Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJe ne suis pas l'antidote, je suis le poison (Lucky)
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Je ne suis pas l'antidote, je suis le poison (Lucky)

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Le bureau d'Oks ravagé par Sage et l'appel chargé de remontrances de la présidente Eliot m'avait mis dans une rage folle... Alors bien sûr, Oksanna avait raison : c'était en partie ma faute tout ça. Trop accaparé par mon inquiétude vis à vis de l'état de santé de Noah, trop tracassé par ma récente rupture, j'en avais un peu délaissé la confrérie, laissant le navire sans commandant à la barre, et voilà ce qui arrivait... Ça aurait pu me servir de leçon, j'aurais pu me remettre en question, me dire que je devais être plus présent, plus rigoureux, ne pas laisser mes problèmes personnels entraver ma mission de VP, mais ça aurait été une réaction bien trop mature pour Cole Wildingham. C'était trop me demander... Non, moi, comme à mon habitude, je réagissais comme un gosse : en trouvant un autre coupable à blâmer. Le bureau avait été ravagé par Sage ? Ma dispute avec Kyla avait débuté à cause du texto de Lucky ? Vous noterez que la demoiselle était l'une des meilleures amies de notre vandale. La connexion était facile, mon bouc émissaire tout trouvé : tout était la faute de Lucky... Après notre échange glacé par SMS, j'aurais pu m'en tenir à ça mais j'avais envie de passer un peu plus mes nerfs sur elle, et puis peut être aussi de faire passer un message à sa BF. Il fallait clairement que les Mathers arrêtent de se croire tout permis au sein de la EH. Parce qu’en plus, je venais d’apprendre qu’un bleu se faisait menacé par leur président en personne. Ca allait trop loin. J’étais furieux. C'est donc particulièrement en colère que j'avais demandé à mon chauffeur de me déposer devant l'immeuble où vivait la jeune femme. Je congédiai mon employé d'un petit geste las de la main avant d'entrer dans le bâtiment, de frapper à la porte et de patienter en attendant que la blonde daigne m’ouvrir…  

Hj : je me permets d'utiliser une de tes créations Je ne suis pas l'antidote, je suis le poison (Lucky) 1001568715
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Je ne suis pas l'antidote, je suis le poison.
Dans quel monde vivons-nous donc ? Très franchement, c’était une question que l'Anglaise se posait tous les jours, mais se surprenait encore à ne pas avoir trouvé une réponse acceptable à cette interrogation. Nous étions en fin de journée, Lucky finissait une simple journée de cours comme les autres. Pas d'interruptions, pas de distractions extérieures, et surtout, pas de petites merdes pour venir lui plomber sa journée. Le.BON.HEUR. Regagnant son appartement, elle accrocha sa veste et ses clés direction sa chambre où elle se fit couler un bain. Plutard aux alentours de 19 heures, propre et à l'aise pieds nus, elle venait de recevoir un message de sa meilleure amie, lui annonçant qu'un merdeux d'Eliot avait lancé une rumeur sur elle et Alexander. Bravo, nous comprenons pourquoi les Eliots avaient interdis l'accès à leur maison, ils n'avaient pas les couilles pour assumer, pas la force de lutter, alors ils se cachent. Mais ouiiii craignez-nous bande de snobs. Lucky était un peu sur les nerfs après le message de sa copine et le fait de savoir qu'un Eliot utilisait ce genre de ruse assez bas sur un utérus qui n'était plus de ce monde pour bafouer une réputation, ouai, fallait vraiment être assez naze pour ça. Pour se calmer, elle eut une idée, faire un gâteau et pourquoi pas aller la manger avec Sage et Ashleigh histoire de réfléchir à une éventuelle vengeance. Sage n'avait pas à se justifier, mais la connaissant, elle ne fermera pas sa gueule alors si elle voulait du soutien, Lucky serait là. Comme on dit, mettons la main à la pâte et c'est ce que la mather s'était empressée de faire. Elle voulait oublier aussi les derniers événements qui se sont produits par message avec son altesse Wildingham, roi des cons. Ils étaient en froid depuis et l'étudiante tentait de suivre le conseil de son meilleur ami qui est, de se le sortir définitivement de la tête. Aussi, elle lui rendait un grand service puisque c'est ce que monsieur voulait, n'est-ce pas ? Qu'elle l'oublie, le sorte de la tête, l'évite comme la peste. Mouais... Après trois pâtes ratées, elle soupira presqu'en grognant sur la recette du livre. Elle se demandait où est-ce qu'elle avait foiré, car elle avait tout suivi à la lettre. Au moment où elle nettoyait ses cheveux de toute la farine qui s'y était logée, des coups de porte retentit. Elle fronça les sourcils et s'empressa d'aller ouvrir vêtue d'un mini short blanc et d'un tee-shirt noir mi-ventre et SURPRISEEEEE. Cole Wildingham en personne. Tous les efforts qu'elle s’efforçait de faire pour ne pas le croiser, le voilà qui pointait le bout de son nez. « BIP BIP BIP ! Vous avez un.nouveau.message vocal... Salut Cole, au-revoir Cole. » Et BAM ! Ça, c'était le bruit de la porte qu'elle venait de claquer sur son nez en lui faisant comprendre ainsi, que sa présence était la dernière chose qu'elle voulait avoir depuis leur dernier échange d'sms. Et puis merdeeeeeuh.... Elle retourna en courant pour lui ouvrir de nouveau la porte. Elle tapota des pieds, mais stressée au fond. « Qu'est-ce que t'veux ?. » Ronchonna-t-elle en soufflant sur une mèche de ses cheveux pour la dégager de son visage.

