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Un mirage ? (Gab)

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Tranquillement installé au salon de l’hôtel, discutant avec quelques membres de mon équipe au sujet de la chasse au trésor qui faisait rage durant ce SC, ma concentration déclina soudain en apercevant une silhouette familière passer. « Les gars je reviens… » soufflai-je, le regard brillant, les yeux quelque peu écarquillés, soufflé par cette vision. La brune que je venais de voir passer et qui se dirigeait vers les ascenseurs n’étaient pas une étrangère, pas une connaissance de mes années passées sur le campus, c’était une rencontre de l’été passé, une rencontre brève mais intense avec qui j’avais passé un séjour inoubliable… Cette mystérieuse inconnue qui avait disparu sans une explication à la fin de l’été, sans me laisser ni numéro, ni adresse, ni un autre quelconque moyen de la contacter… Gab ne m’avait rien laissé, si ce n’est nos souvenirs de ces merveilleuses semaines ensemble. Sauf que ces moments ensemble avaient suffi pour que je m’accroche, que je m’attache, et l’oublier avait été compliqué. Alors comme un aimant, magnétisé, je la suivis jusqu’à l’ascenseur, discrètement, ne m’y glissant qu’au dernier moment, lorsque les portes se refermaient pour qu’elle n’ait ainsi pas le moyen de s’échapper. « Gab… » soufflai-je en la dévorant des yeux, mes prunelles incapable de se détacher des siennes comme si cligner des paupières risquait à nouveau de la faire disparaître, mille questions se bousculant déjà dans ma tête.
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Les cheveux attachés, vêtue d'une robe et le portable dans les mains je me dirigeais vers le hall de l’hôtel après avoir fait rapidement le tour du propriétaire. J'avais attendue pratiquement toute l'année ces vacances et pour cause, je n'avais pas eu un moment à moi, entre les retrouvailles avec mes amis et connaissances que j'avais laissé à Harvard, le parcours du combattant que j'avais du effectuer pour que certains me pardonnent d’être partie et enfin, mon enfoiré d'oncle qui m'avait fiancé à mon meilleur ami. Ces vacances venaient comme une bénédiction et j'envoyais justement un message à Noah pour lui demander ou il se trouvait. Le nez dans mon téléphone, je ne prêtais pas attention aux personnes présentes dans le hall d'entrée et je me dirigeai vers l'ascenseur, contente de pouvoir enfin retrouver ma chambre pour m'allonger quelques minutes. La porte s'ouvre, je me glisse à l'intérieur quand une voix qui ne m'étais pas inconnue attira mon attention. Cette voix ... ce parfum ... non, pitié, pitié sortez moi de là, je ne pouvais pas gérer ça, pas maintenant. Je levai les yeux vers l’intrus et comme je l'avais deviné, il s'agissait de Denys. Sa présence me fit l'effet d'un coup d'un masse dans ma poitrine et si mon cœur pouvait bondir hors de celle ci, il l'aurait fait. Il n'a suffit que d'un regard vers lui pour que je puisse me remémorer mes dernières vacances en sa présence. Elles avaient été intenses, magiques, formidables et il avait été en quelque sorte mon sauveur, celui qui l'espace de deux mois était devenu vital pour moi. Mon regard émeraude se plongea dans le sien et des milliers de pensées se bousculèrent dans mon esprit, ne me laissant pas vraiment l'occasion de réfléchir correctement. Impossible de sortir de l'ascenseur ou encore de faire comme s'il n'était pas là, je n'avais pas d'échappatoire et je devais me confronté à cette vision, néanmoins magnifique, du passé. Un sourire en coin insolent, un regard de peste et une voix pleine de sarcasme "Pour une surprise ....". Je passai rapidement ma main dans mes cheveux, léger signe de nervosité de ma part. J'avais été une autre avec lui, j'avais eu envie de lui montrer autre chose, de me dévoiler à lui comme je l'avais fait avec peu de personnes, mais cet époque, ce moment appartenaient au passé et la véritable Gab, celle que tout le monde connaissait avait repris sa place.
