Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAsh&Milan - I'm hot cause i'm fly, you ain't cause you're not. - Page 2
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Ash&Milan - I'm hot cause i'm fly, you ain't cause you're not.

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Non mais, sérieux, elle n’est pas belle la vie ? J’traine, j’me gratte les couilles, j’dégote des bières, et j’croise cette meuf plutôt mignonne qui m’rapporte des sandwichs ? Pt-être que c’est ça être le roi du monde, et y a qu’à voir comme on s’marre bien tout les deux pour comprendre qu’on est plutôt sur la même longueur d’onde. Du genre pas prise de tête, simplicité, on va là où le ventre nous dit d’aller. Des papillons, putains de papillons, et y a que ça qu’est bon. J’ai jamais eu de problèmes dans ma vie parce que j’me suis jamais pris la tête. J’sais pas m’énerver, j’sais pas crier, par-dessus tout, j’m’arrête jamais d’rigoler. J’suis sure que même quand j’suis né, j’devais être entrain de rigoler. Milan le petit chenapan, ouai c’est moi, et quand j’vois toutes les bonnes choses que m’apporte la vie, j’suis pire qu’heureux d’être c’que j’suis. Et en m’étalant sur le lit, quand elle se met à chanter, j’tends les bras au plafond et enchaine : « Philosophiiiiiiiiiie, Hakuna Matata », et j’éclate de rire comme un gosse avant de me redresser et d’imiter la plus stupide des trois hyènes en disant à la blonde que c’était elle. Regard faussement offusqué, comme un enfant qui s’apprête à bouder, quand elle me dit que j’peux me mettre le kebab au cul : « Ah non, t’as dit, tu fais, on ne retire pas sa parole comme ça ! », et j’la pousse légèrement de l’épaule pour la taquiner. J’suis des yeux le second paquet de sandwich qu’elle attrape, faut surtout pas l’ouvrir maintenant, on aura faim après le pétard, c’est une question de survie ! Et j’grimace quand elle m’appelle mon chaton avant de m’atteler à la tâche. Chopper la boite sous le lit, me mettre à rouler, l’entendre me râler dessus parce que j’suis trop long, me marrer tout seul cinq ou six fois, et m’allonger à côté d’elle avant de m’amuser à faire des ronds par pure provocation. Mon visage tourné vers elle, j’hausse un sourcil malicieux : « J’t’apprends si tu retire et m’promet que t’iras me chercher mon kebab quand j’aurais faim ». Et comme pour la taquiner doublement, j’me remet face au plafond et recommence la manœuvre. Cette fois je fais un gros rond, et d’autres plus petits qui viennent s’incérer dedans. En voyant du coin de l’œil son regard, j’éclate de rire avant de lui rendre le joint. Cette fois je m’étire en baillant tandis que j’lui réponds, genre j’viens de me réveiller, j’fume, et j’me sens câlin tout doux comme un bébé. J’lui raconte mes supers aventures du mois de Septembre, et quand elle se montre enthousiaste, j’me redresse d’un coup dans le lit et j’la regarde comme si j’lui parlais du truc le plus sérieux du monde : « Tu viens avec moi ? Sérieux ? Y a la soirée d’intégration de l’école infirmière sauf que … », je baisse les yeux vers mon entre-jambe avant de les relever vers elle : « Y’a que des meufs, et j’sais pas comment m’y introduire ! Sérieux, c’est comme de savoir qu’il y a une pièce à côté avec plein de sandwich aux fromages et d’pas pouvoir y entrer ! ». Et comme si j’venais d’avoir un éclair de génie, j’la pointe du doigt : « Ohhhhh mais », et j’continue avec les yeux qui pétillent : « Tu m’prête une de tes robes, tu me maquille, et on y va tout les deux ? S’teuplait, dis moi que t’es chaud La Blonde ». Ah ouai non là, elle venait de m’offrir la plus belle nouvelle de la journée, en dehors du fait que j’avais découvert qu’on donnait des capotes gratuitement à l’infirmerie de l’université. Et j’finis par me rallonger à côté d’elle en fixant le plafond, l’écoutant me raconter sa vie à son tour. J’me marre à sa remarque avant d’ajouter : « C’est plutôt toi qui va plus pouvoir te passer de ma chambre, s’tu veux, j’t’installe un matelas juste là », dis-je en désignant du doigt le milieu de la pièce. J’attrape le pétard, et me tourne vers elle pour la regarder : « Tu veux une soufflette ? »



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A eux deux ils faisaient une très belle paire, pas l'un pour rattraper l'autre. Les voilà en train de chanter du hakuna matata et de parler du roi lion. Le pack de bière n'était même pas à la moitié et ils étaient qu'au premier joint, qu'est ce que ça promettait quand le pack serait fini et qu'ils en seraient au troisième voir quatrième joint ? Des belles choses surement. L'un et l'autre se suivent dans les conneries et c'est bien ça qui fait que le feeling passe à merveille. Il la traita de la hyène conne dans le roi lion et elle lui balança qu'il pouvait se mettre au cul le kebab. La réaction du ventre sur pattes ne se fit pas attendre. Il y tenait beaucoup à son kebab apparemment et Ash' était une fille de parole, elle l'avait dit elle le ferait mais le voir galérer c'était bien trop drôle. Et il devait penser pareil d'elle puisqu'il joua sur le fait de lui apprendre à faire des ronds avec la fumée à l'intérieur en échange du kebab qu'elle devrait aller lui chercher un jour où il en aurait envie. Elle se faisait avoir surtout qu'il la faisait bien narguer à le refaire et même en faisant quelque chose de différent. Le regard mauvais mais en mode elle plaisante, elle lui donna un coup de poing à l'épaule. Deal déclara t-elle en reprenant le joint entre ses doigts.Alors je dois faire quoi ? Elle voulait apprendre et tout de suite ! Parce qu'elle risquait pas d'y arriver du premier coup, ça semblait trop compliqué son truc. Vas y roule en un autre parce que j'aurais pas assez avec lui. Ils avaient déjà bien diminué le joint et elle allait avoir besoin d'un autre pour s'expérimenter. Autant prendre un peu d'avance. Attendant les directions du jeune homme, elle lui dit qu'elle veut s'incruster à la prochaine soirée d'intégration d'une école. Pas question qu'elle loupe ça. Milan a l'air content qu'elle veuille le joindre et il commence à lui expliquer la prochaine soirée. Une soirée intégration