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I'm playing the vilain baby, just like you want. (Méline)

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I'm playing the vilain baby, just like you want.



✧ Réception hôtel. ✧Méline & Noah







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Et l'euphorie du moment retombe. Princesse pousse un soupir, s'humecte les lèvres, laissa sa tête tomber légèrement en arrière. C'était bon. Peut être trop. Et dans tout ça, elle a quelqu'un, un copain. Oh Maxime. Il entrerait probablement dans une rage folle, si seulement il était au courant. Le problème chez la brune ébène, c'était le manque de culpabilité. Y avait pas d'attachement pour le prétentieux, pas une once d'attirement, l'acte était-il donc réellement une tromperie ? « Je t’ai craché dessus, maintenant je te crache dedans » Elle hausse les épaules pour elle même, se retire et entend le rire de l'hautain lui transpercer les oreilles. Interdite elle l'écoute, ne comprends pas, ne pose pas de question. Il prendre un malin plaisir à lui dire encore à quel point il n'est rien. Mais princesse elle connait la vérité, il a prit son pieds, elle l'a transporté et le jeu malsain s'est encore un peu plus insinué. Ris donc Noah, viendras le jour où plus rien de tout ça ne t'amuseras. Parce qu'elle aura prit le contrôle de ta tête, de ton coeur que tu tentes tant de cacher. Parce qu'elle aurait atteint ses objectifs et que tu te rendras compte n'avoir été que le jouet. Princesse glisse ses doigts dans ses cheveux, se redresse, attrape une chemise non loin de là. La sienne. Elle s'approprit les choses, elle s'approrit les gens et enfile doucement le vêtement de coton. Tant pis que ça lui déplaise. Ses mains blanche fouillent dans son sac, en sort le plaisir de ses journées. Et princesse glisse la cigarette entre ses lèvres, s'approche du balcon, allume l'objet mortel et laisse la fumer s'infiltrer. Le regard dans le vague, présente mais absente dans l'âme. Elle finit par le regarder, lui, désormais redressé. Elle le regarde et sourit doucement, se moque de son existence en silence. Tu devrais te faire dépister. Elle lance les choses comme si elles étaient sans importance. Au fond, princesse sait qu'elle est clean. Incontrôlable mais prévenante. Semer le doute n'est rien d'autre qu'un moyen de l'emmerder. Et elle se complait dans ce domaine. Elle tire encore sur la clope qui se consumme, la consumme par la même occasion, et fait claquer sa langue contre son palais. Bienvenue en enfer. murmurait-elle alors. Répétition voulu, pour lui déclarer la guerre. Et elle allait s'extasiait de chaque coup bas, chaque frappe, chaque insulte. Princesse devenait reine dans le monde de l'auto destruction.
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La petite mort espiègle, mes rires d’allumés. Je fixe le plafond et je ne peux m’empêcher d’exploser. Bordel, qu’est ce qu’il vient de se passer ? Je mets toujours du temps à réaliser. C’était … incroyablement bon. Délirant. Fou. Complètement tordu et tortueux. Je me déteste de ressentir cet interstice de satisfaction, cette espèce de méta-plaisir, là, dans mon ventre, qui me hurle de recommencer. Qu’est ce qui vient de se passer ? La garce, elle vient de me marquer. Mon cou et mon torse brûle. Et dans mon ventre c’est pire encore. Je ne veux pas la regarder, pas la sentir, pas la ressentir, calme tes rires Noah, ferme ta putain de gueule. Je n’ai jamais connu ça, pas comme ça, et … ta gueule, ta gueule, ta gueule. Mon bras la repousse, refusant tout contact. Dans ce moment létal de pureté émotionnel, j’ai du mal à retenir les battements de mon cœur. Il me faut une force et un courage d’aplomb pour le faire taire, fermer mon visage et mes yeux, la détester encore pour la baiser mieux toujours. Ferme ta gueule et ferme ton cœur Noah. Je calme mon rire enfantin en fixant le plafond blanc, aussi vide que je le suis. Mes soupirs amusés, les larmes presque dans mes yeux, je me redresse à peine quand je la vois se relever. Matant sans aucune retenue sa nuque, son dos, sa chute de rein. Sans comprendre. Sans chercher à comprendre. Je ferme mon esprit à triple tour, je ne veux pas la trouver belle. Et je la regarde mettre ma chemise, attraper une cigarette dans son sac. Je me laisse retomber en arrière avant d’attraper mon propre paquet dans la table de chevet, mon caleçon jeté là au sol. Je ne pense pas, je n’ai rien dans moi. Complètement éteint, éreinté, je subis mon poids et la douleur de mon souffle coupé. Je ne veux pas réaliser plus. Je ne veux pas me rendre compte de ce qu’il se passe. Ignorer, avancer, faire comme si de rien n’était. Et j’entends sa voix rauque m’interpeller, tu devrais te faire dépister. J’esquisse un rire malicieux en me disant à moi-même « si tu savais ». Dans le même geste, je me lève du lit, remontant mon caleçon jusqu’au bassin et me tourne vers elle : « Oh, comme c’est mignon », je la provoque ouvertement en avançant vers elle, sortant une cigarette de mon paquet : « Mais, même toi, tu ne peux pas contaminer quelqu’un qui est déjà condamné ». Qu’est ce que je sous entend, que je suis déjà malade ? Peut-être bien. Plutôt qu’un facile « toi aussi », valait mieux la perturber vraiment, lui faire croire que ce dont elle elle rit, est peut-être vrai pour moi. Et je viens me caler derrière elle quelques secondes, humant son parfum déroutant comme si je la narguais. Ma clope éteinte coincée à la commissure de mes lèvres. Elle est dos à moi, je tends les bras de part et d’autre de son corps, mes mains viennent s’appuyer sur la rambarde du balcon. Comme si je l’enfermais, comme si je l’encerclais. Je penche mon visage un peu plus par-dessus son épaule, lui signifiant avec les yeux qu’elle devait allumer ma cigarette : « Tu devrais changer de refrain. Il n’y a rien d’infernal dans tout ce que tu viens de me présenter », ironique, provocateur. A quelques centimètres seulement de son visage. Évidemment, je la défie. Si elle veut me faire peur, alors je ne m’arrêterais pas de la pousser toujours plus à l’apocalypse.




