulu que tu joues à l'infirmière c'était pas en mode le faire flipper avec une seringue et une piqûre. Mais tu faisais toujours la conne avec lui. Tu veux une autre piqûre c'est ça ? T'as pas eut assez avec la première ? Tu lui fis un jeu de sourcils tout en le cherchant plus. T'aimais le provoquer, c'était drôle de voir comment il s'énervait, comment il t'insultait car tu le rendais chèvre. Il en avait pas fini avec toi, c'était que le début d'un looooooong voyage.


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Caïn W. Woods a écrit:
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• Elle me soule. Je ne saurais pas vous expliquer pourquoi, comment, mais elle me soule. Son attitude, sa façon de me parler, de se foutre de ma gueule. Elle est à la fois soulante, mais je l'apprécie. Je vais pas non plus aller lui dire, le chanter sur tous les toits, mais je l'apprécie. Elle est la seule personne avec qui j'ai ce genre de relation, elle est la seule qui puisse me frapper, que je frappe, la seul qui me fait du mal, la seule qui a ce droit. J'aime cette relation, j'aime ce petit jeu entre nous, ces défis que l'on se lance. Il faudrait juste que la prochaine fois, on évite de s'envoyer à l’hôpital, ça pourrait être pas mal, vous en pensez quoi vous ? Et, je l'avais défié, une fois de plus, je l'avais prise pour une conne en lui faisant croire que j'avais une mauvaise vue. Elle le savait, je le savais très bien qu'elle savait que je me foutais de sa gueule, que je tentais, une fois de plus. "Et tu m'achèteras une autre main, une valide aussi !" Agitant ma main blessé, meurtri par son coup de fourchette, comme si ma main était un steak charal, devant mon visage. Puis, elle voulu prendre la fuite, une fois de plus, elle voulu me laisser, m'abandonner dans cette pièce ou elle m'avait envoyé. Je ne la laisserais pas faire, non. C'est certain que l'ont étaient pas dans un de ces films à l'eau de rose ou le mec fou amoureux allait courir dans le train pour demander à sa bien aimé de rester avec lui, non, j'avais juste été attraper son bras pour la tourner, pour pouvoir lui faire face, rien de bien fou en soit, vous voyez. Elle continuait de se foutre de ma gueule, une fois de plus, elle se foutait de ma gueule, comme elle savait si bien faire, comme elle avait fait depuis qu'elle avait mis les pieds dans cette chambre. Elle me disait en avoir finit avec ce travail, m'avoir soigné, et que désormais, elle pouvait partir. Me provoquant, me défiant du regard, sauf qu'elle me connaissait, et elle savait que je ne manquais aucun défis. Elle savait que je ne la laisserais pas partir, qu'elle resterait avec moi, ici, dans cette pièce, entre quatre murs blancs qui puent la mort, et ça, tant que je n'aurais pas l'autorisation de sortir. Lâchant son bras, je viens attraper son visage entre mes mains, et, doucement, je déposa mes lèvres contre les siennes, l'espace de quelques secondes. "T'es vraiment une casse couille." Avais-je répondu à toutes ces attaques, retirant mes lèvres des siennes. Pourquoi j'avais fait ça ? Par vengeance ? Est-ce que ma vengeance était de l'affection ? Ou pas simple envie ? Une envie qui me démangeait depuis que je l'avais rencontré ? •