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Elle ne m’avait pas repéré et je n’eus donc aucun mal à la suivre sans me faire remarquer, comme aimanté par ce mirage qu’elle représentait… Un mirage oui, sauf qu’elle était bien réelle, elle était là, les yeux rivés sur son téléphone, marchant quelques mètres devant moi. J’accélérai alors qu’elle se glissait dans la cabine d’ascenseur, me faufilant juste derrière elle, soufflant son prénom une fois à l’intérieur, mes prunelles rivées sur elle, incapable de détourner le regard. Gab… C’était comme un retour en arrière, une tornade de souvenirs s’imposant en flash dans ma tête. Mon cœur manqua un battement alors que son regard se détachait lentement de son portable pour s’accrocher au mien. Impossible de lire une quelconque réaction dans ses iris émeraude, alors que je devinais que les miennes devaient trahir toute ma surprise de la retrouver ici. J’étais incapable de deviner ce qu’il se passait dans sa tête, elle restait impénétrable, ne laissant rien entrevoir de ses émotions. C’est un petit sourire qui se dessina sur ses lèvres alors qu’elle prenait la parole sur un ton chargé de sarcasme qui me glaça quelque peu. C’était elle, c’était Gab et en même temps… Ce n’était plus tout à fait elle. Son expression, ses gestes, le ton de sa voix… Elle semblait complètement différente. « Pour une surprise ? Ca fait un an Gab, un an sans nouvelle et tout ce que tu arrives à me dire c’est ça ? » m’indignai-je un instant, le regard peiné, avançant d’un pas vers elle partagé entre ma déception devant sa réaction et mon envie de malgré tout, la serrer contre moi. « Pourquoi t’es partie ? T’étais où ? Qu’est-ce qui s’est passé ? » Un flot de questions s’échappa ainsi de mes lèvres, incapable de les retenir.
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Mon calme et ma décontraction apparente cachait un véritable bordel à l’intérieur de moi, je ne savais pas quoi dire, quoi faire et encore moins lui expliquer les raisons de mon départ soudain. En vérité il n’y avait pas de raisons. J’étais parti parce que les choses ont une fin, parce que je devais entrer à Oxford et aussi parce qu’il avait été beaucoup plus facile pour moi de partir sans un mot, plutôt que de devoir me perdre dans des adieux longs comme mes deux jambes et des explications à n’en pas finir. Son regard était expressif, dans tous les cas il l’était beaucoup plus que le mien. Cela ne voulait pas dire que je ne ressentais rien en le voyant, j’avais envie de l’embrasser comme je l’avais embrassé avant, de le serrer contre moi et de lui offrir un sourire sincère mais ça ne servait à rien de se torturer dans quelque chose qui était déjà terminé. Cela faisait pratiquement un an, jour pour jour que nous nous étions connu et l’univers avait une drôle de façon de se foutre de ma gueule ces temps-ci, me renvoyant au visage tout ce qui pouvait me perturber. Je fermai furtivement les yeux face à son indignation, léger signe d’exaspération de ma part, dieu que j’avais horreur de me justifier et encore plus lorsque je savais que la personne en face de moi était dans son bon droit. « Qu’est-ce que tu espérais m’entendre dire Denys ? » je regardais furtivement autour de moi et l’ascenseur me donnait l’impression de monter encore plus lentement, putain fallait toujours que ça tombe sur moi. « Je … nous n’étions même pas censé nous recroiser, je suis désolée de ne pas avoir prévu de discours de retrouvailles » toujours ce même sourire sur mon visage et je procédais comme à mon habitude, ironie et moquerie, comme un automatisme me permettant de m’en sortir en m’épargnant mais au détriment de ceux qui me sont proches. Je poussai un léger soupire à ses questions, encore des questions … « Je suis partie parce que je le devais, parce que les gens partent et font autre chose de leur vie que de glander au soleil et passer leurs journées au lit ». Et voilà que le mépris pointait le bout de son nez, l’ombre d’une excuse de ma part, je n’aime pas les mea culpa, quitte à ce qu’on m’en veuille pour quelque chose, autant aller jusqu’au bout des choses.
