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► Feat Ashleigh&Milan
JUKEBOX
Non mais, sérieux, elle n’est pas belle la vie ? J’traine, j’me gratte les couilles, j’dégote des bières, et j’croise cette meuf plutôt mignonne qui m’rapporte des sandwichs ? Pt-être que c’est ça être le roi du monde, et y a qu’à voir comme on s’marre bien tout les deux pour comprendre qu’on est plutôt sur la même longueur d’onde. Du genre pas prise de tête, simplicité, on va là où le ventre nous dit d’aller. Des papillons, putains de papillons, et y a que ça qu’est bon. J’ai jamais eu de problèmes dans ma vie parce que j’me suis jamais pris la tête. J’sais pas m’énerver, j’sais pas crier, par-dessus tout, j’m’arrête jamais d’rigoler. J’suis sure que même quand j’suis né, j’devais être entrain de rigoler. Milan le petit chenapan, ouai c’est moi, et quand j’vois toutes les bonnes choses que m’apporte la vie, j’suis pire qu’heureux d’être c’que j’suis. Et en m’étalant sur le lit, quand elle se met à chanter, j’tends les bras au plafond et enchaine : « Philosophiiiiiiiiiie, Hakuna Matata », et j’éclate de rire comme un gosse avant de me redresser et d’imiter la plus stupide des trois hyènes en disant à la blonde que c’était elle. Regard faussement offusqué, comme un enfant qui s’apprête à bouder, quand elle me dit que j’peux me mettre le kebab au cul : « Ah non, t’as dit, tu fais, on ne retire pas sa parole comme ça ! », et j’la pousse légèrement de l’épaule pour la taquiner. J’suis des yeux le second paquet de sandwich qu’elle attrape, faut surtout pas l’ouvrir maintenant, on aura faim après le pétard, c’est une question de survie ! Et j’grimace quand elle m’appelle mon chaton avant de m’atteler à la tâche. Chopper la boite sous le lit, me mettre à rouler, l’entendre me râler dessus parce que j’suis trop long, me marrer tout seul cinq ou six fois, et m’allonger à côté d’elle avant de m’amuser à faire des ronds par pure provocation. Mon visage tourné vers elle, j’hausse un sourcil malicieux : « J’t’apprends si tu retire et m’promet que t’iras me chercher mon kebab quand j’aurais faim ». Et comme pour la taquiner doublement, j’me remet face au plafond et recommence la manœuvre. Cette fois je fais un gros rond, et d’autres plus petits qui viennent s’incérer dedans. En voyant du coin de l’œil son regard, j’éclate de rire avant de lui rendre le joint. Cette fois je m’étire en baillant tandis que j’lui réponds, genre j’viens de me réveiller, j’fume, et j’me sens câlin tout doux comme un bébé. J’lui raconte mes supers aventures du mois de Septembre, et quand elle se montre enthousiaste, j’me redresse d’un coup dans le lit et j’la regarde comme si j’lui parlais du truc le plus sérieux du monde : « Tu viens avec moi ? Sérieux ? Y a la soirée d’intégration de l’école infirmière sauf que … », je baisse les yeux vers mon entre-jambe avant de les relever vers elle : « Y’a que des meufs, et j’sais pas comment m’y introduire ! Sérieux, c’est comme de savoir qu’il y a une pièce à côté avec plein de sandwich aux fromages et d’pas pouvoir y entrer ! ». Et comme si j’venais d’avoir un éclair de génie, j’la pointe du doigt : « Ohhhhh mais », et j’continue avec les yeux qui pétillent : « Tu m’prête une de tes robes, tu me maquille, et on y va tout les deux ? S’teuplait, dis moi que t’es chaud La Blonde ». Ah ouai non là, elle venait de m’offrir la plus belle nouvelle de la journée, en dehors du fait que j’avais découvert qu’on donnait des capotes gratuitement à l’infirmerie de l’université. Et j’finis par me rallonger à côté d’elle en fixant le plafond, l’écoutant me raconter sa vie à son tour. J’me marre à sa remarque avant d’ajouter : « C’est plutôt toi qui va plus pouvoir te passer de ma chambre, s’tu veux, j’t’installe un matelas juste là », dis-je en désignant du doigt le milieu de la pièce. J’attrape le pétard, et me tourne vers elle pour la regarder : « Tu veux une soufflette ? »
