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What the fuck ? -Grace-

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Tu ne voulais juste pas la mettre en danger, mais malheureusement elle n'avait pas l'air de vouloir le comprendre. Ton boulot était bien plus dangereux que tout cela, tu n'avais aucune envie d'avoir un chantage. Perdre toute la tune et la cam et de la garder en vie ou inversement. Elle était ton petit bout de femme, celle que tu aimais tant. Tu mentais pour la protéger et non pas pour garder ton secret, elle n'avait pas besoin de se retrouver au milieu de tout ça. Pas besoin de souffrir comme elle l'avait déjà fait auparavant. Tu haussais les épaules ; la regardant un instant gesticuler devant toi. Elle te faisait rire et pourtant, tu devrais plutôt rester sérieux. La colère commençait à monter et tu sentais son ton changer au fur et à mesure de la discussion. En gros, elle ne supportait pas ces mensonges, elle ne supportait plus ton manque de sérieux. Tu savais qu'elle pouvait parfois être une bombe à retardement, mais que faire ? Tu hésitais à tout lui dévoiler, mais tu savais qu'elle ne te lâcherais pas, mais qu'elle refuserait de continuer cette relation. Un léger sourire se coinça sur tes lèvres et tu lâchais simplement « Arrêtes tu m’excites avec ton regard. » Ta joie se calma d'un coup ; en sentant son doigt appuyer vers ta plaie. Un léger grognement sortait de ta bouche, serrant soudainement les dents. « Tu crois qu'en essayant de me faire souffrir je vais cracher le morceau ? En tout cas j'aurai bien préférer coucher avec toi, malheureusement ce n'est pas d'actualité j'crois. » lançais-tu légèrement plus froidement que d'habitude. Ton regard était plus froid et largement moins chaleureux que quand elle avait débarquée sans prévenir dans ton appartement. Elle avait tellement eu du mal pour se sortir de la drogue, que tu ne voulais pas la mêler à tout ça. Elle avait déjà tant perdu dans sa vie, d'ailleurs heureusement que tu avais été là quand son père avait perdu vie. Elle s'était retrouvée sans argent, sans aide, tu n'avais pas hésité à lui verser une énorme somme d'argent. Elle était tout pour toi, tu l'avais toujours dis. « Peut-être que tu connais ce domaine, mais ce n'est pas une raison. » lançais-tu en croisant tes bras contre ton torse. « Je fais parti d'un cartel, tu es contente ? » voilà c'état dit, maintenant à voir ce que cela allait donner.
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Timoteï te mentait tu en étais sûre et certaine. Il t’avait tellement menti par le passé que tu pouvais le sentir à dix kilomètres à la ronde. Et peu importe si ce mensonge c’était pour te protéger ou quoi. Il fallait qu’il arrête de toujours tout faire pour te protéger, pour te préserver du monde qui pouvait vous entourer, car à chaque fois qu’il a voulu faire ça, cela t’a donné envie de franchir les règles et de devenir une vraie adolescente rebelle. Après tu ne pouvais pas non plus lui en vouloir, il avait toujours tout fait pour toi jusqu’à te renflouer ton compte. C’est lui qui te permettait encore aujourd’hui de vivre comme une vraie princesse. Et c’est ce que tu étais et il le savait mais il savait aussi que la princesse pouvait devenir une vraie bombe par moment. Tu regardais alors Timoteï assez froidement alors qu’il te disait que ton regard l’excitait. Il voulait une nouvelle fois te charmer mais cette fois-ci, il n’y arriverait pas. Tu comptais tenir bon enfin si cela ne durerait pas beaucoup parce qu’honnêtement oui tu avais envie de lui sauter dessus mais il ne fallait pas. Alors que tu parcourais sa plaie de ton doigt, il lâchait un grognement te disant même que cela ne servait à rien et qu’il aurait même préféré coucher avec toi mais que cela n’était plus d’actualité. Son regard était devenu froid, son ton était à la limite de l’agressivité et cela décuplait ton plaisir à lui faire du mal. « Non et ça n’est toujours pas d’actualité si tu continues à me mentir et à me prendre pour une idiote » Tu lui souriais machiavéliquement alors que tu revenais t’asseoir sur le canapé. Il te disait que ce n’était pas une assez bonne raison que de connaître ce domaine pour savoir la vérité et puis il craquait. Il te disait enfin ce qu’il y avait. Il te disait qu’il faisait parti d’un cartel. Tu secouais la tête en souriant. Tu te doutais que c’était une histoire dans ce genre. Prenant la première chose qui te venait sous la main, soit un oreiller tu lui lançais dessus. « Mais putain c’est pas possible ! Tu fais chier Tim ! » Tu te levais à nouveau du canapé, jetant un regard à Ethan qui ne semblait pas déranger par ce brouhaha. « Et oui, je suis contente, parce que pour une fois tu as été honnête avec moi ! Mais tu fais chier, tu penses à ton gosse merde ? Quelle meuf pourras accepter ça ? Certes, cela te donne un côté extrêmement sexy mais quelle meuf acceptera cette vie là ? » Tu le regardais, croisant également les bras.