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Hj : Meuuuh fais-toi plaiz Je ne suis pas l'antidote, je suis le poison (Lucky) 1001568715
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 Porté par ma colère, ou par un je ne sais quoi plus insidu que je n’avouerais jamais, me voilà devant la porte de Lucky. Frappant furieusement contre le bois de sa porte, tapant du pied en attendant que la blonde daigne m’ouvrir. Lorsqu’elle le fit finalement, ce ne fut pas sa tenue, pourtant bien sympathique et qui en temps normal aurait ravi mes prunelles, qui me frappa mais bien son look… enfariné. Mes sourcils se froncèrent en détaillant la poudre blanche sur son visage, me faisant aussitôt mentalement tout un scénario qui n’impliquait aucunement de la cuisine, ou un potentiel gâteau… Sauf que je n’eus pas le temps d’analyser davantage la substance qui la recouvrait, que déjà elle énonçait un –au revoir- sous forme de message vocal avant de me claquer la porte au nez. Pas amusé pour un sous, mon sang ne fit qu’un tour. Si déjà j’étais furieux avant, là, sa réaction, son visage cocaïné, sa porte qui se claquait devant moi, ça me rendait dingue. Je levai le poing et m’apprêtai à toquer à nouveau rageusement quand la poignée s’activa une nouvelle fois. Prise de regrets surement, Lucky réapparut dans l’encadrure de la porte, me demandant ce que je voulais. Mon bras retomba le long de mon corps et je serrai la mâchoire pour contenir un peu ma rage. Elle souffla pour dégager une mèche de son visage, mais c’est un petit nuage de fumée qui vola en même temps que ses cheveux. Un rire moqueur s’échappa alors de mes lèvres : « Je t’interromps en plein rail c’est ça ? » Mather = drogué. Je ne cherchais pas plus loin. J’avais cru que Lucky valait un peu mieux, mais au final c’était une défoncée, comme les autres. Ca ne faisait que renforcer ma mauvaise estime et mon idée selon laquelle elle était actuellement responsable de tous les maux de ma vie. « T’en fais pas, je serais bref. Je suis venu de rendre ça. » Je fourrai ma main dans la poche de ma veste de costard et en sortis le fameux soutien gorge égaré lors de sa petite visite surprise. Je saisis sa main et lui collai le dessous dans la paume, avant de la relâcher, histoire de ne lui laisser aucune chance de me troubler par le contact entre nos doigts. « Et j’étais été élu vice président, le règlement est donc passé : tu ne pourras plus jamais remettre les pieds là bas. » lui affirmai-je alors avec un petit sourire mauvais. « Et si ta très chère pote Sage revient à nouveau pour foutre la zone chez nous, je t’assure que vice présidente ou pas, on trouvera un moyen de la faire virer du campus. »
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Je ne suis pas l'antidote, je suis le poison.
En fait, il y a pire que Milo Castellan pour coller des étiquettes à une personne. Il y a le roi des étiquettes, Cole Wildingham. À la différence que, son meilleur ami avait vraiment creusé plus loin que la coke et tout le blabla qui va avec, c'est ce qui le rendait meilleur à Cole. Ses lèvres laissèrent place à un petit rictus suite à une réplique digne de lui. « Si avec un rail on peu faire un gâteau alors oui, tu m'interromps. » Elle soupira et ferma les yeux, une main sur sa hanche et l’autre appuyée sur la porte, elle allait lui faire un petit sermon pour lui faire comprendre les risques que pouvaient courir les hommes insouciants dans son genre qui se frottaient à elle, lorsque soudain, il se saisit de sa main, un contact qu'elle voulait à tout prix éviter et le geste hésitant qu'elle avait fait, en était une preuve. Elle retira aussitôt son bras lorsqu'il la relâcha et dieu soit loué, elle n'avait pas eu le temps de choper un frisson. « T'en as mis du temps dit donc !. » Vous pariez combien que ce petit bout de vêtement l'avait bien enchanté, d'où le temps qu'il a pris pour le lui rapporter. Enfin bref, l'Anglais lui annonça qu'il avait été élu vice-président et qu'elle n'aura dorénavant plus accès à la Eliot. Elle balança son soutif sur sa veste et croisa les bras contre sa poitrine. « Je t'ai félicité pour ce poste et tu m'as clairement envoyé valser alors maintenant ça m'est égale. Puisque je vais t'oublier, te sortir de la tête, tu ne m'y verras plus. Je m'en fiche d'y avoir accès ou pas, je m'en fiche Cole. » Oh la menteuse !. Mais bon, il fallait qu'elle garde la tête haute, qu'elle ne faiblisse pas à sa venue ici, qu'elle ne croise surtout pas ses lèvres. "oui oui oui ne regarde pas ses lèvres Lucky"- pensa-t-elle en secouant rapidement la tête. Malheureusement et heureusement, sa dernière mise en garde contre Sage l'aida à se reprendre. Ce mec était une véritable caricature comique dans ses expressions et ses postures presque burlesques à ses yeux. Comment