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Nienke&Milan - Have you got colour on your cheecks ?

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Et le Milan express vous emporte tout là-haut, au dessus des nuages, regarder le monde, comme il est beau, avec toutes ses couleurs et tous ces gens qui se promènent et s’activent comme des fourmis. Et je tourne, tourne, et court, court, à en avoir le vertige, à presque me déséquilibrer, mais c’est marrant, c’est rigolo, on dirait qu’on danse avec le vent. Je sens son ventre contre mon dos et ça fait contraste avec l’air qui se rafraichit, et je ne m’arrête pas de faire comme si. Comme si on était deux papillons entrain de descendre en chute libre jusqu’en bas de la falaise. Je ralentis le pas quand j’arrive sur le banc de terre, la serre un peu plus fort parce que j’ai l’impression que je vais tomber à chaque caillou qui glisse. Elle ouvre les yeux et je la laisse regarder le phare d’un autre angle, l’océan qui fouette les gros cailloux qui nous jouxtent. Mes chaussures m’emmerdent, alors d’un mouvement précis des pieds, je les retire et les laisse là, je n’en ai que faire. Et je sens son menton qui s’appuie contre mon épaule, comme si elle cherchait mon regard. Je tourne à peine la tête, tout sourire, comme toujours, à peine, autant que possible du moins : « Tu sais garder un secret ? ». Et j’esquisse un léger rire avant d’avancer comme un Tom Sawyer au milieu de l’eau et des cailloux à la recherche de perles : « Regardes bien, peut-être qu’elles sont juste sous nos pieds ».

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Je suis vraiment bien, là, perchée sur son dos comme un bébé koala, avec le vent et la mer. C'est vraiment très beau ici. Les couleurs du ciel, le phare avec la lumière du soleil pas encore prêt à se coucher. Et je referme les yeux un instant en posant ma tête contre son dos pour me laisser bercer par la musique des vagues. C'est tellement beau, tellement doux. Et puis, nous partons à la recherche des perles. Qui aurait dit que je me retrouve sur le dos d'un inconnu à chercher des perles dans l'eau ? Moi qui pensais lire tranquillement en haut d'un vieux phare, je n'ai même pas monté deux marches. Mais maintenant, je connais une histoire qui va m'inspirer pour la soirée. Nous inspirer. Parce que maintenant, je ne suis plus seule, Milan l'avion me tient compagnie. Et quelle compagnie ! Il a réussi à m’intéresser tellement rapidement. Il fallait juste qu'il me raconte cette jolie histoire d'amour pour me passionner. Et il se fiche du fait que je parle peu. Le jeune homme balance ses chaussures et semble vouloir les laisser ici. On ira les récupérer plus tard, et s'il ne le veut pas, j'irai seule. On ne laisse rien à la nature qu'elle ne nous a pas donné. Je me colle un peu plus à lui et souris à sa réponse.  Bien entendu que je sais garder un secret ! « Je ne suis pas du genre à beaucoup parler... » Il avance un peu dans l'eau entre les rochers. Je regarde autour de moi, posant mes mains sur ses épaules pour regarder devant lui et sur les côtés. J'observe entre les rochers, mais il m'est difficile de bien voir de si haut. Et puis, j'aimerai bien poser mes pieds dans l'eau moi aussi. « Tu veux bien me laisser descendre ? » Ou tu préfères que je reste collée à toi ? Des questions toujours à double choix, c'est important de choisir.  