de l'école d'infirmière, ben tieeeeeeeeeent comme par hasard. C'est qu'elle tombait à pique Ash'. Tu compares sérieusement des meufs à du fromage ? Elle éclata de rire. Y avait bien mieux comme comparaison quand même. Je t'interdis de me comparer à du fromage si tu veux que je t'aide à y rentrer, tu vois je suis un level au dessus, je suis..., elle chercha quoi dire mais en fait elle avait rien qui lui venait à l'esprit, je suis du chocolat moi. Voilà du chocolat c'était bien. C'était chaud ou froid, c'était fondant ou croquant, c'était doux ou amère. C'était Ashleigh quoi. Le mather allait vouloir renrtrer là bas, elle le savait avant même qu'il lui demande et qu'il trouve une idée pour y entrer. Juste pour te voir en meuf tu sais quoi j'accepte. Je suis sûre tu seras trop bonne mon chaton. La blondinette rigola un peu plus. Elle s'imagina la scène dans sa tête et ça valait de l'or. Qu'il était con ce mec mais qu'est ce qu'elle l'aimait bien déjà. Faudra t'apprendre à marcher avec des talons et elle rigola à nouveau. Ca allait être compliqué pour cette partie par contre. Oui pas question qu'il lui démonte une de ses paires de pompes. Elle en avait des centaines mais c'était une accro des chaussures, c'était ses précieux. Elle tira sur le joint, essayant de suivre les consignes que le brun lui avait donné mais c'était pas trooooop ça. Elle l'avait dit elle allait avoir besoin d'un autre joint pour s'entrainer. Puis elle découvrit qu'il était arrivé pendant l'été, tout comme elle il était nouveau dans le coin et elle lui fit remarquer qu'il allait être plus présent à la mather grâce à elle. La réplique du mather ne se fit pas attendre. Il voulait lui installer un lit carrément dans sa chambre. Tu vois, je te disais quoi, t'es déjà entreprenant. Une taquinerie en plus elle rigola en le regardant. Il la regarde au même moment et comme ça lui propose une soufflette. Et tu trouves même une ruse pour essayer de me pécho mais elle s'approche quand même plus près de lui pour lui dire qu'elle est partante. Allait-il utiliser ses mains pour faire un tunnel entre leur deux bouches ou bien allait-il coller ses lèvres aux siennes ? Les deux techniques étaient faisables et l'une ou l'autre elle s'en moquait bien. Une soufflette était une soufflette, elle allait juste s'envoler un peu plus après celle ci. Elle commençait à sentir ses ailes se déployer ->


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Ahhh, j’l’ai bien eu, j’suis content, j’la nargue fièrement. Et ouai mon pote, j’t’apprendrais à faire des trucs cool avec ta bouche si tu promets de nourrir la mienne. Elle m’frappe sur l’épaule et j’me marre intérieurement, j’ai le sentiment d’avoir gagné : « Alors », j’me redresse, appuyé sur mon coude, allongé sur le flanc, à côté d’elle : « T’aspire une grosse latte, genre, tu gonfle hyper bien tes poumons, ça pique un peu la gorge, mais c’est normal. Puis tu commence par faire un rond avec la langue callé sur le palais. Et tu refermes la bouche aussi tôt pour retenir un peu de fumer. Tu la concentre dans ta bouche, comme si tu crapotais, et tu la balance d’un coup. POC », fis-je avec la bouche pour lui montrer le mouvement. Et elle me dit d’en rouler un autre, j’fais mine de m’offusquer : « Oh, tu crois qu’il y a écrit « beau mâle au service de La Blonde » sur mon front ? ». Et j’me redresse péniblement, attrapant de quoi rouler avant de m’atteler à la tâche pendant qu’elle s’entraine. J’tourne la tête vers elle en léchant la feuille : « Arrondis plus ta bouche ! ». Et j’lui parle de mes plans de soirées carrément trop enthousiaste d’avoir trouvé une partenaire de crime : « Ouai t’as raison, le fromage c’est quand même mieux », fis-je mine de dire avec cette moue d’un mec qu’essaye de réfléchir, mais qu’est trop con pour réfléchir : « Mais j’aime pas le chocolat moi ! J’préfère que tu sois … la tranche de cheddar que je mets sur mes pattes avant de les passer au micro-onde », dis-je en riant niaisement tandis que je calais le deuxième joint derrière mon oreille. Et oh, j’ai soif, où est ma bière. J’fouille mes poches par instinct, tourne la tête à droite, à gauche et, yes. Elle est là, calée entre les cuisses de la blonde. J’la choppe et en bois deux bonnes gorgées avant de grimaçaient de dégout : « Tu l’as réchauffé ! ». Se déguiser en meuf pour entrer à la soirée infirmière … ouai, c’est vraiment une idée de génie. J’sais pas trop comment ça va passer, mais jamais rien ne m’arrête quand j’ai envie de m’éclater. Et soudain, un peu inquiet, j’lui demande : « Euh … tu crois qu’il faudra … que je m’épile les jambes ? ». Ouai, aucune limite, aucune limite. Ça reste à voir, ça me fait drôlement peur l’idée de me faire arracher les poils avec leur espèce de truc qui ressemble à du miel : « Les talons, j’sais faire ! Un jour j’avais perdu mes chaussures alors j'ai mis ceux de ma mère pour aller à l'école ». J’faisais une mine faussement triste en baissant la tête : « Tout le monde s’est moqué de moi ». Et j’me rallonge à côté d’elle tandis qu’on se taquine sur le fait de savoir lequel de nous deux aura le plus envie de revoir l’autre. Ma tête sur le côté, j’la regarde, ma bière posée sur mon ventre : « Si j’étais entreprenant, j’t’aurais dît de dormir avec moi dans mon lit », fis-je mine de la narguer d’un sourcil arqué, avant de redresser à peine la tête pour boire un peu de bière. Et comme la position est inconfortable, j’en mets à peu prés partout autour de ma bouche. J’me rallonge, m’essuie le menton, et m’tourne vers elle pour lui proposer une soufflette. Mmmh, j’crois qu’elle me cherche. J’crois que j’ai envie d’lui sauter dessus. Elle est un peu à l’ouest, un peu le genre que j’aime bien, pas trop prise de tête, mais qui s’prend pour la reine. Je la regarde dans les yeux avec cet air méga insolent et ce sourire malicieux : « Et alors ? ça te dérange ? ». J’attrape le joint presque finit d’entre ses doigts, et quand elle s’approche, je tourne la tête : « Puisque c’est ça, j’te punis de soufflette ». Et je me mettais à tirer dessus en fixant le plafond, faisant mine de l’ignorer, rien que pour l’embêter.