ne pas rire ?. « Quoi ? T'as pas les couilles de lui dire en face ? T'es obligé de passer par sa pote ?. Ummm, je comprends mieux pourquoi vous avez interdit l'accès à votre maison. » Elle calma son rire quelques secondes pour reprendre avec plus d’assurance. « Et vous vous croyez plus puissant que les autres maisons c'est ça ? Attends, vous vous y croyez vraiment ? Oh gad Cole, vous n'êtes pas impossible à atteindre et vous ne faites encore moins peur à personne !. Vous semez, vous récoltez point !. » Ses bras retombèrent le long de son corps, Lucky était crue, venimeuse, un vrai poison, mais c'était ça, ou bien elle cédait à son envie de presser ses lèvres contre les siennes là toute suite. Maudit soit ces papillons au ventre, cette attirance malgré elle. Et comme sauvé par le gong, une odeur de brûlé se dissipa dans les airs obligeant l’étudiante à l'humer et se rendre compte de sa gaffe. « Merde merde merde !. » Haussant un peu de la voix, elle courra jusqu'à la cuisine afin de retirer du four, sa deuxième tentative de gâteau. Gâteau qui allait lui aussi rejoindre son jumeau à la poubelle. P'tain, qu'est-ce qu'elle avait ce soir ?, elle n'arrivait à rien avec cette foutue recette.

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 J’étais tellement sûr de moi, d’être parvenu à la surprendre en pleine séance de snif snif que sa répartie me laissa un instant perplexe, un air d’incompréhension sur le visage quand elle m’évoque un rail pour faire un gâteau… J’étais pas spécialiste dans le domaine mais les space cake on les préparait avec de la beuh non ? Mais je ne pris pas le temps de lui demander la recette, ou davantage de précisions… Elle était là, devant moi, dans son petit short qui dévoilait bien ses jambes divines, alors je ne pouvais pas m’éterniser. Cole, reprends toi, concentre toi sur la poudre sur son visage, et rends lui son fichu soutif.  Je lui rappelais au passage mon élection et ce que ça signifiait pour elle : portes closes désormais à la Eliot. Aucun étudiant non membre ne pourrait y entrer. Elle marqua un geste de recul, à peine perceptible quand je m’emparais de sa main pour lui remettre le morceau de lingerie. Troublée ? J’aurais presque pu m’en amuser, étant donné le nombre de fois où elle avait cherché à me mettre mal à l’aise, mais je savais que si je cherchais à prolonger le contact, je risquais de perdre à ce petit jeu. Je la relâchai donc et vis le vêtement m’être renvoyé sur le champ. Elle répliqua au sujet de ses félicitations, de ma réponse plutôt aigrie, du fait qu’elle était désormais résignée à me rayer de sa vie, à m’éviter et je repris mot pour mot ce qu’elle m’avait soufflé quant au retour de son soutien gorge : « T'en as mis du temps dit donc !. » Sous entendu à comprendre qu’il fallait qu’on cesse de se fréquenter. Je la jaugeai avec un petit air hautain, contre attaquant au sujet de sa meilleure amie. « Je ne parle qu’aux gens qui le méritent vois-tu… Sage n’en fait pas partie. Je ne m’abaisserais pas à parlementer avec elle. » Mon ton menaçant et mon air rageux ne semblaient pas avoir le moindre effet sur mon interlocutrice ? Pire, elle se marrait. Et ma colère redoublait, surtout quand elle s’attaquait à ma confrérie, et à notre réputation qui selon elle n’effrayait personne. Je fis un pas en avant, m’approchant dangereusement d’elle, le regard sombre : « Vous devriez tous avoir pe… » Sauf que je me coupais quand elle se mit à jurer avant de faire subitement volte face, courant à l’intérieur de son appartement, me laissant quelques secondes là, comme un con, sur le pas de la porte, l’air interdit. Et puis moi aussi, soudain, je la remarquais cette odeur. Je pénétrais à mon tour les lieux pour la rejoindre dans la cuisine enfumée, sans dessus dessous. Mon index s’écrasa un instant sur la table recouverte de poudre blanche, snifant la substance avant de la goûter du bout des lèvres : « Tu faisais vraiment un gâteau… » compris-je enfin alors que la demoiselle s’activait pour sortir de son four son moule carbonisé. « Y’a une pâtisserie qui a l’air très bien en bas de chez toi tu sais… » Sous entendu : je ne comprenais pas les gens qui s’embêtaient à vouloir faire eux même ce que l’on pouvait acheter tout fait. La philosophie Cole en somme… « Attends, donne moi ça, tu vas… » fis-je en m’approchant pour l’aider avec le gâteau cramé. Mes doigts effleurèrent les siens dans la manœuvre. Nouveau contact entre nos mains. Entre nos peaux… Et je terminai ma phrase dans un souffle : « …te brûler… » Mon regard croisa le sien un instant et j’eus soudain le sentiment que c’était moi qui était en train de jouer avec le feu là, en train de me brûler… D’ailleurs : « Aïe ! Bordel ! » jurai-je en posant le plat sur la table en secouant la main échauffée par le plat.  
