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► Feat Ashleigh&Milan
JUKEBOX
J'suis pas le genre de mec à réfléchir de trop aux conséquences de mes actes, à réfléchir de trop tout court. Notamment quand j'rencontre une fille. J'sais pas, si j'la trouve jolie, j'lui dis, si j'ai envie de l'embrasser, j'le fais, et si j'ai envie d'lui faire l'amour, j'me lance. J'ai jamais compris les gens qui se prenaient trop la tête avec les histoires de sexes. C'est tellement bon, que ça devrait être interdit d'en faire tout un drame ! Peut-être aussi parce que j'suis jamais tombé amoureux, j'sais pas. J'ai connu pas mal de fille, certaines vraiment étranges, j'me suis jamais engagé à rien, j'ai toujours fonctionné au feeling, et ça me va bien. Pour ça que quand j'embrasse La Blonde y a genre vraiment zéro arrières pensées dans mon crâne d'enfant niais. J'la trouve jolie, même bonne au vue de la poitrine qu'elle m'a laissé entrevoir, puis elle m'fait rire. Alors j'suis sans gêne aucune, j'crois qu'elle l'a bien compris, et j'fais c'que j'veux sans m'poser de questions. J'ai carrément hâte d'être à la soirée infirmière, ça va être hyper drole. Même si j'appréhende encore la séance épilation. Bizarrement, j'la crois pas trop quand elle me dit qu'elle ira en douceur, elle a un air beaucoup trop malicieux pour ça. P'tain, elle m'fait marrer en vrai, c'est trop cool de rencontrer des gens comme ça, j'regrette absolument pas d'être entré à Harvard : "Mon zizi est très bien où il est !", répondis-je faussement vexé avec une tête d'ahuri assez abruti avant de me rallonger à côté d'elle. Elle m'a fait mal à la fesse quand même, je m'la caresse l'air de rien tandis que je n'arrête pas de rire comme un nigaud. Embrasser l'oreille ... c'est vrai que c'est cool, mais évidemment que c'est une blague, y a des trucs beaucoup plus alléchant dans le corps d'une femme. Et quand elle m'demande si j'aime vraiment l'oreille, j'éclate encore plus de rire, pt-être qu'elle est encore plus niaise que moi, trop mignonne la blonde. Le temps passe, on fume, on boit, on s'marre, et c'est carrément bandant. Autant que la vue en contre plongée que j'ai sur sa poitrine quand elle s'calle à califourchon sur moi. C'est bizarre les seins, mais j'adore ça, trop moelleux câlins, j'pourrais dormir dedans éternellement. Et j'comprends pas pourquoi personne n'a jamais pensé à y injecter de la bière, l'espace d'une seconde, c'est devenu mon rêve le plus cher ! J'me marre tout seul à la blague de kiwi avant d'me stopper net quand elle me rappelle que j'vais passer à l'épilation. J'lui lance un regard effrayé : "Rigole pas avec ça, t'a promis que tu serais gentille !". Elle m'renverse de la bière dessus, moi j'en ai rien à foutre, c'pas grave, c'est rigolo, puis ça fait des dessins sur mon ventre. Après avoir bien admiré les sinusoités du liquide se déverser das mon nombril, j'lève un regard espiègle à l'égard de ma blonde : "Du nutella ?". Et j'tends le bras pour chopper son paquet de M&Ms avant d'en caler un dans le trou de mon nombril : "Regarde, c'est presque pareil !". Difficile d'savoir si l'idée m'excite ou pas, en fait, elle m'fait plutôt rire et j'crois que j'ai pas l'esprit suffisamment pervers pour penser à mal de suite. J'vous ai dit, j'réfléchis juste absolument pas du tout. Je me rallonge convenablement, elle toujours sur moi, mes bras en équerre derrière ma tête, les yeux figés sur ses seins, et du ton le plus sérieux du monde, j'poursuis : "J'y peux rien, c'est toi qui me les fous sous le nez !". Et j'me pleins de mes roubignoles compressées, ça commence à tirer. Egal à elle-même, la blonde me taquine encore sans bouger : "On n'a qu'à s'envoyer en