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The sky is open for us. ▬ James ♥

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The sky is open for us.
C'est simple, je n'avais pas supporté le ton qu'il avait employé pour me parler tout à l'heure. Ni même ses paroles, d'ailleurs. Je n'étai pas un enfant, encore moins le sien. Je voulais qu'il le comprenne, que même s'il était inquiet, il n'avait pas le droit de commander à ma place, ou de me parler comme un chien. Et là, j'étais tellement énervé.. Hors de moi. Rares étaient les fois où j'étais dans cet état pourtant. Et lorsque du coin de l'oeil je le vois s'approcher, mon visage se tourne vivement vers lui, en lui lançant des éclairs d'un seul regard. Je ne voulais pas qu'il m'approche. J'étais trop en colère et je ne savais pas ce que j'étais capable de faire dans cet état-là. Non, pas le frapper, ça je ne pourrais jamais le faire. Jamais. Seulement j'ai peur d'avoir certaines réactions qui pourraient le blesser. Et je ne veux absolument pas le blesser. Plus jamais. En tournant la tête à l'opposé, je soupire lourdement en passant une main tremblante de rage dans mes cheveux décoiffés, et d'un coup, je me retrouve plaqué au mur sans avoir le temps de rien, dans un gémissement incontrôlé, son regard planté dans le mien. Je le foudroie du regard, les lèvres entrouvertes, et les sourcils froncés, alors que ses paroles viennent à mes oreilles. Il s'en veux, mais ce n'est pas sa faute, si j'ai perdu l'appétit. Ce n'est pas lui qui m'a quitté. Il n'a pas le droit de s'en vouloir. Et rien que cela m'énerve davantage.

En grognant légèrement, je voulais échapper à son emprise mais c'était peine perdue, il resserre son étreinte autour de mon poignet si bien que ça commence à me faire mal, et je dois serrer le poing pour ne plus y penser. Ses prochaines paroles me radoucissent très légèrement, mais son baiser ranime ma colère et je le lui rends avec la rage qui me scie le ventre depuis tout à l'heure. Avec force, et violence. Et lui me déchire la lèvre inférieure, et quelque part, ça me fait du bien qu'il me fasse ainsi mal. Parce qu'il sait que j'adore quand il fait ça. Il parle ensuite de nouveau et je n'ai pas le temps de répliquer qu'il me prend par les hanches pour m'installer sur les lavabos. Je le regarde toujours droit dans les yeux, le regard empli de cette colère sombre qui ne voulait plus me quitter. Il compte me forcer à manger ? C'est la meilleure, ça. Et maintenant il m'en veux. Il inverse les rôles, et ça m'énerve tellement. « T'as clairement pas intérêt de me forcer. De toute façon ça servira à rien, si je mange trop, mon estomac supportera pas et j'vomirais sans l'vouloir. Parce que ce sera trop. J'sais que j'dois manger. J'le sais ok ? Mais mes limites, j'les connais. J'peux pas bouffer comme un gros porc du jour au lendemain putain, est-ce que tu peux te rendre compte de ça au moins ? Et arrête d'en vouloir à tout le monde, moi tu peux m'en vouloir, mais t'as pas à t'en vouloir à toi parce que c'est pas ta faute. Ni à ce foutu muffin, il a rien fait non plus bordel. » Je descends des éviers pour poser mes pieds à terre, et soupire en recommençant à marcher, passant pour la énième fois ma main dans mes cheveux. « Et à ce stade là, j'suis quasi-certain qu't'en veux aussi à ta queue.. » marmonnais-je entre mes dents. Et j'espérais qu'il n'ait pas entendu cela, parce qu'il risquerait de croire que ma colère s'envole alors qu'elle est toujours là.
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Quand je reviens enfin, je me souviens de pourquoi j'étais en colère. Je le regarde longuement et je le remercie pour les vêtements que j'enfile rapidement. « Bien sûr que je veux. » Un fin sourire sur les lèvres, je me rends près de lui avec les cheveux encore décoiffés et les lacets défaits, et je passe mes bras autour de son cou en plantant mon regard dans le sien, entendant les râles des gens qui attendaient depuis un bon moment maintenant. « Je t'aime, James. Je mange ce que je peux. Je ferais des efforts par rapport à ça.. Mais ne me parle plus comme ça, d'accord ? J'te promets que j'ferais des efforts. » Je dépose mes lèvres contre les siennes tendrement puis lui souris tout aussi tendrement. Je veux qu'il voit dans mon regard à quel point je l'aime. A quel point je lui appartiens.
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Au moment où nous terminons de nous rhabiller, je le vois s'avancer en ma direction, et dans un geste automatique, je passe mes bras autour de son corps frêle, bien trop frêle à mon goût. Mes mains se lient derrière son dos, et je le regarde. Qu'est-que, j'aime le regarder ainsi, mon bel amour, je pourrais poser mon regard sur lui, pour l'éternité, jusqu'à que la mort s'en suive. Pourtant, à ces paroles, un drap couvre la douceur de mes traits, réticent, je ne préfère pas aborder une nouvelle fois ce sujet qui nous a amené à nous disputer de la sorte. Je suis de loin, prêt à entendre Nevada hurler de colère. Non, alors je hoche la tête, et je lui infirme d'un faible sourire que je compte sur lui, que j'ai confiance en lui, et qu'évidemment. Je surveillerais du coin de l'oeil son alimentation, et comment il se comporte. Néanmoins, je prends une grande respiration, en embrassant ces lèvres, avant de le quitter pour regarder les alentours en observant si nous avions oublié la moindre petite chose. < On y va ? On va rater l'avion si on continue comme ça. > Même si au fond de moi, c'était loin de me déplaire. Je lui tends un sourire qui voulait tout dire, et en même temps, ma phalange se dirige vers l'homme que j'aime, pour que lorsque nous déverrouillons la porte, les gens s'empressent de nous juger d'un regard bien trop pesant. Je détestais, être au beau milieu de ce genre de situation, et j'avais l'impression que c'était moi, qui venait de créer cet embarras.