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« Vaut mieux tard que jamais. » D'autres questions se bousculaient dans la tête de la jeune femme et elle avait franchement envie de toutes les poser, ce qui n’allait pas tarder si elle ne se retenait pas, alors elle sélectionna la plus importante, ou du moins celle qui lui paraissait importante et surtout logique à vrai dire. « Tu ne devrais pas être en train de fricoter avec ta meuf plutôt que d'perdre ton temps à me rapporter un vêtement ou bien menacer ma meilleure amie ?. » Lucky savait comment faire arrêter les gens quand ils commençaient à pousser le bouchon un peu trop loin. « Um bizarre, si tu trouves que Sage ne mérite pas ton attention, alors qu'est-ce que tu fous là ?. Je ne le mérite pas aussi, après tout, je suis une camée, un déchet et blabla, so t'as rien à foutre ici Wildingham. » Sur ces quelques mots, elle l'abandonnait sans lui laisser la chance de poursuivre cette discussion. En réalité, elle espérait qu'il soit déjà parti, qu'elle n'ait pas à essayer de calmer ce tourbillon de passions qui commençait à animer son corps. Se jetant à corps perdu sur le gâteau pour le faire sortir du four, elle fut surprise de le voir encore arriver, de le voir pénétrer dans sa cuisine et surtout, de le voir se rapprocher d'elle pour s'emparer du plat. Leurs doigts se touchèrent et leurs regards se croisèrent et se soutenaient quelques petites secondes. Les mots lui manquaient, sa bouche était comme liée par des chaînes invisibles. La mather était quelque peu troublée. À cause de quoi ? Elle mit cela sur le compte de la fatigue, mais quelque chose d’autre y jouait, elle le savait, mais le refusait. Il la perturbait, la troublait. Comment était-ce possible ?. Et surtout, pourquoi lui ?. Elle sortie soudainement de ses pensées lorsque son interlocuteur lâcha un cri de douleur. Le voyant agiter sa main, la belle anglaise se rapprocha pour l’immobiliser entre ses paumes afin de souffler avec douceur, sur ses doigts endoloris. « Ça va ?. » Demanda-t-elle en continuant de souffler sans vraiment prendre conscience de la proximité qu'elle venait d'installer et surtout, de son geste un peu dangereux. « T'es complètement fou. T'aurais pu... » Ses prunelles se paradèrent sur le visage de l'Eliot et se stoppèrent d'un coup dans les siennes. Se rendant enfin compte de la proximité de son geste, de ses lèvres qui effleuraient presque ses doigts d'une douce chaleur, elle le conduit jusqu'au levier où elle lui rinça rapidement la main à l'eau glacé, puis elle s'éloigna sans lui laisser la moindre chance d'entrevoir un quelconque trouble venant de sa part. « Évidemment que j'essayais de faire un gâteau, je n'allais pas sniffer de la coke jusqu'à m'en mettre dans les cheveux. Eh ho, j'y vais mollo avec ce genre de substance !. » En gros, ce n'est que dans de grandes occasions où elle avait besoin de se lâcher, de se libérer de sa jolie cage de tigresse. « Et comme tu peux le voir, c'est un véritable fiasco ! Pourtant, j'ai obéi au doigt et à l’œil à cette foutue recette. Quant à la pâtisserie près de chez-moi, il ne faut pas toujours se fier à la bouffe extérieur. Aussi, lorsque je suis soucieuse ou énervée, j'aime bien mettre la main à la pâte, ça me détend les nerfs. » L'étudiante regagna la nouvelle pâte qu'elle était en train de faire avant l'arrivé de monsieur et s'empara du sel plutôt que du sucre. Maladresse ou Trouble ? Aha. Elle versa une bonne quantité sur le reste des ingrédients. « Cette rumeur à propos de Sage, elle est complètement fausse. Le bébé était vraiment de Noah. Tu n'as pas idée de ce qu'elle a traversé de tout ce qu'elle a traversé. Je trouve ça vraiment bas de lancer une rumeur pareille et venant d'un Eliot en plus. Ce n'est pas très classe. » Elle haussa les épaules, eux qui se vantaient d'être la classe incarnée et pleins d'autres choses incroyablement chiantes. Ils perdaient carrément en crédibilité. Bref, elle évitait surtout de croiser son regard. Concentrons-nous sur la recette. Oui, la recette Lucky.