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Ashleigh écoute attentivement Milan face aux explications pour faire le rond avec la fumée à l'intérieur. Elle arque un sourcil parce que c'est beaucoup de détails sur comment faire et qu'elle n'est pas certaine d'avoir capté la moitié des mots. Elle rigole en le voyant faire, ça paraît tellement simple comme il le fait. Mais bon quand il faut y aller, il faut y aller. Non mais t'as pas un stylo dans tout ce bordel ? On va y remédier et là il pourra être qu'au service de la blondinette vu que ça serait écrit en gros sur son front haha. Elle se met assise pour faire genre de chercher un stylo, pas impossible d'en trouver un dans son lit vu qu'il y a un pot de mayonnaise juste à côté. Mais rien. Finalement il se met à la tâche. Un sourire se dessine sur les lèvres de l'anglaise, satisfaite qu'un autre joint est en chemin de préparation. J'essaye de faire de mon mieux et spas évident. Ils étaient pas couchés s'ils devaient attendre qu'elle y arrive. En attendant, Milan fit part de la soirée intégration qu'ils allaient pouvoir incruster prochainement. Une idée qui réjouissait l'anglaise, surtout avec le mather elle savait que ça s'annonçait épique. T'aimes pas le chocolat ? Tu me déçois mon chaton mais bon ça va me cheddar c'est bon. Puis qu'il voit les meufs comme il veut c'était son délire à lui même si c'était pas glamour de les comparer à du fromage mais c'était tout Milan. Ash' continue d'essayer de faire les fameux ronds avec la fumée dedans tandis que son acolyte choppe la bière qui se trouve entre les cuisses de la jeune femme, pour râler que c'est chaud. Ben t'as cru quoi, je suis une baraque à frites. Elle se mit à rire tout en le regardant et attrapant sa propre bière pour la finir d'un coup. Ils discutèrent des complications de leur mission incruste à la soirée d'intégration, du genre vêtements, talons et épilations. T'as pas le choix mon chaton mais je t'aiderai, je te le ferai et gratuitement. Quelques haussements de sourcil, elle était prête à le faire à l'œil juuuuuuste pour le voir souffrir et douiller comme une fillette. Elle se voyait déjà la bande de cire à la main, l'appuyer sur la patte de Milan, lui jeter un regard et tirer d'un coup sec et lui criant à en réveiller tout Harvard. Phé-no-mé-nal. Pour les talons elle fut surprise mais pas tellement vu le cas que c'était. Elle éclata juste de rire. Merci de prévenir, je vais planquer les miennes dans un coffre fort au cas où tu perds encore tes shoes plaisanta t-elle en le poussant légèrement du coude. Ils enchaînaient alors sur qui des deux allaient ne plus pouvoir se passer de l'autre, car c'était évident qu'ils étaient fait pour s'entendre et que c'était la première mais clairement pas la dernière fois qu'ils partageaient un moment ensemble. Ben c'est parce que tu essayes de pas me faire fuir donc le matelas c'est plus simple explique t-elle en levant les yeux au ciel comme si ceci était évident. Quant à la soufflette il lui met à l'envers. Pour la peine il ne veut pas lui faire. Une nouvelle tape sur l'épaule, elle plisse ses paupières pour faire un regard noir. Non mais, on proposa pas une telle chose pour la retirer ensuite. Pas de soufflette, pas de soirée infirmière grâce à moi et laaaaa elle avait un moyen de pression sur lui. Son chaton n'allait pas avoir beaucoup de choix que celui de s'activer à la soufflette. Et tu fais ça bien, digne de ce nom. Elle était pas un pd.
