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Salut... toi - Annabeth

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Salut... Toi. ft Annabeth
-Tu te parles tout seul?  
- …Ya personne d'autre qui me réponds.

•••

Tu peux lui dire Ez. C’est Beth. C’est elle qui parlait avant. Tu sais presque tout sur elle.
     Oui mais je ne connais que La « elle » d’il y a 5ans…
Oui mais Il n’en reste pas moins que tu la connais. L’accident de sa mére. Son pére . Sa belle mére . Le choix pour la fac. Ses aspirations. Ses gouts. La petite fossette que t’as remarqué quand elle rit seulement avec les yeux. Celle qui la trahit quand elle se moque de toi…
Tu étais assez proche d’elle avant.
     Avant
Tu l’as perdu parce que tu n’as pas essayé de la garder.
     Je ne peux garder personne de toute façon.
Tu n’a même pas essayé.
     Je ne peux pas
Tu vas la perdre … encore. Si tu ne fais rien.
     Je vais la perdre peut importe ce que je fais.
Essaie.
     Et si elle ne m’accepte pas ?
Elle ne t’accepte déjà plus.
     Etre un bagarreur vaut mieux qu’être un psychopathe.
Tu n’es pas psychopathe tu as juste une condition.
     Tu joues les psys maintenant.
C’est toi qui la retiens. Alors Parles !

" Bé … ”
Parles !
"La vérité… est beaucoup plus compliqué… ”
T’es con
" Je n’ai pas été arrêté, ce n’est pas « ça » qui m’a handicapé au bac”
C’est un bon début
"… Je veux … t’en parler. Mais tu dois me laisser un peu de temps ”
Elle te déteste, elle n’aime pas la violence.
Et tu la fais fuir. Encore.
" Tu dois juste … me laisser un peu de temps. ”

Pries Ez’.

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Salut... toi
Beth, elle est là, stupéfaite, statufiée de sentir ainsi la main d'Ez' la retenir de la sorte, elle croit s'imaginer des choses. Elle en est même rendu à avoir peur de tourner la tête et de réaliser qu'en fait, c'est un camarade de sa classe qui la retient pour lui parler d'un devoir ou l'autre. Alors, elle reste silencieuse, parce qu'elle redoute de parler, de réaliser qu'elle s'est fait un faux espoir. Sauf qu'il parle, qu'il lui donne ce surnom, son surnom, le seul qui l'appel ainsi, la seconde lettre de l'alphabet... Elle ferme les yeux, se détend, soupire un peu, de le sentir enfin la retenir un peu. De ne plus juste être la Californienne qu'il n'a jamais retenu. La blonde se retourne vers lui, le regarde, attenant, désireuse quand même d'avoir des explications, parce que ce n'est pas qu'un simple geste, une simple lettre qui va lui faire passer l'éponge sur tout. Elle l'écoute et ne peut s'empêcher de froncer les sourcils. "Du temps." Répete-t-elle alors avant de se libérer de son emprise de s'écarter encore de lui. "Cela fait cinq ans que je t'en donne. Quand est-ce que tu me parleras réellement hein ? Quand est-ce que t'arrêtera de porter ce masque avec moi ? Que tu me montreras que je compte ou moins un peu pour toi hein ? " Elle le regarde, blessée, elle a l'impression d'avoir fait un bon dans le temps, de replonger cinq ans en arrière, au moment de leur dernier échange, avant qu'elle ne parte. Elle se recule encore. "Je peux plus t'en donner Ez. Je veux plus." Murmure-t-elle avant de s'écarter à nouveau de lui, pour fuir, pour ne plus souffrir encore, parce que pour elle, une relation avec lui ne mènerait nulle part. Et elle fuit alors, en courant, serrant son sac entre ses bras. Il vient encore de la mettre mal. Réellement.
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Salut... Toi. ft Annabeth
-Tu ne vas rien dire n’est ce pas ?
- …

