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I'm playing the vilain baby, just like you want. (Méline)

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I'm playing the vilain baby, just like you want.



✧ Réception hôtel. ✧Méline & Noah


« Je crois que tu te voile la face ». Et j’esquisse un sourire large qui succède à mon sarcasme. Quoi, c’est ce qu’elle cherche ? C’est ce qu’elle veut ? Que je … tombe dans son piège pathétique que mille et une autres filles ont déjà essayé de dresser avant elle ? Rire nerveux, audible, qui s’échappe de mes lèvres. Mes yeux roulent au ciel, je me moque d’elle. Et je ne fais pas semblant. Je ne fais pas semblant, parce que je comprends une chose fondamentale dans notre non-relation : elle est dans l’attente. Une attente malsaine, certes. Mais elle est dans l’attente. De m’envahir ? De me faire fléchir ? De me rendre fou ? De me détruire ? De me voir avoir envie d’elle ? Réveilles toi poupée, ça n’arrivera pas. Quand je te prends comme ça, comme une chienne à même le sol, c’est la terre entière que je baise. Tout ce que j’y déteste, tout ce qui me donne envie de gerber. Et je me réjouis à cette révélation parce qu’elle est là sa faiblesse. Trop d’assurance, trop de complaisance. Et je souris plus fort encore en la narguant d’un sourcil haussé : « Non », dis-je d’un ton amusé avant de reprendre, venant lui faire face, moqueur, incorrigible : « Non, c’est toi qui te voile la face. Tu es à ce point convaincu que j’ai envie de toi ? Que t’es …. Spéciale, ou je ne sais quoi ? ». Et j’hausse les épaules en hochant la tête avant de reprendre place. Satisfait à l’idée que, non, elle ne sait pas encore m’habiter. Et j’ouvre le pas, sortant de l’ascenseur, l’intimant de quelques interrogations liminaires. Rhétorique. Je le sais, elle le souligne par sa démarche prétentieuse : « Alors, allons amuser ta bouche », vindicatif, moqueur, provocateur, je lui lance un regard en coin avant de la regarder ouvrir la porte de MA suite. Il ne faut pas que j’y pense. Il ne faut pas que je m’énerve. Putain, ça m’énerve, sa suffisance, ses airs supérieurs. Ta gueule Noah, ta gueule. Réfléchis. Ce n’est que le début, il n’y aura pas de fin. Et tu ne vas pas te laisser avoir par cette forme d’agacement. Elle me tire par le bras et je la suis dans notre enfer, refermant la porte d’un coup de pied. Et je la regarde faire, amusée. Comme si je regardais un chimpanzé s’exercer à quelques acrobaties rébarbatives. Un coup d’œil à mon jean qui n’a pas dégonflé. Non, comment aurais-je pu, mon corps est toujours sur sa lancé. Et je relève les yeux vers elle quand elle m’attaque encore sur ma virilité. Ce que t’es lassante, tu peux dire ce que tu veux. Tu ne serais pas là à me tripoter si tu n’avais pas adoré. Et je me complet dans mon assurance exagéré, c’est elle qui me donne cet air arrogant, le sarcasme de mon regard à l’affut. Elle a fait glisser mon jean et ses mains sont encore tout prés de mon corps. Alors je l’ai saisi. Les empoignes. Les bloquent et penche mon visage vers le sien : « J’ai soif ». Lui faisant comprendre que là tout de suite, une gorgée de whisky me ferait bien plus de bien que ses niaiseries. Et j’aime la faire languir, je cherche encore la faille. Quand sous ma paume lourde je sens le contraste entre ses deux poignets. Des plis, rugueux, je baisse les yeux, écarte les doigts et constate sur l’un d’entre eux des cicatrices. Satisfaction absolu. La preuve de sa mortalité. Et donc, de sa capacité à souffrir. Quelqu’un qui cherche à se blesser comme ça tient forcément à la vie. Peut-être un peu trop. Je crois qu’il faut même être la personne la plus optimiste de la terre pour tenter de se lancer à l’aveugle dans une aventure. Et je souris de toutes mes dents, et j’éclate de rire en relevant les yeux vers elle : « Tu es démasquée. Où se cache donc ce joli petit cœur ? », me moquant ouvertement de sa détresse passée, portant une de mes mains à ses joues dans un geste faussement affectueux. Et j’hoche la tête négativement en lâchant son poignet tandis que mes pieds me portent à mon minibar. J’attrape la carafe de whisky et me sert un verre. Avant de revenir vers elle, taquin, faussement mielleux : « Je ne baise pas les lâches ». Et cul sec. Avant de me replonger dans son regard. La fixant. Pourvu que ce soit ça, sa faiblesse. Pourvu que je trouve enfin un point sur lequel appuyer.