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Tu ne t'arrêtais jamais de dire des conneries et d'en faire. Surtout pas avec Caïn. Il te connaissait pas depuis longtemps pourtant il avait l'habitude que tu passes ton temps à le faire chier, à le saouler, à l'énerver et il devait aimer ça car il venait toujours à l'attaque lui aussi. Il te le rendait bien et entre vous c'était toujours un cirque. A vous deux vous pouviez faire un spectacle, vous étiez comme deux clowns ensemble. C'était marrant de vous voir faire. Toi en tout cas ça te faisait marrer comment tu agissais avec lui et comment il agissait avec toi. Il avait beau t'insulter ça te faisais rire et tu le cherchais toujours plus. Il avait beau te faire te casser la gueule tu rigolais puis tu allais te venger. Votre amitié était un peu étrange voir sadique pour les gens autour de vous, mais pour toi elle était juste fun et loin d'être ennuyante. Pour toi cette amitié née d'un réveil dans un même lit, tous les deux nus, était quelque chose que tu appréciais. Tu ne pouvais pas t'empêcher de le taquiner, de l'attaquer et d'être insolente. Après lui planter une fourchette, tu te foutais de sa gueule en rentrant dans cette chambre, tu lui faisais croire que tu allais lui faire une piqûre et tu plaisantais sur des lunettes de vues qu'il avait besoin. Il répondit du tac au tac concernant sa main que tu avais grandement amoché. Tu te mis légèrement à rire, trop tentant. T'en as une deuxième ça suffit. En plus c'est que la gauche que j'ai handicapé, j'ai sauvé la droite, tu peux encore l'utiliser devant you porn, remercie moi plutôt balanças tu en te marrant de grand coeur cette fois ci. Tu l'avais dit que c'était plus fort que toi de le faire chier ? Oui ? Eh bien c'était au cas où vous l'auriez pas compris quoi. Tu n'en ratais jamais une à vraie dire, comme là encore à lui faire croire que tu allais te barrer. A deux reprises en plus tu lui fis croire, après avoir récupéré ton briquet, objet précieux. Mais comme tu le savais il n'allait pas tolérer ça. Il te stoppa bien vite dans ton élan, te faisant face et toi joueuse que tu étais tu le défia sur ce qu'il allait faire si tu osais te barrer d'ici et le laisser en plan. Et là il te libéra mais pas pour que tu franchises la porte. Il te libéra et attrapa ton visage entre ses mains pour poser ses lèvres contre les tiennes. Ca tu ne l'avais pas vu venir par contre. Son unique réponse fut de te traiter une fois de plus et comme un automatisme ta clope se posa sur tes lèvres. Tu tiras dessus, une bonne grosse taffe et tout en le regardant dans les yeux tu lui soufflas toute la fumée dans le visage. Durant quelques secondes tu ne vis pas son visage, emprisonnée sous toute la fumée. Celle ci estompait, un sourire sur les lèvres tu le défia à nouveau. En fait, plus je t'amoche, plus je te fous la pression, plus tu me kiff ? Yeux dans les yeux, ton sourire était remplie de malice. Je vais peut être te planter une autre fourchette juste là alors et sur tes paroles ta main gauche se referma en un poing et se posa sur la cuisse de Caïn, comme si tu avais une fourchette dans la main, comme si tu le plantais une nouvelle fois. Quant à ta main qui tenait la cigarette, tu la dirigeas vers les lèvres du jeune homme, lui insérant le filtre entre ses lèvres à lui.


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• Qu'est-ce qui m'était passé par la tête ? Pourquoi j'avais fait ça ? Pourquoi j'avais merdé de la sorte ? Est-ce que j'étais en manque d'affection ? Est-ce que j'avais pris ce moyen, cette méthode pour me venger de ce qu'elle m'avait fait ? J'en ai aucune idée. J'crois qu'au fond de moi, j'en avais envie. J'avais envie de l'embrasser, juste comme ça, juste pour voir ce que ça faisait, si j'allais aimer, si elle allait aimer. Voir si tous les souvenirs de cette nuit qu'on a passé ensemble allait revenir. Mais non, rien, zéro, aucun souvenir, toujours ce même vide, ce même trou noir qui restera béant. Qu'est-ce que j'avais ressenti ? Aucune idée, même ça je ne le savais pas. Est-ce que c'était la suite logique de cette relation que l'on avait ? Est-ce qu'on devait se taper dessus, puis ensuite finir dans le même lit ? Je n'ai pas de réponse à cette question non plus. Alors, je retire mes lèvres des siennes, je l'insulte comme à mon habitude, comme à notre habitude. Et elle, elle se joue de moi, une fois de plus, elle me cherche, elle me crache sa fumée de cigarette au visage, mais je ne bouge pas, j'attends que cette fumée se dissipe. "Moi je te kiff ? Plus grosse blague de l'année !" Pourquoi lui avoué que je l'aime bien ? De toute façon, elle le sait déjà, alors je ne pense pas qu'on est besoin de se l'expliquer. Apportant la cigarette à mes lèvres, je tira dessus pendant qu'elle laissa son poing heurter ma cuisse. "Si tu me plantes une autre fourchette, on risque d'être enfermé là encore longtemps." Et, j'avais attrapé son bras, je la fixais, je la regardais pour voir ce qu'elle allait faire, je la dévisageait de haut en bas, comme si elle était de la marchandise, comme si elle était de la viande. Je voulais en faire mon repas... •



