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lightning strikes everytime she moves (w/denys)

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Baby, this is what you came for lightning strikes every time she moves and everybody's watching her but she's looking at you — Valentina ne savait pas réellement pourquoi elle avait accepté de se la jouer tutrice. Peut-être parce que Denys était mignon, mais il fallait bien qu’elle trouve une autre excuse, histoire de ne pas avouer cela. Elle était forte dans son domaine. La psychologie. Elle avait toujours aimé analyser les autres et essayer de comprendre les histoires des autres. Et apprendre comment tout ce système humain mais incompréhensible à bien des niveaux fonctionnait la fascinait. Oui, bon, passons le fait qu’elle étudiait aussi l’économie et elle faisait quelque chose qui l’intéressait et la fascinait. Et quand elle avait eu l’occasion de jouer la tutrice pour quelqu’un qui allait s’attaquer à un peu de psycho à la rentrée, Valentina avait sauté dessus. Puis en même temps, fallait dire qu’elle n’avait pas le pire des élèves. Denys. Ah, Denys. Il était mignon ce Denys. Et il voulait travailler en plein summer camp, de quoi ravir la Tina sérieuse et fondue du travail qui essayait de se trouver une place pendant ces vacances.
Ils s’étaient donc donné rendez vous à la plage, en début de soirée. Tina avait ramené ses classeurs, ses fiches, ses petits carnets pleins de petites notes et attendait patiemment Denys sur la petite couverture qu’elle avait mis sur le sable. Lorsqu’il arriva, elle se leva et lui fit un grand sourire.
« Prêt à rattraper un année de psychologie ? »

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Suffit de rigoler. Le surf, les copains, les filles… C’était bien sympa cet été à déconner, mais là il fallait sérieusement que je me reprenne. Je voyais que les jours, les semaines filaient à une vitesse folle me rapprochant dangereusement du jour de la rentrée, et je commençais à sérieusement baliser pour la reprise des cours. Trois ans. Mon break, mon année de –césure-  s’étaient changé en trois. 3 x 365 jours loin des bancs de la fac et des livres de psycho. Alors si mes voyages, mes road trips, mes rencontres et échanges m’avaient appris beaucoup, l’école de la vie comme on dit, il n’en restait pas moins que d’attaquer la rentrée après cette longue pause était stressant. J’avais trouvé une bienfaitrice, ma bienfaitrice, en la personne de Tina. Studieuse étudiante en psychologie, et en plus elle était jolie par dessus le marché. Den, tu y vas pour réviser pas pour draguer… Voilà ce que je dus me répéter sur le chemin vers la plage, mon bloc note sous le bras, mon crayon sur l’oreille. J’allais devoir me conditionner pour potasser et pas me laisser distraire par la jolie brune. J’arrivais au point de rendez vous et la trouvais alors, bien mieux équipée que moi, assise sur une couverture et ses livres étalés autour d’elle. Elle se leva en m’entendant arriver et je me penchais vers elle pour lui faire la bise et la saluer : « T’as l’air bien enjouée… Faut que je t’appelle mademoiselle la prof c’est ça ? » rigolai-je avant de me poser sur notre couverture, bureau de fortune pour la soirée. « Encore merci d’avoir accepté Tina… Je te revaudrais ça vraiment… » Parce qu’elle sacrifiait une de ses soirées pour moi, et ça, c’était vraiment trop adorable de sa part.
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Baby, this is what you came for lightning strikes every time she moves and everybody's watching her but she's looking at you — Peut-être que si elle avait accepté d’être prof, c’était parce que c’était toujours un truc qui lui avait plu. Quand elle était gamine, c’était toujours elle, la petite derrière d’une fratrie de six enfants qui forçait ses frères et sa soeur à s’assoir et à faire semblant d’être ses élèves. Et puis Valentina était aussi une élève sérieuse, d’ailleurs peut-être trop. Du coup, elle aimait bien étaler sa science. Montrer qu’elle était forte. Ça devait venir du fait qu’elle était la petite dernière justement, et que tout le monde avait déjà eu l’occasion de briller avant elle.