l'air et j'te montre", dis-je en un haussement d'épaule, comme si c'était le truc le plus naturel de la terre, avant d'avoir l'esprit complètement happé par les ronds de fumée qu'elle venait de faire : "Tu es officiellement digne d'être mon amie la blonde", mais en sautillant, elle m'écrabouille littéralement les parties intimes, puis avec cette connerie de boxer, c'est pas comme si j'étais à l'aise dedans, ça fait mal, je grimace, et me pleins : "Aiiiiiiiiiiiie, mais arrête, t'assassine mes futurs enfants !". Et comme ça fait trop mal, j'choppe ses hanches, la soulève d'un coup pour la faire remonter un petit peu, manière que ça m'fasse moins mal. Moins, c'est le mot juste, elle m'écrase encore la blonde. J'avale goulument un morceau de sandwich qu'elle me tend : "Toi par contre, tu m'fais vraiment pas du bien en fait", finis-je par dire, avant d'effectuer une pirouette d'un coup sec, manière qu'elle se retrouve elle allongée sur le dos, moi entre ses jambes, plutôt bien appuyé au niveau des parties intimes du coup, sur elle, j'repose sur mon avant bras gauche tandis que ma main droite se tend pour chopper une clope, l'écrasant un peu au passage, avant de revenir vers la blonde qui continue de manger : "P'tain ....", lançais-je presque déçu, avant de me hisser un peu et de baisser la tête vers sa poitrine. Et regagnant mon sourire ingénu j'reprends : "Ah, ils sont encore là !". L'air de rien, j'allume ma clope, et reste callé là, parce que j'suis bien, et que tout à coup, mes roubignoles m'procurent plus de plaisir que de mal-être. J'balance le briquet à côté, crache la première taff au vent : "J'veux une autre bière, mais j'ai pas envie d'bouger, essaye d'en attraper une avec tes ptits pieds, steupléééé", tête d'enfant, j'la laisse tomber dans le cou de la jeune fille comme un mioche qui cherche réconfort chez sa maman.
J'suis pas le genre de mec à réfléchir de trop aux conséquences de mes actes, à réfléchir de trop tout court. Notamment quand j'rencontre une fille. J'sais pas, si j'la trouve jolie, j'lui dis, si j'ai envie de l'embrasser, j'le fais, et si j'ai envie d'lui faire l'amour, j'me lance. J'ai jamais compris les gens qui se prenaient trop la tête avec les histoires de sexes. C'est tellement bon, que ça devrait être interdit d'en faire tout un drame ! Peut-être aussi parce que j'suis jamais tombé amoureux, j'sais pas. J'ai connu pas mal de fille, certaines vraiment étranges, j'me suis jamais engagé à rien, j'ai toujours fonctionné au feeling, et ça me va bien. Pour ça que quand j'embrasse La Blonde y a genre vraiment zéro arrières pensées dans mon crâne d'enfant niais. J'la trouve jolie, même bonne au vue de la poitrine qu'elle m'a laissé entrevoir, puis elle m'fait rire. Alors j'suis sans gêne aucune, j'crois qu'elle l'a bien compris, et j'fais c'que j'veux sans m'poser de questions. J'ai carrément hâte d'être à la soirée infirmière, ça va être hyper drole. Même si j'appréhende encore la séance épilation. Bizarrement, j'la crois pas trop quand elle me dit qu'elle ira en douceur, elle a un air beaucoup trop malicieux pour ça. P'tain, elle m'fait marrer en vrai, c'est trop cool de rencontrer des gens comme ça, j'regrette absolument pas d'être entré à Harvard : "Mon zizi est très bien où il est !", répondis-je faussement vexé avec une tête d'ahuri assez abruti avant de me rallonger à côté d'elle. Elle m'a fait mal à la fesse quand même, je m'la caresse l'air de rien tandis que je n'arrête pas de rire comme un nigaud. Embrasser l'oreille ... c'est vrai que c'est cool, mais évidemment que c'est une blague, y a des trucs beaucoup plus alléchant dans le corps d'une femme. Et quand elle m'demande si j'aime