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Caïn était venu t'embrasser, précipitamment sans même que tu ne vois la chose venir. T'avais pas compris ce qui t'arrivais et du coup tu le faisais chier en le taquinant sur ce baiser et sur le fait qu'il te kiffait. En fait, tu trouvais surtout une excuse pour esquiver le baiser qu'il t'avait donné, parce que vous étiez dans une chambre d'hôpital et que ça risquait de partir en cacahuète à tout moment entre vous. Si tu faisais comme lui, si tu répondais, ça allait finir comme la première fois que vous vous êtes rencontrés : dans un lit, à walp. Mais cette fois au moins vous vous en souviendrez surement. Forcément, il objecta te kiffer mais tu le savais que c'était vrai. Tu savais qu'il t'aimait bien tout comme tu l'aimais bien, sinon tu serais pas venue le voir ici t'inquiétant de la connerie que tu avais fait et de combien tu avais pu vraiment l'amocher. C'était particulier entre vous mais c'est ce qui faisait la beauté de votre lien. Votre folie était égale à vous deux et vous vous étiez parfaitement bien trouvés. Tu ne répondis rien, mettant juste ta bouche en cul de poule et hochant la tête, lui montrant combien tu ne croyais pas ses paroles. Puis pour pas changer, tu le faisais un peu plus chier, venant faire comme si tu lui plantais une fourchette dans la cuisse. Il avait attrapé ton bras en ajoutant que vous seriez bloqués ici pour encore un moment. Il avait pas tord sur ce coup là. Tu ne loupas rien du regard qui te jeta, t'analysant de la tête aux pieds. Je suis bonne t'as vu dis tu aussitôt en l'analysant comme il l'avait fait afin de lui faire comprendre que t'avait vu son regard glisser sur toi. Et ce regard là tu le connaissais bien. Tu avais vu plus d'un mec te regarder de la sorte et tu en avais regardé plus d'un comme ça aussi. C'était le genre de regard qui en dit long sur les intentions de la personne, sur les arrières pensées. Tu t'enlevas de son emprise, libérant ton bras pour t'approcher plus près de son visage, laissant quelques centimètres vous séparant. C'est juste dommage que tu te souviennes pas d'en avoir profité. De ton corps, bien évidement tu parlais de ton corps. Sur ces mots tu t'éloignas de lui pour retourner vers le lit récupérer tes clopes. Tu lui jetas un regard pour voir ce qu'il allait dire, ce qu'il allait faire, mais c'était comme si tu savais ce qui allait sortir de ses lèvres et ce qu'il allait faire. C'était comme si tu le connaissais trop bien. Comme s'il était prédictible. Alors qu'en fait pas du tout. Vous étiez loin d'être prédictible, l'un comme l'autre. Entre vous, ça fonctionnait au feeling, les conneries venant toutes seules, sans avoir le temps d'y réfléchir. C'était fluide et surement pour ça que ça partait toujours en grand n'importe quoi. Pour ça qu'il avait fini ici.