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Au final ce n'était pas la première fois que tu avais des problèmes, des blessures. Mais la chance était avec toi, elles ne se voyaient pas plus que ça. Heureusement pour toi, sinon elle t'aurait déjà tranché la tête ou autre. Elle cherchait à tout savoir, qu'est-ce qu'elle pouvait t'agacer de temps en temps. Mais bon , tu l'avais toujours connue ainsi et tu l'aimais comme elle était. Tu n'aimerais pas avoir une femme ennuyante, sans caractère qui n'arriverait pas à te tenir tête. Il te fallait une personne qui arriverait un jour à te remettre sur le droit chemin, qui t'engueulerait quand tu péterais des plombs. Qui n'hésiterait pas à te mettre une gifle pour te recadrer, en gros Grace. Mais la vie en avait décidé autrement et pour le moment tu devais tout rattraper. Et vu ta situation, tu n'allais pas du bon côté. Tu devenais froid, limite agressif, elle te connaissait et pourtant elle osait te pousser à bout. La douleur se réveillait de nouveau, tu avais pu souffler quelques heures de repos, plus de douleur. Mais grâce à cette petite blondinette, une goutte de sang coulait le long de ton torse. Tu serrais les dents, croisait les bras sur ton torse, plongeant ton regard dans celui de la jeune femme. Il était temps de lui avouer, pour avoir peut-être la paix ? Mais également la retrouver et tourner la page de ces emmerdes ? Tu en demandais certainement un peu trop, mais qui sait ? Au final tu balançais la vérité, après tout il fallait bien qu'une personne soit au courant si un jour je ne reviendrais pas. D'ailleurs, tu n'avais jamais pensé que si tu mourrais, qui pourrait s'occuper de ton petit ? Ta mère n'était pas assez forte mentalement depuis la mort de son mari, peut-être Alexys ? Ou Grace ? Quand tu pensais à tout ça, un léger frisson parcouru totalement tout ton corps. « Je sais que je te fais chier, ça ne change pas de d'habitude ? » lançais-tu sèchement. Tu ne mâchais pas tes mots, mais elle avait cherché en même temps. « Je pense à Tobias et c'est pour ça que je fais tout ça. Pour ramener de l'argent, qu'il ait de quoi vivre durant toute sa vie si un jour il m'arrive quelque chose. Il aurait toute ma fortune, tout mon héritage, il aura toute sa vie de déjà tracé. Il n'aura pas à se battre pour gagner de l'argent, il n'aura pas besoin de stresser pour payer son loyer ou quoi. Je veux qu'il ait une belle vie, que je sois présent ou non. » en effet ce métier tu le faisais pour l'adrénaline, pour l'addiction mais aussi pour l'argent. Tu voulais qu'il ait une vie heureuse, même si très peu de personne pouvait te comprendre, tu t'en foutais, toi tu te comprenais. « Je ne cherche pas une femme qui accepte tout ça, si je dois finir ma vie célibataire ben je resterais ainsi. » tu ne changerais pas d'avis, du moins pas maintenant.
