What the fuck ? -Grace-

Le summer camp était maintenant passe, tu n'avais pas pu y participer cette année. Tout simplement parce que tu avais ton petit garçon, mais aussi du à une blessure lors de ton travail. En effet, tu avais du envoyer Tobias chez ta mère, le temps que tu puisses te soigner. Trouvant une excuse bidon pour ne pas affoler. Tu n'avais pas besoin d'avoir ta mère sur le dos, il te fallait juste du calme et tu temps que ta plaie se cicatrise. Tu avais appris que Grace avait accouchée il y a peu de temps. Mais tu ne pouvais pas faire le voyage pour lui rendre visite. Bien trop fragile et tu ne voulais en aucun cas lui faire peur avec cette grande balafre. D'ailleurs, depuis un moment tu tentais de l'éviter pour ne pas qu'elle remarque cette souffrance qui te hantait depuis maintenant un mois. Comme quoi travailler dans un cartel n'était pas de tout repos. Heureusement que tu avais rencontré cette jeune fille en étude de médecine pour t'aider z te soigner. Elle ne te posait jamais de question, elle s'occupait seulement de tes blessures et tu l'a remerciais en l'invitant manger ou quelque chose comme ça. Il n'y avait rien de plus avec elle, elle ne connaissait rien de toi, alors que toi tu connaissais tout d’elle. Elle venait chaque matin pour te changer ton pansement, et ce matin tu l'attendais, elle allait être en retard. Au pire, rien n'était grave, tu devais ranger un peu ton appartement et te reposer. La rentrée arrivait et il était peut être temps que tu te remettes totalement dedans. Tu avais pris une heure et demie pour tout ranger, pris quelques médicaments et maintenant tu étais devant ton mac pour réviser. Tu sentais quelques gouttes de sang couler, il était temps qu'elle bouge son cul. Tu n'allais pas supporter ca encore bien longtemps, malgré les cachets la douleur se réveillait. Au final, ton esprit divaguait sur les photos traînant dans ton mac. Toi et Grace, tu n'avais jamais supprime les photos de ta collocation et tout le reste. Quelqu'un frappa à ta porte, ton regard se dirigea directement vers l'heure. Cela ne pouvait pas être Elena, il était bien trop. Mais qui pouvait donc se pointer chez toi. ? Tu n'avais donne ton adresse qu'à... Grace ? Sans réfléchir tu te dirigea vers l'entrée pour aller ouvrir la porte. Oubliant totalement ta blessure...

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Le summer camp. Ton accouchement. La reprise des cours. Ton retour à la mather house. Ta vie défilait à cent à l’heure si bien que tu n’avais plus le temps de rien. Pourtant ce matin en te réveillant tes pensées allaient vers Timoteï. Cela faisait un moment que tu ne l’avais pas vu. Au plus profond de toi, tu sentais que quelque chose se tramait. Même si vous n’étiez plus ensemble, tu avais gardée une certaine connexion avec lui et tu le connaissais mieux que quiconque. Comme il te connaissait mieux que personne également. Vous aviez tout fait ensemble, vous n’étiez pas resté longtemps ensemble mais c’était aussi fort que destructeur et seul deux personnes t’avait apportée ça dans ta vie. Konrad et Timoteï. Après avoir récupéré Ethan chez son père. Tu avais décidée de faire un détour par chez Timoteï. Cela lui ferait sûrement plaisir une petite visite surprise en espérant qu’il soit là ou pas avec une fille. Si tu le surprenait avec une fille ça risquait de te faire bien chier quand même. Et puis, même s’il n’était pas content de te voir tant pis pour lui. Tu roulais donc jusqu’à son domicile jusqu’à arriver devant sa porte. Tu avais le cosi d’Ethan dans la main et de ton autre tu sonnais. Tu n’attendais pas longtemps avant que ton ami vienne ouvrir la porte. Un large sourire se dessinait sur tes lèvres lorsque tu le découvrit. « Alors comme ça on m’oublie ? » Tu le regardais, montrant que tu n’étais pas très contente qu’il ne donne pas de nouvelles mais ton regard venait bien vite se poser sur des gouttes de sang assez étrange et cette large cicatrice qu’étais-ce donc ? Tu fronçais un instant les sourcils avant de rentrer dans son appartement sans même lui demander son autorisation. Tu allais déposer Ethan sur le canapé alors qu’il était encore dans son cosi. Tu le découvrais légèrement, il ouvrait doucement ses petits yeux se frottant doucement le nez de ses petites mains. Tu lui souriais avant de te retourner vers Timoteï. Tu tentais de ne pas être froide et de ne pas le faire flipper tout de suite. « Ça va toi ? » Tu lui souriais un instant.