Non mais, sérieux, elle n’est pas belle la vie ? J’traine, j’me gratte les couilles, j’dégote des bières, et j’croise cette meuf plutôt mignonne qui m’rapporte des sandwichs ? Pt-être que c’est ça être le roi du monde, et y a qu’à voir comme on s’marre bien tout les deux pour comprendre qu’on est plutôt sur la même longueur d’onde. Du genre pas prise de tête, simplicité, on va là où le ventre nous dit d’aller. Des papillons, putains de papillons, et y a que ça qu’est bon. J’ai jamais eu de problèmes dans ma vie parce que j’me suis jamais pris la tête. J’sais pas m’énerver, j’sais pas crier, par-dessus tout, j’m’arrête jamais d’rigoler. J’suis sure que même quand j’suis né, j’devais être entrain de rigoler. Milan le petit chenapan, ouai c’est moi, et quand j’vois toutes les bonnes choses que m’apporte la vie, j’suis pire qu’heureux d’être c’que j’suis. Et en m’étalant sur le lit, quand elle se met à chanter, j’tends les bras au plafond et enchaine : « Philosophiiiiiiiiiie, Hakuna Matata », et j’éclate de rire comme un gosse avant de me redresser et d’imiter la plus stupide des trois hyènes en disant à la blonde que c’était elle. Regard faussement offusqué, comme un enfant qui s’apprête à bouder, quand elle me dit que j’peux me mettre le kebab au cul : « Ah non, t’as dit, tu fais, on ne retire pas sa parole comme ça ! », et j’la pousse légèrement de l’épaule pour la taquiner. J’suis des yeux le second paquet de sandwich qu’elle attrape, faut surtout pas l’ouvrir maintenant, on aura faim après le pétard, c’est une question de survie ! Et j’grimace quand elle m’appelle mon chaton avant de m’atteler à la tâche. Chopper la boite sous le lit, me mettre à rouler, l’entendre me râler dessus parce que j’suis trop long, me marrer tout seul cinq ou six fois, et m’allonger à côté d’elle avant de m’amuser à faire des ronds par pure provocation. Mon visage tourné vers elle, j’hausse un sourcil malicieux : « J’t’apprends si tu retire et m’promet que t’iras me chercher mon kebab quand j’aurais faim ». Et comme pour la taquiner doublement, j’me remet face au plafond et recommence la manœuvre. Cette fois je fais un gros rond, et d’autres plus petits qui viennent s’incérer dedans. En voyant du coin de l’œil son regard, j’éclate de rire avant de lui rendre le joint. Cette fois je m’étire en baillant tandis que j’lui réponds, genre j’viens de me réveiller, j’fume, et j’me sens câlin tout doux comme un bébé. J’lui raconte mes supers aventures du mois de Septembre, et quand elle se montre enthousiaste, j’me redresse d’un coup dans le lit et j’la regarde comme si j’lui parlais du truc le plus sérieux du monde : « Tu viens avec moi ? Sérieux ? Y a la soirée d’intégration de l’école infirmière sauf que … », je baisse les yeux vers mon entre-jambe avant de les relever vers elle : « Y’a que des meufs, et j’sais pas comment m’y introduire ! Sérieux, c’est comme de savoir qu’il y a une pièce à côté avec plein de sandwich aux fromages et d’pas pouvoir y entrer ! ». Et comme si j’venais d’avoir un éclair de génie, j’la pointe du doigt : « Ohhhhh mais », et j’continue avec les yeux qui pétillent : « Tu m’prête une de tes robes, tu me maquille, et on y va tout les deux ? S’teuplait, dis moi que t’es chaud La Blonde ». Ah ouai non là, elle venait de m’offrir la plus belle nouvelle de la journée, en dehors du fait que j’avais découvert qu’on donnait des capotes gratuitement à l’infirmerie de l’université. Et j’finis par me rallonger à côté d’elle en fixant le plafond, l’écoutant me raconter sa vie à son tour. J’me marre à sa remarque avant d’ajouter : « C’est plutôt toi qui va plus pouvoir te passer de ma chambre, s’tu veux, j’t’installe un matelas juste là », dis-je en désignant du doigt le milieu de la pièce. J’attrape le pétard, et me tourne vers elle pour la regarder : « Tu veux une soufflette ? »
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