•••

" Cela fait cinq ans que je t'en donne. "
"Bé"
Il répète encore ce surnom. Celui qu’il lui avait trouvé, quand elle l’a informé que tout le monde l’appelait Beth, que c’était le diminutif qu’on lui attribuait, mais qu’il ne voulait pas être comme tout le monde.
Il lui avait choisit un surnom spécial. B. Son initiale. Avec une touche française… un accent, un ajout à son prénom.
Il avait été fier de lui de trouver une telle idée.
La c’était son moyen à lui, de lui rappeler encore qu’ils avaient été proches.
Ca ne semblait pas marcher, pas quand elle lui fait comprendre qu’il l’exaspère. Qu’elle l’attend depuis leurs dernière rencontre .

Ce rappel le replonge dans cette époque, avant son départ, quand il n’avait pas su quoi faire. Il avait été tiraillé entre ce qu’elle lui demandait … de l’amour… de l’amitié… un semblant de sentiment. Et ce qu’il pouvait donner…
Hors il ne pouvait rien donner, on le lui avait assez répété pour qu’il le sache.
Raison pour laquelle, après une semaine sans la voir, il avait demandé ou elle était et on l’avait informé qu’elle était rentrée aux états unis. Il s’était sentit tellement coupable qu’il avait essayé … pour voir… de ressentir la peur de la mort.
Aucune logique quand il y avait repensé par la suite. Stupide même. Con.

Voilà pourquoi il n’avait plus envie de refaire la même chose aujourd’hui. Aussi, la laissant terminer de le marteler de ses mots, il s’approche d’elle en une enjambé pour combler l’écart qu’elle avait laissé entre eux, pose les mains de part et d’autre de ses épaules et se penche vers elle, jusqu'à ce que leurs yeux soient au même niveau :
"Tu veux savoir Beth ? "
Pas de surnom cette fois. Mine de rien, ce qu’elle lui demandait l’avait assez mis en rogne pour qu’il resserre un peu sa prise sur ses épaules.
Un peu.
Ca reste Beth.
"Tu veux que je te raconte ce qui est arrivé depuis cette période ? Où est ce que j’ai passé les 5 dernières années ? "
Il allait lui parler de la bête qu’il est, comme pour lui prouver qu’elle n’aurait jamais du le lui demander.
" Je l’ai passé dans un asile."
Le mot était prononcé il ne pourrait plus le reprendre, n’en avait pas envie, voulait juste fixer ses yeux certain de voir la peur et le dégout se peindre dessus
" Tu veux que je te dise ou est ce que j’ai passé la deuxième semaine après ton départ de France ? "
…Ou alors il voulait juste qu’elle le comprenne …
"Je l’ai passé à l’hôpital. J’ai essayé de me tuer, juste pour ressentir quelque chose… n’importe quoi ! "
Il avait presque crié la dernière phrase, il était à bout. En avait marre… Elle n’avait plus de temps à lui consacrer… Elle venait tout juste de le dire…
"Tu veux savoir pourquoi ?"
Sa voix est froide, alors qu’il boue à l’intérieur. Dans ce couloir désert, ou il était seul, ses mains agrippant les épaules de la jeune femme
"Parce que je suis comme ça ! Je ne ressens rien… Tu comprends Annabeth ?"
C’est comme s’il avait repris leur dispute de 5 ans plus tôt. La dispute où il n’avait rien dit. L’avait juste entendu l’assommer de mots. L’avait laissé filer.

L’ironie !  Il n’avait rien dit, elle était partie. Il est entrain de parler, elle allait en faire de même.  