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Vous pensez que si on ferme les yeux assez fort et qu’on fait comme si, on s’envole vraiment ? Moi j’y crois. Je crois qu’on peut absolument tout faire si notre esprit le décide. Peut-être que je suis trop bête, ou alors peut-être que je suis un petit sacripant naïf, mais je suis probablement plus heureux que les trois quart des gens sur terre. C’est vrai quoi, jamais rien ne m’énerve, je suis là à papillonner comme un monarque, à sourire sans cesse comme un imbécile, à m’allumer au moindre filon d’orage comme une luciole. Rien ne m’effraie parce que je trouve tout beau et j’ai sans cesse faim du monde. Ou peut-être que je vis trop dans mon monde, je ne sais pas. Même là, quand je suis avec cette fille, je sens bien que mon esprit est accaparé par mille et unes pensées qui le font rire. C’est peut-être pour ça que ça ne me dérange pas qu’elle parle si peu. Quelque part, on doit ressembler à deux autistes illuminés, mais je trouve ça chouette : « Alors, peut-être que je te montrerais d’autres tours », dis-je nonchalant en haussant légèrement l’épaule, comme si je me posais même pas de question sur le fait de lui faire confiance. Mes pieds nus se délectent de l’eau glacée qui glisse entre mes orteils, j’en oublie presque que je porte la jeune fille sur le dos. Jusqu’à ce qu’elle me demande de descendre. Je souris enfant en guise de réponse, comme si mon esprit était déjà préoccupé par ce qu’il se passait un peu plus loin, et je l’aide à descendre : « Fais attention, ça glisse », dis-je en lâchant sa main, tandis que je m’éloignais sautant de cailloux en cailloux. Ouai, c’est bien ça, j’ai bien vu quelque chose bouger. Je m’accroupis sur un gros rocher plein de mousse et me met à observer attentivement un petit crabe qui se balade par là. Il me fait trop marrer, et je ris à voix haute comme un enfant en le regardant, tentant de mettre mon doigt pour le caresser : « Je crois que je viens de retrouver Sébastien », faisant référence à la Petite Sirène. Et je tourne le visage vers Nienke que je vois légèrement à contre jour, alors je mets mon avant bras devant le front comme pour faire un pare-soleil : « Tu crois qu’on peut se baigner ici ? ». Oh, et tout à coup j’ai froid. Peut-être parce que je viens à peine de réaliser que je n’avais plus sa peau contre moi.


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J'espère bien qu'il va me montrer d'autres tours de magie. Il est vraiment marrant le casse-cou du phare. Il a cette petite tête d'enfant, et je suis certaine qu'il était celui avec des hématomes sur les genoux tous les jours à l'école. Et ça me fait sourire, de l'imaginer plus jeune, à courir et sauter partout, à se faire mal et à rire malgré tout. Et avec sa façon de m'aider à descendre de son dos, je me dis qu'il devait être aussi celui qui voulait réparer les bobos des filles. Et je souris encore, sans qu'il ne puisse comprendre pourquoi. Il lâche ma main et s'éloigne de moi, sautant de rocher en rocher avant de me parler de Sébastien. Un crabe ? Je me débarrasse moi aussi de mes chaussures, pour mieux ressentir l'humidité sous mes pieds. J'observe Milan rire de bon cœur, puis se tourner vers moi, main en pare-soleil, pour, en quelque sorte, me proposer de me baigner. Mes pieds se posent prudemment sur la mousse qui recouvre les rochers humides. Je me rapproche du jeune homme et observe le petit crabe qui nous fuit. Mon visage se tourne alors vers la mer et les quelques rochers qui nous séparent encore d'elle. Sans réponse, j'attrape de nouveau sa main comme si elle m'avait vraiment trop manqué depuis tout à l'heure. Et je l’entraîne vers la mer en marchant, posant mes pieds correctement, enfonçant mon talon dans la mousse avant d'y poser mes orteils, pour m'équilibrer le mieux possible. Le premier contact de ma peau avec l'eau froide me donne un frisson, mais c'est tellement bon. Je m'enfonce un peu plus dans l'eau, continuant de tirer le bras du jeune homme. Mais mon pied glisse sur un rocher et je tombe en arrière, entraînant Milan avec moi. Je sors la tête de l'eau. Le peu d'eau soulage légèrement mes fesses qui sont tombées entre deux cailloux, et celui du skater sur moi. Je me rends compte que j'ai fermé les yeux pendant ma chute, et même que j'ai fini par lâcher sa main. Et mon regard se fixe dans le sien. « Pardon. » Et sans me retenir, mon rire explose dans le silence du soir et la musique des vagues qui se cassent dans mon dos. Ma main droite reste à me soutenir avant que je pose ma main gauche contre sa joue, remontant sur son front pour remettre une mèche de ses cheveux sur le haut de son crâne pour dégager son visage. « Un magicien mouillé peut faire des tours ? »