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Un an. Un an et la seule réaction à laquelle j’avais le droit c’était un sourire moqueur et du sarcasme dans sa voix. C’était elle, impossible de le nier, mais une version complètement différente, froide, distante, hautaine… Je la regardais, une lueur de déception brillant dans mes yeux, ne pouvant m’empêcher de détailler chacun de ses traits, la façon élégante dont elle avait relevé ses cheveux, et ses prunelles émeraudes dans lesquelles je m’étais perdu tant de fois et qui aujourd’hui me paraissaient vides de tout sentiment. Rien. Elle ne laissait rien transparaitre et quand je le lui reprochasi, elle s’étonna, me demandant ce que j’espérais entendre de sa bouche. « Je sais pas… » soufflai-je avec une voix déconfite, une expression peinée sur le visage. Sauf que quand elle enchaina en me soufflant, toujours ce petit sourire supérieur aux lèvres, qu’elle était censée ne jamais me recroiser et qu’elle n’avait donc aucun discours de retrouvailles sous le coude pour moi, je repris sur un ton un peu sec, vexé : « Je sais pas ce que j’espérais entendre mais certainement pas ça… » Les questions fusèrent, j’espérais peut être qu’alors, dans son histoire, dans sa vie, elle allait me servir une explication : une obligation familiale soudaine ou je sais quoi qui expliquerait qu’elle soit partie si rapidement de ma vie sans laisser de trace, mais non, à nouveau lorsqu’elle ouvrit la bouche, ce fut pour se montrer plus que méprisante à mon égard. Comme si c’était normal qu’elle soit partie, comme si ce qu’on avait vécu n’était rien, une amourette de vacances tout au plus, sous entendant que rien de tout cela n’était très constructif. « Ok, donc ça ne voulait rien dire pour toi ? » J’avais l’impression d’avoir une statue de glace devant moi, et dans l’espoir de peut être la faire fondre, je fis un nouveau pas vers elle pour saisir sa main en continuant : « Tu veux me faire croire que ça ne t’a pas plu, que ça ne t’a pas manqué ensuite, sentir ta peau contre la mienne… » Mes doigts relâchèrent les siens pour remonter en une lente caresse le long de son bras, venant ensuite effleurer son visage. Mes lèvres s’approchèrent de les siennes, incapable de résister, malgré son attitude glaciale, je lui volai un baiser, capturant furtivement sa bouche de la mienne avant de me reculer pour demander : « Et ça, ça ne t’a pas manqué ? »
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Mes yeux ne se détachaient pas des siens et son regard n'avait pas changé, tout comme lui n'avait pas l'air d'avoir changé même après un an. Je pouvais lire la déception dans son regard mais je ne pouvais pas lui offrir celle qu'il avait connu, je ne l'étais plus. Nos soirées à boire et à refaire le monde, nos matins à flâner dans les bras l'un de l'autre et ces moments ou on s'amusait tous les deux sans ce soucier de ce qui pouvait nous entourer, tout ça appartenait au passé, cette Gab appartenait au passé et il devait l'imprimer. Sa voix cassé laissa place à un ton plus contrarié, je me doutais que le ton sous lequel je lui parlais et mes réponses ne lui plaisaient pas mais il n'avait le choix qu'entre s'en accommoder ou fuir et garder de nous les bons souvenirs. Il s'inquiétait de savoir si tout ça n'avait été qu'une petite amourette passagère sans importance pour moi, si lui et ce que nous avions vécu ne signifiait rien. J'aurais aimé