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Salut... toi
"Tu me fais mal Ez..." Murmure-t-elle à cause de la poigne du jeune homme sur ses épaules, parce que c'est douloureux, parce qu'il m'est trop de force et que soudainement, elle a un peu peur de lui, parce qu'il ne s'est jamais montré comme ça, si expressif et si violant en même temps, alors qu'il lui parle, se livre à elle et lui balance de nouvelle connerie. Elle relève maintenant ses mains vers les poignets du membre du personnel d'Harvard, pour essayé de lui faire lâcher ses épaules, sa poigne augmentant encore. Ne réalise-t-il pas qu'elle est toute fine, que dès lors, lui faire mal est assez facile ? Qu'elle n'a pas de 'graisse' pour se protéger en quelque sorte ? Elle va avoir des bleus, à cause de lui, à cause de sa prise sur ses épaules... Pourtant, même si elle cherche à lui faire lâché prise, elle ne va pas fuir, pas alors qu'il lui parle enfin un peu de lui. Son regard soutenant le sien, même s'il lui fait peur, mais pas à cause de ce qu'il dit, non, à cause de ce qu'il fait. Elle a du mal à réaliser ce qu'il lui dit, à y croire en réalité. "Tu mens." Encore une fois, elle ne le croit pas, parce qu'il se moque d'elle, une nouvelle fois, comme si une fois n'avait pas suffit, comme s'il ne pouvait faire que ça au final, porté un masque devant elle. Elle le regarde et dieu seul sait à quel point elle aimerait lui retirer ce masque, pour voir enfin le vrai lui, pour voir à quoi il ressemble réellement, qui il est au fond, arrêté de se retrouver confronté à un menteur, retrouver le lui d'autre fois en quelque sorte, parce que dans le passé, ça lui semblait plus simple, beaucoup mieux, mais c'est toujours comme ça avec le passé, on retient soit le pire, soit le meilleur. Et là, c'est ce qu'elle a fait, comme tout être humain. Elle détourne alors la tête. "Je sais pas pourquoi tu me mens autant maintenant, pourquoi t'essaies de me prendre pour une idiote à ce point, mais arrête, dis simplement que tu ne veux pas me le dire, ça sera plus simple que dire n'importe quoi." Lui murmure-t-elle alors, la voix un peu brisé, parce qu'il est encore entrain de lui faire du mal... Encore une fois.
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-Maintenant c'est toi qui va partir.
-... Je ne sais pas.

•••
Dés qu'elle détourne la tête, rompant le contact de leurs yeux, il se rends compte pleinement de ce qu'il vient de faire. Et de comment elle à réagit.
Il s'éloigne légèrement pour commencer. Comme si cette réaction et ces paroles lui avaient donné un coup. Puis détache lentement sa prise. Il l'avait peut être un peu trop violenté... Peut être.
vu qu'elle avait essayé de se dégager.
Il s'exécute à cette demande muette. Un peu trop affecté pour continuer a la tenir dans ses bras. Tu mens qu'elle avait dit. Pourquoi tu mens a t elle demandé.
Il la lache, et fait un mouvement pour s'éloigner. La rage qu'il ressentait, est toujours aussi présente dans son corps, mais l'accusation de Beth l'obligeait à prendre une distance.
"Pour la premiére fois depuis que je te connais, c'est ce que je suis entrain de faire "
Le fait qu'elle ait retourné la tête, qu'elle l'ait traité de menteur cette fois... Voila ce qui lui faisait mal. Quand elle l'avait fait pour l'histoire qu'il avait inventé, il avait trouvé ça sympa... Elle ne le penses pas violent c'est super.
La... Il vient d'avouer la vérité de sa condition... Elle le croit encore moins.
Comment est il censé réagir à cela?
"Ce que je te raconte est pure vérité. Tu voulais savoir? Voila. "
Il se passe la main sur le menton, puis les croise, mécanisme défensif pur. S'il avait eu des sentiments il aurait dit qu'il ne voulait qu'elle lui fasse mal... mais il ne ressens rien. Heureusement?
"Voila pourquoi je suis ici en tant qu'Assistant. Et pas étudiant. "
Se reprends un peu, en apparence.
Seulement en apparence parce que ... il ne sait plus... La rage... le dégout de lui même... un mix qu'il ne reconnait pas.
Du moins pas aussi attisé.

