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lightning strikes everytime she moves (w/denys)

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Baby, this is what you came for lightning strikes every time she moves and everybody's watching her but she's looking at you — Les lèvres de Denys ne se trouvaient plus qu’à quelques millimètres des siennes. Valentina a beau conservé ce sourire niais sur son visage, au fond elle en vient à se demander si Denys n’a pas tout simplement voulu des cours particuliers juste pour essayer de faire évidemment plus que l’embrasser. Et elle avait encore été assez bête pour donner un cadre bien trop romantique à des cours qui ne l’étaient pas.
A première vue, le fait que le visage d’un beau jeune homme soit collé au sien ne la dérangeait pas tellement. Mais tout au fond d’elle, quelque chose bouillonnait, quelque chose qu’elle avait tenté d’oublier, d’ignorer. Elle regarda Denys dans les yeux, comme perturbée par ses paroles, ses idées. Elle sentait que Denys avait réellement envie de l’embrasser. Elle ne pouvait pas trop lui dire si sa technique marchait réellement. Autant dire que ça manquait de romantisme pour une demoiselle élevée aux films à l’eau de rose.
Linetti finit par coller ses lèvres contre celle de Denys. Elle aurait pour autant deviner que Denys en mourrait d’envie. Mais ce baiser ne lui fit aucun effet. Même pas une pointe d’excitation, même pas une once d’envie pour lui. Pas comme le dernier baiser qu’elle avait partagé avec quelqu’un d’autre… Elle décolla ses lèvres délicatement de celle du grec, et sourit, gênée.
« Je crois que ta technique marche pas. » dit-elle en se pinçant les lèvres.
Elle se mit à réfléchir quelques instants.
« Mais je crois que le problème c’est pas la technique, rassure toi, je crois que c’est la fille… »
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A l’origine c’était vraiment chargé de bonnes et studieuses intentions que je m’étais lancé dans l’idée d’un cours particuliers. A l’origine oui… Maintenant, le cadre, la prof sexy, la discussion chargée de sous entendu, et qu’on aille pas me dire que Freud était pas un chaud lapin, parce que vu ses théories et préceptes, il l’était forcément, et bien il en fallait guère plus pour m’emballer et me pousser à tenter ma chance. Je m’approchai, mon visage fondant lentement mais surement vers le sien, nos lèvres ne se trouvant qu’à quelques centimètres et c’est alors qu’elle me demanda si tout ceci n’était pas qu’une technique, une astuce pour la piéger et je finis par avouer, en la questionnant à mon tour : est-ce que ça fonctionnait ?  Son regard croisa le mien, elle ne répondit pas, non, elle fit mieux : elle colla ses lèvres contre les miennes. On aurait pu croire là que c’était un oui, que la technique marchait à merveille. Sauf que le baiser qu’elle m’offrit, je n’eus pas le temps de l’approfondir, j’eus à peine le temps de le savourer. Déjà la brunette se détachait de moi, sourire gênée, affirmant que ma technique ne fonctionnait finalement pas. Bam. Pour le coup, je me redressai, un peu déstabilisé, reculant, mettant une distance bien plus correcte entre nos deux visages, l’écoutant poursuivre, m’expliquer que le problème ne venait pas de l’approche en soit, mais de la fille… « J’étais en train de me dire que je devais être un très mauvais embrasseur d’un coup alors ça me rassure que le problème vienne de toi. » soufflai-je, taquin, retrouvant un peu d’assurance en même temps que mon sourire. « C’est pas correct de ma part de te draguer alors que t’essaies franchement de m’aider à réviser de toute façon, alors t’as le droit de te venger en me disant que j’embrasse comme un pied tu sais. » Trêve de plaisanterie, puisque la demoiselle, elle, elle m’aidait pour mes cours, je pouvais peut être me faire quelques instants oreille attentive et écouter un peu l’objet de ses problèmes. « C’est quoi le problème alors Tina ? Tu veux en parler ? »
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Baby, this is what you came for lightning strikes every time she moves and everybody's watching her but she's looking at you — Valentina continua de sourire gênée. Peut-être que d’une certaine façon, ça lui plaisait de faire ça à Denys. De faire ça à un garçon plein de confiance en soi au point d’inventer des prétextes pour serrer une fille. De faire comprendre à ce genre de garçon que finalement ils ne pouvaient pas tout avoir. Même si bon, ce n’était pas réellement pour cette raison que Valentina avait stoppé le baiser, elle avait trouvé cette source de satisfaction pour se rassurer.