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Finalement, c'était une bonne idée de venir ici. Même si mon coude brûle par intermittence et que mon épaule me fait l'effet d'un coup de poing chaque fois que je lève le bras, c'était une bonne idée. Parce que je suis là oisif à papillonner avec un alien encore plus étrange que moi. Même son visage est paranormal, il est doux, il est différent des autres, il a quelque chose de profondément étranger au commun des mortels. Et plus je la regarde plus je me dis qu'elle est belle alors par réflexe je détourne les yeux et laisse n'importe quel autre pensée plus marrante envahir mon esprit pour ne pas rougir. Je la laisse descendre de mon dos, profiter de l'eau qui se dresse comme un tapis de soie sous nos pas. Et moi je m'éloigne à la recherche du mouvement que j'ai vu scintiller. Je m'a croupis, pieds enfoncés dans la mousse épaisse, je ris, je parle, et tout à coup j'ai froid. Mon épiderme réalise seulement à cet instant que la jeune fille n'est plus collé à moi, et c'est étrange de passer du chaud au froid, assez désagréable. Je la sens à côté de moi, je la sens vraiment, le parfum de ses cheveux secoué par le choc des vagues. Je lève la tête, les yeux légèrement plissés à cause du soleil, et comme elle me tend la main, je l'attrape. Voilà, j'ai moins froid. Je me redresse et me laisse embarquer sans aucune interrogation, sans aucune résistance. Et puis, l'eau est si jolie, j'ai gros envie de m'immerger. Badaboum ! Je me sens emporté en avant et tombe de tout mon poids pour la seconde fois de la journée. Dans l'élan, je lâche la main de la jeune fille, mon visage s'enfonce sous l'eau une fraction de seconde. Pas longtemps, mais c'est assez pour m'arracher un frisson glacé, effet de surprise du contraste des températures. J'essaie mon visage, mes yeux, et la regarde en souriant. Bizarre, cette fois je ne ris pas aux éclats. Bizarre aussi qu'aucun son ne sorte de ma bouche, je crois que c'est la première fois que je passe plus d'une minute sans parler. Son regard se fixe dans le mien quand elle me dit pardon, et moi je ne cille pas. Pas même quand elle éclate de rire, parce que je trouve ça trop jolie et que je la regarde comme quelque chose d'a la fois bizarre et attirant. Mon sourire étiré sur mes lèvres doit être entrain de bleuir, je sens même mes dents claquer. Sa main passe sur mon front, je la sens comme une traînée de chaleur bouillante, et moi, je ne cesse de la regarder comme on décompose un tableau : "viens" lui dis-je, avant de poser mes mains sur sa taille et de l'entraîner vers l'arrière et les eaux plus profondes. La manœuvre est difficile puisque les vagues sont puissantes, mais une fois qu'on dépasse leur houle, ça paraît plus calme. La on n'a plus pieds, la on peut nager : T'as déjà dormi sur un nuage ?. Et sans attendre sa réponse, je lâche sa taille et m'étend dans l'eau, sur le dos, ma main attrape la sienne pour qu'elle en face de même. La comme ça, on se laisse balader par le courant, et puis c'est marrant, on voit le ciel qui s'allume plus fort encore avant de bientôt s'éteindre.
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Comme un bug, une panne informatique. Il me regarde avec ce sourire figé sur le visage, les lèvres qui prennent une jolie teinte bleutée. Comme quand on manque de sang, comme les dernières minutes de vie. Il fait froid dans l'eau, mais dès que ma peau rencontre la sienne, cette sensation désagréable disparaît. J'aime l'océan, j'aime ce froid qui prend aux tripes et cette chaleur qui m'envahit dès qu'il me touche. Il est marrant le magicien, il m'attrape les hanches pour me relever, et pour m’entraîner au loin, là où je n'ai pas pieds. Les vagues frappent mon dos régulièrement, éclaboussent le visage du jeune homme. Il est beau avec ses cheveux humides et son teint de mort. Il est beau quand il frôle ma peau, presque imperceptiblement. Alors je le regarde, détaille ses mimiques, m’extasie devant chaque centimètre carré  de sa peau remplie d'encre foncée. Et je suis obligée de l'observer, d'essayer de comprendre sa façon de voir les choses. Mais il est aussi bizarre que moi, aussi complexe. Ou peut-être que je refuse de trouver ses secrets ? Et s'il m'ennuyait dès leurs découvertes ? Alors, peut-être que pour une fois, je vais me laisser porter par une rencontre inopinée, sans réfléchir à lui, juste regarder ses yeux qui pétillent de temps en temps, son visage qui se ferme à un autre moment, son rire de magicien.
