Leanddy ♥ le destin est cruel

Je suis pas heureux, avec Ornella je suis clairement pas heureux, tout ça est faux. Je sais comme si ça me rendait heureux, comme si j'étais bien avec elle mais c'est complètement faux. Le seul point possitif, c'est ma fille. Et je dois avouer que Teddy me manque, elle me manque terriblement mais j'essaie de ne pas y penser, elle m'a réellement fait mal, je crois que ni Ornella ni sa sœur m'ont fait autant souffrir, mais c'est la règle du jeu en amour .. Sérieux l'amour ça craint. Enfin bref, pour compenser je me voue corps et âme au boulot, ça me fait du bien et ça me permet de penser à autre chose. D'ailleurs un collègue a décidé de se faire muter à l'autre bout du pays, du coup j'ai hérité de ses dossiers et aujourd'hui je dois en voir deux, je n'ai pas encore eu le temps de regarder leur dossier, ni même leur prénom mais qu'importe je vais improviser. D'ailleurs j'ai cru comprendre qu'un d'entre eux avait décidé d'arrêter son traitement, du coup j'ai eu comme 'mission' de faire changer d'avis cette personne, c'est pourquoi la secrétaire de l'hopital lui a donné un rendez-vous aujourd'hui pour voir son nouveau médecin, c'est-à-dire moi. Pour l'heure je m'occupe du premier cas, un homme qu'a un cancer de la prostate, c'est triste mais me dire que je peux aider ces personnes, ça me fait sentir utile. Après quelques longues minutes avec cet homme je décide de prendre le second dossier et d'avancer rapidement dans la salle d'attente, j'ai pris du retard avec le patient précédent mais qu'importe. Une fois dans la salle d'attente je décide enfin de regarder le dossier du prochain patient, ne serait-ce que pour avoir son nom pour l'appeler et là .. Je tombe sur le cul. Je reste quelques secondes avec le dossier en main avant de chercher cette personne dans la salle, nos regards se croisent, mon cœur se met à battre tellement vite .. C'est elle. Je baisse finalement les yeux et je l'appelle. Teddy Scott .. Soupirais-je en attendant qu'elle se lève, n'osant même plus la regarder, préférant jeter un coup d'oeil à son dossier avant qu'elle me rejoigne, le destin me fait vraiment chier.

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Je me laisse couler, je ne vie plus je n’ai plus envie de rien je suis tout simplement malheureuse. Malheureuse à en crever. je ne vais plus en cours, je ne vais plus à mes séance de traitement. Je ne vois plus mes amis, je ne sors plus de chez moi. Je ne fais plus rien. Je n’ai plus envie de rien au final qu’est-ce que je pourrai bien faire dehors. Chez moi aussi je me sens mal mais peut être un peu moins mal car je sais que chez moi je n’aurai pas à le croiser. Je n’ai pas revu Leandro depuis le soir du mariage. Je n’ai eu aucune nouvelle rien. La seule chose que j’ai gardé de lui c’est un pull que j’ai retrouvé dans ma chambre. Ce pull je ne le quitte plus, ce pull me permets de me souvenir que tout ça n’était pas un rêve. Que ce que j’avais eu avec lui était réel. Je reçois beaucoup de coup de fil depuis ma disparition et je ne réponds à personne. Non personne ne m’intéresse. Je sais que je me consume lentement. L’hôpital ne m’a pas trop laissé le choix que d’assister à un rendez-vous avec mon nouveau médecin le mien s’étant fait muté ailleurs. Je n’ai pas franchement envie de le retrouver et de le rencontrer mais je n’ai pas tellement le choix. J’enfile le pull de Leandro et je ne prends pas la peine de me coiffer ou de me maquiller. Le pull est un jean suffisent largement. Je prends ma voiture et j’ai du mal à conduire j’arrive à l’hôpital quelques secondes après. Je patiente dans la salle d’attente jusqu’a ce que j’entende sa voix.. C’est un mirage non ce n’est pas possible. Je l’entends prononcer mon prénom mais non ce n’est pas un mirage c’est lui.. Bordel c’est lui. Je baisse les yeux et me lève automatiquement. Je passe devant lui en essayant de me retenir de pas pleurer. Je m’assois sur le fauteuil en face du sien sans jamais lever le regard. Je veux rentrer chez moi j’aurai jamais du sortir..