Gênée elle rajoute encore :
« Je suis désolée »
Elle pouvait l’être. Parce qu’elle avait eu envie d’embrasser Denys. Elle avait eu envie de se laisser séduire. C’était bien pour ça qu’elle avait fini par poser ses lèvres sur les siennes. Mais elle n’avait rien ressenti lors de ce baiser. Elle ne s’attendait pas à un feu d’artifice ou à son coeur qui battrait la chamade bien sûr. Mais au moins une once d’excitation. Mais il n’en était rien.
Parce que ce genre de ressenti était réservé à quelqu’un d’autre, qu’elle le veuille ou non.
Denys change alors totalement d’attitude, et se met à s’excuser.
« T’embrasses pas comme un pied » lui répond-t-elle en rigolant. « Et je vais pas te blâmer d’essayer de draguer la jolie fille que je suis. »
Elle soupire alors quand Denys lui propose de parler, de dire ce qu’elle a sur le coeur. Mais au fond, elle sait que ce sont des choses qu’elle n’a pas encore osé dire à voix haute, de peur de les rendre vraie.
« J’ai laissé un de mes meilleurs amis en plan après qu’on se soit plus ou moins avouer qu’on voulait plus qu’être amis. Parce que je suis pas du genre à faire confiance aux gens. »
Elle regarde Denys et se met à rigoler.
« Je sais même pas pourquoi je t’en parle d’ailleurs. » continue-t-elle à rire, nerveusement.
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Le baiser stoppé dans mon élan me fit perdre l’espace d’un instant mon petit air amusé et assuré, me déstabilisant dans mon petit numéro de drague. Elle s’excusa et quand elle avait précisé que le problème ne venait pas de moi, je retrouvais vite mes moyens, mon bagou pour plaisanter sur mes compétences en matière de baiser, que j’avais cru décevant pour le coup. Cela la fit rire, et elle pansa mon égo vexé en me répétant que ce n’était pas le cas, que je n’embrassais pas comme un pied, qu’elle ne m’en voulait même pas pour le piège, cette astuce pour l’attirer dans un tête à tête et essayer de la draguer. « Faut dire qu’en m’emmenant ici, la plage, les vagues en musiques de fond, le soleil couchant en guise d’éclairages, j’ai un peu cru que j’avais ma chance. » rigolai-je alors. J’étais pas du genre susceptible, encore moins rancunier. Tant pis pour ce vent, et puisqu’on était ici pour réviser la psycho à la base, j’allais jouer mon rôle d’oreille attentive et je l’invitais donc à m’en dire plus sur ce qui la tracassait, ce qui l’empêchait de répondre sauvagement à mon baiser en m’embrassant avec fougue, ce qui l’empêchait de se lâcher et de profiter de ce cadre idyllique : un meilleur ami qui lui plaisait plus que comme il ne faudrait. L’espace d’un instant, l’image de Sophia, de son aveu dans le jacuzzi, de notre rapprochement ensuite dans sa suite, tout ceci surgit en flash dans ma tête. « C’est une situation que je connais… » avouai-je avec une légère grimace avant de chasser ses pensées pour me concentrer sur le cas de Tina. Elle confessait un problèmes de confiance dans les gens, aveu qui l’amusa elle même puisque cela contredisait avec le fait qu’elle se livre comme ça à moi. « Tu m’en parles parce que je ne suis Denys Zacharias, ton psychanalyste de la soirée. Allongez vous sur le divan miss Linetti, et dites moi tout, je vous écoute. » soufflai-je en prenant un petit air sérieux, me glissant dans le rôle du psy à merveille avant de reprendre plus sérieusement mes questions : « Si tu es sûre de vouloir être plus qu’une amie pour lui, va le lui dire, ne laisse pas passer ta chance Tina. » conseillai-je alors, en me souvenant amèrement que pour ma part, c’était ainsi que j’avais perdu l’amitié de l’une de mes meilleures amies.