ouvrir les lèvres et lui dire d'aller en importuner une autre, j'aurais aimé lui dire qu'il n'avait rien de spécial et que je l'avais oublié sans aucune peine, mais j'en étais incapable. Il avait représenté quelque chose pour moi, j'avais aimé me réveiller à ses cotés le matin, j'avais aussi aimé nos fou rires alors qu'on avait abusé de l'alcool, les matins ou on regardait des dessins animés au lit et j'avais adoré tous les moments charnels qu'on avaient partagé. Je me retrouvais dans une position étrange, ou je ne pouvais ni le repousser en l'envoyant chier et en le rabaissant mais ou je refusais de lui signifier l'importance qu'il avait eu pour moi. Mon insupportable sourire toujours sur mon visage je me décidai à entrouvrir les lèvres pour lui répondre d'une voix calme qu'on pourrait qualifier de froide  "La question n'est pas là Denys ... les gens s'en vont et passent à autre chose et c'est exactement ce que tu devrais ... je m’arrêtais alors qu'il prit ma main dans la sienne, le silence trahissant le fait que je sois complètement déstabiliser. Mes yeux suivirent sa main alors qu'elle remontait lentement sur mon bras, sa caresse m’arrachant un frisson clairement visible sur ma peau. "Denys ... tu n'as pas l'air de comprendre ce que je dis" ultime tentative de ma part, tentant de reprendre le contre de la situation, jusqu'à ce que ses lèvres ne viennent se poser sur les miennes. Cela m'avait manqué, la douceur de son baiser m'avait manqué, sentir son souffle sur ma peau m'avait manqué et même si je refusais de me l'avouer, je ne voulais pas qu'il détache ses lèvres des miennes. Lorsqu'il s'éloigna me demandant si ça ne m'avait pas manqué, le silence rempli  la cage d'ascenseur, qu'est ce que je pouvais bien répondre ? je n'avais rien à répondre si ce n'est que mes lèvres revinrent se poser sur les siennes de façon plus explicite, faisant acte de faiblesse.  
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 Ce n’était pas possible je ne pouvais pas y croire. Je ne pouvais pas accepter que ces 365 jours sans se voir aient changé ma Gab en cet espèce de statue de glace imperméable à tous mes mots. Alors oui, j’aurais pu me murer dans le silence, m’en tenir à ça, accepter ses paroles à savoir que les gens s’en allaient et passaient à autre chose, me résigner à la laisser là, et m’échapper dès que les portes de l’ascenseur se rouvriraient. Mais non… J’étais trop têtu pour cela, et la coupant dans sa phrase, je m’emparai de ses doigts, les enserrant d’abord dans les miens, ce qui eut l’effet immédiat de la couper. Elle cessa de parler, et son trouble trahissait bien que, malgré son détachement et tout ce qu’elle essayait de me faire croire, ce n’était pas complètement terminé… Sinon, d’un geste elle aurait pu se détacher mais non… Elle resta immobile aussi lorsque ma main remonta lentement le long de son bras. Sa voix me rappelait à l’ordre mais sa peau qui frissonnait me chanter une toute autre chanson. Et c’est ainsi que je finis par réduire à néant le peu de distance qu’il restait entre nous, venant m’emparer de ses lèvres. Ce n’est qu’à ce moment là que je repris conscience d’à quel point cela m’avait manqué. Le goût de ses baisers… Je me détachais, presque à regret, satisfait déjà qu’elle ne m’ait pas repoussé, voyant là dessous un nouveau signe que l’ancienne Gab n’était pas complètement éteinte, reprenant la parole pour lui demander si cela