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Un mois que ce problème était survenu et voilà que tu soignais encore et encore. À croire que cette plaie ne voulait pas se renfermer. Toujours obligé de te doper, de ne faire aucun effort. Heureusement que tu n'avais plus à livrer pour le moment, déclare comme accident de travail par ton supérieur. Tu n'avais pas d'autre choix que de rester chez toi et de te reposer une bonne fois pour toute. La nuit, tu n'arrivais pas à dormir, toujours à sentir cette douleur. Tu n'arrivais pas à fermer l'œil sans te souvenir de cette soirée. Une embuscade, et pour te faire parler, ils ont pensés qu'en utilisant un couteau ils allaient obtenir des informations. Malheureusement pour eux, non. Mais en échange tu avais cette trace et surtout cette douleur. D'après toi, ce n'était que la vie, il fallait passer par tout les évènements. Tes pensées partaient à gauche et à droite, un peu partout mais pas là où elles devraient être. En effet, tu étais censé te concentrer sur tes cours et non sur des souvenirs douleurs ou non. Tu regardais les images défiler jusqu'à que quelqu'un toque à ta porte. Étrange, tu n'attendais absolument personne. Mais étant donné que tu n'avais pas énormément de chose à faire, tu te levais pour te rendre à ta porte. Et comme par magie, tu te retrouvais en face de Grace et de son enfant. Tu ne t'attendais pas du tout à ça, pourtant tu n'avais pas le choix. Tu ne pouvais pas l'envoyer chier, elle était en face de toi. Et même si tu ne voulais pas qu'elle découvre ton état, ça te faisait un bien fou de la retrouver. Elle posait sont regard sur ta plaie, mais tu ne disais rien. La laissant rentrer tranquillement, prendre ses aises. Tu fermais la porte derrière toi, te retournant près d'elle pour regarder ce magnifique petit bout de choux. « Ne t'inquiète pas, je ne t'oublierai jamais. » Un léger sourire en coin. Tu posais ton regard sur le jeune femme, puis sur te blessure. Tu allais devoir t expliquer, comme à chaque fois. Tu relevais la tête pour planter tes iris dans les siennes. « Je vais bien et toi ? Le paradis avec le petit ? » Soufflais tu doucement.

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Timoteï venait ouvrir la porte. Tu souriais au départ mais tu ne souriais plus du tout lorsque tu aperçus sa blessure. Tu ne disais pourtant rien et tu t’imposais chez lui. Posant ton fils sur le canapé. Tu attendais que Timoteï te rejoigne pour lui demander s’il allait bien. Et très sereinement, les yeux dans les yeux il te disait qu’il allait bien. Tu avais pour le coup envie de lui sauter dessus en lui disant d’arrêter de te mentir, car tu le connaissais comme si tu l’avais fait. Et pourtant, tu ne t’énervais pas. Il te demandait si toi aussi tu allais bien. Si tu étais au paradis avec le petit. Tu souriais un peu. « Au paradis pas tout le temps, j’essaie de retrouver ma ligne mais ça va j’ai pas trop trop grossie » Tu ne comptais pas attaquer Timoteï tout de suite, tu voulais le prendre sur le fait. Et sans lui donner la permission tu venais le serrer dans tes bras, profitant de ce câlin au passage, cela faisait toujours du bien mais également tu voulais qu’il te repousse à cause de la douleur sur sa blessure.

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Si tu aurais su que c'était elle, tu aurais rapidement enfile un t-shirt sombre au cas où que quelques gouttes coule le long de ta blessure. Mais non, tu n'avais pas pensé à ce détail. Tu ouvrais naturellement ta porte, la laissant entrer sans hésiter. Pendant un moment tu avais presque oublié ta blessure, mais vu son regard, tu y repensais directement. Un léger sourire pour accompagner tes paroles, un beau parleur tu étais. Ça ne changement certainement jamais, mentir c'était toute ta vie. Bien sûr tu ne mentais pas toujours sur tout, mais quand il s'agissait de ta santé ou de tes conneries, tu étais un expert. Et en même temps, il y avait son enfant, donc autant en profiter pour détourner l'attention. Malin, tu étais mais tu savais parfaitement qu'elle allait vite retourner z ton sujet ou plutôt au sujet de cette balafre. « Je pense bien, heureusement que je ne suis pas une femme. » Lançais-tu sur le ton de la rigolade. Tu ne te verrais pas aller faire du sport pour perdre tout ce ventre. Et même accoucher et tout ça, tu n'aimerai pas le vivre. Tu étais bien content d'être un mec, c'était bien plus simple et moins emmerdant. Au final, elle se blottit dans tes bras. Te tirant une ou deux grimaces, ca te faisait du bien comme du mal. Pourtant tu gardais toute ta douleur en toi, même si tu avais affreusement envie de la repousser. Aucune méchanceté, juste cette douleur. Tu posais ton menton sur sa tête, entourant tes bras autour d'elle. Comme quoi sa présence et sa chaleur te manquait. Au fond de toi, tu aimerai tant la retrouver.

