Abé, j'ai toujours cru en toi. Je t'ai toujours considéré comme un frère, mon pilier... Alors au début, je me suis marré quand en fouillant partout, y compris ta caisse, je suis tombé sur ce tas de fringues bariolées... Je me suis dit que t'allais te reconvertir dans le cirque, je t'imaginais en clown, et j'rigolais comme un con. Et puis j'ai trouvé autre chose, et je n'ai plus eu aucune envie de rire. Le téléphone avec lequel tu m'as écrit, nargué, insulté. Tu comptais me le dire quand que t'étais de mèche avec Tate ? Que tu faisais parti de ceux qui agissaient contre moi ? Tu comptais jouer le double jeu encore longtemps ? Je te laisserais pas me planter un couteau dans le dos. Alors efface mon numéro, efface moi de ta vie.
ps : c'est même pas la même de revenir à la villa, j'ai changé tous les codes d'accés.