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'cause this is torturous, electricity between both of us (w/ artur)

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La journée s’intensifiait en intérêt au fur et à mesure que les minutes s’accentuaient et que les intentions se faisaient de moins en moins contenues. La situation qui avait commencé sur le ton de la surprise à découvrir leur tentes cote à cote suivait un tournant différent alors que les deux étudiants prenaient ensemble la direction de la plage. Phèdre ne savait pas vraiment où tout cela allait les mener et elle ne faisait pas non plus en sorte de l’anticiper, savourant leur jeu aux allusions de plus en plus équivoques, ce à quoi ils étaient tous deux plutôt talentueux. C’est cette ressemblance qui les avait fait se connaître initialement, cette faculté à manier les mots avec habilité et obstination, qu’elle serve à descendre ou à inciter, tout était permis. Phèdre n’avait jamais vraiment su s’en séparer, ayant appris à la manier bien trop tôt dans sa relation avec sa mère et par extension dans à peu près toutes ses relations. Si elle s’en servait majoritairement par malice et amusement comme c’était le cas actuellement, c’était aussi pour elle un intéressant moyen de se protéger des autres en général. Elle sentit le jeune homme se rapprocher avant de se saisir du tube de crème et de glisser dans son dos. Ce qui était certain, c’est que ce n’était pas avec des paroles comme celles-ci qu’elle allait refuser quoi que ce soit. Écartant ses cheveux blonds pour les ramener sur le devant, elle sentit de toute façon la main d’Artur se poser contre sa peau alors que sa voix s’élevait en réponse. J'ai pu remarquer ça en effet. dit-elle dans un mince sourire, tournant la tête pour l'apercevoir du coin de l’œil avant de reporter son regard sur l'océan. Après tout, c'était en partie parce qu'aucun des deux ne laissait l'autre avoir le dessus très longtemps qu'ils en étaient plus ou moins là. Elle ne manquerait d'ailleurs certainement pas de lui rappeler si l'occasion se présentait. Et je saurais m'en souvenir. L'un des inconvénients avec Phèdre, c'était ses capacités mnésiques sur-développées qui lui permettaient de se resservir à volonté des mots des autres, inconsciemment un peu trop souvent d'ailleurs. Mieux valait choisir avec soin.    

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La partie était loin d'être gagnée depuis le départ, la répartie de la jeune femme le déstabilisait parfois même si il ne lui laissait rien paraître. Il ne devait rien laisser au hasard, il l'avait bien compris depuis le début, sous peine d'une situation rapidement retournée non en sa faveur. Phèdre avait la capacité de le défier, ils jouaient dans la même court depuis le début et c'était bon, il respectait énormément ça. Elle confirma ma remarque tout en approuvant par ses gestes le rapprochement que j'avais entamé vers elle. La jeune femme lui tournait le dos, un regard du coin de l'œil suivit comme pour vérifier les gestes du mather. Artur ne put s'empêcher de sourire en la voyant réagir ainsi. « détends-toi, je ne touche à rien sans ta permission » Le tube ouvert, il saisit une noisette puis glissa ses paumes sur son dos. Un léger massage accompagnait ses mouvements, il prit le temps d'étaler la crème sans oublier un seul recoin. Il se prit à scruter ses formes, instinctivement, qui ne l'aurait pas fait sérieusement ? Il prolongea un peu plus ce moment avant de finir la course de ses mains sur ses hanches, puis relâcher son étreinte pour lui souffler à l'oreille « tu seras au moins protégée du soleil » mais pas de lui pour l'instant.
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Ils jouaient à un jeu dangereux. Les deux étudiants connaissaient pourtant le caractère de l'autre pour n'être souvent un reflet de ce qu'ils étaient eux-mêmes. C'était quelque chose que Phèdre avait rapidement remarquer chez lui et ce pourquoi leurs rapports avaient parfois été tendus. Il avait le don de la coincer et elle détestait perdre ce contrôle qu'elle exaltait depuis son enfance. Malgré tout, ils étaient là ce soir, s'enfonçant aveuglement et sans hésitation jusqu'à ce que rompt la corde sur laquelle ils se tenaient. Jusqu'à ce que l'un cède à l'autre. La blonde réprima un sourire à l'écoute de sa première phrase mais ne répondit rien en sentant les mains masculines parcourir son dos avec une langueur particulière avant de se poser sur ses hanches un instant. Sentant son souffle dans le creux de son cou aux paroles qu'ils prononçaient, elle se retourna souplement sans s'écarter, son visage de retrouvant alors à quelques centimètres du sien. Je ne vois pas de quoi je devrais me méfier d'autre. Et toi ? lui dit-elle en ne quittant ses yeux bruns du regard que pour laisser celui-ci glisser un faible instant jusqu'à ses lèvres, avant de reculer de quelques pas pour venir briser la proximité instaurée. Déboutonnant et retirant son short pour le laisser glisser sur sa serviette étendue, uniquement vêtue de son maillot de bain cette fois-ci, la blonde continua de reculer en ouvrant les bras en signa d'invitation. Quand tu veux Artur. Dit-elle avec un sourire qui en disait long alors que l'eau venait fraîchement lécher ses chevilles. Elle avait résisté jusque là mais si elle ne le montrait aucunement, il commençait à rendre ça vraiment difficile.  