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Baby, this is what you came for lightning strikes every time she moves and everybody's watching her but she's looking at you — Valentina n’avait pas l’habitude que ça se passe ainsi. Qu’elle finisse par repousser un garçon mignon qui voulait l’embrasser et qu’elle avait, elle aussi, envie d’embrasser. Elle n’avait jamais été dans une telle situation. A croire que Royce était plus présent dans son esprit que ce qu’elle pensait. Elle avait honnêtement cru pouvoir faire une croix sur lui, oublier tout ce qu’ils s’étaient dit et faire comme si de rien n’était juste parce qu’elle avait décidé d’être une poule mouillée et de ne pas assumer ce qu’elle pouvait ressentir pour lui. Tout ça parce qu’elle était trop fière. Et voilà que maintenant elle se retrouvait à raconter ses misères à un mec qu’elle avait failli embrasser. Ahah. Comme la vie aimait la foutre dans des situations tordues.
Quand Denys finit par lui dire qu’elle la induit en confusion, elle se met à rire et plonge son visage dans ses mains.
« J’avoue. J’ai pas réfléchi. Mais honnêtement, c’est juste que je me sens bien ici et que pour une fois j’aurai eu le bruit des vraies vagues pour m’aider à me concentrer plutôt qu’un CD. »
Elle se met à rire puis se rend compte de l’expression sur le visage de Denys. Elle avait l’impression qu’il se repassait un film dans l’esprit et c’est quand il lui eût dit qu’il comprenait la situation que Tina se rendit elle même compte que sa situation n’était pas unique. Peut-être qu’en l’embrassant, lui, avait réussi à faire abstraction de ce qu’il venait de vivre. Alors qu’elle…
L’italienne se met alors à rire quand Denys se présente comme son psychanalyste. Elle se couche alors sur la couverture.
« Trois minutes de leçons et tu t’auto-proclames psychanalyste ? Freud se retourne dans sa tombe. » dit-elle en rigolant.
Bon dieu ce que ça peut faire du bien de rire un peu, alors qu’elle venait de foutre une sale ambiance dans la situation.
« Mais tu sais… C’est pas vraiment le genre de mec avec qui je m’attendais à… Je m’attendais pas à être attirée par lui. Parce que je connais tout de lui. Et c’est ça le pire. »
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 Un vent. Un bide complet. Moi qui, en découvrant l’ambiance, la plage, le coucher de soleil, avait vu là une invitation à la drague, je descendais un peu de mon petit nuage. Mais c’était bon joueur, et avec le sourire, que j’acceptais malgré tout le fait que la demoiselle m’éconduise ainsi, me défendant quand même en brandissant le fameux cadre plus propice au flirt qu’aux révisions. Mon rire résonna en écho avec celui de la brunette qui se défendit à son tour. La sono des vagues en direct c’était bien plus sympa qu’un CD. « Heureusement que t’as pas ramené les bougies quand même, parce que là j’arrachais mes fringues direct. » plaisantai-je en riant de plus belle. Se marrer un peu, détendre l’atmosphère pour éviter que l’un comme l’autre nous nous sentions embarrassés. Et puis, c’est le sérieux qui revint et mon visage se crispa un peu lorsqu’elle évoqua ce qui l’avait fait me repousser.  J’avais mes propres soucis sentimentaux en ce moment, et ceux de la brunette me rappelaient un peu les miens. Je repris sur un ton léger, me glissant dans un rôle de psy de bas étage, la couverture comme divan de fortune, l’invitant à s’y allonger et à tout me dire. « Attends j’ai eu une bonne prof ! » me marrai-je lorsqu’elle me taquina sur mon titre de psychanalyste un peu trop vite acquis. Je plaçais mon index sous mon menton, prenant un air faussement sérieux qui ne m’allait pas vraiment en demandant : « T’y crois davantage comme ça ? » Au moins on rigolait, et l’ambiance n’avait pas été complètement plombé par ce baiser, c’était bon enfant qu’on discutait. Le fameux pote de la jeune femme, celui qu’elle aimait bien,  elle le connaissait, ce n’était pas le genre de garçon qui l’attirait habituellement. « Parce que c’est quel genre ? Qu’est-ce que tu sais de lui qui pourrait te rebuter ? » essayai-je de comprendre.
