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Encore un peu de magie (Veïa)

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 Si m’extirper de la baignoire et la suite n’avait pas été trop difficile, c’était bien parce qu’il me tardait de découvrir son monde féérique, de me retrouver aussi en aparté avec elle, loin des regards, des conversations des autres clients du spa. D’ailleurs, on rejoignit rapidement sa chambre. Elle m’ouvrit alors la porte de son refuge estival. J’entrais dans la pièce, observant les détails des lieux, n’ayant pas eu les moyens et le luxe de m’offrir un tel logement. J’avais opté pour le meilleur marché : partager un bungalow avec ma meilleure amie. Les fleurs. La grande fenêtre par laquelle s’invitait les rayons du soleil, éblouissant l’endroit.  Elle se laissa alors tomber sur le lit, me demandant si j’étais déçu. Un petit rire s’échappa de mes lèvres : « Déçu ? » Je m’approchai, lentement, sourire amusé aux lèvres, devant son petit air timide. Je voulais clairement la détendre, et le meilleur moyen que je détenais, ma meilleur arme comme toujours, c’était l’humour. : « Si, je suis terriblement déçu… » poursuivis-je, malicieusement, une idée en tête, la taquiner. « Ca fait presqu’une minute qu’on est entrés là et tu as encore tous tes vêtements sur toi… » terminai-je avant de fondre sur ses lèvre pour lui voler un nouveau baiser, mon corps n’ayant pas été rassasié du sien durant notre bain trop court, les autres clients nous ayant freiné dans nos envies. Je m’écartai un peu, légèrement, restant tout proche d’elle pour lui souffler, plus franchement, plus sincèrement, laissant tomber l’humour et les taquineries : « Je suis pas déçu Veïa… J’suis jamais déçu avec ma fée… » Mes lèvres retrouvèrent les siennes avant de lui demander : « Alors, dis-moi, est-ce que les lits de l’hôtel sont plus confortables que ceux du cottage ? » Usant de ce prétexte pour me glisser à ses côtés sur le matelas.
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Encore un peu de magie
— Denys

Même si je peux laisser une belle image, cette sensation d’avoir vu un ange en laissant mes longs cheveux blonds éblouir quelques regards, au fond je cache une petite vie qui n’a pas de feux d’artifices, une vie presque de clocharde se laissant aller par ses pensées de bohème. Une vie presque dans la misère alors qu’en fait si je le voulais il ne suffirait que de composer le numéro de mes parents pour récolter quelques sous. Je l’avais invité pour éviter d’être épié, éviter que cette petite bulle de bonheur explose en mille morceaux sous nos yeux. Je le regardais assise sur mon matelas pour qu’il me dise sa réponse. Il avait encore ce petit éclat malicieux au fond de son regard qui me faisait signe que ses paroles détenaient une surprise. Je souriais en attendant la suite. Déçu que je sois encore trop habillé et je me mis à rire avant de fondre sous son baiser, il avait assez attendu pendant la route entre le bain et ma chambre d’hôtel. Nous nous ne sommes jamais encore lassé de ce contact chaud et tendre quand nos lèvres s’unissent. «C’est la gêne qui t’empêche de me les enlever ? » Comme si Denys était timide, non il n’avait pas un once de ce trait dans sa personnalité j’en étais persuadé. Ses paroles qui s’enchainèrent m’avait ramené dans un océan de bonheur en sachant qu’il n’était jamais déçu avec sa fée, une douce symphonie à mes oreilles, quelque chose de trop beaux pour être vrai. « Je suis rassuré alors…» Sauf que maintenant je devais rester à la hauteur et ne jamais le décevoir, car il avait une si grand image de cette jeune femme qui ne l’avait jamais encore ennuyée. Il se laisse tomber sur mon lit et je le regarde avant de passer par dessus lui. « C’est toujours plus confortable dans le monde des fées, parce qu’en fait tu flotte sur un nuage…» Elle n’a rien d’extraordinaire cette chambre. Je plonge vers lui à la recherche de sa bouche pour un nouveau baiser l’encadrant de mes cheveux blonds au même moment. Pressée de le retrouver encore une fois de plus.  