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Impossible pour le moment d'avouer que c'était différent cette fois. Il appréciait tellement leur petit jeu qu'il n'avait pas vraiment remarqué que tout pourrait changer tout à coup. Une parole de travers, des pas en avant puis en arrière pour finalement se retrouver à courir après la moindre parole qu'elle pourrait lui donner. Le jeu devenait depuis quelques instants assez envoutant pour attiser la curiosité du mather. Il commençait à perdre tout contrôle laissant son regard se promener sur Phèdre sans même avoir la force de le décrocher. Comment en était-il venu à lui proposer son aide ? Au départ sûrement pour tenter un rapprochement et c'est la que tout bascule. A peine avait-il posé ses mains sur le corps de la jeune femme qu'il regrettait déjà le moment de s'arrêter. Tandis qu'il délivra ses hanches, dans un mouvement rotatif, Phèdre se retrouva devant lui, proche lui demandant ce qu'il avait bien pu signifier dans sa dernière remarque. Elle était bien trop maligne pour ne pas comprendre, elle savait très bien de quoi elle devait se méfier là tout de suite. Mais ne laissa pas le temps de répondre, le contact visuel fut rompu lorsqu'elle se tourna pour retirer son short. Il aurait préféré garder ce lien physique encore un moment, sa frustration se fit ressentir dans une respiration marquée. Il ne la quittait pas des yeux, avançant machinalement derrière elle avec un peu plus de retard, ce qu'elle lui fit remarquer. Comme un appel formel, la jeune femme l'incitait, il supposa d'abord à la rejoindre. Ça allait tout de même au delà de ça, ses bras ouverts l'invitait à beaucoup plus dans son esprit. Il se sentait à la fois interpellé et surtout défié. Mon chemin reprit en sa direction, enchanté par sa demande, il vint à nouveau à sa rencontre et dans un nouveau geste, il attrapa sa main pour la ramener vers lui, encore. Retrouver cette proximité entre eux, proximité dont il ne voulait plus se passer. « mesure tes paroles » si elle commence à le laisser choisir quand il veux, où il veut, etc. Elle ne le supporterait pas. Sa manie à prendre le dessus peut vite ressurgir, sans crier garde. Allait-elle à nouveau rompre le lien? Il sentait son souffle dans son cou, son regard à nouveau plongé dans le sien. Son prénom sortit de sa bouche était enivrant, la plage était quasiment vide étrangement, le soleil illuminait encore pour quelques dizaines de minutes le ciel bleu azur.« Est-ce que ce n'est pas un peu trop romantique pour nous deux ? »
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Elle le cherchait, encore un peu plus à chaque fois, encore un peu plus loin. Loin de pouvoir contrôler ce dans quoi elle s'enfonçait, elle testait bien plus qu'elle n'aurait du, étrangère à toutes les conséquences que cela pourrait avoir. Phèdre n'avait pas peur de lui et des avertissements sourds qui lui donnait. Alors qu'elle reculait encore un peu, ayant maintenant de l'eau jusqu'à mi-cuisse, elle sentit la force du jeune homme la ramener dans ce confinement qu'ils venaient de partager. Verrouillant ses yeux dans les siens, elle soutint son regard sans ciller, forte d'une assurance indéfectible. Je sais très bien ce que je dis. Elle n'avait jamais été de ces filles à se laisser impressionner. Peut-être avait-elle su l'être mais à force de se murer derrière la confiance factice qu'elle avait construite, la française avait finit par oublier toute prudence. C'était la dernière chose qui aurait pu atteindre son esprit sur le moment, bien trop obnubilée par la présence trop proche d'Artur et son souffle qui s’accélérait imperceptiblement. Elle l'avait voulut, elle l'avait eu et sa main encore présente autour de la sienne avait réduit ses maigres résistances au néant. Un sourire étira un instant ses lèvres alors qu'elle rapprochait son visage du sien. On s'en fout. murmura-t-elle avant de venir enfin poser ses lèvres sur celles du mather, avide d'un désir retenu depuis les premiers jours et rendu insoutenable par leurs derniers agissements. Elle avait fait le premier pas, franchi et brisé cette ligne sur laquelle ils avaient trop longtemps tangué.