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Elle me fait marrer cette fille. Rien que j’la regarde, j’ai déjà envie de rire, elle a cette attitude complètement nonchalante et … en fait, j’crois qu’on dirait moi, mais en mille fois plus bonne. Puis j’aime bien quand elle cherche à m’taquiner, j’lui rend coup pour coup parce que, hey, c’est pas parce que ma maman m’appelle chaton que j’en suis forcément un. Et quand j’récupère ma bière d’entre ses cuisses, l’accuse grossièrement de l’avoir réchauffé, je ris à sa réponse. Ouai, elle est vraiment décontractée : « C’est moi qui te donne chaud, avouuuue ». Rah, la bière chaude, c’est vraiment dégueulasse, ça ressemble à d’la pisse. Et j’le sais, parce que j’ai déjà bu d’la pisse. Ouai bon ok, c’était vraiment malgré moi. J’étais ivre mort à une soirée, et y a un gars qui m’a dit « Vas-y Milan, cul sec », en me tendant ce que j’croyais être une cup de bière. Evidemment, j’me suis pas fait prier, j’l’ai bu d’une traite et … tout le monde à éclater de rire. J’me suis senti bien con, mais j’me suis marrer (après avoir dégueuler sur mes pieds). Et là, faut que j’me débarrasse de cette bière, parce que ça me fait le même effet. J’la bois d’une traite, grimace vraiment en alignant un « beuuuurk » dégouté, avant de me pencher et d’en chopper deux autres. J’l’ai ouvre avec le briquet et en redonne une à la blond avant de boire quelques gorgées de la mienne. Là c’est mieux, voilà ! J’crois que j’dois avoir la gueule d’un enfant terrifié quand j’pense à l’épilation. J’suis franchement inquiet, mes yeux plissés ne cessent de la scruter et j’vois bien que ça l’a fait marrer d’avance, que je ne vais pas y échapper : « Mais …. Et si ça me fait mal ? », Dis-je en baissant un peu la tête avec les yeux du chat dans Shrek. Un enfant, vraiment, j’y peux rien, j’contrôle pas, j’agis tout le temps spontanément. Et j’me marre quand elle m’dit qu’elle va planquer ses chaussures avant de regarder ses pieds : « Avec tes mini pieds, y a peu de chance que je rentre dedans maintenant, regarde ça », dis-je en soulevant un de ses pieds à l’aide de mon pied : « On dirait une naine ». Et j’laissais retomber nos pieds, allongée à côté d’elle. On s’cherche encore, à savoir lequel des deux n’arrivera pas à s’passer de l’autre. La vérité c’est que j’suis quelqu’un d’assez simple, elle aussi, donc quoiqu’on dise, j’sais qu’on va s’revoir mille fois si ce n’est plus. J’fais mine d’être offusqué, presque vexé à sa remarque : « Comment ça ? Genre j’fais fuir les filles quand j’l’ai invite à dormir dans mon lit ? C’est tout le contraire La Blonde, j’ai justement peur qu’en te proposant ma couche tu finisses par t’accrocher à moi comme une sangsue ». P’tit coup de coude dans ses côtes, histoire de bien la narguer, et comme j’fais mine d’être vexé, j’tourne la tête et la prive de soufflette. J’essaye de ne pas rire, parce que j’ai vraiment envie de me marrer, j’pince mes lèvres et … et … et non, impossible de me retenir, j’éclate de rire quand elle me dit de lui en faire une : « T’as trop envie de me voir en talon et mini-jupe, fais pas semblant ». Et là, j’me résigne, parce que de toute façon, j’allais la lui faire sa soufflette. J’me redresse sur un de mes coudes, allongé sur le flanc : « Tu me prends pour qui ? », dis-je avec un regard provocateur. Bien sure que j’fais ça bien.  Je redresse la tête pour aspirer une énorme latte. Et je me penche vers elle délicatement. Ma main libre vient se poser sur sa joue de manière à rapprocher son visage. J’regarde pas ses yeux, juste sa bouche. Et doucement, je viens coller mes lèvres sur les siennes, laissant le trou adéquat pour faire passer la fumée. Un filet de fumée s’échappe. Lentement, très lentement, le temps qu’elle s’y habitue. Et après quelques fractions de seconde, j’augmente l’intensité, de manière à ce qu’elle reçoive une bonne grosse dose de THC.



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Mourir de rire devait être une belle mort, c'est probablement ce qui allait arriver à Ashleigh au vu des conneries que Milan lui sortait de plus en plus qu'elle discutait avec lui, qu'il lui sortait des anecdotes et qu'ils partaient dans des délires inimaginables. Après le roi lion et hakuna matata, il se plaignait que sa bière soit chaude à cause des cuisses de la blondinette et elle avait eut la réponse idéale évidement. Ben ouais t'es collé à moi lui dit-elle en jouant avec ses sourcils à les monter et descendre plusieurs fois de suite. La pièce n'était pas si grande et entre l'alcool puis le joint et leur proximité forcément la température montait assez vite. Pour la peine elle déboutonna et retira la veste qu'elle avait sur ses épaules. Dehors il faisait pas chaud, le mois d'octobre approchait à grand pas et une petite veste était négligeable vu que le froid arrivait doucement. Elle déposa sa veste à côté d'elle, laissant place à un débardeur noir plongeant en V. Tu vois tu me donnes si chaud que je me déshabille Elle le taquina et ria de plus belle quand il fut écoeuré par la bière qui était chaude. Les voilà à leur troisième et deuxième joint en route, woop woop ! A présent ils devaient penser au plan pour que Milan puisse rentrer dans la soirée des étudiantes infirmières. Se foutre en meuf, il avait pas le choix et allait devoir faire quelques sacrifices comme ses poils. Il faisait la pauvre victime en pensant à l'épilation, ce qui fit rire la blondinette. Mais noooooooon ça fait des chatouilles c'est tout mentit-elle ouvertement. Ca défonçait sa mère oui ! Surtout la première fois, surtout quand y a beaucoup de poils. D'ailleurs elle se redresse, soulève le jogging d'une des jambes du mather et analyse sa pilosité. Ouais t'es dans la merde dit-elle en se moquant, lui faisant comprendre qu'il allait y passer un sale quart d'heures et même plus. Mon dieu ce qu'elle avait hâte d'être à ce moment là, de le torturer et l'entendre crier. Sadiqueeee ! Quant aux talons il avait l'habitude apparemment et l'anecdote était des plus comiques. Franchement d'où il sortait ce mec ? C'était un extra terrestre. Non mais t'es barjo toi dit-elle en riant toujours plus. Il allait la tuer je vous le dit moi. Et la