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Baby, this is what you came for lightning strikes every time she moves and everybody's watching her but she's looking at you — Valentina aurait du se douter qu’elle ne pourrait pas ignorer plus longtemps le petit truc que lui faisait Royce. Elle avait tenter de l’ignorer, mais ça lui avait été finalement impossible. En même temps, tout ce qui était réel ne pouvait être ignoré. Et même si ça faisait presque deux ans que l’italienne avait tenté d’oublier qu’il était possible de pouvoir ressentir quelque chose pour quelqu’un en toute sincérité. Bien qu’elle s’en veuille de mettre un sacré vent à Denys -parce qu’il était mignon et même si elle était clairement attirée par quelqu’un d’autre c’était quelque chose qu’elle ne pourrait pas lui enlever- elle était bien contente de se rendre compte de ce qu’elle ne pouvait plus ignorer plus longtemps.
« Arrachées carrément ? Tu fais pas dans la demi-mesure toi. »
Elle s’imagina alors la scène. Denys, arrachant ses vêtements à la simple vue de bougie. Elle aurait rigolé. Et peut-être qu’elle ne se serait pas rendue compte de cette épiphanie.
« Avoue, quand une fille est couchée prêt de toi c’est généralement pas pour te raconter sa vie. Est-ce que ça te fait bizarre ? »
Valentina se met alors à rire. Bien qu’étudiante en psychologie, elle n’avait jamais été consultée un psychanalyste ou un psychologue. Sa famille avait généralement fait office de conseillers. Mais aujourd’hui, elle avait coupé les ponts avec eux. Denys, c’était un peu un cadeau tombé du ciel.
Elle se rendit compte que d’une certaine façon, elle allait dévoiler l’identité de Royce sans le vouloir.
« Il a été élu dragueur d’Harvard au bal. Et moi ma dernière histoire s’est très mal fini. Ça fait deux ans que j’ai plus réellement eu de vraies relations où je m’investissais… »
Elle soupire. Et elle se rendit compte que la blessure qu’elle avait eu n’avait jamais vraiment guérie.
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Je faisais le con, plaisantant sur ma réaction si la brunette avait eu l’idée de ramener des bougies en plus du cadre déjà un peu romantique dans lequel elle nous avait plongé pour nos révisions. C’était de l’humour, certes, ma façon de faire descendre les tensions que le vent qu’elle venait de me mettre aurait pu faire apparaître entre nous. Elle s’amusa de mes mots. Avant de m’interroger sur mon ressenti, le fait qu’une fille soit couchée près de moi, pour blablater. « J’imagine que je vais devoir m’y habitué, quand je serais diplômé je ne pourras pas coucher avec toutes les filles qui s’allongeront sur mon divan, coucher avec ses patientes c’est pas recommandé… » répondis-je avant de plaisanter en ajoutant : « Quoique, ça peut être une nouvelle technique de psychanalyse. Coucher plutôt que de parler, ça permet aussi d’évacuer stress et tensions après tout. » me marrai-je. Enfin, c’était une thérapie que je n’allais pas tester avec Tina, puisqu’elle en avait un autre dans la peau. Et que c’était ce qui l’avait freiné. Le plus dragueur d’Harvard, ok ça en disait long sur le coco ce titre. J’essayais de rassurer la demoiselle : « Peut être qu’il drague, qu’il flirte beaucoup à droite à gauche, parce qu’il n’a pas encore compris qu’il avait déjà trouvé celle qui lui fallait, qu’elle était là devant lui, depuis un moment. » Peut être que dans les bras de ses autres nanas, il recherchait la tendresse qu’il aurait voulu partager avec Valentina… Enfin, pour la brune ce n’était pas aussi simple. Elle avait eu une ancienne histoire compliquée, ça faisait deux ans, et depuis c’était un peu dur pour elle de s’investir dans une nouvelle histoire sérieuse. « Hey… » Ma main s’empara doucement de la sienne, touché par son aveu. Disons qu’en tant que poissard des relations amoureuses, je la comprenais plutôt bien. J’en étais pas rendu à papillonner pour rien, moi aussi j’avais eu mon lot de déceptions. Mais c’est avec une lueur d’optimiste que je lui soufflais : « Peut-être que c’est avec lui, avec ton meilleur ami, que la blessure va se refermer complètement. Peut être qu’il va te redonner goût aux relations sérieuses… » soufflai-je avant d’ajouter, avec un petit clin d’œil et sur une note moins sérieuse : « Et puis sinon, si ça marche pas, tu pourras toujours venir me voir pour qu’on essaie ensemble la sex therapy. »
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Baby, this is what you came for lightning strikes every time she moves and everybody's watching her but she's looking at you — Avant toutes ces histoires avec son ex-fiancé, Valentina avait été une grande romantique. Elle aurait très bien pu à ce moment là, avec tout un stock de bougie parfumée et de pétales de roses, de musiques romantiques comme sensuelles. Elle aurait tout fait pour rendre romantique des instants avec son fiancé. Aujourd’hui, deux ans plus tard, deux ans après qu’il l’ait quitté comme une moins que rien, elle avait un peu changé d’avis par rapport à toutes ces babioles romantiques. Ça ne lui montait plus à l’esprit à vrai dire. Alors l’italienne avait innocemment pas pensé au caractère romantique de ce tutorat. Elle rigole quand Denys lui dit qu’il devra s’habituer.