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  Ses lèvres étaient un vrai élixir dont je ne me lassais pas puisqu’à nouveau, il fallut que j’y goûte. Et à peine ce nouveau baiser volé, elle me souffla cette question. Qu’est-ce qui m’empêchait de ne pas lui avoir arraché ses vêtements à peine la porte refermée derrière nous ? Pas la gêne non… « Le respect… On ne déshabille pas une fille sans qu’elle ne nous y autorise. » soufflai-je, grand gentleman. Je ne l’avais pas suivi que pour ça, même si mon corps appelait le sien, même si mes mains voulaient sentir sa peau, même si ma bouche ne se rassasiait pas de la sienne… J’avais aussi envie de découvrir un peu son chez elle, son univers. Cette pièce dans laquelle elle avait vécu durant l’été. Pas déçu d’en apprendre plus sur ma fée donc. C’est sur son lit que je pris place, prétextant alors vouloir en apprécier le confort. Elle passa au dessus de moi, m’expliquant pourquoi on était forcément mieux dans un monde de fée. « C’est vrai qu’on est bien là. » Pas sûr que ce soit le côté nuageux de lieux qui me faisait planer, c’était plutôt le fait qu’elle soit à califourchon sur moi. Mes mains se posèrent alors sur sa taille alors que nos bouches se retrouvaient à nouveau. Mes doigts agrippèrent alors le tissu de son t shirt pour lentement le faire remonter sur son corps, interrompant notre baiser au moment de lui retirer complètement le vêtement. « Tu m’autorises ? » demandai-je alors, mettant en pratique mes paroles précédentes.
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Encore un peu de magie
— Denys

Je n’étais pas habitué à un tel respect, parce que même si on me considère comme la poupée de porcelaine, je me laisse abimé sans dire un mot, parce que la douleur me fait vivre, tuer moi pour être ainsi masochiste je cours à ma perte. Mais mes yeux te criaient cette autorisation de me prendre à nouveau dans tes bras et pas d’une façon forcément chaste, mes vêtements me semblent inconfortable sur ma peau, comme s’il n’avait pas leur place pour une fois. «Tu traite bien les femmes… » dis-je innocemment. On est plus que bien, c’est une petite bulle de bonheur où le temps c’est arrêté, où j’ai souhaité que personne ne nous dérange, pas comme au spa. Je sentais mon t-shirt qui remontait le long de ma peau qui s’enflammait de plus en plus. Il se stoppait à m’y course en attendant ma réponse. Un sourire se dessinait sur mes lèvres. Est-ce que je t’autorisais vraiment encore de te laisser infiltrer dans mon esprit ainsi, de me faire planer une nouvelle fois. Je fais peut-être une erreur de te donner cette permission, alors je te regarde et ma main explorer doucement ton torse sous ton t-shirt aussi avec un sourire en coin, celui que tu connais si bien. «Parfois je me dis que tu y arrive un peu trop facilement. » Que tu me fais craquer presque seulement en claquant des doigts. Je relève lentement ton vêtement aussi, mais il se stoppe au même endroit. C’est moi qui mène la danse pour une fois, je ne t'es toujours pas donner ma réponse, comme s'il était impossible qu'on puisse arrêter de jouer.   

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  J’avouais que je la respectais, que je respectais les femmes en général… C’était vrai. Même si certaines féministes objecteraient qu’en soit, la collection de conquêtes que j’avais pu avoir durant l’été jouait en ma défaveur... Jamais je n’avais couché avec une de ces filles en me moquant d’elle, en lui mentant sur qui j’étais, ou en lui faisant miroiter je ne savais quoi. Peut être que je me rassurais en me disant que c’était ce qu’elle aussi elle cherchait : du contact, de la tendresse, de l’évasion… Tout ça sans question, sans gêne, sans embarras. On ne prenait que les avantages, on délaissait les inconvénients. Et je lui demandais donc, dans une démonstration de galanterie, la permission de lui ôter son T shirt, alors que ses doigts à elle se perdaient sous le mien, me faisant frissonner en caressant mon torse. Je n’avais toujours pas obtenu de réponse, elle se contenta alors de souligner que j’y arrivais trop facilement. Un petit sourire naquit au coin de mes lèvres : « Rends moi la tâche plus difficile alors Veïa. Vas-y. » Qu’elle joue les compliquées, je n’allais pas abandonner si facilement… D’ailleurs, j’approchai ma bouche de son oreille pour tenter d’obtenir sa permission d’une manière plus fourbe : « Si tu me laisses t’enlever ton T shirt, tu auras le droit à un massage… » Puisqu’on s’était échappé du spa avant même d’avoir le droit à un tel soin…
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