ne lui avait pas manqué, mon regard défiant le sien. Allez, ose dire que ça ne t’a pas manqué et je m’en vais sur le champ, semblaient lui crier mes prunelles. Son silence était tout aussi parlant que n’importe quelle réponse. Et lorsqu’à son tour, elle fit disparaître les quelques centimètres entre nos visages, je répondis à son baiser avec passion. Ma main droite glissa dans le bas de son dos, l’attirant d’une pression un peu plus contre moi, alors que ma gauche se perdait en arrière, à tâton, appuyant à l’aveugle sur le tableau de bord de l’ascenseur pour empêcher ce dernier de s’ouvrir, pour prolonger cet aparté, ce baiser. La cabine se stoppa d’ailleurs, j’avais du appuyer sur le bouton d’arrêt d’urgence, mais qu’importe. Ma bouche contre celle de Gab, je n’eus même pas une pensée pour les pauvres vacanciers au rez de chaussée devant emprunter les escaliers avec leurs bagages…  Ma main délaissa le tableau de commande pour venir se perdre dans les cheveux de la jeune femme, prolongeant encore un peu plus cette étreinte qui ravivait tous mes souvenirs…
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Comment je pouvais être si faible ? c'était pourtant simple, il m'embrassait et moi je devais résister, lui dire de passer à autre chose et de se consoler avec les souvenirs qu'il avait de nous. Au lieu de quoi, l'imbécile que j'étais se laissait prendre au jeu et se laissait attendrir. Mes lèvres dans les siennes je me retrouvais incapable de me détacher de lui et quand sa main se posa sur le bas de mon dos pour renforcer notre étreinte ce sont tous les souvenirs de nos deux mois passés ensemble qui remontèrent. L'ascenseur s’arrêta et sa main vint se plonger dans mes cheveux alors que les miennes venaient agripper la légère chemise qu'il portait. Mon souffle s'accéléra quelque peu et une de mes mains s'attarda sur les premiers boutons de sa chemise pour les détacher, mon corps m'envoyait un tout autre signal que mon cerveau et ... complètement perdue je cédais à la facilité et au désir. Mes lèvres se détachèrent des siennes furtivement et je lui murmurais ma bouche encore près de la sienne "Tu fais une erreur et j'en fais une aussi ... tu seras déçu et tu ne devras pas compter sur moi pour venir te rassurer". Mes lèvres vinrent à nouveau au contact des siennes "Tes souvenirs n'ont rien à voir avec la situation actuelle, je ne fais pas partie des gentils Denys". Je savais très bien qui j'étais, je savais à quel point je pouvais être toxique, destructrice et méprisante. Je savais aussi que ceux que je fréquentais, ceux qui me supportaient était souvent de la même trempe que moi et le Denys qui était présent dans mes souvenirs, celui qui avait l'air d’être présent devant moi, ne faisait pas du tout partie de ce genre de personnes. Mon regard affrontait alors le sien, mon visage a à peine 1 centimètre   du sien, mon nez effleurant son nez, je détachais alors rapidement un autre bouton de sa chemise "Tu es certain de vouloir commettre cette erreur ? Ou tu fais appel aux deux neurones qui arrivent encore à se connecter dans ta jolie petite tête blonde et tu débloques cet ascenseur pour faire la meilleur chose que tu pourrais faire aujourd'hui ... fuir." Le léger sourire reprenant sa place sur mes lèvres, mon regard ne lâchant pas le sien, j'étais curieuse de savoir, à quel point il pouvait être inconscient et à quel point, je pouvais être faible.  