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Salut... toi
La blonde s'écarte un peu de lui, le fuyant en quelque sorte, pour ne plus qu'il le touche, pour ne plus qu'il lui fasse mal, parce que c'est clairement ce qu'il lui a fait avec sa poigne sur ses épaules, mais aussi avec ses mots, ses paroles qu'elle ne peut pas croire, parce que tout montre le contraire... Elle le traite de menteur, alors qu'il s'en défend, disant que pour la première fois, il est sincère avec elle, que là, il lui dit la vérité. Elle tourne la tête vers lui, à nouveau, le regardant, avec dureté, blessée. "Non. Tu mens !" Répete-t-elle parce qu'elle ne peut tout simplement pas le croire, ses mots et ses gestes ne s'accordent pas le moins du monde. Il se moque d'elle, de ce qu'elle ressent, encore une fois et cette fois-ci il fait bien pire que par le passé. A croire qu'en réalité, elle est son souffre-douleur. Qu'il l'apprécie que quand elle est mal. "Je peux pas te croire !" Précise-t-elle finalement. Elle cherche à se calmer un peu, à calmer se qu'il se passe dans sa tête, ses pensées qui l'assaillent, lui disent de partir, de fuir loin de lui tant qu'il est encore temps, avant qu'il ne lui face encore du mal, qu'il n'en fasse d'avantage plus tôt. "Un mec qui pas de sentiment, il m'aurait pas retenu là ! Il m'aurait laissé partir ! Il ne m'aurait pas agrippé avec force comme tu biens de le faire ! Il aurait pas crié des mots ! Il en aurait rien eu à faire de tout ça ! Il aurait rien fait ! Alors non ! Je peux pas te croire quand tu me dis que t'as pas de sentiments !" Elle lui balance cela à la figure, désespérée, désemparée aussi. Elle est mal, cela se voit, s'entend aussi à sa voix qui devient un peu plus aiguë parce qu'elle se retient de craquer, qu'elle lutte contre les sentiments qu'elle ressent pour lui, se désir de le fuir pour aller mieux.
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Salut... Toi. ft Annabeth
-Pourquoi tu me fais ça ?
-... Pourquoi pas?

•••
A chaque mot qu'elle prononce quelque chose en lui ... s'eveille... il l'associe comme toujours a cette rage qu'il adore attiser d'habitude.
Il n'avait pas mentit en parlant de bagarres de bar, il n'avait juste jamais fait pire que remballer un mec qui tourne beaucoup trop autour d'une connaissance, il n'a jamais touché à quelqu'un sur qui il avait l'avantage, et avait toujours ... toujours .. apprécié le sentiment de rage que cela lui faisait ressentir. Sans jamais comprendre comment il pouvait la ressentir.
Alors il s'y attachait comme une bouée. Quand il le pouvait.
Comme tout de suite, quand elle lui répéte qu'il ment, il a envie de hurler, de lui crier qu'il ne mens pas. Elle le faisait rager.
Ou peut être...
Elle continue dans ses paroles, ses accusations de mensonge : Qu'un mec sans sentiments ne l'aurait pas retenus, n'aurait pas crié, n'aurait rien fait...
Et il se trouve sans voix. Sans savoir quoi répondre...
Il s'approche d'elle, trés prés. Rapprochant son visage. Se penchant en avant. Il pose la main gauche sur le mur derrière elle, à coté de sa tête .
Il ne sait pas pourquoi il agit ainsi. Pour ainsi dire et depuis le début de cette conversation, de cette rencontre il ne sait pas du tout ce qu'il fait. Il veut juste la regarder droit dans les yeux, voir au fond de son ame, lire encore la peur et le dégout qu'il inspirait a tout le monde.
Et répondre, d'une voix contenue, posé et froide.
"Ce que je te dis, des dizaines de psys me l'ont répété depuis que j'ai 8 ans. Tu t'imagine ce que ça fait de s'entendre dire qu'on n'est pas normal? Eh bien moi oui. Ca ne fait rien. Parce que je ne ressens rien. C'est le vide. Total. "
Il sent sa voix s'étrangler, se rappelle de ce qu'elle lui à dit "Un mec qui pas de sentiment, il m'aurait pas retenu là"...Il rajoute le timbre de voix changé
"Sauf... avec toi. "
Il remonte l'autre main, prés de la joue de Beth. Appréhendant sa réaction, il ne la touche pas.