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Ce type est incroyable, il arrive toujours à se foutre dans des merdes pas possible. Et tôt ou tard il fallait l’en sortir et ça tu savais que ça allait être de ton ressort. En même temps, c’est aussi pour ça que vous vous entendiez aussi bien. Tu étais pas mal similaire à lui. Toi aussi tu étais la reine pour te foutre dans des merdes pas possible et d’appeler Timoteï au secours pour t’en sortir. Lorsqu’il t’avouait toute la vérité, tu avais envie de lui casser ses dents, de l’engueuler jusqu’à ce que son cerveau explose, de lui cracher dessus mais pourtant tu ne disais rien et ne faisais rien de tout ça. Tu lui demandait juste s’il pensait à son fils et là il te déballait son monologue sur le fait qu’il ne pensait qu’à son fils et tu pouvais le comprendre c’était un moyen facile de se faire beaucoup d’argent mais en réalité la peur pour sa peau t’envahissait et tu n’arrivais pas à être d’accord avec lui. Tu le comprenais mais tu ne le concevais pas. Tu ne baissais pourtant pas le regard. Timoteï était sec, froid, agressif mais tu savais pertinemment qu’il ne te ferait rien. Il serait incapable de lever la main sur une femme et encore moins sur toi. Il finissait par te dire qu’il ne cherchait pas à ce qu’une femme accepte tout ceci et là tu pouffais de rire. « Robins célibataire on aura tout vu dans ce monde et moi je vais redevenir vierge aussi » Tu levais les yeux au ciel avant de partir en direction de la salle de bain de Timoteï. Tu récupérais de quoi réparer tes bêtises par rapport à ta blessure et tu étais bien étonnée de voir que Timoteï était bien équipé. Tu revenais dans le salon en fronçant les sourcils. « Elle est sympa ta petite infirmière ? » Biiiiiiip Grace ! Pas de jalousie surtout pas, il faisait bien se qu’il voulait. Tu te ressaisissait brièvement. « Allez viens ici… » Tu t’approchais de lui, décroisant les bras de sa poitrine, pour venir le soigner comme tu pouvais afin que cela ne pisse pas le sang. « Tu n’as peut-être pas besoin d’une femme mais tu as besoin de moi » Tu levais les yeux vers lui avec un petit sourire aux lèvres. « Je peux te demander une dernière chose ? L’argent que tu as mis sur mon compte avant de t’enfuir comme un voleur, ça venait d’où ? » Quoique tu ferais mieux de ne pas vouloir savoir c’est mieux ainsi. « Merci en tout cas, c’est grâce à toi que je peux nourrir mon fils sans vendre mon cul » Tu étais sincère dans ton sourire pour le coup, tu voulais vraiment le remercier pour cela. Il t’avait sauver la vie, grâce à lui tu avais pu remonter la pente et tu étais capable d’assumer Ethan et d’être heureuse avec lui.