Dormir sur un nuage ? Nous nous arrêtons enfin, et je le regrette quand il me lâche. A chaque fois, je me sens abandonnée, à la dérive. La pointe de mon pied gauche essaye de récupérer le fond de l'océan mais n'y parvient pas. Et sa main récupère la mienne pour que je m'allonge à la surface de l'eau. Le courant me berce. Je ferme les yeux. Mon short me colle à la peau, et je me sens en pleine communion avec la nature. Je ne pense plus à rien, plénitude totale. Je me sens comme une plume à la surface de l'eau, légère et dansante. Et pour une fois dans ce genre de moment, je ne suis pas seule. Mes doigts bougent tout en douceur sur sa peau chaude, le seul  lien qui me tient vers la réalité. J'ouvre les yeux et découvre le paysage magique qui s'offre à moi. Le phare abandonné, l'océan d'un bleu foncé, le ciel au couleur rougeâtre et les nuages gris. Une palette de couleur que j'ai peu l'habitude de rencontrer. Et c'est juste beau. Simplement beau. Ma tête se tourne vers lui, avec ce petit sourire niais sur le visage. J'ai froid. Le moindre pore de ma peau se resserre, essayant de garder la chaleur du corps, les poils hérissent pour me faire prendre conscience de la température. Mes doigts le tirent vers moi, brisant notre position flottante à tous les deux et forçant une nouvelle rencontre brutale, ralentie par l'eau entre nous. J'accroche mes bras autour de son cou, pour me coller à son torse nu en tremblant légèrement. J'essaye de m'équilibrer pour ne pas nous faire couler tous les deux. J'ai juste besoin de contact et de sa chaleur. Je claque un peu des dents, nouvelle alarme de mon corps contre le froid. Et pourtant, je sens cette douce chaleur monter en moi, collée à un inconnu magicien vraiment marrant, vraiment attirant. Et parce qu'il le faut, parce qu'il ne faut pas réfléchir longtemps à ce genre de chose, parce que cela me semble parfait maintenant, je dépose mes  lèvres sur  les siennes. Comme une enfant, à peine appuyé, un léger baiser volé.
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Elle est bizarre cette fille. J’les déjà dit ? Ouai, je l’ai déjà dit. Mais je le redis encore. Parce que plus j’la regarde, plus j’ai cette impression. J’la trouve jolie. Vraiment jolie. J’veux dire, elle a ce genre de visage un peu naïf qu’on n’arrive pas vraiment à saisir. Elle parait absente, tout le temps absente, comme si même en courant plus vite que l’éclair, j’arriverais jamais à rattraper ses pensées. Je l’attrape par la taille et la pousse vers les profondeurs. L’océan est froid, mais il fait moins froid quand je me colle à elle. J’me rends même pas compte du fait qu’à mesure qu’on avance, j’me colle de plus en plus à elle. J’sais pas, j’comprends pas. Y a ce truc bizarre dans mon estomac, j’sais pas si c’est agréable ou pas. On dirait un essaim d’abeille ou plein de libélule qui font la fête. J’arrive pas à parler, j’arriver pas à m’arrêter de la regarder, et pire que tout, j’arrive vraiment pas à réfléchir. J’veux dire, j’suis pas un grand penseur, j’ai pas l’habitude de réfléchir beaucoup. Mais là, c’est vraiment le trou noir, il pourrait s’passer n’importe quoi autour que je ne réagirais pas. Et comme pour prolonger ce silence et la beauté de l’instant, j’lui demande si elle a déjà dormi sur un nuage. Je m’allonge dans l’eau, comme une planche, sans attendre sa réponse, parce que j’crois que ça me fait du bien. Mes dents claquent, mes mains tremblent, j’ai l’impression de transpirer, d’avoir chaud, d’pas trop savoir où me mettre. Et y a ce truc terrible qui se passe, ce truc étrange, pas normal. A peine allongé, à peine je cesse de la regarder quelques secondes que j’ai l’impression qu’elle … me manque déjà ? Olalala, peut-être que j’suis entrain de me taper une montée de MD à contretemps sans le savoir. Y’a ses doigts qui courent sur ma peau et les miens qui tendent vers son bras pour ne pas le lâcher vraiment. Y a sa tête qui se tourne vers moi et j’ai presque l’impression d’entendre dans ma tête son sourire s’éclaircir. J’ouvre les yeux que le soleil cramait presque, tourne mon visage vers elle. Avec ce même air perdu, ces