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  Elle allait donc enfin me laisser tranquille, ne plus revenir à la Eh, ne plus m’écrire, me sortir de sa tête… Je soulignai le temps mis pour parvenir à ce résultat et elle me souffla un –mieux vaut tard que jamais- Ca devrait me réjouir non ? J’avais gagné, j’allais avoir la paix ? Alors c’était quoi, cette fichue pointe de contrariété au creux de mon ventre ? C’était un signal d’alarme. C’était un message qui hurlait : WARNING WARNING tourne les talons et dégage de là Cole. Surtout que voilà mon interlocutrice qui me questionnait sur les occupations auxquelles je ferais mieux de m’adonner, évoquant Kyla implicitement, ce qui ne fit qu’attiser un peu plus ma rage : « Fricoter ? » Un rire mauvais s’échappa de mes lèvres. « Ouais je devrais aller faire ça… Me trouver de la compagnie pour ce soir… » Je relevais pas le –ta meuf- parce que révéler à Lucky ma rupture, et son rôle dans l’histoire risquait de la faire trop jubiler. Qu’elle se pense rien qu’un peu responsable de notre séparation ça serait lui donner trop d’importance. Sauf que c’est d’une manière détournée que je le fis quand même et malgré moi, lorsque je me lançais dans un grand speech sur le peu d’importance et d’estime que j’accordais à sa meilleure amie, au point de faire donc passer le message par elle, sous entendant donc que Lucky valait davantage mon attention. La demoiselle releva mes propos, avant de conclure qu’elle était au même niveau que sa BF et que donc je ne devais pas rester ici. Et elle s’échappa à l’intérieur en jurant contre son four. Les odeurs de brûlé me parvinrent aussi et je m’introduisis à sa suite jusque dans la cuisine.
Un gâteau. Bordel, elle avait vraiment fait la cuisine, elle était vraiment occupée à jouer avec… de la farine. Je le vérifiais du bout de l’index avant de me rapprocher d’elle pour l’aider à se dépatouiller avec son plat, me brûlant dans la manœuvre. Les doigts de la blonde vinrent entourer les miens et aussitôt, malgré ma peau échauffée qui m’élançait, un frisson me gagna. La douleur. C’était cela la douleur qui me donnait des frissons. Et on évitera de dire que ces frissons avaient quelque chose de délicieux. « Ca va… » répondis-je dans un murmure alors que son souffle caressait doucement ma paume meurtrie. Nos prunelles se télescopèrent alors et Lucky se stoppa dans sa phrase. Je retins ma respiration quelques secondes, troublé par l’intensité de son regard à cet instant précis. « Je voulais juste empêcher que tu ne te brûles… » expliquai-je alors qu’ensuite elle me conduisait jusqu’à l’évier s’occupant de faire couler un filet d’eau froide sur ma main.  « C’est dangereux de cuisiner… » grimaçai-je. L’eau me faisait du bien, mais bizarrement le souffle de Lucky manquait déjà à ma peau… Elle reprit finalement sur cette histoire de farine, précisant qu’elle ne se mettait pas de la coke jusque dans les cheveux, qu’elle y allait mollo avec ces substances. « Tu ne t’en mets pas dans les cheveux, et tu ne devrais pas t’en mettre dans les narines non plus Lucky… Je suis sérieux c’est de la merde ces trucs, tu ne devrais pas y toucher. » Le ton n’était plus au jugement. Plus posé. Un brin paternaliste. Un brin inquiet aussi. Elle qualifia ensuite sa tentative culinaire de fiasco, elle m’expliqua qu’elle aimait malgré tout cela, que lorsqu’elle était soucieuse, énervée, ça la détendait. « Et ce soir tu es quoi ? Soucieuse ? Enervée ? » questionnai-je en la voyant reprendre son saladier, ses ingrédients et se remettre à la tâche. « J’ai jamais fait ça de ma vie… » Un gâteau. Quand on avait une armée de cuistot à son service, forcément on était pas coutumier de ce genre de choses. Alors c’est avec un œil intrigué que je l’observais un instant mélanger sa pâte avant de me reprendre, fermant le robinet, ma brûlure étant bien soulagée : « Je devrais y aller.. » Je faisais déjà un pas vers la sortie d’ailleurs…
 
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Je ne suis pas l'antidote, je suis le poison.