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Parfois tu aimerai retourner en arrière et retrouver une vie totalement normale. Quand tu étais jeune et innocent, ou tu ne pensais jamais toucher à la drogue ou à l'alcool. Comme quoi la vie prenait un tournant bien différent de ce que tu pouvais imaginer. Tu n'avais jamais rien demandé et tout ceci ne serait jamais arrivé si ton ex ne s'était pas fait tuer lors de cette fameuse bombe. Mais d'un côté, tu n'aurais jamais connu Grace. D'un côté tu étais content et d'un autre, non. Tu ne pouvais rien y faire et tu avais décidé d'intégrer ce cartel pour assurer une vie parfaite à ton fils. Au final tu ne pensais pas qu'à toi et c'était bien la première fois. Il était toute ta vie, un renouveau et d'ailleurs tu lui devais beaucoup. Il était le seul qui arrivait à te tenir la tête en-dehors de l'eau. Tu touchais à la cam toute la journée, pourtant tu n'étais pas une seule fois tentée. La seule bonne raison : Tobias. Tu n'avais pas le droit de revenir défoncé, tu n'avais pas le droit de le faire souffrir inutilement juste pour ton bien. Tu serais capable de rester célibataire pour ne pas le perturber, et surtout si personne ne t’accepterait comme tu étais. Après tout, personne n'avait le droit de te dire ce que tu devais faire ou non. Si tu voulais perdre la vie lors d'un échange, tu le ferai. Même si ce n'est pas au goût de tout le monde, maintenant tu t'en foutais de ce qu'ils pouvaient te dire. « Oui après tout, ce n'est pas bien grave si je ne mari pas, je suis bien comme je suis. La preuve je ne cours pas après les femmes, j'dirais même que ça fait trois semaines que je n'ai rien fait. » ce qui était plutôt exceptionnel pour toi. Tu laissais juste apparaître un léger sourire, te décontractant petit à petit. Tu arquais ton sourcil, prenant un air interrogateur. « Elle est pas mal, bien foutue et j'aime bien quand elle prend soin de moi. Jalouse madame St-James ? » Soufflais-tu doucement avec un sourire en coin. Ca te faisait plaisir, tu retrouvais ta Grace, ce petit bout de femme, jalouse. Tu la laissais faire, car même si tu ne le montrais pas, cette attention te faisait si plaisir. Ca t'avait tellement manqué depuis ces derniers mois, il te manquait ce petit truc avec elle. Et petit à petit tu commençais à la retrouver, doucement mais surement. « Cet argent vient de l'héritage de mon père, de l’argent propre si tu préfères. » tu ne l'aurais pas fait pour n'importe qui. Elle était si importante à tes yeux, tu ne pouvais pas la laisser face à cette vie si dure et si injuste. « Et sache que si c'était à refaire, je le referais. » tu lui faisais un léger clin d'oeil. T’asseyant sur le bord du canapé pour la laisser s'occuper de toi comme il le fallait./blockquote>
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Timoteï avait toujours besoin de quelqu’un mais en même temps il avait toujours était autonome et solitaire. Jamais il n’accepterait que quelqu’un envahisse sa vie sans l’accepter. Et d’autant plus désormais qu’il avait Tobias mais c’était un homme à femme et il aimait cela. Cela t’étonnait donc qu’aucune femme ne soit encore rentrée dans sa vie. Il te disait donc qu’il n’avait pas besoin d’une femme pour vivre et tu partais dans la salle de bain, cherchant quelque chose pour le soigner. Finalement peut-être qu’il en avait une, une femme pour le soutenir dans sa vie et c’était peut-être la même qui avait rempli cette boîte à pharmacie. Tu revenais, lui demandant si l’infirmière était sympa. Il te regardait légèrement interrogateur avant de te demander si tu étais jalouse après avoir ajouté qu’elle était bien foutu et qu’il aimait qu’elle s’occupe d’elle. Tu levais les yeux vers lui avant de les faire rouler légèrement. Il avait compris, il comprenait toujours tout de toute façon. Il fallait que tu te retournes et correctement sans qu’il ne puisse penser que tu étais vraiment jalouse. « Jalouse ? De quoi ? D’une infirmière ? Pas du tout, tu fais bien ce que tu veux et puis je sais ce que je vaut et elle ne fera jamais le poids face à moi » Tu souriais doucement. Bon ok, la réponse n’était pas forcément la meilleure pour prouver que tu n’étais pas jalouse mais au moins cela prouver que tu étais sûre de toi. Ce n’était peut-être pas forcément bon non plus. Tu venais alors à soigner Timoteï pour réparer ce que tu venais de