Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityThe sky is open for us. ▬ James ♥ - Page 3
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The sky is open for us. ▬ James ♥

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The sky is open for us.
Et même s'il n'était pas le gendre espéré par mes parents, je savais pertinemment qu'ils l'accepteraient, et qu'ils l'apprécieraient tel qu'il est. Il n'est pas si mauvais, il est même très bien, de mon avis. Même si je ne suis pas très objectif.. Mais je sais qu'il sera très bien. En le suivant, j'écoute ses paroles et fronce les sourcils. Je l'arrête alors et prends ses mains pour plonger mon regard dans le sien. « T'as pas à t'en faire pour ce genre de questions bébé. T'sais, mes parents sont simples. Tant qu'ils savent que j'suis entre de bonnes mains, tout leur ira. Tu es parfait pour moi. Tu me rends heureux et c'est tout ce qui compte, et ce sera tout ce qui comptera pour eux. Vraiment, t'as pas à t'en faire. » Je lui souris tendrement, puis je repasse mon bras autour de sa taille en le suivant. J'espérais simplement qu'il comprenne qu'il n'avait pas de stress à avoir. Tout allait bien se passer, j'en étais intimement convaincu. Mes parents avaient toujours accepté mon orientation sexuelle, je ne vois pas pourquoi cela changerait maintenant. Ils étaient toujours très laxistes. Même envers Sid et ses innombrables petites amies. Enfin, je sors de mes pensées en sentant son baiser, et son nez dans mes cheveux. Un sourire tendre étire mes lèvres, et je lève mon regard vers lui. Il était beau. Diablement beau. Ses traits étaient peut-être stressés, mais son sourire adorable me faisait tellement chaud au coeur. Je voyais bien qu'il essayait de ne rien faire paraître, mais je savais que cela était difficile pour lui, de ne pas stresser à l'idée de rencontrer mes parents. Et je dois avouer que quelque part, je suis aussi un peu stressé. Il était le premier que je présentais à mes parents. Ils n'avaient jamais vu personne, de toute façon, je n'avais eu qu'une seule relation vraiment sérieuse. Et c'était peut-être aussi pour cela que ça me stressait. Mais ça allait aller, je le savais. Il n'y a pas de quoi s'inquiéter.

Voilà, nous arrivions aux portiques de sécurité et je commence déjà à stresser à l'idée que nous allions devoir monter dans cet avion. Et pour me dé stresser, je m'intéresse aux gens autour. Les gardes, enfin les agents de sécurité qui sont là pour vérifier nos affaires et nous fouiller si besoin. Je n'aimais pas tellement le regard qu'ils nous portaient, mais qu'est-ce que je pouvais dire ? Habituellement, je leur aurais lancé un "quoi ?" ou quelques phrases de provocation, seulement, j'avais promis à James de ne plus me comporter ainsi, depuis un moment d'ailleurs. Et je n'avais pas oublié cette promesse. Alors je ne dis simplement rien, je pose mon sac dans l'un des bac puis passe dans le portique qui ne sonne pas, comme prévu. Je remets ma ceinture, la serrant un peu plus que je l'aurais fait il y a trois mois. Puis je reprends mes affaires et je continue à suivre James. Cette fois-ci, c'est sur les hôtesses que je me concentre. Et leur regard ne me plaît pas tellement non plus. Je lâche alors un soupir exaspéré, les gens n'ont-ils vraiment que ça à faire que de juger les gens de cette manière-là ? Enfin, soit. Mon amour me tire encore une fois de mes songes en prononçant mon surnom et je souris tendrement en reprenant place à ses côtés. J'étais fier d'être avec lui, en réalité. Même si les gens nous regardaient parfois bizarrement, moi, je m'en fichais, parce que je savais que j'étais avec un homme merveilleux. Les autres pouvaient être jaloux.

Nous sommes à présent dans l'avion et cela ne me rassure pas. Même s'il est à l'arrêt. Je stresse, complètement, j'ai peur, et je me fige devant nos sièges. Je le regarde, lui n'a pas peur, lui s'installe tranquillement. Il fait bien, d'ailleurs. Je me demande bien comment il peut aimer ça. J'aimerais bien, être aussi détendu. Pourtant je n'y arrive pas. En soupirant doucement, je déglutis et viens finalement m'asseoir dans le siège à ses côtés. Mes doigts se crispent sur les accoudoirs, et je fixe un point invisible en face de moi, en lui répondant distraitement. Ma jambe bouge toute seule nerveusement, mais sa main vient la calmer et je le regarde enfin, en prenant ses doigts dans ma main pour jouer avec, histoire de me détendre. « Non. Il reste à Cambridge, il ira les voir plus tard, pour notre anniversaire. C'est une bonne chose qu'il soit pas là. » Je hausse les épaules. Je pense qu'entre James et Sid.. Ca ne passera jamais forcément. C'est dommage, mais au moins, James serait beaucoup plus à l'aise. C'était tout ce qui comptait.
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Aimer ce n’est pas renoncer à sa liberté, c’est lui donner un sens.
James and Nevada.
Alors voilà, nous y sommes. Nous sommes préparés à aller de l'avant, je suis honnêtement prêt pour rencontrer la famille de Nevada, et surtout faire en sorte que lui et moi, cela fonctionne. Je ferai tout, pour ce gars, absolument tout. Je veux pouvoir lui promettre des tonnes de choses et les réaliser ensuite. Mon regard se braque en sa direction, et ma main est occupée par ces gestes, sans doute pour l'occuper l'esprit. Il m'annonce que Sid, ne sera pas là, et tant mieux. Depuis l'accident de l'hôpital, ce type me reste en travers de la gorge et sincèrement, je ne vois pas comment je pourrais ne serait que l'apprécier. Ainsi, je préfère me taire, je m'approche pour voler un doux baiser, et surtout murmurer, que seuls, nous puisons entendre. < Tout va bien aller, d'accord ? Comme notre premier vol. > je le regarde longuement, presque attendri par ce petit gars, qui montre cette facette que peu de gens connaissent. De ma main libre, je faufile mes doigts sur sa joue, avant de prendre place correctement et de venir attacher ma ceinture et la sienne.

Le décollage venait d'être annoncé. Je sens la main de Nevada se figer autour de la mienne, et automatiquement, je prends la parole pour qu'il puisse se focaliser sur mes mots, et non sur les bruits qui nous entouraient. < J'ai hâte de rencontrer tes amis, et ta famille. J'espère qu'on mange bien à Paris. > Ainsi de suite, je déballais sans honte plusieurs sujets pour maintenir sa concentration dirigé vers moi. J'articule mes mots, pour qu'ils soient un peu plus forts que les bruits du moteur. Jusqu'à sentir que l'avion se soulevait. Ma main, serrait soudainement la sienne, pour qu'il comprenne qu'il n'est pas seul, et qu'il ne le sera jamais. Tant que je serai là, il ne risquerait rien. Rien ne pourra lui arriver.

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