vraiment l'oreille, j'éclate encore plus de rire, pt-être qu'elle est encore plus niaise que moi, trop mignonne la blonde. Le temps passe, on fume, on boit, on s'marre, et c'est carrément bandant. Autant que la vue en contre plongée que j'ai sur sa poitrine quand elle s'calle à califourchon sur moi. C'est bizarre les seins, mais j'adore ça, trop moelleux câlins, j'pourrais dormir dedans éternellement. Et j'comprends pas pourquoi personne n'a jamais pensé à y injecter de la bière, l'espace d'une seconde, c'est devenu mon rêve le plus cher ! J'me marre tout seul à la blague de kiwi avant d'me stopper net quand elle me rappelle que j'vais passer à l'épilation. J'lui lance un regard effrayé : "Rigole pas avec ça, t'a promis que tu serais gentille !". Elle m'renverse de la bière dessus, moi j'en ai rien à foutre, c'pas grave, c'est rigolo, puis ça fait des dessins sur mon ventre. Après avoir bien admiré les sinusoités du liquide se déverser das mon nombril, j'lève un regard espiègle à l'égard de ma blonde : "Du nutella ?". Et j'tends le bras pour chopper son paquet de M&Ms avant d'en caler un dans le trou de mon nombril : "Regarde, c'est presque pareil !". Difficile d'savoir si l'idée m'excite ou pas, en fait, elle m'fait plutôt rire et j'crois que j'ai pas l'esprit suffisamment pervers pour penser à mal de suite. J'vous ai dit, j'réfléchis juste absolument pas du tout. Je me rallonge convenablement, elle toujours sur moi, mes bras en équerre derrière ma tête, les yeux figés sur ses seins, et du ton le plus sérieux du monde, j'poursuis : "J'y peux rien, c'est toi qui me les fous sous le nez !". Et j'me pleins de mes roubignoles compressées, ça commence à tirer. Egal à elle-même, la blonde me taquine encore sans bouger : "On n'a qu'à s'envoyer en l'air et j'te montre", dis-je en un haussement d'épaule, comme si c'était le truc le plus naturel de la terre, avant d'avoir l'esprit complètement happé par les ronds de fumée qu'elle venait de faire : "Tu es officiellement digne d'être mon amie la blonde", mais en sautillant, elle m'écrabouille littéralement les parties intimes, puis avec cette connerie de boxer, c'est pas comme si j'étais à l'aise dedans, ça fait mal, je grimace, et me pleins : "Aiiiiiiiiiiiie, mais arrête, t'assassine mes futurs enfants !". Et comme ça fait trop mal, j'choppe ses hanches, la soulève d'un coup pour la faire remonter un petit peu, manière que ça m'fasse moins mal. Moins, c'est le mot juste, elle m'écrase encore la blonde. J'avale goulument un morceau de sandwich qu'elle me tend : "Toi par contre, tu m'fais vraiment pas du bien en fait", finis-je par dire, avant d'effectuer une pirouette d'un coup sec, manière qu'elle se retrouve elle allongée sur le dos, moi entre ses jambes, plutôt bien appuyé au niveau des parties intimes du coup, sur elle, j'repose sur mon avant bras gauche tandis que ma main droite se tend pour chopper une clope, l'écrasant un peu au passage, avant de revenir vers la blonde qui continue de manger : "P'tain ....", lançais-je presque déçu, avant de me hisser un peu et de baisser la tête vers sa poitrine. Et regagnant mon sourire ingénu j'reprends : "Ah, ils sont encore là !". L'air de rien, j'allume ma clope, et reste callé là, parce que j'suis bien, et que tout à coup, mes roubignoles m'procurent plus de plaisir que de mal-être. J'balance le briquet à côté, crache la première taff au vent : "J'veux une autre bière, mais j'ai pas envie d'bouger, essaye d'en attraper une avec tes ptits pieds, steupléééé", tête d'enfant, j'la laisse tomber dans le cou de la jeune fille comme un mioche qui cherche réconfort chez sa maman.
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