lui faire. Vous veniez à parler de l’argent qui te permettait de vivre comme tu le vivais aujourd’hui et il te disait que c’était de l’argent propre, car il provenait de l’héritage de ton père. Cela te rassurait un peu quoique tu t’en foutais. Tu le remerciais pour ça tout en désinfectant sa plaie. Il te disait qu’il le referait sans soucis s’il devait le refaire. Tu lui souriais un peu avant de reposer tes yeux sur la plaie. Tu prenais une compresse propre et sans rien dessus pour nettoyer le tout très consciencieusement. Timoteï était assis sur le bord du canapé et tu le soignais avant de reposer la compresse pour laisser tes doigts caresser verticalement son torse. Non, non il fallait te ressaisir. Tu reculais alors d’un pas reprenant les compresses usagées pour aller les mettre à la poubelle. « Il… il va falloir que j’y aille j’ai oubliée le biberon pour Ethan » Ceci était complètement faux mais tu étais déstabiliser et tu n’aimais pas ça du tout, il fallait que tu t’enfuis au plus vite afin de ne pas montrer de signe de faiblesse. Tu t’approchais de ton fils alors que Timoteï était encore juste à côté. Tu respirais calmement pour ne pas perdre pied et tu remettais la couverture sur Ethan afin qu’il n’attrape pas froid. Alors que tu allais prendre son sac à langer, le biberon roulait sur le sol. Eh merde ! Tu le ramassais au plus vite. « Je… je dois vraiment y aller » Tu remettais le biberon au plus vite et tu t’apprêtais à reprendre tes affaires ainsi que ton fils.
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Etrange situation, en même temps tu n'avais plus été aussi proche d'elle depuis des mois et des mois. En y repensant la dernière fois que tu avais aussi proche d'elle, remontait à une année environ. Il était peut-être temps que tu rattrapes toutes ces années perdues, tu l'appréciais tellement voir même plus que l'apprécier. Tu ne voulais même pas te l'avouer à toi-même, mais elle faisait battre ton cœur. Il s'emballait à chaque fois qu'elle te touchait, que ton regard se posait sur elle. Mais comment lui dire après tout ce temps ? Elle avait refait sa vie, elle avait un enfant dont elle partageait la garde avec un de ces amis. Forcément tu ne l’avais jamais réellement accepté, mais tu n'avais pas le choix. Tu t'étais vu en couple pendant des années avec elle et pourquoi pas fonder une famille. Au final, tu avais un gosse qui ne venait pas d'elle et elle avait un gosse qui ne venait pas de toi. Comme quoi la roue tournait petit à petit. Elle s'occupait de toi comme auparavant quand tu vivais dans le même appartement qu'elle. Un léger sourire sur le bord de tes lèvres, tu avais l'impression de retrouver la complicité que tu avais avec elle. Elle partait chercher les affaires dont elle avait besoin pour réparer ce qu'elle avait causé. Et quand elle revenait, elle voulait avoir des informations sur Malik. Cette jeune femme qui s'occupait de toi dès que tu te blessais, cette jeune femme avec qui cette tension sexuelle était toujours présente. D'ailleurs, tu ne savais pas trop comment gérer tout ceci. Ton esprit revenait petit à petit à lui-même. Tu rigolais, elle te faisait rire. Ne voulant pas avouer d'être jalouse, elle tentait de cacher ce vilain défaut. Mais il faisait réapparition à chaque fois, comme dirait ta mère chasse le naturel, il revient au galop. C'était tout à fait ça, mais tu étais pareil. « Ne la fait pas à moi, je te connais par cœur Grace. » soufflais-tu avec un léger sourire, pourtant tu serrais les dents. La douleur était belle et bien présente, tu pouvais remercier la petite blonde pour ceci. Tu te laissais faire sans grogner ou ronchonner, alors que tout se passait plutôt bien. Elle commençait à prendre ses distances, tu ne comprenais pas. Tu n'avais pourtant rien fait, tu ne la quittait pas du regard. L'écoutant s'expliquer, sauf que le biberon en question tomba sur le sol. Tu cherchais un t-shirt qui pouvait trainer dans le coin, l'enfilant rapidement. « Je ne dois pas mentir et toi tu le fais... Sauf que tu le fais très mal. » lançais-tu assez froidement. Tu n'appréciais pas qu'elle te cache quelque chose, ou plutôt qu'elle voulait s'éloigner. Tu te levais en direction de la jeune femme. Attrapant la main de Grace pour la tirer légèrement et ainsi la voir de face. « Tu m'expliques là ? Car je comprend pas vraiment. » soufflais-tu doucement.