Elle était déjà toute prête à travailler quand Denys arriva. D’ailleurs, question stupide, qui à part elle peut amener ses classeurs, ses livres en vacances ? Est-ce qu’elle était la seule folle à faire ça ?
Elle dut se mettre sur la pointe des pieds pour lui faire la bise -comme avec tout le monde- et ils s’installèrent.
« T’imagines même pas comment ça va me faire plaisir de te torturer avec des termes psychologiques. Je suis un peu sadique sur les bords… Je crois… » dit-elle tout en ricanant.
Elle sourit et rougit presque quand il l’a remercie de gâcher une soirée pour elle. En même temps, elle savait très bien que ce soir, elle n’aurait pas fait grand chose d’autre. Là, elle pourrait profiter d’un joli couché de soleil, du sable entre ses doigts et d’un joli garçon.
« Tu me revaudras ça comment ? En nature ? »
Elle se met alors à rigoler nerveusement, se rendant compte de la stupidité de sa réponse.
Elle prend alors un livre en main.
« Je sais que t’es en vacances, mais ce livre là, c’est genre le B.A.-BA de la psychologie. Je l’ai lu sur la plage pour voir si c’était un résumé assez cool pour toi et ouais, c’est le cas. Sinon, t’as des questions spéciales ? » dit-elle, toute fière de son nouveau rôle.
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Ma sauveuse. Je ne cherchais pas à juger, à me moquer de son petit côté sérieux qui l’avait poussée à amener ses ouvrages de psycho dans ses bagages, parce que gosh, ça me sauvait la mise quand même. Cette petite leçon particulière allait me permettre de déstresser avant la rentrée, à reprendre un peu d’assurance. Alors qu’elle me torture. « J’imagine que je suis là pour ça. Sois une prof intransigeante, et j’essayerais d’être un élève pas trop dissipé. » promis-je même si pour ma part, mon côté studieux était bien enfoui en moi, étant donné que j’avais toujours été perçu comme le petit rigolo de service. Mais je m’installai avec elle, sur cette couverture. Vu de l’extérieur, ça aurait presque l’air d’être une soirée romantique : le bruit des vagues, le sable, le coucher de soleil… Presque, et lorsqu’elle plaisanta sur la façon dont je pourrais la remercier, un rire en écho au sien s’échappa de mes lèvres. « T’accepterais ce mode de règlement ? »répliquai-je avec une lueur d’amusement dans les yeux, scrutant son regard pour chercher à le déchiffrer. Elle avait surement juste lancé ça comme ça, en l’air, sans sérieux… Parce que très vite, elle s’empara d’un bouquin : LE résumé que je devais lire pour me remettre dans le bain. Je saisis l’ouvrage qu’elle me tendait, fis un instant tournoyer les pages. « Waw, merci… Je suis plutôt du genre à lire SURFING Magazine d’habitude sur la plage, mais je crois que je sais ce qui me reste à faire si je veux pas que ma jolie prof particulière me colle un zéro pointé. » rigolai-je avant de relever la tête vers Tina qui me demandait si j’avais des questions. « J’en ai une, oui… T’as un mec? » Incapable d’être sérieux deux minutes. Elle était bien tombée la pauvre avec un Denys Zacharias en premier élève.
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Baby, this is what you came for lightning strikes every time she moves and everybody's watching her but she's looking at you — Même si elle avait toujours aimé jouer à la maitresse, Valentina n’avait jamais été réellement une tutrice. Au lycée, tout le monde avait peur d’elle parce qu’elle s’appelait Linetti. Elle avait beau avoir des A partout et avoir tout le potentiel d’une parfaite tutrice, personne n’avait voulu de son aide de peur de devoir des dettes à Alonzo Linetti et de finir en petits morceaux au fond d’une forêt ou dans un lac. Alors Denys, c’était un peu son patient zéro, celui qui servirait d’expérience, de test.