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Je ne pensais pas revoir Teddy, surtout pas ici et je ne m'attendais pas à ce qu'elle se laisse aller. Pour moi Teddy est une femme forte qui ne se laisserait jamais mourir, qui se battrait toujours pour les gens qu'elle aime, c'est-à-dire sa fille et .. Gabriel. À la pensée de ce mec une grimace apparut sur mon visage, je suivais finalement Teddy, m'installant à ma place sans dire un mot, un long silence se fit entendre, je lisais son dossier mais mon esprit était ailleurs, je suis perturbé, elle me perturbe. Je suis votre nouveau médecin .. C'est moi qui vais m'occuper de vous à présent, ma carte se trouve à côté de vous, j'suis à votre disposition en cas de souci. murmurais-je bêtement plus qu'autre chose, n'osant toujours pas lever mon regard. J'ai certainement l'air con la tête baissée dans son dossier, mais qu'importe c'est moins difficile que devoir affronté son regard. Je suis tout de même inquiet d'apprendre qu'elle ne vient plus à ses séances, qu'elle ne se soigne plus .. Sa dernière visite date d'avant le mariage, je grimace quelques instants avant de reprendre, toujours en la vouvoyant, c'est stupide je sais mais peu importe. D'après ce que j'ai compris vous ne veniez plus au rendez-vous donnez par votre précédent médecin, quelque chose n'allait pas avec votre traitement ? Lui demandais-je en commençant plus ou moins la réponse, à vrai dire j'ai peur qu'elle se laisse mourir, c'est quand même affreux d'imaginer la femme qu'on aime se laisser tomber au fond de gouffre et étant imcapable de l'aider. Et où en êtes-vous dans votre traitement ? lui demandais-je en levant enfin mon regard, elle n'est pas maquillée, elle a l'air triste, faible, mais bon dieu ce qu'elle est belle. Peu à peu mes yeux descendent sur son pull .. Non, mon pull.

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JPourquoi est-ce qu’il faut que ça m’arrive à moi ? Je n’ai pas mérité un peu de paix ? Non il faut que je continue à souffrir. Parfois je me demande ce que j’ai fais au seigneur pour mériter ça. Pourquoi s’acharner sur une seule personne ? Je ne sais pas mais en tout cas vraiment je commence à ne plus en pouvoir. Je m’installe en face de Leandro et nos regards ne se sont toujours pas croisés. Quand il prend la parole c’est sur un ton totalement professionnel. Il me vouvoie comme si nous n’étions que de vulgaires étranges l’un pour l’autre. Cela m’arrache une grimace. Je n’existe vraiment plus pour lui. Je ne suis qu’une étrangère qui n’existe plus il ne prend même pas la peine de me regarder mais pas grave je ne suis pas capable. « Merci » Dis-je simplement sans prendre sa carte. j’ai son numéro de téléphone je ne vais pas m’embêter et faire genre je ne le connais pas comme il semble le faire avec moi. Je n’ai pas spécialement envie qu’il sache que j’ai laissé tomber le traitement, je ne veux pas qu’il sache que je veux mourir. Mais pourtant je vais bien devoir lui dire. De toute manière au point ou nous en sommes. « Non tout allait bien dans le traitement » C’est dingue hein de voir comment la vie peut basculer en un rien de temps. C’est dingue de se dire que parfois le bonheur peut nous échapper en un claquement de doigts. Il me pose alors la question sur mon traitement je suis obligée de lever les yeux vers lui et je lui réponds le plus calmement et le plus clairement possible « Je ne suis plus sous traitement et ça depuis plusieurs semaines » Lui dis-je toujours aussi calmement. Je vois qu’il a vu pour le pull je me sens tellement gênée. Je me cache un peu avec mon manteau « Je suis désolée je te.. je vous le ferai parvenir dès ce soir » Dis-je en baissant les yeux. C’était la seule chose qui me restait de lui mais je ne veux pas passer pour une fille trop faible.

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Je l'écoute attentivement et peu à peu je comprends qu'elle a abandonnée son traitement, c'est commun chez les patients atteint de cancer, c'est notre boulot et faire en sorte qu'ils changent d'avis, mais je connais Teddy et elle est butée. Je comprend spas pourquoi elle a abandonnée, ça lui ressemble pas. Finalement je regarde son pull, c'est étrange mais ça me fait plaisir qu'elle le porte, ça prouve que même si ce que je ressens n'est pas réciproque, je compte un minimum pour elle. Elle me fit comprendre qu'elle me le rendra, mais non j'en veux pas, de toute facon il lui va mieux à elle qu'à moi. Non pas la peine. disais-je en fixant son regard, comme si j'étais hypnotisé. Je suis pas si con que ça, j'ai bien compris qu'elle arrête de se soigner, qu'elle abandonne et ça lui ressemble pas. Non c'est pas le genre de femme à baisser les bras à la première difficulté. Je vais probablement passer pour le connard de service, ce que je vais faire ne sera pas professionnel mais qu'importe, ça m'énerve et je m'agace vite, j'ai le sang chaud et imaginer cette femme .. Cette femme que j'aime morte car elle a abandonnée, non, ça passe pas. Donc t'abandonne c'est ça ? Sur un coup de tête t'as décidé d'arrêter de te soigner ? lui demandais-je sur un ton beaucoup plus froid qu'avant. Je préfère passer pour le connard de service et lui foutre un coup de pied au cul pour qu'elle se soigne, plutôt qu'être le pauvre gars de service qui n'a rien fait pour elle. Elle va être fière ta fille .. Se dire que sa mère a arrêtée de se soigner, qu'elle n'a pas tout fait pour se battre pour pouvoir rester avec elle. Je pourrais aussi parler de l'autre con, mais j'ai pas envie de parler de lui, je veux pas penser à cet enfoiré qui m'a volé celle que je veux, à deux reprises. Tu veux pas qu'elle soit fière de toi ? Qu'elle puisse dire que sa mère est une femme forte qu'a combattu un cancer ? Lui demandais-je sans lâcher son regard, elle doit se battre, même si ce n'est pas pour moi, elle doit se battre car elle mérite de vivre.