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Je ne devrais pas rester, j’aurais mieux fait de m’en aller en constatant sa réaction, son sourire narquois, son ton supérieur. J’étais rien pour elle, voilà le message qu’elle voulait me faire passer. Et moi, obstinément j’étais resté, faisant courir mes doigts sur sa peau, prenant ses lèvres des miennes comme pour lui crier que non, ce n’était pas rien… Qu’elle ose le dire après cela et je m’en irais… Et c’est une autre réponse que j’eus, celle de sa bouche qui fondit sur la mienne. Lèvres pressantes, nos langues s’emmêlèrent, le baiser s’intensifia, plus appuyé, plus fiévreux, une de mes mains la plaquant contre moi, l’autre arrêtant l’ascension de la cabine, nous bloquant entre deux étages dans ce lieu étriqué. Je souris contre ses lèvres en sentant ses doigts trouver les boutons de ma chemise et les défaire… Sauf que la seconde suivante, elle se détachait de moi et me servit un discours qui discordait complètement de ses gestes : une erreur, c’était une erreur. « Déçu ? Je ne pense pas que tu m’aies jamais déçu sur ce plan là Gab… » commentai-je avec amusement, essayant de détourner ses paroles de leur véritable sens… Elle ne parlait pas du plaisir mutuel qu’on avait pris dans les bras l’un de l’autre clairement, mais du reste, de tout ce qu’on avait eu, et qu’apparemment elle ne pouvait plus m’offrir. Elle le clarifia explicitement : la situation avait changée, et elle, elle ne faisait pas partie des gentils. « Tu dis n’importe quoi… » lui soufflai-je, loin de me laisser refroidir par ses mots, ma main dans son dos caressant doucement la cambrure de ses reins, imperméable à tous ses avertissements, à ce message qu’elle essayait de me faire passer. Alors elle me le demanda cash, sans prendre de détour, de pincettes, retrouvant son ton hautain : est-ce que j’étais sûr de ce que je faisais ? La suite de sa phrase était piquante. Elle voulait me voir dégager, et en même temps… En même temps ses doigts libérèrent un nouveau bouton, me déshabillant un peu plus… « Si c’est vraiment une erreur, arrête moi alors… » répliquai-je sur un ton un peu plus sec, piqué au vif par ses mots, la poussant alors contre le fond de l’ascenseur, plaquant mon corps contre le sien.  « Et pas avec du blabla… » Ma bouche reprit la sienne en otage sans lui laisser l’occasion de me répondre. Qu’elle accorde donc ses gestes avec ses mots, qu’elle me résiste, qu’elle me repousse, qu’elle me démontre ainsi que c'était une connerie… Ma bouche se détacha de la sienne pour glisser dans son cou, semant des baisers fiévreux sur son passage…
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Voilà la réponse à ma question, ou du moins en partie, ou Denys pensait encore que j'étais celle qu'il avait connu et refusait de me croire, ou il vivait l'instant comme on l'avait fait il y a un an sans ce soucier de l'après et ce qui était certain, c'était que la personne qui finirait par se bruler dans tout ça ne serait pas moi. Je souris légèrement à sa réponse, voyant qu'il préférait utiliser l'humour plutôt que de prendre ce que je lui disais au sérieux et alors que je déboutonnais à nouveau un de ses boutons il me glissa sur un ton plus franc de l'arreter si je pensais vraiment que c'était une erreur. A peine eu je le temps d'ouvrir les lèvres qu'il me poussa vers le fond de l'ascenseur jusqu'à ce que je sois plaquée à celui. Sentir son corps pressé contre le mien ne faisait que réveiller chez moi, tout le désir que j'avais pu ressentir pour lui. Ses lèvres prirent les miennes en otage avant de descendre sur mon cou, provoquant comme en choc électrique en moi, les frissons recommençant à se dessiner sur ma peau. Un léger soupire s'échappa de mes lèvres et fermant les yeux faisant appel aux dernières force qu'il me restait, espérant invoquer la sainte raison qu'elle puisse m'aider à résister, mes mains se posèrent sur ses épaules, faisant mine de le pousser. Je devais contrôler la situation, je devais dominer la situation, il devait comprendre et moi je ... je ... et puis merde. Tout ce qui pouvait me pousser à lui résister semblait s'écrouler et les mains qui appuyaient sur ses épaules pour le repousser, s'accrochaient au tissu qui les recouvrait. Un autre soupir, un autre frisson, s'en était trop et une de mes jambes remonta le long de la sienne, faisant légèrement remonter ma robe sur le haut de ma cuisse. Mes mains quittèrent ses épaules pour aller se plonger dans ses cheveux et les emprisonner entre mes doigts. D'une voix saccadée, entrecoupée par quelques légers soupirs, je lui murmurais.  "Tant pis pour toi, je t'aurais prévenu".
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