naine elle fait quasi ta taille. Elle était loin d'être petite, elle était assez grande quand même, il plaisantait ou quoi. Puis sans savoir trop comment ils en vinrent à discuter d'un lit à ajouter dans la chambre de Milan, lit qui serait pour Strauss évidement. J'ai pas besoin d'un lit pour être une vraie sangsue et pour la peine elle se colla à lui, bras contre bras, jambes contre jambes. Telle des siamois. C'était une emmerdeuse de première, elle pouvait être vraiment collante et pénible, il savait pas dans quel merde il allait se mettre. Mais d'abord c'était l'heure de la soufflette. On ne proposait pas une telle chose à mademoiselle pour lui enlever. C'était mal la connaitre. L'anglaise hoche de la tête, elle mourait d'envie de voir son pote de mather se trimbalait en mini jupe, talons et barbouillait de maquillage. Elle allait mémoriser ceci par une photo des plus magnifiques qu'elle mettrait même en fond d'écran de son téléphone. Ce gars était cinglé mais elle aimait ça. Il se tourna enfin vers elle pour la soufflette qu'elle attendait depuis cinq minutes. Un peu plus et elle avait eut le temps de mourir. Elle était pas patiente pour un sous. Un regard au jeune homme, elle l'observe tirer sur le joint puis se rapprocher d'elle, déposant sa main sur sa joue. Elle suit le mouvement, se laisse entièrement faire. Lèvres contre lèvres, elle ouvre sa bouche afin de laisser entrer la fumée. Elle sent la fumée qui rentre et qui se dirige droit vers ses poumons. La dose devient plus forte, elle referme ses lèvres contre celle de Milan et s'éloigne doucement de lui tout en recrachant un peu de fumée. T'embrasse mal le clash t-elle aussitôt juste pour le taquiner et le faire bien chier. Le rire aux lèvres, elle attrape sa nouvelle bière et boit une bonne gorgée. Elle n'en pensait pas un mot surtout qu'ils s'étaient pas vraiment embrassés mais toute occasion était excellente pour taquiner le mather. Elle se doutait bien qu'il allait pas le prendre mal et lui envoyer une réponse dans les dents, une digne de Milan.


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J’commençais à avoir hyper chaud. Le p’tit déjeuner bière pétard était absolument parfait, je n’aurais pas pu trouver mieux pour mon réveil de sieste. Ouai, ça étonne tout le temps tout le monde quand j’dis que j’fais la sieste de dix sept heures à dix neuf heures. Mais c’pas ma faute, si j’dors pas, après la nuit, j’suis un peu grognon, pas trop dans mon assiette, et j’aime pas être boudin. La blonde me faisait de plus en plus marrer et elle ne contribuait vraiment pas à me rafraichir avec son attitude : « Quoi, ça te gêne que j’sois collé à toi ? », dis-je en un sourire malicieux avant de la suivre du regard quand elle se lève pour enlever sa veste. J’suis dans son dos, elle me voit pas, mais j’me mords la lèvre inférieur. Plutôt golée la blonde, même très golée, j’avais pas remarqué cette paire de loches sous le veston. Puis, depuis que j’suis né, j’ai jamais pu résister aux seins. J’sais pas, ils sont moelleux, câlins, douillets, ça m’donne envie de plonger ma tête dedans et de faire des gazouillis. Et j’la lâche des yeux, pour pas qu’elle remarque que j’la matte quand elle revient vers moi, j’bois ma bière dégueulasse, grimace, en choppe deux autres et yolo. J’commence même à me dire qu’on n’aura pas assez d’un seul pack et qu’à un moment donné, j’devrais peut-être aller piquer une bouteille de vodka ou j’sais pas trop quoi dans une des chambres. J’gagne en inquiétude, j’dois avoir la gueule d’un bébé terrorisé, quand j’pense à l’épilation. Et bizarrement, j’la crois pas quand elle me dit que ça fait des chatouilles. J’lui lance un regard suspicieux, comme si j’sentais d’avance qu’elle allait me trahir, et quand elle lève une jambe de mon jogging pour constater ma pilosité, j’lui dis en poussant sa main : « Touche pas à mes poiiiiils ». J’relève les yeux vers elle, implorant presque sa clémence : « S’teuplait, jure que tu vas faire doucement ». J’rebaisse mon jogging, boit une nouvelle gorgée de bière, garde le second joint bien calé derrière mon oreille et me marre comme un con quand elle fait la sangsue : « C’est pas comme ça une sangsue ! » Alors bien sûre, j’entre dans son jeu, pousse encore pour me coller plus à elle, et j’finis par monter sur elle, genre allongé dos à elle comme si elle était un matelas, je gigote dans tous les sens pour bien l’étouffer : « En fait, j’crois que c’est toi qui fera office de lit, t’es plutôt ultra confort ». J’l’écrase encore un ptit cou et me marre en voyant qu’elle ne peut pas me faire bouger. Et quand j’l’ai assez embêté, j’finis par me laisser tomber à côté d’elle en éclatant de rire face à son air essoufflé. Viens l’heure de la soufflette dont j’fais mine de lui priver, avant de me mettre en position pour la lui livrer. Elle est marrante la blonde, elle m’fait rire, même quand elle essaye de faire la chef. Mes lèvres délicatement posées sur les siennes, j’la laisse avaler ce qui vient de fumée. Et quand j’ai finis de recracher tout ce que j’avais, je me décolle à peine, mon nez presque collé au sien, histoire de bien la regarder dans les yeux avec ce petit air espiègle. Je lâche un petit rire quand elle me dit que j’embrasse mal et j’me tourne vers la table de chevet pour jeter dans le cendrier le cul du joint. J’choppe le briquet, revient vers elle, toujours allongé sur le flanc, j’la regarde en allumant le nouveau joint : « A vrai dire, c’est pas la partie que j’préfère embrasser », dis-je en haussant les épaules. Je tire une bonne grosse latte du pétard, commence à recracher la fumée et sans la prévenir, ma main qui tient le joint l’attrape par la nuque, je la tire à moi. Et cette fois je l’embrasse. Je l’embrasse vraiment, en laissant s’échapper tout ce que j’peux de fumée pour qu’elle la récupère, si bien que nos lèvres disparaissent sous un épais opaque. Je l’embrasse doucement, en jouant bien de mes lèvres sur les siennes, ma langue qui vient timidement les accompagner, ma main bien cramponnée à l’arrière de sa tête. Et j’me retire en souriant avant de faire comme si j’soufflais un reste de fumée que je n’avais plus : « C’est comme ça qu’on embrasse ».