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Ses vieux démons ne partiraient pas de si tôt, il aimait tant cette liberté qu'il prenait à dire ce qu'il pensait, à jouer avec les femmes comme il le faisait si bien depuis si longtemps. La pression que lui avait imposé sa famille était omniprésente depuis qu'il était étudiant, les autres avaient tous tellement bien fait et Zakhar qui se mariait quelques jours plus tard. Il se trouvait trop jeune pour penser à ce genre de choses, faisant tout pour prévoir l'inverse pour des années encore.
A cet instant précis, il profitait simplement de bonnes choses, d'une liaison dangereuse qu'il avait instaurée avec cette femme depuis quelques mois déjà. Ils n'avaient aucuns liens, aucune accroche, ce n'était ni de l'amitié ni une histoire de cul et c'est ce qui commençait à le troubler. Dans quel but s'était-il rapproché ? Passer un agréable moment uniquement ? Il se surprenait à n'avoir aucun plan en particulier, il appréciait juste ce contact entre eux. Il mentirait si il disait qu'il n'avait pas pensé à un coup d'un soir mais à chaque mot qu'elle lui déversait, il était impressionné par sa répartie, sa façon de retourner la situation. Encore là, à cet instant, il la regardait débiter ses phrases telles des coups en pleine figure, se moquant éperdument des menaces du mather. Rien ne marchait, rien ne l'aurait intimidait venant de lui, Artur s'en rendait compte au fur et à mesure. Une telle insulte sonnait finalement joliment dans sa bouche, elle se foutait de ses remarques et lui se foutait maintenant de ses principes. Leurs visages se rapprochèrent dangereusement jusqu'à ce qu'elle fasse les derniers 10%.. il ne prit pas le temps de perdre ce nouveau contact et continua le baiser. Sa main passa délicatement nt derrière le dos de la jeune femme, annonçant une emprise qu'il ne voulait plus céder, continuant ensemble à glisser dans l'eau.
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Au moment où elle s'était emparée de ses lèvres, elle avait oublié le reste, capitonné dans un recoin de son esprit. Il était trop tôt pour essayer de comprendre plus profondément ce qu'ils étaient entrain de faire et c'était une question qu'elle ne voulait plus se poser. Plus maintenant qu'elle sentait à nouveau les mains du jeune homme dans son dos, cette fois-ci pour la maintenir près de lui, l'empêchant du moindre écart. De toute façon, elle ne souhaitait pas y réfléchir, poussée par une habitude trop souvent vécue. Par facilité et lâcheté, Phèdre fuyait avec trop d'aisance les complications depuis plusieurs années pour sentir la menace que cette relation pouvait apporter sur son contrôle, à peine consciente qu'Artur était pour le moment le seul à avoir la possibilité de le lui faire perdre. Pas uniquement physiquement, mais psychologiquement également, haussant sa repartie à sa hauteur avec une facilité déconcertante. Leurs différences étaient bien trop révélatrices de leur connexité même si l'admettre aurait pu être capable de tout changer, de la faire reculer pour s'évader loin de tout ça. Mais sur le moment, elle ne ressentait que l'envie de lui pulsant dans ses veines avec une présence croissante et obnubilante. Elle glissa sa main derrière la nuque de brun alors que leur baiser s'intensifiait, comme pour refermer encore plus l'espace déjà restreint entre eux. Le soleil couchant dans son dos venait chauffer doucement sa peau alors que la douceur de l'eau les encadrait progressivement un peu plus. Il n'avait pas eu tord lorsqu'il parlait de romantisme, ça l'était peut importe l'angle par lequel on regardait. Mais à eux deux, ils étaient aux antipodes de de tout ça ou de simplement le reconnaître et au fond, peut-être était-ce ce qu'ils avaient premièrement remarqué chez l'autre avant que leur jeu ne bascule.
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la mer était calme autour d'eux, pas le moindre nageur à l'horizon étrangement, non pas qu'il s'en souciait mais ils étaient vraiment seuls, à cet instant. Instant propice à l'intimité, ses mains glissaient sur sa peau douce, plongeant doucement dans l'eau pour mieux remonter et caresser son dos dans l'élan de leur baiser. Beaucoup trop romantique pour lui, comme il l'avait prédit mais il ne pouvait s'en empêcher, quand leurs lèvres se séparaient s'était uniquement pour plonger son regard dans le sien quelques secondes avant de replonger dans la danse qu'ils venaient d'instauré. La main qu'elle posa dans sa nuque déclencha un léger frisson le long de son dos, ou était-ce le vent qui soufflait en cette soirée d'août... c'était ça aussi les vacances finalement, le temps de quelques jours rencontrer des personnes et apprendre à mieux connaître de simple connaissances et parfois rapprocher ceux qui n'y aurait jamais pensé. Mais ce silence devait prendre fin, il s'en inquiéta un peu trop tard. Artur ne lâcha pas son emprise pourtant, il murmura en lui souriant « je te l'avais dis, trop romantique » instinctivement, il réagissait quand il se sentait en danger, habituellement rien n'est fait pour le climat ne soit rien d'autre que de l'amusement. Cette fois-ci ça avait l'air très différent et il se perdait à savoir si cela lui plaisait ou non.