Se trouver de la compagnie pour ce soir  ? Genre c'est vraiment ce qu'elle était en train de penser  ? Qu'il n'était plus en couple  ? Qu'il avait largué sa meuf enfin  ? Loin de se douter en être la première cause. Mais gad  ! Que cette information lui mettait de la chi chiki boom boom au cœur. (Chut Pauline) Est-ce qu'elle était désolé  ? Noooon putain. Au contraire, là pour le coup, il avait réussi a remplacer la colère qui animait son cœur par une joie incroyable. Néanmoins, elle ne devait lui laisser voir que sa vie sentimentale l’intéressait et ou bien qu'elle jubilait grave au fond. Et puis une fois trop proche de lui, elle en oublia tout. Lorsque leurs regards se croisent pour ne plus se quitter, elle se laisse emporter par toutes ces pensées qu'elle avait voulu enfouir. Il ne doit plus s'approcher d'elle, il ne doit pas la voir, il ne doit plus la regarder ainsi. Lucky refusait qu'il chamboule ses plans pour ne jamais se laisser avoir par un homme, distraire ou bien pire encore, tomber amoureuse. Cependant, elle ne pouvait nier que lorsque son regard croisait le sien, elle avait le cœur qui battait très vite. Elle le détestait aussi pour ça. De lui donner des papillons au ventre, de la troublée au point de se tromper entre le sucre et le sel. C’est dans ce genre de moment que son envie de partir en courant était la plus forte, mais merde, elle était chez elle. La mather faisait vraiment de gros efforts pour ne pas craquer et fondre lamentablement sur ses lèvres. « Et c'est toi qui te brûles à ma place... » Grogna-t-elle presque comme une remontrance. « Je n'veux pas que tu te brûles par ma faute. » En même temps c'était déjà fait non  ? Elle l'avait brûlé en détruisant son couple. Ou peut-être qu'au fond, elle lui avait rendu service, elle l'avait délivré d'un poids lourd et si ça se trouve, son ex avait peut-être fait quelque chose sur lui, sait-on jamais ein. Une fois devant son saladier et ses ingrédients, l'Anglaise pouvait enfin reprendre une respiration normale et pouvait aussi se détendre. Elle fronça les sourcils déconcertée par la surprise que lui offrait l'eliot. De l'inquiétude à son égard. « S'teuplait pince-moi histoire de voir si je ne rêve pas...quoi que non, laisse-moi rêver encore Wildingham. » Il s'inquiétait vraiment ou bien c'était juste un de ses fameux plans pour avoir sa compassion. Elle n'était pas dupe. « Pourquoi t’inquiéterais-tu pour ma personne  ?. » Bonne question  ! Et d'ailleurs très curieuse d'en savoir la réponse. Réponse que peut-être lui-même n'en n'avait pas. Elle se racla la gorge et poursuivit les yeux rivés dans son saladier. « Ce soir  ?... Ummm, je ne sais pas. En fait si... Depuis quelques minutes je suis bien... Tranquille et toi ?. » Sous-entendu depuis qu'il était là. Néanmoins, elle s'avisait de divulguer qu'elle était troublée aussi, énormément même. Parce qu'il jubilerait au fond et elle ne voulait pas lui en donner l'occasion pour l'instant. Elle continua d'éviter son regard lorsqu'il avoua n'avoir jamais essayé de faire un gâteau et le contraire l'aurait grandement étonnée. Puis, il ferma le robinet et décida de s'en aller. « Ne le retiens pas Lucky, ne le retiens pas, ne le retiens pas.... » Se le murmurant à elle-même, combattant son envie de le stopper. « Et puis merde  ! Cole  !. » Cria-t-elle un peu trop fort comme si sa vie en dépendait. « Ahem... J'voulais dire, Cole... » Elle se reprenait d'une voix plus petite en grimaçant. T'es Grillée. La demoiselle se rapprocha de lui et glissa sa main dans la sienne. « Reste. » Un simple mot, mais pas d'objection. Elle était vraiment sérieuse et ce n'est pas son regard qui prouverait le contraire. « C'est amusant... Tu sais, faire la cuisine. » L'étudiante le guida jusqu'au saladier. « Ne t'inquiète pas pour moi, je ne vais pas aller jusqu'à faire une overdose. C'est comme l'alcool, lorsque t'en abuses pas, tu ne risques rien. Et moi j'en abuse pas. » Elle ne savait pas pourquoi elle le rassurait, mais elle ne mentait pas. Ce n'était pas une droguée dernier stade, non, elle, c'était une droguée de la life, oui. « T'es plus avec elle  ?. » Genre Kyla machin chose, mais osef. « Je ne devrais pas dire ce que je m'apprête à dire, mais je m'en fiche, je vais le dire quand même. » Parce que nous savons tous que Lucky c'est Lucky, femme de caractère, elle se fichait de tout et pas pour le moindre sentimentale jusqu'à devenir gnan gnan. « Je n'suis pas triste, je suis...heureuse de te savoir libéré. » ET ENFIN ! plus de laisse, plus de chaîne, plus de je ne sais quoi et lui-même se sentira plus libre à présent. « Qu'est-ce que vous avez tous à chercher l'exclusivité  ?. Et tu sais... » Allez ma grande, ne perd pas de temps. « J'étais sérieuse lorsque je disais que toi et moi pouvions êtres beaucoup de choses sans se prendre la tête avec des formalités et des règles à la con. » Fit-elle en penchant la tête sur le côté histoire de chercher son regard et de lui tirer la langue au passage. Postée derrière lui, elle glissa ses mains sur les siennes et les plongeaient dans le saladier. Ahalalala, je ne vous raconte pas les istok de frissons qui la submergeaient. « Il faut que tu pétris bien...imagine que t'es en train de malaxer une paire de seins...encore mieux...les miennes. » Bahhhh quoiiiii  ?. La miss laissa échapper un rire avant de reprendre tout en l'aidant à pétrir la pâte. « Je sens qu'elle ne va pas s'en sortir vivante cette pauvre pâte. » Avec elle qui ne s'en sortait pas et lui qui n'avait jamais cuisiné de sa vie.