« Je suis ta première du coup ? Enfin, en quelques sortes… Tu te souviendras toujours de moi c’est vraiment mignon. »
Linetti ne savait pas trop si elle voulait devenir psychologue ou conseillère. La seule chose qu’elle savait bien c’était que la façon dont fonctionnait l’être humain sur un plan psychique la passionnait. Les réactions des gens, la façon dont ils fonctionnaient…
« Le problème, c’est que je ne pense pas que cette thérapie puisse marcher avec tout le monde. »
Elle rigole. Puis les mots qu’il finit par lui dire sur Royce sont d’une certaine façon vraie. Il était un dragueur. Certes. Mais aujourd’hui, elle était certaine qu’il pensait à autre chose : elle. Ou tout du moins elle l’espérait.
« Disons qu’on sait tous les deux qu’il y a quelque chose entre nous. C’est juste que… personnellement je fuis. »
Elle tue la raison pour laquelle elle fuyait. Elle en avait déjà dit trop avant en parlant du fait qu’elle ne s’était pas investie dans une relation depuis plus de deux ans. Ouais, peut-être que Royce serait celui qui lui redonnerait goût à l’amour. Peut-être. Alors elle devrait se lancer. La main de Denys dans la sienne, elle se sent rassurée, réconfortée. Son sérieux la rassure, ses mots la rassurent aussi.
Puis il finit par redevenir ce petit rigolo.
« La sex therapy. Ok c’est noté. Si ça part en couille j’ai ton numéro. »
Elle explose alors de rire.
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 Les paroles de Tina m’arrachèrent un petit rire. « Dépucelage de relation platonique, je suis pas prêt de d’oublier en effet. » rigolai-je, approuvant ses mots avant de parler d’une thérapie différente, où le psy et sa patiente s’adonneraient à des choses peu catholiques. Peut être que ça marcherait, peut être que ça pourrait régler bien des problèmes ? Vous vous doutez que je n’étais pas vraiment sérieux avec cette suggestion, elle amusa en tout cas mon interlocutrice qui remit en doute le bon fonctionnement de cette technique d’ailleurs. On ne retrouva notre sérieux que lorsque le sujet de sa relation avec son meilleur pote revint sur le tapis. Si ils savaient déjà tous les deux, l’un comme l’autre, qu’ils se plaisaient, c’était un grand pas. Il ne restait plus qu’à se lancer, qu’à faire abstraction de sa reput de dragueur pour lui, de sa tendance à fuir pour elle. « Je pense que fuir ça règlera pas le problème. T’as envie d’être avec lui, ça marchera pas avec d’autres gars tant que tu te seras pas lancée avec lui. Ca se comprend que tu sois méfiante… » Elle m’avait juste parlé d’une relation qui s’était mal finie, restant évasive, donc je ne savais pas exactement ce qui s’était passé mais dans le domaine échec amoureux, j’étais un expert donc je n’avais aucun mal à me mettre à sa place. « Mais t’as le droit d’être heureuse aussi, alors lance toi Tina. » J’ajoutai quand même malicieusement qu’elle avait mon numéro, si ça foirait, et que j’étais bien sûr volontaire pour tester la sex therapy avec elle. « Allez, reste pas sur cette plage avec moi, tu devrais aller le rejoindre… » lui conseillai-je alors.
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