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Elle savait au fond qu'elle ne survivrait pas longtemps en jouant de la sorte. Survivre. C'était constament ce qu'elle faisait et pourtant, c'était risible venant d'une morte. Elle était morte à l'intérieur, morte à l'extérieur. Elle n'était qu'un tas d'ossement se déplaçant avec difficulté dans la vie de tout les jours. Et c'était d'une tristesse sans nom. Probablement que ça devait rire là haut. Ca devait rire du ridicule qu'elle dégageait, de l'empreinte sordide qu'elle laissait. Et princesse, elle avait mit au monde ses jeux vicieux juste pour le loisir d'exister un peu. C'était par la douleur qu'elle se sentait vivre. Elle existait réellement que quand elle avait mal à en crever. Pathétique. Pitoyable gamine. Et elle est là, fumant tranquillement sa cigarette, se délectant de chaque bouffée. Ca lui fait du bien, elle respire un peu. Risible. Elle lance ses piques comme toujours, princesse trouve le moindre prétexte, le moindre sujet. Se fiche des répétitions tant qu'elle a quelque chose à dire. C'est normal de pas être aimée, on ne peut pas aimer les gens comme elle. Et princesse elle s'en fiche, l'amour c'est surfait. Les sentiments, s'attacher aux autres c'est de la merde en boîte. Ca fais plus de mal que de bien, la dépendance c'est malsain. Elle veut plus jamais aimer Méline. Pas comme elle a aimé Loukas, pas quand son absence laisse encore des traces. Elle s'en fiche de paraître vide et sans émotion, de ne rien inspirer aux passants. « Oh, comme c’est mignon » Elle répond pas, n'écoute pas. Ses mots semblent résonner de loin et elle ne perçoit que le faible écho de sa voix. Princesse n'écoute plus, ses pensées ont prit le dessus. « Mais, même toi, tu ne peux pas contaminer quelqu’un qui est déjà condamné ». Elle hausse les épaules comme si ça ne faisait rien. C'est pas important de toute façon. Condamnée elle l'est aussi, ils le sont tous d'une certaine façon. Le pourquoi du comment c'est pas important. Elle reste là, à regarder haut loin. Bercé par le bruit des vagues et le son de sa respiration. Et puis il revient le prétentieux, il place ses mains de part et d'autre du balcon, la coince. Elle s'en fiche, ça non plus c'est pas important. « Tu devrais changer de refrain. Il n’y a rien d’infernal dans tout ce que tu viens de me présenter » Machinalement, elle sort son briquet, allume la cigarette coincée entre les lèvres de l'hautain. Tiens, savoure et ta gueule. On en reparlera plus tard. Parce que tu sais pas toi. Tu connais pas l'effet qu'elle fait. Et sans t'en rendre compte, tu te réveilleras un jour avec pour première pensée la princesse. Puis le temps que tu t'en rendes compte, tu seras déjà perdu. Noah Arjen D'Aremberg.. qu'elle laisse filtrer de sa bouche avant de soupirer. J'sens qu'on va bien s'amuser.
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J’ai envie de recommencer. Là, maintenant, tout de suite, j’ai envie de recommencer. Il n’y a rien d’humain dans ce que nous avons partagé, rien de doux, rien de tendre. Rien qui ne laisse à penser que nous pourrions avoir des cœurs ou une quelconque empathie à l’égard du monde. Je nous reconnais, rebelles attardés, à l’aune de nos vies merdiques, se partageant un peu de salive à coup de reins et de désespoir. Je la vois la plaie s’ouvrir, je la dessine du bout des doigts. L’écorchure dans nos armures blindés qui nous promets qu’un de nous deux finira par tomber. S’écrouler. Complètement vivant. Ouai, un des deux sera ranimer, et par cette réaction souffrira le martyr face à l’abandon de l’autre. Et ça ne sera pas moi. Je jure que ça ne sera pas moi. Ma conscience prends le pas, me dicter ma conduite, ne pas la trouver belle, ne pas m’attarder. Et pourtant y a cette petite intuition égratignée, là, sur ma jugulaire enflée, qui hurle, hystérique. Je ne me suis jamais sentie aussi libre et libéré. Dans l’effort constant, la survie, féroce envie de crever, regarde, on a frôlé la vie. J’ai envie de recommencer. Quand je mâte sa nuque rhabillée par ses cheveux, son dos rougie, ses fesses ecchymosées. Je veux la manger comme on mange une proie. Ronger ses os, jusqu’à la moelle, n’en rien laisser, tout exterminer. Et je secoue la tête quand sa voix me ramène à la réalité, quand mes yeux cessent de se perdre sur son corps affreux, quand elle me nargue d’un prétendu dépistage. Je ris, nonchalant. Sérieusement, qu’est ce qu’on en a à foutre ? On se baise comme des demeurés, et si on se donne une maladie, ça sera bien assez. C’est bien la seule chose qu’on est capable de partager. Caleçon enfilé, clope au bec, je la rejoins au balcon d’un pas ferme, appuyé. Comme si tout mon corps prenait plaisir à se retrouver ici, mes chevilles cadenassés par l’arrogance. Je ne veux pas plier. Ni montrer mon agacement. Feindre les réjouissances, la fausse satisfaction de la voir si prés. Et je la coince sur ce balcon. Elle allume ma clope, et sans les mains, j’aspire la première latte que je crache au vent. Elle est froide, fermée, anesthésiée. Plus morte que je ne l’ai jamais été. Et ça me fait marrer. Ça me fait putain de marrer parce que la garce, elle a finit par la ferer. De la main gauche j’attrape ma cigarette que je décendre par delà la rambarde et quand elle prononce mon prénom, j’ai envie de gerber. Elle n’a pas droit de le salir de sa bouche. Alors, je surenchéris. Je ne gagnerais jamais dans les contradictions et la confrontation avec elle, de toute façon. Je cesse de sourire, perdant peu à peu l’euphorie post-orgasme, et tourne mon visage vers elle, yeux plissés, ironiques à souhait : « Madame d’Aremberg, je suppose ». Evidemment sarcastique, faisant écho au fait qu’elle venait s’installer dans ma suite. Je n’ai aucune envie de connaitre son prénom, les poupées n’ont pas de prénom. Et en la regardant, même l’appétit de fumer se coupe. Je me décale, jette ma clope par-dessus le balcon : « C’était marrant ouai. Presque autant que ça », dis-je avant de passer mon index sur son poignet tailladé. Et en un sourire narquois, je retourne dans la chambre, direction la douche. Enlever toute cette merde de puanteur atroce, son corps contre le mien. Je me sens sale à souhait dans ses yeux faisandés.