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  C’était parti pour être une engueulade, un règlement de compte, j’étais censé être en colère non ? Puis je ne savais pas comment ni pourquoi, enfin si c’était ce fichu gâteau cramé qui nous avait mené là, mais Lucky soufflait sur ma main, et sur ma colère, l’éteignant en un clin d’œil. Je n’étais plus aussi remonté, j’étais troublé… C’était cette proximité, c’était juste ça, quoi d’autre ? Elle affirmait ne pas vouloir que je me brûle par sa faute. « Trop tard… » Au sens littéral, parce que ma peau rougie m’élançait. Au sens figuré, parce que je venais de me séparer de ma copine. Kyla et moi nous nous étions séparés sur des éclats de voix et l’origine de notre dispute ça avait bien été les sms de la blonde qui se tenait près de moi. Au sujet de la farine, que j’avais précédemment pris pour tout autre chose, une substance illicite plus dangereuse, j’étais bizarrement rassuré de savoir qu’elle n’était pas en train de se défoncer avant mon arrivée, mais inquiet malgré moi par sa réponse. Ce n’était pas un franc –je ne touche pas à ça- mais plutôt un –j’y touche de temps en temps-. Alors forcément, ça me fit tiquer et elle le nota, et l’interpréta comme de l’inquiétude. « Je m’inquiète pas je… » J’étais pris de court là, fallait trouver quelque chose à dire, parce qu’hésitations et bégaiements ça n’allait faire que lui prouver qu’elle avait raison. « Je n’ai pas envie que tu fasses une overdose là devant moi… J’ai pas de formation aux gestes et soins d'urgence… » L’excuse la plus bidon jamais sortie.  Parce que le –j’ai pas envie que tu fasses une overdose- tout court aurait suffit, mais ça aurait eu un sens plus fort.  Elle s’affairait sur son saladier et avouait que c’était un passe temps pour se détendre en cas de soucis ou d’énervement, alors c’était quelle option ce soir ? Elle me surprit en dévoilant qu’elle était, depuis quelques minutes, bien et tranquille… Avant de me retourner la question : « J’ai un peu chaud à la main… » répondis-je à mon tour en secouant sous l’eau ma main qui m’élançait encore un peu. J’avais bien compris le sous entendu de ses paroles, mais si je me lançais moi aussi là dedans, si je commençais à lui avouer que j’étais content de l’avoir suivi ici, content de m’être brûlé, content d’être toujours là d’ailleurs, ça allait nous mener tout droit aux ennuis. Il fallait que je m’en aille. Je coupai l’eau, je me dirigeai vers la sortie, mais sa voix retentit, prononçant mon prénom. Je fis alors volte face et elle me demanda de rester, venant glisser sa main dans la mienne. « Tu sais que pour me retenir une soirée casserole c’est pas ce qui marchera le mieux hein… » rigolai-je, petit rire nerveux hein, parce que sa main dans la mienne aurait suffit en soit à me faire flancher. Pas besoin de faire semblant de vouloir me donner des cours de pâtisserie. Quoique… Je me laissai guider vers le saladier, curieux, intrigué alors qu’elle ramena le sujet sur ses addictions. « J’aime pas ça c’est tout… Ne me demande pas te cautionner ça. » L’Eliot rigide, intransigeant, ou bien le garçon inquiet pour la santé de la blonde ? Elle l’interprétait comme elle voulait. En attendant, je regardais un peu septique le saladier, la cuillère, le bazar sur la table, me demandant un peu en quoi j’allais pouvoir l’aider pour son gâteau et surtout comment j’allais faire pour ne pas tâcher mon costard sur mesure… D’ailleurs… « Je vais enlever ça.. » soufflai-je en retirant ma veste pour aller la poser sur le dossier d’une chaise un peu plus loin avant de revenir vers ma prof de cuisine de la soirée. « C’est plus prudent… Vu tes apparents talents culinaires. » expliquai-je sur un ton quelque peu taquin. Et c’est ensuite sur autre chose que la blonde ramena la discussion. Kyla. Sans prononcer son prénom, juste en me demandant si elle avait bien compris, si je n’étais plus avec elle. C’était le moment de mentir, de feindre toujours l’entente parfaite, le couple épanoui. Et pourtant, c’est avec franchise que je lâchai : « On est séparés. » Pas de précisions sur les conditions de la rupture, encore moins sur son rôle à elle dans tout cela. Et forcément, l’annonce de mon célibat la ravissait. Au début c’était un discours peu ambigu sur ma liberté retrouvée, discours qui provoqua d’ailleurs l’apparition d’un petit sourire amusé sur mes lèvres, sourire qui s’élargit lorsque je rectifiais sa question : « Je dirais qu’est-ce que vous avez TOUTES à chercher l’exclusivité… » En d’autre mot, ça avait été à l’initiative de Kyla, cette obsession de l’exclusivité… Même si je n’avais jamais aimé l’idée qu’un autre puisse la toucher. Mais on n’eut pas vraiment le temps de débattre sur ça, parce que la mather s’amusait ensuite à reprendre cette idée selon laquelle nous pourrions bien nous amuser, elle et moi, me tirant la langue, avant d’accompagner ses mots en saisissant mes mains et les guidant vers le saladier. Mes paupières se fermèrent un court instant, me laissant prendre au jeu un instant, imaginant autre chose que cette pâte gluante entre mes doigts… « C’est un peu plus ferme normalement. » corrigeai-je en rouvrant les yeux, et en tournant la tête vers elle, je précisais : « Enfin dans mes souvenirs ils sont plus fermes, je ne suis plus tout à fait sûr, faudrait que j’aille tâter pour vérifier… » lançai-je avec un air malin avant de me retourner pour faire glisser mes doigts gluants de farine et autres ingrédients collés à ma peau le long de son décolleté…
 
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Je ne suis pas l'antidote, je suis le poison.