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Ce mec c’était toute ta vie pendant un temps. Tu avais même pensée à fonder quelque chose avec lui. Oui, tout le monde pense que tu veux fonder quelque chose avec tout le monde mais en réalité il n’y en a eu que deux. Konrad et lui. Et puis, le temps, vos personnes avait fait que non et là c’était trop dur pour toi. Tu n’arrivais pas à cacher tes sentiments. Parce que même si tu avais fait une croix totale sur Konrad, ce n’était pas le même cas pour Timoteï. Tu avais toujours espérée qu’il revienne pour toi et là il était revenue. Ce n’était pas pour toi tu le savais bien mais il était revenu. Avec un enfant sous le bras certes mais tu n’avais rien à dire là-dessus, lorsque vous vous étiez revus tu étais enceinte jusqu’aux dents. C’était très compliqué comme situation et très bizarre. Et tu savais aussi que Timoteï ne changerait jamais. Il resterait l’homme à femme qu’il était et le séducteur. Et même si cela te plaisait, tu ne te voyais pas le partager avec une autre. Alors que tu le soignais et que tu niais être jalouse de qui que ce soit qui pourrait l’approcher, Timoteï te disait que tout ceci était faux. Tu ne répondais pas mais tes doigts parcourant son torse te faisait reculer d’un coup. Tu prétextais devoir t’en aller pour cause de donner à manger à ton fils mais le biberon tombait du sac. Tu étais dans la merde jusqu’au coup mais tu ne te démontais pas et tu prenais tes affaires pour partir. Timoteï te disait que toi aussi tu mentais et que tu le faisais mal. Son ton froid et son air agressif revenait d’un coup. Tu ne relevais pas voulant te barrer au plus vite d’ici. Tim arrivait vers toi en une fraction de seconde, sa main venait dans la tienne pour que tu le regardes. Tu levais un instant les yeux vers lui, pour fixer ses prunelles. « Je ne peux pas… Je n’arrive pas à me dire que je suis ton amie, j’ai envie d’être dans tes bras, d’être avec toi, de te sauter dessus et tout ça n’est pas sain » Tu baissais doucement le regard. « Je n’ai pas encore fait une croix sur toi, sur nous mais je ne veux plus souffrir et je veux le meilleur pour mon fils alors maintenant laisse-moi partir. Et laisse-moi gérer seul ce problème. Je n’accepterais pas de te savoir dans les bras ou dans le lit d’une autre alors je pense que pour le moment nous ne pouvons pas être amis. Je te rappellerais quand ce cap sera passé » Tu défaisais doucement ta main de la tienne et tu venais déposer un baiser sur ta joue. « Excuses-moi, je n’aurais jamais du venir… » Tu soupirais un grand coup, reprenant tes affaires.