« Est-ce que j’ai le droit de te fouetter si t’es pas un bon élève ? »
Elle se rend alors totalement compte que si elle insinue les méthodes de la vieille école, elle sonne plus comme quelqu’un qui a envie de violer son élève. Elle eut envie de s’enterrer la tête dans le sable telle la superbe autruche qu’elle était.
Une autre de ses conneries la rattrapa quand Denys lui demanda si elle accepterait vraiment un mode de payement en nature. Elle se met à rire nerveusement.
« Du moment qu’on me paye. »
Et elle se mit à rougir en réalisant encore une fois qu’elle ne disait pas les bonnes choses.
Elle jeta un coup d’oeil à ses autres livres, histoire de ne pas perdre son temps à analyser visuellement Denys et se perdre à l’imaginer sans vêtements. Et Tina se mit à rire quand il parla d’elle en tant que jolie professeur.
« Écoute, ce bouquin est super bien fait et regarde comme il m’a permit de parfaire mon bronzage. Surf Magazine attendra que tu rattrapes ton retard. »
Elle rigole et commence à parcourir ses fiches pour trouver un sujet à aborder, attendant sa possible question. Lorsqu’elle tombe, Valentina rit aux éclats.
« Ah ah. Du point de vue de Freud les relations amoureuses relèvent du narcissisme. »
Ayant l’impression de le perdre, elle rajoute :
« Et je ne suis pas narcissique. Même si je suis italienne. »
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La suggestion de punition que ma maitresse du jour évoquer fit aussitôt redoubler mon rire. « Ha ouais t’es de ce genre là Tina ? On aurait pas cru que c’était ce que cachait ce petit air sage… » la taquinai-je alors, amusé par le double sens des mots de la demoiselle, carrément ambigus. Cette conversation n’avait rien de studieux, encore moins quand on évoquait un potentiel paiement en nature.  « J’ai pas un rond alors t’auras pas le choix… » Ca sera mon corps et mes baisers que je pourrais rembourser ma dette… Ou bien juste en lui payant un verre et en l’aidant à réviser à mon tour plus tard dans l’année. Mais autant joindre l’utile à l’agréable en optant pour la première option non ? Alors, qu’est-ce que je m’étais dit en arrivant déjà : que je venais ici pour bosser et non pas draguer ? Elles étaient parties loin mes bonnes résolutions. Aucune volonté Denys.  Valentina essaya de reprendre le fil sérieux de notre soirée, avec son ouvrage qu’elle me présenta comme LA solution et LE truc à lire sur la plage. Adieu Surf Magasine alors.  Mon regard s’alluma d’une lueur malicieuse lorsqu’elle évoqua son bronzage et je m’approchai un peu plus d’elle sur la couverture : « Parfaire ton bronzage ? Je ne vois pas assez attends… » Prétexte parfait pour réduire la distance entre nous, pour scruter la peau dorée de la demoiselle, imperturbable qui plongeait dans ses fiches et qui ne se laissa pas déstabiliser par ma question. Non, la brune rebondit judicieusement sur mes mots pour me citer Freud et sa théorie du narcissisme. Je me raclai la gorge pour me reprendre. « Freud oui… » Oui, l’espace d’un instant, on pourrait presque croire que j’avais sérieusement envie de reprendre notre petit leçon. Sauf que de ce célèbre psychanalyste, je choisis de citer justement un principe bien équivoque : « Puisque tu parles de lui, on pourrait aussi évoquer sa théorie du plaisir non ? » lançai-je alors tout fier.
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Baby, this is what you came for lightning strikes every time she moves and everybody's watching her but she's looking at you — Et merde, voilà qu’elle se donnait à elle toute seule une image de sadomasochiste. Elle n’était même pas assez grande pour rentrer dans une de ses combinaisons en cuir. Tina était d’ailleurs tellement petite qu’elle s’habillait parfois au rayon enfant. Et puis même, elle était catholique nom de Dieu. Pas qu’elle ait un balai dans le cul -loin de là- mais le sadomasochisme ? Eurk.