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Salut... toi
La jeune femme est désespéré, à cause de lui, parce qu'il lui fait du mal s'en sans rendre compte. Il joue avec elle, comme Scar joue avec la souris au début du roi lion. Il s'amuse, comme si elle était une faible petite chose, sa proie, son jouet, sa poupée. Sauf que la blonde, elle n'est pas ça, elle n'est pas sans vie, sans réaction, sans sentiments comme lui, dit l'être. Elle n'y croit d'ailleurs pas, parce qu'il n'est pas un robot, il n'est pas une intelligence artificielle qui ne comprend rien à ce que sont les sentiments humains, non, il les connait, les ressens, peut importe ce qu'il peut bien dire, il ne peut pas être tel qu'il se décrit, alors elle l'insulte de menteur, encore une fois. La danseuse refuse cette image la de lui, parce que ce n'est juste pas possible.

Son regard rivé dans le sien, alors qu'il s'approche d'elle. Elle retient son souffle, non pas par peur de lui, parce que même s'il vient de la violenter un peu, elle pense, elle croit en lui, elle est persuadée qu'il ne fera rien de plus, qu'il ne lui fera jamais de mal volontairement et là, il agit consciemment non ? pas comme tout de suite où, il n'a pas réellement réalisé la poigne qu'il avait sur elle. Elle se recule et se heurte contre le mur, alors qu'il s'appuie dessus, juste à côté de son visage pour l'impressionner dans un sens, la dominer... Elle l'écoute alors, n'appréciant guère les mots qu'il dit encore. "Et alors ? Si je te répètes pendant 10 ans que les chevaux sont roses, tu vas y croire ? Alors que tu vois brun ?" Lui rétorqua-t-elle alors qu'il se contredit, précisant qu'avec la jeune blonde, c'est différent. "Et tu vas me dire que je suis l'exception qui confirme la règle là c'est ça ?" Elle le provoque, cherche à le pousser dans ses retranchements alors qu'il dit toutes ses choses, elle veut lui prouver qu'il se trompe, qu'il a tord de penser cela de lui-même.
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Salut... Toi. ft Annabeth
-Ce n'est pas logique
-... La vie de l'a jamais été

•••
Il se redresse, un peu. Une main toujours sur le mur derrière elle, l'autre passant du coté de sa joue jusqu'a fourrager dans ses propres cheveux.
Comment pouvait il lui expliquer sans la brusquer?
Il savait que peut être il avait mal choisit ses mots, lui faisant croire qu'il n'étais comme ça que parce qu'on le lui avait dit, mais ce n'était pas le cas.
Pas du tout même.
Il savait qu'il était blasé de tout. N'en avait rien a faire des autres, de leurs sentiments, que quelqu'un l'ignore, le déteste... ou l'aime. Il n'étais pas affecté des paroles de ses camarades de classe, ou de ceux de ses professeur. Avait ignoré les psychiatre quand ils avaient fait leurs diagnostique et que sa mère s'était mise a pleurer.
Non il n'avait rien ressentit depuis l'accident.
Ou peut être ... Quelques fois.
La rage était le sentiment qu'il avait le plus facilement découvert. la haine. Il l'avait maitrisé, et attisé, les rares fois ou il l'avait ressentit.
Et puis ... Beth ... Il n'avait pas compris, en ce temps la. Relégué ce comportement qu'il ne se connaissait pas dans un endroit de son esprit tellement bien caché, qu'il l'avait oublié, la.
Et puis Aujourd'hui. C'était Bizarre. Le mauvais coté du bizarre. Quand votre corps se comporte d'une manière que vous ne comprenez pas. Et que votre esprit se met a agir à sa façon, sans vous consulter.
Sa proximité avec Beth a cet instant précis le prouvais assez bien. Ses aveux aussi. Le fait qu'il ait cherché à la rattraper, à se confesser, pour ne plus qu'elle penses du mal de lui.
Ce comportement qu'il avait, 5 ans plus tot, relégué dans un endroit sombre de son ésprit, semblait s'en échappé, beaucoup plus augmenté, éveillant en lui des sentiments qui lui faisaient peur... et qu'il se mettait inconsciemment à combattre, essayant de les maitriser, pour les remettre dans leurs boité.