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Quelque part, elle osait espérer que ça ne soit pas tout. Qu'il ait autre chose à donner. Qu'il puisse être encore plus puéril et mesquin que ce qu'il avait déjà montré. Come on Noah. Elle voulait croire que le jeu pourrait continuer à prendre toujours plus de proportions, toujours plus de significations. Rendre les choses encore plus intéressante. Repousser les limites toujours plus loin. Bien sûr qu'elle voulait croire à tout ça parce que trouver des victimes, ça la maintenait elle à flot. Et elle avait besoin de flotter un peu pour arrêter de se noyer à chaque respiration. Il comprendrait pas, personne ne comprenait. Personne ne comprenait qu'elle était morte depuis bien trop longtemps. Que y avait plus rien de vivant chez elle. Elle avançait chaque jour comme une poupée désarticulée, sans but précis, sans recherche particulière. Elle était juste Méline, la princesse amochée. Et des lambeaux d'elle, y en avait par millier. Un peu partout dans ses mots, beaucoup dans ses actions. Suffisait de savoir les interpréter. Et il attrape ses mains, ses poignets, la bloque une nouvelle fois supportant toujours aussi mal son contact. Elle sourit encore, c'est ce qu'elle fait de mieux. Sourire à tout le monde, ne jamais rien montrer. « J’ai soif » Et elle s'en tape. Qu'est ce que ça peut bien lui faire ? C'est elle et son propre plaisir personnel. Princesse elle se fiche bien des états d'âmes et des sentiments des autres à moins de pouvoir les utiliser à son avantage. Elle voit pas venir la suite mais il regarde son poignet. Le témoignage de ses douleurs. Cette fois, c'est lui qui sourit. Lui qui rit et elle blêmit princesse. Elle devient pâle, son sourire ne vient pas. « Tu es démasquée. Où se cache donc ce joli petit cœur ? » Il pose sa main sur sa joue et princesse, elle recule. Elle tente de garder le dessus, de vêtir une nouvelle fois son masque de froideur, son sourire arrogant et.. Il parle une nouvelle fois. « Je ne baise pas les lâches » - La ferme qu'elle siffle entre ses dents. Elle serre les poings, ses yeux lances des éclairs. Il était pas supposé voir ça, encore moins en rire, encore moins en jouer. Ne parle pas de ce que tu ne connais pas. Et la détresse qu'elle avait pu éprouver, celle qu'elle cachait si bien par habitude, il n'avait pas le droit de l'utiliser. Il met princesse en colère avec trop de facilité et elle lui assène un coup de pied dans la jambe. Pas pour faire mal, plus par rage. Et la force physique, c'est pas ce qui la caractérise.
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✧ Réception hôtel. ✧Méline & Noah