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Je me sens mal à l’aise, je n’ai pas envie d’être là. Je sais parfaitement ce qui m’attend si je reste là. Je vais encore sombrer peu à peu mais au final au point ou j’en suis ce n’est peut être pas plus mal non ? Ses paroles se font b beaucoup moins professionnel d’un coup mais son ton est froid. Je ne m’attendais pas à une étreinte et à ce qu’il me dise qu’il me comprend. Non il ne peut pas comprendre et il a raison de pas comprendre c’est justement ce qui fait qu’il me déteste qu’il ne comprend pas. Par contre je tolère pas qu’on parle de ma fille. Je ne veux pas entendre parler d’elle et je ne veux plus parler de ça. C’est comme ça et pas autrement. « Ne me parle pas de ma fille » Lui dis-je moi aussi sur un ton froid. Je commence à en avoir marre de me faire gueuler dessus comme ça par Leandro. Il me déteste ok pas de souci mais stop. Ma fille ne sera jamais fière de moi peut être je m’en fou mais au moins elle sera heureuse avec quelqu’un d’autre et c’est le principal. «  Ma fille va avoir un an, je vais mourir c’est une question de temps. Alors je préfère qu’elle n’ai pas de souvenir de moi plutôt qu’une multitudes de souvenir sur lesquelles pleurer quand elle sera plus vielle. C’est comme ça et ce n’est pas autrement » Lui dis-je moi aussi d’un ton sec. Je voudrai être claire, je voudrais vraiment qu’il comprenne que c’est terminé, c’est fini je ne veux plus vivre et personne ne me fera changer d’avis. « Peut être que ma fille ne sera jamais fière de moi, peut être qu’elle me trouvera lâche, peut être qu’elle me détestera mais qu’importe je préfère qu’elle me déteste plutôt qu’elle pleure ma mort. Je préfère qu’on me déteste c’est tout » Lui dis-je en croisant les bras. « J’attends mon heure et c’est tout. Je peux rentrer chez moi ? » Lui dis-je en me levant.

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Elle m'engueule lorsque je parle de sa fille, mais elle me connait assez pour savoir que je vais continuer jusqu'à ce que ça marche, jusqu'à ce qu'elle décide de se bouger le cul et qu'elle comprenne que malgré tout, je veux pas qu'elle meurt, que je m'en remettrai jamais. Du coup je lui tiens tête, je l'écoute parler et honnêtement ça fait mal d'entendre qu'elle attend son heure, c'est vraiment n'importe quoi, ce n'est pas elle. Donc ta fille ne mérite pas que tu te battes pour elle ? Ouais je reparle de sa fille et je continuerais de le faire si ça lui fout un coup de pied au cul. Elle me demande si elle peut partir .. Elle pense sincèrement que je vais la laisser partir comme ça ? Faut qu'elle comprenne une chose, j'suis pas Gabriel, même si ce n'est pas réciproque ce que je ressens pour elle, je l'abandonnerai jamais. Non. Lui demandais-je froidement avant d'ouvrir une nouvelle page sur mon ordi pour remplir son dossier, elle va guérir, elle doit guérir et j'ferais ce que je peux pour ça. Je décide de tout reprendre de zéro, ne pas faire attention aux remarques et choix de mon prédécesseur, je veux me faire mon propre avis. On va tout reprendre depuis le début, une nouvelle auscultation, je demanderais à une infirmière de la faire si t'es plus à l'aise avec une femme. On fera en sorte que tu manges sains, etc .. On va reprendre ton traitement du début et on se verra une fois par semaine minimum. Et si t'es pas d'accord j'en ai rien à foutre, si tu viens pas, c'est moi qui viendrai à toi. Et ce n'est pas des paroles en l'air. J'ouvre ensuite mon agenda pour marquer les dates de nos futurs rendez-vous, je lui en veux, elle m'a blessé et brisé le cœur, mais faut croire que je l'aime plus que j'aimerai l'avouer encore, je supporterai pas qu'elle parte pour de bon. Tous les mercredi à 14 heures ça te va ? Lui demandais-je en la regardant droit dans les yeux.