traits un peu hébété, un peu stupide. Mais j’peux pas m’empêcher de rire quand je croise ses yeux. Elle est bizarre cette fille, je l’aime bien. Elle me tire à elle et je ne réalise pas tout à fait. Je ne réalise pas tout à fait que ça me plait. Tentant de maintenir un semblant d’équilibre, j’me laisse accrocher par ses bras. J’souris en demi teinte, j’ai chaud dans mon ventre, j’ai froid dans mon dos. Ça appuie même sur mon bas ventre, c’est étrange. Là non plus, j’sais pas si c’est agréable ou pas. J’la regarde, des yeux à la bouche, des joues au front, parce que j’peux pas m’en empêcher. Quand j’sens son corps contre le mien, ça m’arrache une nouvelle crampe, et j’sais pas, j’me sens … bien. C’est presque bon. Ses lèvres se posent sur les miennes, une fraction de seconde mes yeux restent ouverts. Complètement figé, complètement désarmés. P’tain, c’est pas moi d’habitude le mec qui réfléchis trop au point de se brimer. Et pourtant là, j’suis nerveux, comme un p’tit garçon devant son premier baiser. Elle finit par relever la tête, et je n’ai pas changé ma positon. J’regarde alternativement son œil gauche et son œil droit et là, j’réalise que ses lèvres étaient bonnes. Qu’elles me manquent déjà. Alors j’laisse tomber l’interrogatoire, j’redeviens celui que j’ai toujours été, et j’bouffe la vie à pleine dent. Ma main droite remonte sur sa joue humide, l’extrémité de mes doigts perdus dans ses cheveux. Je gonfle le torse un peu plus, prend de la hauteur, et vient coller ma bouche à la sienne. Un peu plus appuyé, bien plus appuyé. Pour lui dire comme j’ai adoré le tour de magie qu’elle vient de me jouer.  


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Il est drôle. Il paraissait sûr de lui tout à l'heure au phare, totalement fou, dans le sens prêt à se faire mal pour pas grand chose. Et là, j'ai l'impression de le perdre petit à petit. Nos corps rapprochés, son regard parcourt mon visage comme s'il essayait de le décrypter. Ou alors il suit une poussière, ou encore une goutte d'eau de mer ? Je ne sais pas, mais c'est le moment de poser mes lèvres sur les siennes. J'ai fermé les yeux. Je ne sais pas pourquoi on ferme les yeux quand on veut savourer les choses. C'est étrange de vouloir ne pas voir ce qui nous donne des papillons dans le ventre. Vous pensez que c'est pour imaginer les papillons du coup, qu'on ferme les yeux ? Enfin, après un bref contact de peau, mes lèvres se figent. Et à leur séparation, j'observe sa réaction. Il semble... perdu. Encore plus que moi d'habitude. Il a l'air de réfléchir, c'est comme si je pouvais observer ses pensées dans son cerveau faire des cabrioles dans tous les sens. Je ne pensais pas qu'il pouvait être cérébral. Ce n'est pas une critique non, mais je pensais qu'il était plutôt du genre à agir qu'à réfléchir. Je me suis trompée. Mais je ne suis pas déçue. Son regard passe de mon œil gauche à mon œil droit, et franchement, il me fait sourire. C'est marrant comme façon de faire non ? J'ai l'impression de passer sous des rayons X, comme pendant une radio. Mes lèvres s'étirent sur sa main qui se pose sur ma joue. Elle me paraît anormalement chaude. Et puis il m'embrasse à son tour. Un baiser représente tellement l'autre. Plus brutal, plus appuyé, presque plus réfléchi que le mien. C'est agréable, mignon. J'ai un peu plus chaud, je me colle plus à lui. Et cette douleur dans mon ventre. C'est bon quand ça fait mal. Et je pose mes mains dans ses cheveux, perdant pieds, littéralement. Je n'arrive plus à m'équilibrer, prise par le plaisir d'avoir ses lèvres contre les miennes. Et je l’entraîne avec moi sous l'eau, laissant nos lèvres collées jusqu'à ce que je n'ai plus assez d'air, jusqu'à ce que je bouge un peu trop la tête et laisse entrer l'eau salée entre nos lèvres anciennement hermétiques. C'était magique. Mais je dois remonter pour respirer, en attrapant le bras du magicien comme si j'avais peur de le perdre dans les profondeurs. Je reprends ma respiration vivement, remontant mes cheveux pour ne pas ressembler à une grosse algue. « C'était beau. ». Juste ça, pour conclure tout ce que j'ai pu ressentir.