En traversant les personnes sans émettre un seul mot, je me faufile en direction du guichet qui nous permet de nous enregistrer et de rentrer dans la salle d'attente. Surtout que le vol n'était que dans trente minutes, c'était assez pour que je puisse au moins m'acheter quelques petites choses et ne pas mourir de faim durant le long vol que nous irons faire. < Tu veux quelque chose ? Une bouteille d'eau ? Je vais prendre quelques trucs à manger, j'ai toujours faim. > À mes propos, je le pousse de façon à mettre mon bras pardessus ces épaules, embrassant sa tempe dans un faible rire. J'aimais, être dans un avion, c'était tellement sécurisé que je pouvais dormir à mon aise, sans réellement m'inquiéter de comment irait se passer le vol. Après tout, s'il devrait se passer quelque chose, nous n'aurions pas vraiment un pourcentage élever pour survivre, en bref. Je ne préfère pas y penser. En marchant vers le petit magasin d'alimentation, je place ma main dans les cheveux de l'homme que j'aime, et j'entoure mes doigts de ses mèches rebelles, alors que mon regard se loge sur les rayons que nous avions accès. < Je vais pas prendre tout le magasin. > Je me penche, en quittant à contre coeur la chaleur de Nevada, et je prends d'abord un café frais, une bouteille de coca et une autre d'eau bien fraîche. Je lui lance un regard pour qu'il avance vers les biscuits où je mords l'intérieur de ma joue. Si ça ne tenait qu'à moi, je prendrais tout, absolument tout, tant j'ai envie de ne pas risquer le moment où mon ventre viendrait à grogner dans l'avion. D'ailleurs, je m'empresse de prendre deux paquets de biscuits. Un au chocolat, et l'autre aux pépites de chocolat blanc, mes favoris. < Si tu veux quelque chose, amour. Tu peux aller prendre. > Je lui lance un regard rempli de tendresse et d'amour, rejoignant bien vite le côté où était disposé les pains. < Tu crois que t'es parents vont m'aimer ? > Je choisis se que je veux, et je tourne mon faciès vers Nevada. Je sais que depuis le début, je parais être le type le plus à l'aise du monde. Mais l'idée de rencontrer les parents de Nevada, de voir ces amis. Me fous littéralement en panique. Et s'ils ne m'aimaient pas ? Après tout, je suis bien plus âgé que Nevada, et bordel, est-ce qu'ils savent que lui et moi avons déménagé ensemble ? Ou pire, est-ce qu'ils savent pour notre séparation ? Ils doivent me détester, et je ne peux me résoudre à cette pensée.