Lucky commençait à se poser des questions, et si la cause de leur séparation avait commencé par son sms ? Et si Kyla était tombée dessus ?. Elle secoua la tête, impossible. Cole aurait surement envoyé tout ça à la corbeille vite fait. « T'aurais quand même dû me laisser me brûler, ça aurait fait un petit bobo et basta. » Ça aurait pu la brûler à son tour, une petite punition par rapport à la séparation du jeune homme avec son ex. Pas qu'elle s'en voulait, loin de là, elle était heureuse de pouvoir le compter parmi les célibataires à nouveau. « N'essaie pas de te justifier, t'es grillé Wildingham. » Et pour accompagner ses mots, elle haussa trois fois de suite les sourcils. N'empêche qu'elle fût heureuse de le savoir inquiet pour elle, car quelque part, cela voulait dire qu'il tenait un minimum, soit peu à elle, si ce n'est pas un maximum. « Pourtant, je suis certaine qu'avec un seul baiser, t'es capables de me ramener chez les vivants. » Murmura-t-elle d'abord pour elle-même, mais pas assez bas pour que l'eliot ne puisse pas entendre. Et c'est aussi avec la plus grande sincérité qu'elle répondit à sa question de savoir dans quel état d'esprit se trouvait-elle ce soir. Elle aurait beau faire preuve d'une colère sans nom, mais aussitôt à la vue de l'eliot, toute cette colère disparaissait comme si elle n'avait jamais existé. Il était comme un calmant, un peu comme sa drogue, et même mieux que ça. La belle s'en étonnait même à le penser. Sauf que devant les gens, elle faisait mine de le détester, le mettant dans le même sac que les autres et c'était mieux comme ça... Mieux pour leurs confréries respectives qui sont vouées à une guerre sans merci et sans fin. L'anglaise ria à sa réplique et pourtant, il était encore là, elle avait réussi à le retenir ce soir. « Moi, j'crois le contraire. Peut-être qu'à compté de ce soir, tu te découvriras des talents culinaires, ou bien même, tu kifferas un peu mieux la cuisine. » Cole était peut-être le genre d'homme à se faire servir comme un roi, mais par moment, on y trouvait du plaisir à se servir seul. Cependant, il devenait plus strict lorsqu'il s'agissait de parler de drogue et connaissant le danger que représentait cette substance, elle ne pouvait pas lui en vouloir. Un danger oui, mais uniquement lorsque l'on en abusait. « J'te le demanderais pas Cole... Mais ne me demande pas d'arrêter un coup comme ça, à moins qu'elle soit remplacée par quelque chose de mieux, quelque chose qui prendra sa place et qui m'en fera oublier tout envie d'y toucher. » Comme toi par exemple. Oui, qu'il devienne sa drogue et elle lui fera la promesse de ne plus y toucher, après tout, mather ne voulait pas dire uniquement droguer... Mais merde qu'est-ce qu'elle racontait la meuf ?. « Et la cause ?. » Pour le coup, elle était bien curieuse de connaître la cause de sa séparation. Elle voulait vraiment l'entendre dire qu'elle en était la cause. Car ce serait vraiment dommage que ce soit pour autre chose ou bien pour quelqu'un d'autre. « Si je suis encore célibataire, c'est que je n'suis pas de celles qui cherchent l'exclusivité et tu sais pourquoi ? Justement pour ça... Pour ne pas avoir à subir une peine de cœur, une séparation... J'crois que j'en ai assez souffert par le passé et je refuse que ça se reproduise une fois de plus. Alors j'ai dit stop. Stop à l'exclusivité, stop aux sentiments. » Et toi la, tu viens me chanbouler tous mes plans. T'es le mal Cole Smythe-Wildingham. T'es le mal. « Et puis oh ! Ne traîte pas mes talents culinaires tu veux ?, j'aurais fait une très bonne femme au foyer dans un autre monde. » Elle grimaça en lui donnant une légère tape à l'épaule avant de le laisser se familiariser avec la pâte. L'obligeant à lui faire imaginer ses seins entre ses paumes. Chose qui lui donna une petite idée perverse visiblement. « Ahhh non non... Ce n'est pas une bonne id... » Trop tard. Il venait de poser ses doigts remplis de pâte gluante sur son décolleté. « J'crois que tu viens de signer ton arrêt de mort là !. » Elle plaqua le jeune homme contre la paroi du plan de travail, capturant son regard pour qu'il ne se doute de rien, approchant ses lèvres à l'entrée des siennes comme si elle allait l'embrasser. Puis, elle attrapa un poignet de farine qu'elle éparpilla sur les cheveux de l'étudiant avant d'éclater de rire et de s'éloigner de quelques pas par pure précaution. La mather fit mine de le détailler du regard. « J'crois que même 50 ans plutard, avec les cheveux blancs, le visage tout ridé et la canne à la main, tu seras toujours autant sexy. » Allusion à ses cheveux blancs due à la farine.

FAIT AVEC AMOUR PAR WILD HEART.
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