« Ça ou le bonnet d’âne, c’est toi qui choisit. »
Et bim ! Mets toi toute seule cinquante ans dans le dent Tina ! Elle rigola à sa propre remarque, bien qu’elle soit loin d’être drôle et se mit à espérer que Denys passerait par dessus sa maladresse. Ils étaient là pour bosser, pas pour se chercher.
« Je peux demander le payement en plusieurs fois aussi, fais gaffe. »
Valentina se mit alors à se demander ce qui ne tournait pas rond chez elle. D’où draguait-elle Denys ? Parce que c’était clairement l’impression qu’elle donnait. Où avait filé la petite Tina fière et sûre d’elle ? La charismatique et rationnelle ? Aucune idée, évaporée sûrement.
Reprends tes esprits Tina, se surprit-elle à se dire.
Elle sentit alors Denys se rapprocher un peu plus d’elle pour observer son bronzage, elle s’en doutait, mais elle garda son nez planté dans ses fiches. Elle sent alors le souffle de Denys contre son épaule. Ah. Ok. Il n’était vraiment pas du genre élève sérieux. Ils étaient comme le jour et la nuit apparemment. Il continue à évoque Freud, tout comme elle. Apparemment, il se fichait bien de savoir si elle avait un copain.
« Tu parles de plaisir dans le sens d’état de quiétude absolue ou alors tu confonds avec les pulsions ? » lui répond-t-elle, toute fière.
Les vagues s’écrasent sur la plage qui leur appartient à eux tout seul. Le soleil se met peu à peu à se coucher, leur offrant une luminosité réduite et un cadre bien trop romantique pour une leçon particulière. Tout dépendant du moins du type de leçon.
« Bref Monsieur Zacharias. Êtes vous prêt à rattraper en quelques heures une année de psychologie ? »
Elle était tout sourire. Presque naïve de croire qu’elle comme lui n’allait pas déraper sur autre chose.

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« Le bonnet d’âne ! » me marrai-je alors. Ouais le trip cuir, fouet et menottes, très peu pour moi. « Et puis tu vas me mettre au coin et me donner des lignes à recopier ? Je peux t’appeler maitresse aussi ? » soufflai-je dans un rire. La leçon particulière prenait vraiment le chemin de la plaisanterie. C’est toujours avec humour qu’on évoquait le mode de paiement. En nature. Ca serait avec plaisir, sauf que ce petit jeu de la demoiselle ne m’était pas à me convaincre qu’on était là pour bosser. Surtout qu’elle renchérit sur le paiement en plusieurs fois. « Fais gaffe Tina, je vais finir par te prendre aux mots. » rigolai-je alors. Il ne fallait pas m’encourager sur cette fois, pas quand ma prof était une superbe italienne au teint hâlé, que je me rapprochais d’elle sous prétexte d’apprécier son bronzage. Elle parlait de Freud plutôt que de répondre à ma question sur son célibat et moi je me repris. Pendant deux secondes et demi. Avant de réattaquer avec la théorie du plaisir du célèbre psychanalyste. Loin de se laisser troubler, c’est tout fière qu’elle me demanda de préciser ma pensée. « Attends, j’ai besoin d’un rappel, faut que tu me ré-expliques la différence entre les deux ? » Quiétude, pulsions… Bordel, ça pouvait être drôlement excitant les cours de psycho en fait… Elle essaya, tant bien que mal, de ramener la discussion sur l’année de psycho que je me dois de rattraper et je refermais le livre que j’avais toujours en main, le balançant sur la couverture un peu plus loin : « Je suis prêt à tester le principe du plaisir, de la quiétude absolue et même des pulsions avec toi. » répondis-je malicieusement avant d’approcher mon visage du sien, réduisant encore un peu plus la distance entre nous pour venir capturer ses lèvres des miennes.