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La plage s'était totalement vidée, les laissant seuls dans ce moment qui n'appartenait qu'à eux et Phèdre s'en moquait éperdument. Ils auraient pu être entouré de l'université tout entière qu'elle n'en aurait eu cure. La blonde avait toujours été de celles qui méprisaient avec le plus élégant dédain l'avis et le regard des autres. Si elle voulait faire quoi que ce soit, elle le faisait, si elle voulait dire quelque chose, elle le disait et toutes les conventions volaient alors en éclat. Si elle voulait embrasser Artur, ce n'est pas le lieu ou la lumière tamisée du soleil se couchant sur leurs deux silhouettes qui l'empêcherait. Lorsqu'elle avait prétendu qu'elle s'en moquait précédemment, elle le pensait. La française ne faisait pas vraiment attention à l'atmosphère qui les entourait, à l'image que cela pourrait donner, à ce qu'elle pourrait signifier. Si elle avait regardé plus attentivement, si elle avait fait en sorte de ne pas rester en périphérie de ses émotions, alors peut-être aurait-elle perçu le danger. Mais, enivrée par leurs baisers et les mains d'Artur sur elle, tout ça perdait actuellement toute priorité. En réalité, la seule chose qui aurait pu l'arrêter en quoi que ce soit, c'était lui. Si elle avait prévu que quoi que ce soit se déroulerait comme ça ? Non. Si elle avait prévu que leur animosité envers l'autre prendrait un tournant trop longtemps contenu ? Non. Elle avait tout au mieux anticiper ou espérer la chose lors de leur échange devant les tentes et elle ne le niait aucunement. Mais dans l'immédiat, elle ne calculait plus et en aurait été incapable même si elle l'avait voulu. Elle fronça légèrement ses sourcils, son regard plongé dans le sien, son souffle murmurant contre son visage. Ça te gêne tant que ça ? Phèdre ne parvenait pas vraiment à comprendre, à voir ce qu'il semblait percevoir, du moins ne le voulait-elle pas. Et les pensées du russe lui restaient inaccessibles, détail qui aurait du la paniquer et qui ne la percuterait que lorsqu'il serait trop tard. Tu préfères qu'on arrête ? dit-elle au creux de son oreille avant de glisser son autre main le long de son torse, l'arrêtant sous l'eau au dessus de son maillot de bain. Il était clair qu'elle se moquait éperdument des conséquences que cela pourraient avoir pour eux, pour elle, et ne les imaginait même pas.
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Phèdre ne semblait pas se préoccuper des formalités et Artur non plus, mais il se passait quelque chose qu'il aurait préféré éviter. Son instinct de survie lui criait de faire attention, la situation était tout sauf habituelle. Avec les autres femmes tout est écrit d'avance, soit ils se rencontrent en soirée et finissent tellement torchés dans ce cas même penser à une suite est inenvisageable, soit son caractère de merde prends le dessus et dans ce cas elle part en fuyant après avoir succombé à la tentation. Ils étaient encore bien loin de tout ça mais il y avait quelque chose qui le poussait à ne pas simplement suivre ses pulsions de mâle dominant et c'est ce qui le faisait douter. Ils étaient finalement là, enlacés dans l'eau après s'être battu un moment comme chien et chat tout en étant sur la même longueur d'onde. Pourquoi avait-il dit ça ? En tout cas, elle lui posa la bonne question, Est-ce que tout cela le dérangeait ? Voulait-il éviter qu'elle ne s'accroche trop ? Bien qu'elle n'en donnait aucuns signes pour le moment. Les paroles de la jeune femme sonnaient comme un murmure à son oreille, sa main qui glissait le long de son torse l'appelait à nouveau. Son comportement avait tout du sien, il se demanda si ce n'était pas lui, cette fois, qui succombait aux charmes de la jolie blonde. Et finalement oui, c'était la conclusion de cette histoire et cela le dérangeait dans un sens, mais impossible de lui avouer cela. « Non, ne t'arrête surtout pas » il plongea à nouveau son regard dans ses yeux azur, portant ses deux mains sur le visage de Phèdre pour ensuite, rapprocher de nouveau leurs lèvres.
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