Mettant le tout sur le tapis roulant, je passe mes mains dans les poches arrière de mon jean, en fixant un point imaginable. Un point, que moi seul distinguait vraiment. J'imaginais plusieurs scénarios, sans doute des mauvais, mais aussi des qui pourrait évidemment arriver. Je donnais ma carte bancaire, avant de mettre le tout dans un sac transparent, en gardant bien le tickets pour montrer aux personnes qui vérifiaient les sacs avant de monter dans l'avion.
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Je savais bien qu'il allait m'avoir à l'oeil. Je ne lui en voulais pas, à vrai dire je ferais la même chose si les rôles étaient inversés. Et puis, au moins, je ne risque pas de refuser de la nourriture : il sera toujours là pour m'inciter à manger à peu près tout ce qu'on me propose. Et le fait de savoir qu'il m'a à l'oeil m'incitera également à manger. Enfin, dans tous les cas, il va m'aider. Et je pense qu'il a compris qu'il ne faut plus me parler comme un gamin, parce qu'il ne semble pas vouloir entamer de nouveau le sujet, il hoche simplement la tête et me lâche après avoir déposé un baiser contre mes lèvres. En souriant je hoche la tête à ses paroles, et passe mes doigts dans mes cheveux pour les recoiffer un minimum. Peine perdue.. Avec toute cette agitation, ils étaient ébouriffés et tout à fait indomptables. Tant pis, je garderais ma coiffure d'après-baise. Les gens pourront bien me juger, je n'en ai strictement rien à foutre. Prenant la main de mon amour, je serre ses doigts alors qu'il ouvre la porte. Une masse de gens attendaient et nous jugeaient du regard, certains souriaient, d'autres nous regardaient mal. Et moi, j'affichais un grand sourire fière, la tête haute pour bien leur dire d'aller se faire voir. Une tête qui dit surtout « Oui, je viens de baiser avec l'homme le plus sexy de la planète, et j'ai tellement kiffé. Vous ne pouvez pas savoir à quel point. » à tous les frustrés qui nous regardaient mal.

En sortant, je suis James jusqu'au guichet d'enregistrement et le laisse faire sans un mot. Je regarde autour de moi, en me rappelant que nous allions monter dans une de ces machines de l'enfer dans très peu de temps, et je me mets déjà à stresser. Bordel, je déteste tellement ça, cette sensation, cette foutue peur au ventre qui me prend juste à la seule pensée de m'envoler dans les airs dans ce tas de ferraille. Mais bien vite, James me sort de mes pensées en passant son bras autour de mes épaules et je regarde son visage souriant, d'un regard empli d'amour. « T'es un grand gourmand, toi. » dis-je alors en riant. « Je verrais bien ce qu'il y a sur place. Si ça m'donne envie. Mais j'ai toujours mon muffin dans mon sac. » Je lui adresse un clin d'oeil en me remémorant combien il avait détesté et maudit ce muffin pendant un instant, et je souris, en riant même très légèrement. Mon bras s'enroule autour de sa taille pour rester proche de lui, j'aime tellement pouvoir sentir la chaleur de son corps. Et aussi, son odeur. Son parfum mêlé à son odeur qui me chatouillait les narines et que je respirais à plein poumons en tentant d'être le plus discret possible pour être enivré. Maintenant dans le petit magasin, je le regarde faire en souriant, puis je laisse mon regard vagabonder dans les rayons, à la recherche de quelques petits trucs qui me feraient envie. Lorsqu'il me dit de prendre ce que je veux, je hoche la tête en allant chercher une boisson fraîche, un club sandwich et un paquet de skittles. Je n'ai pas mangé grand chose, et même si je n'ai pas faim, grignoter un peu me permettrait peut-être d'oublier mon stress à l'intérieur de cet engin de malheur.