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Baby, this is what you came for lightning strikes every time she moves and everybody's watching her but she's looking at you — La psychologie, c’était son truc et elle n’aurait jamais pu trouver mieux pour s’épanouir dans ses études. Si elle avait choisi l’économie en mineure, c’était plus histoire de se dire qu’elle continuerait de manier les chiffres comme elle l’avait toujours fais. En même temps, son père l’avait quasiment mis en charge de la comptabilité des Linetti dès qu’elle était capable de tenir une calculatrice. Mais la psycho… La psycho c’était différent. Elle prenait plaisir à découvrir et à apprendre. Les chiffres, c’était plus un don qu’autre chose.
Valentina se tait et se contente de sourire quand Denys lui annonce qu’il risquait de la prendre au jeu. Non, plus sérieusement, elle serait plus du genre à demander un service en retour que de faire la connasse raphia à demander de l’argent. Elle n’était pas son père.
C’est toute heureuse qu’elle se met à penser à une façon simple d’expliquer la différence entre pulsions et quiétude. Elle est sérieusement prête à travailler, contrairement à Denys qui semble lui être plus intéressé par le bronzage de madame que son QI.
« Les pulsions sont tes besoins, ce que ton corps et ton psychisme expriment. Ça n’a rien à voir avec le plaisir mais tu peux confondre avec les pulsions sexuelles. La quiétude, ou l’état de quiétude, c’est tout simplement l’absence de souffrance et de tourmente de l’esprit. » lui dit-elle en souriant. « Mon dieu mais qu’est-ce que je suis une bonne prof » rajoute-t-elle en rigolant.
C’était comme s’ils étaient seuls sur la plage. Ils ne leur manquaient que des flutes de champagne pour que quelqu’un au loin puisse croire à un rendez vous galant. Denys balance alors le livre et se rapproche alors de Valentina. Un rapprochement très rapproché pour ainsi dire. Leurs lèvres sont maintenant à quelques millimètres les unes des autres. Valentina se met alors à sourire.
« Qu’est-ce que tu fais là ? » dit-elle toujours avec ce petit sourire niais.
Elle a beau parler, leurs lèvres ne perdent rien en distance.
« C’est ça ta technique de drague ? Tu pièges les jolies filles en leur faisant croire que tu as besoin de soutien scolaire ? »
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J’étais entre de bonnes mains, avec mon bouquin à la main, livre inutile parce que Tina était une encyclopédie à elle toute seule en fait. La voilà qui se lançait dans une explication, tout à fait sérieuse, hermétique à mes tentatives vaines de la troubler, de faire tourner l’ambiance de studieuse à ambiguë. Qui pouvait parler de plaisir, de pulsions sexuelles, de quiétude absolue, tout ça sans être gagné par des pensées salaces ? Valentina. Elle expliquait la différence de façon très claire. C’est qu’elle était pédagogue, elle avait raison de souligner en rigolant qu’elle était une bonne prof. « Non, non… » objectai-je, taquin. « T’es pas mauvaise, tu expliques plutôt pas mal en effet, mais une vraie prof ne se contente pas d’expliquer, elle illustre. » réclamai-je, une lueur de défi dans les yeux, m’approchant, réduisant peu à peu la distance entre nos deux visages pour lui souffler : « Ne te contente pas de m’expliquer la différence Tina : montre moi. » Est-ce que c’était une pulsion, cette envie soudaine qui me gagnait de l’embrasser ? Elle me demanda alors ce que je fabriquais, sans perde son sourire, sans s’écarter, ce qui me parut être un signe plutôt encourageant. « Ma technique oui, dis-moi : est-ce que ça marche ? » Est-ce qu’elle allait me repousser, m’envoyer balader, me demander de reprendre mon sérieux ? Ou est-ce que l’élève allait réussir à dissiper la maitresse ?
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