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• Que faire ? Que dire ? Rien. Il n'y avait plus grand chose à faire pour nous vous savez. Nous étions dans notre monde, dans notre petit jeu qui pouvait finir par devenir grave, par aller encore plus loin. Et si aujourd'hui était une étape de franchis avant de se faire vraiment du mal ? Comment tout ça va se terminer ? Est-ce qu'un jour, nous nous comporteront comme deux adultes normaux ? Je n'en ai encore une fois, aucune idée. Tout ce que je sais, c'est que pour le moment, je n'ai pas envie que ça s'arrête, que pour le moment, j'veux juste profiter de cette relation qu'on a. C'est la seule chose qu'on possède vraiment à deux, alors je n'ai pas vraiment envie de la laisser s'envoler. Je la regardais, je la regardais de haut en bas, sans aucune gêne, comme si elle était mon repas, comme si elle n'était qu'un simple bout de viande. Je la regardais comme pour imaginer ce qui se cachait derrière cette blouse d'infirmière. "T'es plutôt pas mal dans ton genre ouais." Vous avez vraiment cru que j'allais lui dire que oui, elle me plaisait ? Est-ce que vous avez remarqué qu'on passe notre temps à s'envoyer chier ? C'est pas maintenant que ça va changer en fait. Se libérant de mon emprise, elle se dirige vers le lit, là où ces cigarettes étaient, et elle continue de me chercher, elle continue de me provoquer, mais j'aime ça. J'aime cette provocation. Alors, je dis rien, je m'approche d'elle et je la pousse sur le lit. Je viens à califourchon sur elle, venant plaquer ces poignet contre le lit, bloquer ces jambes avec mes cuisses, et j'approche une fois de plus mon visage du siens, une fois de plus, je lui vole un baisé. "On peu toujours remédier à ça..." On est dans un hôpital, d'un moment à l'autre, quelqu'un peu rentrer dans la chambre, mais étrangement, ça me plait, ça me procure une dose d'adrénaline. •



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Tu avais bien vu le regard qu'il posait sur toi, un regard comme quoi il aimait ce qu'il avait sous les yeux. Un regard qui te déshabillait sans même te toucher. Ouais il devait avoir envie de voir ce qui avait sous cette couche de vêtements, surtout qu'il s'en souvenait pas. Toi tu hésitais pas à jouer avec lui, à lui montrer que tu avais bien vu son regard et que tu savais que tu étais bonne et qu'il devait penser la même chose. Pas étonnant qu'il ne te dise pas oui mais que tu étais pas mal dans ton genre. Phrase qui en disait long tout de même, puis tu te doutais qu'il voulait te faire chier. Vous vous faisiez toujours chier, peut importe la situation. Seulement pas mal ? Tu levas les yeux au ciel, soufflant un "pff". Tu valais mieux qu'un "pas mal", il le savait et tu le savais. Tu te dirigeas donc vers le lit pour reprendre tes clopes, non sans le chercher une énième fois concernant votre nuit passée ensemble mais dont vous ne vous souveniez pas. C'était étrange que vous n'aillez aucun souvenirs d'ailleurs, genre rien de rien. Même pas tu avais des souvenirs qui revenaient petit à petit. Ca avait été le néant. A croire que vous aviez dû vous mettre mal comme jamais. Tu te doutes que ta provocation va le faire venir à toi ou t'attaquer un peu plus. Bingo ça loupe pas, il s'approche de toi et en un rien de temps tu finis sur le lit, sur le dos, tandis qu'il prend ses aises sur toi, à califourchon. Même pas le temps de répliquer, il tient tes poignets et tu te retrouves clairement piégé sous son poids et son corps. Il te vole à nouveau un baiser pour finalement te dire que ça peut s'arranger qu'il ne se souvienne pas avoir profité de ton corps. Tu ne peux t'empêcher de sourire face à sa réponse. Il te domine, pour le moment, et cette situation te fait rire et te tente. Tu es dans une chambre d'hôpital, sur un lit d'hôpital, une porte non verrouillée avec un médecin ou une infirmière qui peut débarquer à tout moment. Il faut avouer que c'est excitant, toi qui est adepte de le faire dans des lieux toujours plus insolites et peu communs. Voilà qu'il te tente. Tu as peur que je me souvienne que t'étais pas un bon coup ? dis tu le cherchant toujours plus. Punaise mais c'était juste trop fort, trop tentant de le faire chier. T'aimais juste trop lui pourrir la vie et le foutre en rage, mais ça restait gentil quand même. C'était jamais vraiment méchant, jamais vraiment pensé comme si c'était un ennemi. Il te bloquait mais tu avais tout de même les jambes un peu libre, du coup tu les fis remonter afin que tes jambes tapent Caïn dans le dos et que celui ci bascule en avant ne s'attendant pas à ton geste. Quand ce fut le cas, il perdit l'équilibre et tu en profita pour reprendre le contrôle de la situation. Te libérant de lui, tu étais désormais la dominante et lui le dominé, dessous toi. Même position, toi à califourchon sur lui et lui tenant les poignets tu le regardais triomphante. Ca fait moins le malin là le défias tu encore et encore.


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