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Toujours plus de taquineries entre eux deux. D'un point de vu extérieur, on pouvait croire qu'ils se connaissent depuis des années vu la complicité et les taquineries qui fusent à chaque minute, pourtant cela devait faire une bonne heure seulement qu'ils se connaissaient. Peut être un coup de foudre amical. Leurs âmes étaient faites pour se rencontrer et s'accorder merveilleusement bien. Le petit lit du mather était suffisant pour eux deux mais Ash' faisait comme s'il était la raison pour laquelle elle avait chaud car il était trop près d'elle. Elle ne répondit pas à sa question, mima juste un sifflement pour faire la fille qui n'avait rien à dire mais dont le sifflement disait tout. Elle enleva sa veste et ne vu absolument pas ce que le jeune homme faisait, soit la reluquer. Comment il profitait bien de la vue le malin. C'était pas un mec pour rien. Absolument pas non vu les poils qui avait demeure sur ses pattes. La blondinette avait voulu lui faire croire qu'il n'allait pas souffrir lors de la future épilation qui s'annonçait mais il avait bien comprit le piège. Elle ne put qu'être sincère en lui avouant finalement qu'il allait morfler après avoir découvert sa jambe. Il semblait beaucoup moins sur de lui et bien plus flippé. Trop bon pour que la mather n'en joue pas. Je gagne quoi si j'y vais en douceur ? Tout avait un prix avec elle. Elle pourrait être tendre à condition qu'il trouve une bonne raison pour qu'elle le fasse. C'était l'heure de faire fonctionner le cerveau. Difficile vu l'alcool et la fumette qui étaient déjà incorporés dans leur corps. Il la traita ensuite de potentiel sangsue s'il lui proposait son lit. Elle se rapprocha plus de lui mais Milan voulait la vraie de vraie des sangsues et il s'occupa de lui montrer l'exemple. Sans trop le voir venir, elle se retrouve avec le brun sur elle même. Putain mais tu les fous où tes kilos ? Il était pas bien épais mais bordel qu'est ce qu'il pouvait être lourd. C'était un poids mort le gars, un peu comme un cadavre. Ash' essaya de gigoter pour le faire tomber mais c'était pas facile. Du coup elle lui pince les fesses, faisant un peu rentré les ongles à travers le tissu du jogging. C'était au moins ça et il descendit enfin. Pire que si elle avait courut un marathon, l'anglaise respirait fortement. Il venait de l'épuiser et même pas en baisant mdrr. Un nouveau coup de poing dans l'épaule, il payait rien pour attendre. Là c'était l'heure de la soufflette, pas question de rater ce moment, sa vengeance viendrait après, quand il s'y attendrait moins quoi. Tout se passa merveilleusement bien, elle commença à voir des éléphants roses, spas vrai hein, puis elle le taquina sur sa façon d'embrasser. La réponse du tatoué la fit à nouveau exploser de rire. C'est laquelle de partie que tu préfères ? Il venait de taper dans la curiosité de Strauss. Elle avait bien repéré le second pétard et elle attendait son tour après qu'il ait allumé le joint. Sauf que ce ne fut pas le pétard qu'elle eut droit mais à nouveau aux lèvres de Milan. La main du jeune homme la bloque par la nuque et une nouvelle fois elle le laisse faire. Elle s'en foutait royal, c'était un baiser et puis elle était dans un bon moment. Elle fit ce qu'elle put pour attraper la fumée qui s'échappait des lèvres de son partenaire tout en jouant le jeu, leurs lèvres collées contre celle de l'autre. Fier de lui il envoya une remarque sur la façon d'embrasser. Oui je dirais que c'est un peu mieux. Elle éclate de rire et à son tour elle lui saute dessus. Assise sur lui, tranquille la vie est belle, Ash' lui enlève le joint pour le porter à ses lèvres. Elle tire dessus et laisse la fumer se répandre après l'avoir soufflé en direction du visage de Milan qui est juste en dessous du sien. Tu crois que la vie c'est un kiwi ? lui sort-elle soudainement. Ouais il croyait qu'il pouvait se taper l'incruste sur elle et l'embrasser comme il voulait sans représailles ? Elle attrapa la bière du jeune homme et en but presque la moitié d'une seule traite. Toujours assise à califourchon sur lui, elle en renversa un peu sur lui. Il était torse nu c'était juste parfait, ça allait bien lui coller à la peau. Oups dit-elle d'une voix innocente mais totalement fausse. J'ai faim. Restant confortablement sur le jeune homme, elle se pencha un peu pour choper le paquet de sandwich restant. T'en veux ? Elle était cool, elle n'allait pas le laisser crevé la dalle. Trop bonne cette Ashleigh.