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Cérébral, j’crois que c’est le mot qui m’définit le mien. J’sais pas, j’suis plutôt du genre, fuck it and deal with it. J’agis sans réfléchir, les conséquences j’connais pas, j’vais là où il fait beau, là où il fait chaud, et j’me laisse porter comme un papillon qu’à la flemme de voler et qui se contente de glisser sur le vent. Alors bien sure que ça m’perturbe. Quand j’commence à penser de trop, quand j’ai l’impression que ma tête est lourde. J’sais pas comment font les gens qu’actionnent leurs cerveaux en permanence, sérieux, c’est fatiguant, pire que d’réfléchir à un calcul mental. J’la regarde, parce que j’peux pas m’en empêcher, et quand j’réussis à couper court à toutes mes divagations étrangères, c’est moi qui lui livre un baiser. Appuyé, comme si entre les deux touchés labiaux j’étais passé du petit garçon de six ans, à l’adolescent rebelle de vingt ans. Et elle m’emporte sous l’eau, je n’y réfléchis pas, ma respiration se coupe instantanément, j’trouve ça joli, j’trouve ça beau, il est chouette ce tour de magie, on dirait qu’on vole. J’ai un pincement au ventre quand j’sens son visage se décoller du mien, et j’oublis soudainement que ouai, faut respirer. J’sors de l’eau quelques secondes après elle, toussotant un peu, la tête légèrement incliné. J’hoche la tête frénétiquement pour désengorger mes cheveux, j’l’éclabousse au passage, et je repose mon regard sur elle avant de passer une main sur mon visage pour l’essuyer. J’souris assez niaisement, et néanmoins insolent en la regardant. Ouai elle est bizarre, et j’crois que j’aime bien ça. En plus, elle a raison quand elle dit que c’était beau, alors je ris, comme je ris tout le temps : « Toi aussi t’es une magicienne ». J’attrape sa main, et nage vers les rochers, histoire de regagner la terre ferme. J’sais pas, j’ai envie de me poser là. Alors, je m’installe sur l’un d’entre eux, les jambes en tailleur, fouille mes poches à la recherche de clope et … dam nit. Elles sont trempées, je m’en amuse et rit en constatant leur sale état. Et mon téléphone aussi, j’le sors, il s’allume plus, et j’lève des yeux hébétés vers elle : « J’crois qu’il est mort, ma mère va me tuer », riant en posant mes yeux sur elle.


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Je le suis, traînée par le magicien vers les rochers, et sors de l'eau après quelques mètres de nage. Je n'avais plus vraiment froid dans l'eau, mais l'air marin, le vent qui fouette ma peau nue me donne des frissons qui se transforment rapidement en tremblements. Je remonte mes cheveux en un chignon grossier, les essore comme si je sortais de la douche. Ils retombent sur mes épaules, mêlés et salés. Le magicien s'installe comme un indien, les jambes en tailleur, et je m’assoie à côté de lui, les pieds tendus vers la mer. Mais qu'est ce qu'il fait ? Il fouille ses poches. J'aurais pu le regarder avec des gros yeux, mais mon visage ne change pas de son expression neutre, un peu hautaine. Quelle idée d'être entré dans l'eau avec tout ça dans ses poches ? Il a pensé à quitter ses chaussures mais pas à enlever son portable ? Je joue avec mes doigts en l'écoutant parler, tirant sur mon short pour essayer de l'allonger pour couvrir mes cuisses gelées. J'attrape son téléphone du bout des doigts comme si c'était un objet du diable. Je n'ai jamais eu de portable, je n'en vois pas vraiment l'intérêt, et je considère que si on veut me parler, autant venir me voir pour parler en face à face. Pour ce qui est des autres contacts, je suis « vieux jeu », mais surtout un grande romantique, et j'adore recevoir des lettres, manuscrites bien entendu, pour pouvoir décrypter l'écriture. J'aime observer la forme des lettres, l'appuie du stylo, son inclinaison... « Il va falloir en acheter un nouveau. » Je finis par me lever et saute vers un autre rocher. « J'ai froid, je vais rentrer. » Tu rentres avec moi ? Je te ferais un chocolat chaud, je te prêterai des vêtements de mon jumeau Tommy et tu pourras dormir dans ma chambre d'hôtel, si tu veux. Mais rien ne sort de ma bouche. Je l'observe juste, le buste vers la mer, le visage tourné vers lui. Parce qu'en fait oui, j'aimerai bien qu'il reste encore un peu avec moi. 
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