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Comme quoi la vie était souvent imprévisible, en quelques secondes tout pouvait basculer comme en ce moment même. Alors que tout se passait parfaitement bien, il y a fallut cette petite chose pour que la situation dégénère. Tu ne comprenais pas tout, mais tu ne pouvais pas y faire grand chose. Tu ne savais pas si tu devais la retenir, et lui dire ce que tu ressentais, ou la laisser partir au risque de réellement la perdre. Un léger soupire s'échappa de ta bouche, regardant un instant ailleurs. Tu ne t'étais pas retrouvé dans une situation comme celle-ci depuis un bon moment. Et tu n'avais pas pensé à l'être de nouveau aussi rapidement. La dernière fois remontait avec la mère de ton enfant, donc à plusieurs mois à présent. Tu savais ce que tu ressentais pour elle, ton cœur s'emballait à chaque fois que tu la voyais. Tu t’apaisais quand elle se trouvait à tes cotés, mais voudrait-elle de toi, après avoir appris tes occupations du moment ? Sans réfléchir une seule seconde de plus, tu t'étais levé, avait enfilé un maillot et lui avait attrapé sa main. Tu voulais lui parler, tu voulais savoir le fin fond de la chose. Ton regard cherchait des réponses, là ou il ne pouvait pas en trouver. Tu n'avais qu'une seule peur, la perdre. Et si tu devais tout faire pour la retenir, tu le ferais. Elle t'expliquait ce qui n'allait pas, elle n'avait plus envie de souffrir, ce que tu pouvais comprendre. Aucun mot n'arrivait à sortir de ta bouche, tu restais impuissant devant la situation. Elle avouait ce qu'elle ressentait, elle ne se cachait plus, malheureusement tu n'arrivais pas à t'expliquer et lui dire ce que tu ressentais pour elle. Elle t'avait pris au découvert, et plus elle sortait des mots, plus ton cœur se serrait. L'oublier pendant un instant le temps que ce cap passe, il n'était pas possible d'imaginer ta vie sans elle. Pourtant cette fierté n'arrivait pas à disparaître ne serait-ce que pour quelques minutes ou quelques secondes. Tu baissais simplement la tête, la laissant reprendre ses affaires. Nul, oui c'était tout à fait ce que tu étais. Il n'y avait aucun notre mot pour résumer ce que tu étais. Lâche, pitoyable, débile. Finalement tu ne savais même pas si tu allais la retenir, peut-être qu'elle ne souffrirait plus. Elle n'aurait plus de soucis à se faire pour toi, tirailler entre l'envie de la garder et l'envie de la protéger. Un choix qui t'était impossible pour le moment.
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Comme toujours, tu étais arrivée si forte et souriante et tu allais repartir de là à la limite de l’abattement. Car, comme toujours tu n’avais pas su mettre les bonnes distances avec Timoteï et comme toujours tu t’étais laissée prendre à ton propre au piège. Tu cherchais donc à t’enfuir le plus rapidement possible mais ce dernier retenait ton bras, te demandant des explications. Tu lui avouais tout. Tu ne pouvais plus faire la grande et puis tu n’avais plus envie maintenant tu avais quelqu’un qui reposait sur toi et tu te devais de ne pas le décevoir. Alors que Timoteï comprenne ou ne comprenne pas tout ceci ce n’était pas vraiment ton problème. Après ton petit discours nullement interrompue par le jeune homme. Ce dernier lâcher ton poignet, baissant la tête sans un mot. Tu soupirais un instant avant de reprendre tes affaires en main et d’ouvrir la porte. Maintenant que tout était dit et qu’il ne te retenait pas c’est qu’il était d’accord avec tout ça. Il faudrait juste que tu apprennes à coordonner ta tête et ton cœur et que tu mettes tes distances avec lui. Alors que tu passais la porte de l’appartement du jeune homme, tu avais un pincement au cœur, car tu savais que tu ne le reverrais pas d’aussitôt préférant l’éviter pour un bon moment. Tu te retournais, sa tête était toujours basse. « Oh et puis merde ! » Tu posais Ethan et ses affaires, tu faisais marche arrière. Arrivant à hauteur du jeune homme, tu agrippais son menton pour venir l’embrasser avec fougue. Oui, il ne te l’avait pas permit mais rien à foutre c’était sûrement le dernier alors rien à foutre. Tu rompus le baiser au bout de quelques minutes et autant dire que tu t’étais appliquée pour que ce dernier soit mémorable. « S’il n’y avait pas mon fils, crois-moi que tu serais déjà nu… » Tu relâchais son visage pour reprendre ce qui t’appartenait et passer enfin la porte de cette appartement pour rejoindre ta voiture et ton chez toi.
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