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C'est plus une promesse qu'une constatation. Mais en l'espace de quelques heures, les règles ont changés. Plus le même jeu, plus le même but. C'était bien pour ça que ça l'intéressait princesse, parce qu'elle savait qu'il y aurait un perdant dans tout ça. Un vrai perdant. Pas du genre qui pourrait se relever par la suite et c'était ça qu'elle aimait. Savoir qu'elle pouvait se brûler elle aussi. Souffrir le martyr, se perdre un peu plus. Là était tout l'attrait. Sentir le danger. C'était comme marcher sur une corde raide et pouvoir tomber d'une seconde à l'autre. Une chute lente et brutale. Princesse, elle se voulait gagnante. Elle se voyait gagnante mais l'adversaire était de taille. Ne jamais le sous estimer. Oh, ce serait une bien piètre erreur que de penser qu'il ne lui arriverait pas à la cheville. Il savait se battre, il avait les cartes en main pour lui rendre les coups, que celui lui déplaise. Elle détestait qu'il puisse avoir cette emprise sur sa vulnérabilité. Qu'il sache ou taper. Elle avait le dessus, elle l'avait perdu. C'était ce qui renforçait l'enjeu. Se savoir sur le même pied d'égalité. Pouvoir faire tomber l'autre où tomber sois même. Princesse était partante, prête en crever un peu plus. Mais quelle serait réellement la douleur chez une personne foncièrement morte ? « Madame d’Aremberg, je suppose » Et elle l'a sent l'ironie dans ses mots. Le sarcasme qu'elle provoque. Elle l'énerve et aime ça. Seulement dans tes rêves qu'elle susurre avec amusement. Dans tes rèves les plus profonds. Elle vomit de cette appelation. Madame d'Aremberg. Plutôt se faire éviscerer que porter ce nom. « C’était marrant ouai. Presque autant que ça » Et voilà que les doigts du prétentieux se promène sur le poignet de princesse, dessine les lignes des cicatrices portés. Haut le coeur. Elle lui cracherait au visage si elle ne disposait pas d'autant de classe. Puis il s'en va, fier de lui, heureux de son retournement de situation. Oh non, la guerre ne fait que commencer Noah, ne t'estimes pas vainqueur d'un jeu que tu ne comprends pas.
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