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Je connais Leandro je sais qu’il a la tête dur et je préfère ne rien répondre quand il me parle encore de ma fille. Il commence sérieusement à me gonfler avec ses réflexions il ne peut pas me foutre la paix , je demande pas grand chose juste qu’on fiche la paix. Qu’est-ce qu’il croit ? Qu’il va pouvoir me sauver ? Qu’il va pouvoir me faire oublier que ma vie c’est de la merde ? Non impossible car tout ça c’est à cause de lui. Ou du moins à cause de sa putain de fiancé de merde. J’en ai marre de m’en prendre pleins la gueule. « Tu veux m’occulter ok très bien occulté moi » Dis-je en enlevant mon pull et en lui balançant dans la figure. « Viens, viens tu verras le cancer est toujours là. Il est toujours là et il restera là alors j’en ai rien à foutre de ta nourriture saine, je veux pas te voir une fois par semaine, je ne veux pas que tu sois mon médecin je veux que tu me foute la paix » Lui dis-je là devant lui en soutient gorges. J’en ai marre je suis en colère je suis énervée. J’ai envie de taper dans un mur. « Tu as été clair avec moi tu veux plus me voir tu veux plus rien avoir à faire avec moi alors qu’est-ce que ça peut te foutre hein ? Tu voulais que je sorte de ta vie c’est ce qu’il va arriver » Lui dis-je toujours face à lui je cherche mon pull mais je sais pas ou je lui ai balancé

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Elle s'énerve et retire même son pull, enfin mon pull .. Ce qu'elle dit me blesse de nouveau, elle doit pas se rendre compte à quel point je l'ai dans la peau, à quel point elle compte pour moi et à quel point je l'aime .. J'suis pas Gabriel. lui répondais-je en me levant doucement, m'approchant d'elle sans lâcher son regard. Elle veut passer pour la meuf détruite, mais s'il y a bien quelqu'un qui souffre, c'est moi. La femme que j'aime se laisse mourir, il n'y a rien de pire dans la vie d'un homme, c'est encore plus douloureux qu'entendre qu'elle aime encore son connard d'ex. J'te foutrais jamais la paix .. Je partirais pas. Et ça, faut que ça rentre dans sa tête. Oui elle m'a blessé, oui je lui en veux, mais je pourrai jamais sortir de sa vie, je pourrai jamais l'oublier, faut voir à quel point elle m'a manqué ces dernières semaines malgré tout. Je reste figé devant elle, je la regarde .. Non je l'admire. Putain pourquoi j'suis tombé amoureux d'elle ? Pourquoi j'ai envie de l'embrasser, de la toucher .. Non la vie est cruelle. Mes yeux descendent sur son corps de rêve, j'admire chaque partie de son ventre plat et parfait, avant de fixer sa poitrine, relevant finalement mes yeux jusqu'aux siens. T'as oubliée le soutif. Lui disais-je simplement, continuant de plonger mes yeux dans ses iris.

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Non c’est vrai il n’est pas Gabriel. Il es largement mieux que Gabriel car lui en avait pas grand chose à faire de moi. Je vois bien que Leandro est concerné par ma maladie mais il faudrait vraiment qu’il songe à disparaitre de ma vie comme ça je pourrai disparaitre de la sienne comme il me la demandé. Nous n’avons eu aucune relation lui et moi c’est bien le pire et je crois que c’est bien le plus douloureux dans l’histoire. Enfin bref je suis la face à lui en soutif comme si c’était rien. Il me provoque je sais mais il m’énerve mais en même temps bordel ça me fait tellement de bien de rester dans la même pièce que lui quelques instants. J’oublie alors que nous ne sommes plus rien l’un pour l’autre. J’oublie tout rien qu’une seconde et bordel ça fait du bien. Il me dit qu’il ne me laissera jamais mais ça je le sais et c’est le pire. Leandro sera la jusqu’a la fin à me hanter. il sera toujours là quoiqu’il arrive jamais je ne serai tranquille. Jamais lui aussi sera tranquille malheureusement. « Tu devrais » Lui dis-je froidement le regardant droit dans les yeux. Oui il devrait me foutre la paix. Il devrait vraiment pour sa santé et pour la mienne. Il me dit alors que j’ai oublié le soutif c’est une blague ? Il me regarde droit dans les yeux en plus comme pour me provoquer. « Ok » Dis-je simplement retirant mon soutif devant ses yeux sans rien dire. Voilà je suis seins nue face à lui prends ça dans les dents Leandro et je ne détache pas mes yeux des seins.

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