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► Feat Ashleigh&Milan




JUKEBOX
J'me force jamais à quoique ce soit, j'suis toujours hyper nature, hyper avenant, j'cherche pas à voir plus loin que c'qui a sous mes yeux, et j'profite à fond de chaque secondes que j'vis, de chaque nouvelles rencontres. Et là, dans ma chambre en vrac, avec La blonde qui me taquine, j'me sens hyper bien parce que ouai, on est un peu pareil. Un peu du même monde, du genre assez à l'ouest, on s'en branle à peu prés de tout et tout ce qu'on cherche, c'est de bonnes occasions de s'marrer. Puis elle m'fait rire, du coup, j'la trouve mignonne. Même si elle m'cherche et m'nargue souvent, ça me fait marrer. Quand elle se dessape et que j'remarque la paire de loche qu'elle trimballe sous son veston, j'la vois un peu différemment. Genre meuf bonne plutôt cool, j'calerais bien ma tête dedans. Limite, j'ai hâte d'aller à la soirée infirmière, j'sens d'avance qu'on va bien s'marrer puis à Harvard, j'ai pas de complice de bêtises et j'crois que la blonde ferait une excellente partenaire de crime : "J'vais voler toutes les chaussures des filles Eliot pour toi si jamais t'y vas en douceur, j'te jure !". Dis-je ultra sérieux, avec de gros yeux ronds. Bien sure que je n'hésiterais pas à le faire, la kleptomanie, c'est ma passion. Puis j'suis pas trop au courant de la guerre qu'il y a entre les Eliots et les Mathers, mais on m'a dit en arrivant "eux, on les aime pas". J'm'en branle moi, j'les connais pas, mais pour sauvegarder mes jambes et la faire m'épiler avec plus de douceur, j'suis prêt à tout. Y a qu'à voir l'imbécile que j'suis pour savoir que j'le ferais sans hésiter une seconde. Les conséquences ? C'pas mon délire, j'y réfléchis jamais vraiment. Et elle essaye de m'embêter en faisant la sangsue, j'fais vite de lui montrer ce qu'est une vraie sangsue. Allongé sur elle, comme si elle était mon matelas, j'me marre à gorge déployée tandis qu'elle, suffoque : "Dans mon zizi", répondis-je le plus naturellement du monde tandis qu'elle s'mettait à me pincer les fesses. Je gigotais de plus en plus fort, si bien que je l'étouffais encore plus : "Aie, mais arrête, mais aiiiiie". Et après quelques secondes, j'finis par me laisser glisser à côté d'elle, allongé sur le flanc, une main caressant ma propre fesse pour la soulager un peu. Vient l'heure de la soufflette, une de mes activités favorites. Elle me tacle sur ma façon de l'embrasser, et j'efface mon air provocateur pour dire, faussement niais : "L'oreille bien entendu, c'est l'oreille que j'préfère embrasser !" Quelques secondes de silence, et j'éclate de rire comme un con avant d'allumer le second de pétard. Sans trop réfléchir, parce que j'suis pas un mec cérébral, que l'occasion s'y prête, que j'trouve ça marrant, et que de toute manière, j'ai tellement pas de cerveau qu'il m'est impossible d'avoir d'arrière pensées, j'la choppe par la nuque et la tire à moi. Histoire de l'embrasser, pour de vrai cette fois, y a la fumée qui danse entre nos deux bouches, puis elle a bon gout La Blonde, elle a les lèvres douces. J'me retire en souriant, genre mec heurté dans sa virilité qui cherche à prouver que c'est le plus fort et sans que je ne le vois venir, elle me saute dessus : "Aouuuuch". J'me laisse tomber en arrière, en vrai, ça me fait pas mal, c'est un poids plume la meuf. J'suis allongé sur le dos, elle à califourchon sur moi. J'cale mon bras gauche en équerre derrière ma tête, l'autre main tient le joint dont je tire une nouvelle latte en la regardant. A peine le temps d'expirer qu'elle m'arrache le joint des mains, du coup, j'calle mon second bras en équerre derrière ma tête et j'me marre à sa remarque : "En vrai, les oeufs c'est un peu comme des kiwis que t'aurais épilé pour une soirée infirmière". J'rigole tout seul à mes propres blagues merdiques, mais j'y peux rien, là dans ma tête, j'imagine un kiwi entrain de s'faire épiler : "Ohhh", m'exclamais-je en tendant le bras pour récupérer ma bière qu'elle m'avait volé, et qu'elle venait de renverser sur mon torse : "Tu veux lécher ? » dis-je le plus innocemment du monde, ma tête inclinée vers mon torse, regardant le peu de bière couler jusqu'à mon nombril. J’trouve ça marrant le dessin que ça fait. J'attrape la bière, et tête allongée, je cale le goulot à ma bouche comme un biberon et la finit cul sec, sans les mains, avant de me redresser vers elle, la bouteille toujours dans ma bouche, et de me mettre à loucher pour faire une grimace genre, tête de poisson. J'attrape la bouteille, la balance dans le lit sans trop m'en préoccuper comme elle est vide, et comme si j'avais eu une idée lumineuse, j'regarde sa poitrine bien pensif : "ça serait hyper stylé si vous pouviez sortir de la bière de vos seins quand même, je n’arrêterais pas de te téter". Elle ouvre le paquet de sandwich et j'tends le bras : "Ouai, donne m'en un bout". Et j'gigote un peu les fesses avant de lui dire : "Descend un peu, tu m'explose les roubignoles".