Je jubile. D’extase. Puérile et insolente. Je jubile, je me réjouis, mon sourire fixé sur mes lèvres détendues. Elle n’est plus si mystérieuse. Elle n’est plus si redoutable. Elle aussi connait la souffrance. Elle aussi peut souffrir. Et je vais me faire un plaisir de la torturer. Etrangement, mon pantalon gonfle un peu plus à la vue de son visage blême. Quoi poupée, t’as perdu ton sarcasme ? Ton indifférence ? Ta volupté dérisoire ? Et elle devient une pierre molle, aussi ennuyeuse que les autres. T’as rien à raconter, rien de plus à faire valoir. Ton apparence, c’est tout ce que tu sais embellir. Du superficiel. De la merde en paquet. Tu me débecte et je me réjouis de ce dégout prononcé. Je me moque et rigole. Encore plus quand elle recule, que ma main effleure sa joue dans un faux geste de compassion. Je ris mon verre à la main et elle se fâche d’un amer « la ferme ». Je fais mine de faire les gros yeux, faussement vexé par sa réparti : « Ouuuh … », et je me penche un peu plus, « touché ». Voilà, je l’ai énervé. Voilà, j’ai trouvé. Enfin, je peux me délecter de sa colère, enfin je peux exploser de toute ma rage malsaine et jouir de son inconstance : « Je n’ai pas besoin de connaitre pour parler. Lâche. », C’est son nouveau surnom. Celui duquel je vais m’amuser pour lui rappeler à quel point elle n’a pas d’importance. A quel point mes yeux vides ne peuvent que rire de sa détresse passée. A quel point je n’en ai strictement rien à foutre, vulgaire objet, princesse de pacotille. Perchée dans ta prétention, tu vas t’écrouler. Et je fais la promesse secrète de ne jamais, jamais, te laisser respirer. Je vais pour me reculer d’un pas nonchalant, me servir un autre verre, quand son pied heurte mon tibia. Ça fait toujours mal au tibia, mais présentement, c’est bon. Intensément bon, parce que je sens dans ce geste la rage qu’elle contient, la colère qu’elle réfrène, et je j’y prends plaisir, j’y prends gout, despote de l’infamie. Eclatant de nouveau de rire, à son visage, à son oreille. Qu’elle ne rate rien de mes poumons dilatés, de cette bouffée d’air étouffé qu’elle me livre. Et je me stop net : « Maintenant, ça va être amusant ». Laissant mon verre tomber au sol en un fracas fragile, j’attrape le visage de la jeune fille et la pousse, elle a reculons, sur quelques mètres. Avant de la jeter dans le lit, sans aucun égard. Si tôt retombée, je me penche à son jean que j’arrache, que je jette derrière moi, avant de laisser définitivement glisser le mien propre, ainsi que mon caleçon. Dans le même mouvement, j’enlève mon tee-shirt, me retrouvant nu, et je me penche vers elle. Sur elle. Ecartant ses jambes d’un coup sec des miennes, venant me loger là, entre elles. Qu’elle sente mon bassin contre le sien : « T’es fâchée ? », je la jauge du regard, déposant mes lèvres, tantôt mes dents, sur sa mâchoire crispée : « T’es fâchée princesse ? », et je plonge à son cou. Sa peau que je mordille, jusqu’à l’épaule, prenant le temps de savourer mon machiavélisme.




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Mais il n'a pas le droit d'attaquer sur ça. Il n'a pas le droit de toucher aux fines cicatrices blanches qui ornent ses poignets délicats. Ni à celle aux creux de ses cuisses visant dans les premiers temps à rester discrète sur le mal être qu'elle avait pu ressentir. Alors elle refusait qu'il parle de ça, qu'il l'utilise contre elle. Parce qu'il n'avait aucune idée du mal qui l'avait endommager. Il ne savait pas pourquoi est ce qu'elle était tombée aussi bas. Pourquoi la petite parfaite n'était plus qu'une morte sans aucun état d'âme. Elle refusait de l'entendre parler de ça, de jouer, de s'en amuser. Parce que si c'était le cas, elle lui en ferait baver comme jamais. Et plutôt que le détruire à petit feu, elle l'anéantirait. Sans aucun états d'âme, sans aucun remord. « Je n’ai pas besoin de connaitre pour parler. Lâche. » Elle bouillonne. Elle a envie de le tuer. De prendre le verre qu'il a en main et de lui éclater sur le visage. De faire couler son sang, de lui offrir une balafre sur son visage de prétentieux. Oh, elle le déteste à ce moment princesse. Elle le hait au plus haut point. Alors elle tape, elle est même prête à lui donner le deuxième coup. « Maintenant, ça va être amusant » Ses yeux noirs prouvent qu'elle est prête à le tuer. A l'eventrer et le laisser sur le sol tel le cadavre qu'il représente à ses yeux. Une ordure, rien de plus. Y a la main de l'idiot qui enserre son visage, qui la pousse jusqu'à ce que le lit provoque sa chute. Princesse perd son jean, l'arrogant la totalité de ses fringues et le voilà qui entre entre ses jambes sans lui laisser le moindre choix. Elle ne s'est pas débattu, elle garde juste son regard noir rivé dans celui du bleuté. « T’es fâchée ? » Elle ne réponds pas. Le laisse déposer sa bouche, ses lèvres, ses dents, là où il le désire. « T’es fâchée princesse ? » Pauvre con. Bien sûr qu'elle est fâchée. L'attaquer sur ça, c'est misérable. Comme sa personne. Et elle le déteste. Elle plante ses doigts dans ses épaules et fait finalement dériver ses mains sous sa machoire le forçant à revenir vers son visage. Les lèvres de princesse lui aggripe la bouche. Elle l'embrasse, le mord, laisse sa langue entrer en contact avec la sienne et elle recommence. Encore. Toujours plus. Fais toi pardonner. Qu'elle lui réclame. Qu'il reprenne les ébats avec plus d'ardeur. Qu'il la fasse grimper aux rideaux, gémir et en redemander. Qu'il le fasse donc.
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