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Tu connaissais très bien Timoteï et tu savais quand ça allait, quand ça n’allait pas. Tu savais également quand il faisait des conneries ou pas. De toute façon, un seul regard permettait de vous comprendre. Alors que vous vous échangiez quelques banalités, toi tu préférais attaquer directement au but. Tu te blottissais dans les bras de Timoteï. Tu voulais le pousser dans ses retranchements mais en même temps tu ne pouvais pas nier que tu en avais envie. Tu aimerais tellement pouvoir le retrouver comme avant. Mais beaucoup de choses s’était passées dans vos vies et il fallait que les choses se goupillent et prennent son temps. Tu avais désormais un enfant à charge et tu ne pouvais plus faire tout ce que tu faisais avant, tête baissée sans même y penser. Et c’était un peu la même chose pour Timoteï, il était également papa. Pas le père de ton enfant mais il était papa. Alors que Timoteï te serrait dans ses bras, tu sentais qu’il ne lacherait pas le morceau. Il était aussi coriace que toi si ce n’était pire. Son menton se posait sur le dessus de ta tête et quelques secondes après tu t’écartais un peu. « T’as fini de jouer le bonhomme ? » Tu plantais tes yeux dans les siens. « Et maintenant, tu vas m’expliquer ce que s’est que ça.. » Tu plaçais ton doigt à côté de la blessure et tu faisais le contour assez rapidement. Tu attendais des réponses et tout de suite. Tu allais t’asseoir dans le canapé, Ethan commençait à s’agiter et tu le sortais de son cosi afin de pouvoir le prendre dans tes bras. Au moins avec un enfant dans les bras, Timoteï aurait moins de chance que tu t’énerves. Parce que connaissant Timoteï il y a de très grandes chances que les origines de sa blessure t’énerve.

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En y repensant tu avais loupe énormément depuis que tu étais parti pour faire ta cure. Tu devais rattraper une année entière, heureusement pour toi tu avais réussi à récupérer tout les cours. Ainsi tu allais pouvoir reprendre doucement mais sûrement. Tu ne partais en aucun cas défaitiste, en même temps ce n'était pas vraiment ton cas. Mais à vrai dire, tu avais quand même du mal à te plonger dedans. Toujours envie de faire autre chose, remettant à chaque fois les révisions à une heure après... Encore une fois la preuve, une visite surprise allait te priver de réviser, mais ce n'était pas n'importe qui. Il était alors normal que tu arrêtes tout ou plutôt que tu oublie carrément l'idée de travailler. Ton regard se promenait du petit à elle, même si tu disais rien, ça te perturbait de la voir mère. Elle dont tu avais le souvenir d'être toujours épave, sur tes genoux sur les balcons. En train de fumer tranquillement les deux, et maintenant les deux avec un enfant chacun. La vie était compliquée et ca personne ne pouvait dire le contraire. Elle restait dans tes bras, ce qui ne te dérangeait pas du tout. Malgré que tu avais l'impression d'avoir de nouveau cette lame charcuter ta peau, tes entrailles. Tu rigolais un instant, avant de poser ton regard sur la jeune femme « Mais je suis un bonhomme ! » Tu ne comptais pas lui cracher le morceau aussi facilement. Personne n'était au courant de ton boulot et tu ne voulais pas que ça se sache dès maintenant. Une fois qu'elle prit le garçon dans ses bras, tu pris place sur une chaise haute en face d'elle. « Je coupais mon poulet et j'ai dérapé. Ça arrive à tout le monde non ? » Un léger sourire sur tes lèvres, tu savais qu'elle allait au bout d'un moment s'énerver, mais pourtant tu continuais dans ta lancée.