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Ashleigh aimait bien avoir le contrôle de la situation et là elle tenait clairement Milan par le bout du nez. S'il voulait qu'elle soit douce lors de l'épilation de ses jambes il allait devoir lui donner une bonne raison et la faire gagner quelque chose. Ca fonctionna à merveille puisque le mather flippa et la réponse tomba. Il irait voler les chaussures des eliots pour elle. Pas question qu'elle porte les chaussures de ses ennemies, elle voulait pas attraper la mort mais ça restait une bonne idée. Elle serait pas obligée de metrte les talons, elle pouvait bien les revendre ou les donner à une association caritative ou bien les brûler. Les meufs eliots devaient avoir largement les moyen de se racheter d'autres pairs mais en temps que fille, Ash' savait que malgré toutes les paires qu'on peut avoir, on a toujours des préférences. Si les futures chaussures volées seraient celle des préférées des eliots ça serait sacrément drôle. Ca me va, je serai gentille. Il avait eut chaud pour son petit cul haha. Enfin pas tellement vu qu'après il l'attaqua pour lui montrer comment était une vraie sangsue. A croire qu'il avait plus envie de tuer la blondinette contre chose a l'étouffer malgré qu'il était tout fin. Elle se demandait bien où était les kilos. Comment pouvait-il être si lourd et à la fois si peu épais ? Y avait un soucis quelque part et une fois de plus, Milan eut une réponse digne de lui, une qui fit bien rire Ash'. Ah ben ils sont bien cachés répondit-elle du tac au tac sans avoir même eut le temps de réfléchir. La pique lancée était venue spontanément. Sayé c'était tout naturel entre eux de se charrier, se taquiner et de faire chier l'autre. Personne pourrait croire qu'ils se connaissent depuis seulement aujourd'hui. Il est toujours positionné sur elle et l'anglaise manque de souffle à cause de son chaton sur elle mais aussi car elle rigole et que toute sa force part dans son rire. Vous avez déjà essayé de rire avec quelqu'un affalé sur vous ? C'était pas évident. Le moyen pour le faire bouger était de lui pincer les fesses mais en effet il bougea encore plus mais ne descendit pas pour autant. Il aimait ça se faire pincer le cul apparemment. Chacun son kiff après tout. La preuve encore il lui déballe que l'endroit qu'il préfère embrasser c'est l'oreille. Ouais c'est vrai que ça peut être un endroit érogène chez certaines personnes mais c'est pas l'endroit préféré à embrasser pour Strauss. Cependant, vu le cas que c'est, Ash' n'est pas trop surprise. Milan se démarquait complètement des autres mecs et par touuuuuuus les moyens. Il était sans gêne devant une fille, il pouvait être grossier comme manger comme un porc, il avait de drôle de tendance comme porter des talons s'il trouve pas ses chaussures, ou il compare les meufs à du fromage, sans compter qu'il fume comme un pompier et boit comme un alcoolique. Définitivement pas le genre de mec qu'on croise dans la rue ni le type prince charmant mais c'est ce qui plaisait à Ash'. Elle aimait bien le fait qu'il se démarque, qu'il lui apporte une fraîcheur que les autres n'ont pas. Ca collait à merveille entre eux et elle venait de trouver chaussure à son pied. T'aimes vraiment l'oreille ou tu te fous de ma gueule là ? Vu comme il était mort de rire, elle avait un doute et autant lui demander clairement. Après qu'il l'est embrassé une seconde fois, elle grimpe sur lui à son tour et lui fait comprendre que la vie spas un kiwi, spas comme il le décide lui. Malheur, qu'est ce qu'elle venait pas de dire. Une autre connerie sur laquelle il rebondit aussitôt. En vrai tes kiwis vont devenir des oeufs dans quelques jours se moqua t-elle en lui faisant un regard machiavélique et sadique pour l'épilation qui lui attendait. Bien sur elle n'allait pas monter jusque là, elle s'occuperait des jambes c'est tout, pour le reste il se démerde tout seul. Ensuite elle lui pique la bière et renverse un peu sur lui. Elle refuse sa proposition de lécher en bougeant la tête de gauche à droite. J'aurais préf lécher du nutella tu vois. Ca c'était bien meilleur, ça collait bien à la peau et il fallait y donner plusieurs coups de langues pour que ça parte bien. Bien plus kiffant. Toujours sur Milan, le joint au bec, elle tire une taffe et ne bronche pas ne serait ce que d'un poil tandis qu'il sort quelque chose dont on se demande d'où ça vient. T'es en train de me dire que tu veux me téter ? Eeeeeeet tu me fais croire que tu es celui qui pourra se passer de moi ? Je suis sûre que là t'es en train de baver sur ma poitrine et que rien que pour les revoir tu viendras souvent me voir dit-elle en jetant un regard à ses seins puis au jeune homme. Elle partait loin elle aussi. T'en as au moins ? dit-elle toujours en le taquinant. Tu m'as dit que les kilos sont dans ton zizi maaaaaaaais moi je vois rien, je sens même rien. La mauvaiseee. C'était plus fort qu'elle de le faire chier encore et encore. Même si elle savait qu'elle allait en payer grave le prix. Elle savait qu'il allait faire ou dire quelque chose, sauf que les conséquences elle n'y pensait pas vraiment. Elle avait pas peur d'abord. Une nouvelle latte, un nouvel essai et cette fois sans savoir comment elle arrive à faire un rond et à envoyer la fumée à l'intérieur. T'as vu ça, t'as vu çaaaaa. Une vraie gosse, voilà qu'elle sautille doucement sur Milan, toujours à califourchon sur lui. Bien sur que non elle n'avait pas bougé de dessus lui. Qu'il le fasse si elle était de trop sur ses jambes ou qu'il souffrait soi disant entre les jambes. Elle tendit le pétard au mather puis déballa le sandwich et croqua dans celui ci tandis qu'elle laissa le brun prendre un croc dans le côté opposé où elle avait mordu. Ca fait trop du bien. Attention, elle allait avoir un orgasme ->


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