Pendant qu'il parle. Il se débat pour les oublier .
"Non ce n'est pas comme ça Beth. Tu fais exception oui, et je ne sais pas pourquoi."
Il se détache finalement, s'éloigne a reculons, elle n'allait pas comprendre. Trop innocente qu'elle était pour se rendre compte qu'il y a de la laideur dans cette vie.

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Salut... toi
Face à lui, elle lui tient clairement tête, parce qu'elle ne veut pas le croire et ne peut pas le croire non plus, parce qu'il lui ment, c'est clair et net pour elle. Son attitude lui montre bien qu'il se moque d'elle, parce qu'il dit un truc et agit en opposition, alors Beth ne peut tout simplement pas le croire, Il ment et c'est tout. Alors elle le regarde, en chien de faience, attendant qu'il lui dise enfin la vérité, qu'il arrête de dire n'importe quoi, parce qu'elle ne peut pas y croire comme ça, sans preuve, sans fait qui vont dans le même sans que c'est dire. Et il s'éloigne, s'échappe d'elle, fuit son regard et il parle. Exception. Que veut-il qu'elle pense à cette instant ? Qu'elle est l'exception qui confirme la règle ? Si c'est le cas, pourquoi elle et pas une autre ? Ou même un autre ? Elle le regarde et soupire, agacée. "J'en ai marre que tu te foutes de ma gueule Ez' "Lance-t-elle alors, cherchant à ne pas montrer qu'elle est blessée par tout ça, fuyant sa propre détresse pour le blesser lui, si bien entendu, cela est possible et elle le pense... Parce que nul homme n'est insensible et il n'est point une machine. La danseuse le regarde alors. "Je te demande de jouer franc jeu avec moi, et t'en es même pas capable. Je suis quoi pour toi ? Toujours la p'tit californienne dont on se moque ?" Parce qu'il le sait, tout comme elle, que là-bas, dans ce lycée qu'ils ont fréquentés tout les deux, elle avait subi pas mal de rumeur sur son compte, parce qu'il y avait de la jalousie, de l'incompréhension et même si l'américaine n'avait pas tout comprit directement, elle avait apprit les insultes ensuite, les mots qu'on lui avait dit en français, dans cette langue qu'elle ne maîtrisait pas encore parfaitement à l'époque, malgré des années de correspondances avec un belge. "C'est plus pareil Ezecheil ! On est plus en France, on est plus au lycée, alors te foutre de ma gueule ici, c'est un mauvais défi pour toi ! T'as plus tes petits potes, tu pourrais plus aller leurs racontés tout ce qu'on se dit !" Parce qu'il y avait de cela non ? S'il y a eu des rumeurs sur eux deux, c'est bien parce qu'il avait parlé d'elle dans son dos avec des amis qu'elle ne lui connaissait pas non ? Elle s'était montée la tête toute seule après son départ, quand elle avait fuit Strasbourg et lui avec... Beth fini par tourner la tête tout simplement. "Je ne veux plus te voir. Tu me rappelles de mauvais souvenirs." Il voulait mentir ? Elle pouvait le faire tout autant, même si, au fond, il y a une part de vérité, parce qu'il lui a fait beaucoup de mal, parce qu'il la blessé et la blesse encore maintenant. La blonde replace alors son sac sur son épaule et s'écarte de lui, pour partir, rien ne pourra la retenir maintenant, elle est décidé à le fuir, encore, comme par le passé, elle lui tourne encore le dos, pour son propre bien, parce qu'elle sait, qu'il ne va pas l'aider, qu'il va au contraire, la faire encore souffrir, comme ça à déjà été le cas, et ça, il ne semble pas le remarquer...
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