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Un an. Un an d’absence et tu avais eu l’impression de ne pas le reconnaître. Il était revenu dans ta vie toujours aussi beau mais changé. Il avait un enfant et il était différent, il te paraissait plus sérieux, plus posé. Vous vous étiez posés tout les deux, chacun de votre côté. Finalement c’était peut-être ce qu’il vous fallait parce qu’autant dire que tout les deux vous vous détruisiez c’était infernal. Mais maintenant tout serait peut-être différent mais pour ça il fallait que chacun redécouvre l’autre. Vous parliez de chose et d’autre jusqu’à ce que tu décides d’aborder le sujet de sa jolie blessure qui saignait après un câlin assez intense. Tu t’asseyais sur le canapé et prenait ton fils dans tes bras afin de ne pas t’énerver, car tu sentais que ça n’allait pas être très joyeux à entendre. Timoteï venait s’installer en face de toi et comme à son habitude il te mentait encore et encore. Il se jouait de toi. Et cela voulait tout simplement dire que la vérité n’était pas belle à entendre. Il te prenait même pour une conne en te disant que c’était en coupant du poulet. Son petit sourire venait s’installer sur ses lèvres et tu ne le connaissais que trop bien ce petit sourire. Tu levais les yeux au ciel. « Couper du poulet ? Tu n’as jamais rien coupé dans ta vie à pars des barrettes de shit et de la coke pour faire tes rails pour mon pauvre garçon ! » Ethan s’endormait peu à peu dans tes bras et tu venais à le reposer dans son cosi. Tu venais à prendre une cigarette qui était dans la poche de ta veste qui se trouvait dans le cosi de ton fils et tu allais à la fenêtre de Timoteï. Tu allumais ta cigarette et tu tirais dessus avant de recracher la fumée dehors. « En tout cas, elle a de la chance celle pour qui tu as coupé le poulet à moitié à poil. On a pas toutes les mêmes privilèges apparemment » Jalousie ? Peut-être un peu. Et puis, en même temps, cela te permettait de rentrer dans son jeu pour mieux rebondir après. Tu le connaissais le brunet et tu savais comment le prendre.

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Tu n'avais pas du tout gérer et tu le savais parfaitement. Au final, celle que tu aimais toujours était Grace, mais pourtant tu l'avais abandonne plus d'une fois. Et maintenant il était un peu trop tard pour te rattraper, elle avait recommencé une nouvelle vie, sans te compter dedans. Ce qui était était totalement normal. Elle n'allait pas t'attendre à vie et peut être qu'elle ne ressentait plus rien pour toi. Tu ne le saurais certainement jamais, du moins pas pour le moment. Même si elle se montrait toujours très proche avec toi, tu sentais cette barrière. Tu n'étais plus autant à l'aise qu'auparavant. Ce qui était normal, avec les événements qui s'étaient passés dernièrement. Elle restait dans tes bras un instant, ce qui forcément te faisait du bien et te faisais même oublier la douleur pendant un instant. Elle t’en balançait pleins dans la gueule, comme elle habitude de le faire. Mais en même temps tu cherchais un peu beaucoup la merde. Toujours à mentir, toujours à trouver des excuses bidon. Mais en même temps, tu ne savais pas comment elle allait le prendre. Tu avais peur de la perdre et tu ne voulais pas. Elle était ce petit bout de femme qui te faisait tenir. « Rho tout de suite, je ne faisais pas que ça de ma vie. » Soufflais tu en fronçant les sourcils et croisant les bras sur ton torse. D'un côté elle n'avait pas totalement tord, mais avec un peu plus de délicatesse, ça serait mieux. Tu la suivais, ne prenant pas une clope. Tu n'en avais pas forcement envie pour l'instant « Tu vas rire, je coupais le poulet pour Tobias. » Un léger sourire s'affichait sur tes lèvres.

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Tu ressentais et tu ressentirais toujours quelque chose pour Timoteï c’était sûr et certain mais tu ne pouvais plus imaginer quoique ce soit avec lui tant qu’il te mentirait toujours. Et là encore n’échappait à la règle après avoir fait un câlin à Timoteï pensant qu’il allait craquer et tout t’avouer. Robins continuait dans son mensonge totalement absurde. Sans rien dire de plus, tu allais fumer une cigarette à la fenêtre. Il te faisait juste rappeler qu’il n’avait pas seulement couper que de la drogue dans sa vie et tu levais les yeux au ciel. Tu tirais un peu plus fort sur ta cigarette lorsque Timoteï te disait qu’il coupait le poulet de Tobias, son fils. Tu te retournais vers lui en le regardant froidement. « Tu me prends vraiment pour une conne ou quoi ? » Tu serrais un peu les dents avant de faire glisser ton doigt tout le long de la blessure de Timoteï. Oui pour le coup tu voulais lui faire mal c’était clair et net mais en même temps il n’avait qu’à pas te mentir. « La seule manière d’avoir une balafre comme ça c’est un règlement de compte ou alors c’est de coucher avec moi mais il me semble pas qu’on ait couché ensemble dernièrement » Tu avais approché ton visage du sien après avoir jeté ta cigarette par la fenêtre. « Alors quel est ce règlement de compte ? Et me fait pas croire autre chose Robins, moi aussi j’ai vécu dans le monde de la drogue et de tout ce qui s’ensuit. Tu ne peux pas me mentir comme à toutes tes petites pétasses prudes qui s’inquiètent seulement pour savoir si le dernier rouge à lèvre sephora est sorti ou pas » Tu le contournais pour retourner t’asseoir. Tu l’avais démasquée tu en étais sûre mais maintenant tu attendais des explications et les vraies cette fois-ci.

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