Puis il me demande si mes parents risquent de l'aimer. Je le rejoins, et je hoche la tête en arborant un large sourire. « Bien sûr, qu'ils vont t'aimer. Tu es l'homme qui me rend heureux, celui qui me comble de bonheur. Tu es adorable et foutrement sexy en plus. Crois moi, ma mère va t'adorer. Mon père aussi d'ailleurs. Il risque de te proposer un verre de whisky après le repas avec un cigare.. C'est ce qu'il fait à chaque fois qu'un de nos amis à moi et à Sid vient à la maison. La plupart de nos amis refusent, mais si tu acceptes je suis certain que tu marqueras des points. » Je lui adresse un nouveau clin d'oeil tandis qu'en parlant, j'avais posé mes quelques trucs sur le tapis et l'avait laissé payer. Il est parfait. Il n'y a aucun risque que mes parents ne l'apprécient pas, à vrai dire. Il est charmant, avec une moue adorable, il est respectueux, et gentil. Et peu importe ce qu'il fera ou dira là-bas, mes parents l'aimeront parce qu'ils verront cette flamme dans mes yeux, ces étincelles qui prouvent au monde entier à quel point je suis heureux d'être avec lui.
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James and Nevada.
Nevada savait comment me rassurer, il était conscient des mots qu'il utilisait. Cependant, là, c'était différent, j'allais me retrouver face à des personnes qui viendront à me juger sans ressentir la moindre gêne, après tout, je pense faire pareil si dans l'avenir j'ai un enfant avec lui. Même pire, je me doute que je laisse sortir ma fille, ou mon fils d'aussitôt. Je me tais, en mettant le tout des un sac à plastique, tout en lui faisant signe de poursuivre la conversation tout en avançant en direction de la porte d'embarquement. Après tout, nous avions un avion à prendre, et c'était pour la raison de notre sujet. Je tourne ma vision en ça direction, alors que je passe un bras pardessus ses épaules, l'incitant à s’accoler contre mon être. < Je suis pas vraiment le gendre parfait. Je saurais pas quoi répondre s'ils me posent des questions... Du style, vous êtes un homme fréquentable ? > Je lui souris, d'un sourire adorable, pour cacher le malaise qui pouvait se lire à travers les traits de mon visage. Suis-je réellement quelqu'un de fréquentable ? Pas vraiment. Je me bats contre des inconnus, je dévie les lois américaines pour avoir de l'argent, enfin, davantage d'argent, et surtout, je consomme de l'alcool comme jamais. On va dire qu'il y a mieux, beaucoup mieux. Mais je n'arrive pas à imaginer l'homme que j'aime aux bras d'un autre, cela serait insupportable, et je sais de quoi je parle. Je sais, parce que j'ai vécu un enfers durant trois mois, et c'est impossible de revivre ça, je ne sais par quel miracle j'ai tenu d'ailleurs. En posant mes lèvres sur sa tempe, je fourre mon nez dans sa tignasse en me procurant son parfum qui se faufile seul sous mes narines. Il sent bon, il sent le paradis. Ce paradis que je tiens entre mes phalanges et pour qui, je ferais tout, tout pour son bonheur.

En arrivant devant les sécurités, j'ouvre grandement le sac en tendant le ticket à l'un d'entre eux, qui me regardent d'un faux air suspect. Sincèrement, j'ai l'air d'un danger public ? Je peux l'admettre que mes tatouages ne font pas "bon enfant" mais doit-on réellement me juger de cette manière ? Je prends sur moi, pour ne rien dire, seulement leur offrir ma pièce d’identité, et les billets d'avion. Cette fois, je passe à travers la machine, et rien ne sonne. Fort heureusement, j'ai tout embarqué dans la grande valise pour ne pas avoir à mettre dans le panier et encore pire, devoir me faire fouiller par l'un des gorilles présents. Je leur remercie, en prononçant que j'attendais la personne qui se trouvait derrière moi, tout allait bien se passer, après tout, nous n'avions rien à déclarer, et surtout nous étions tout en règle, alors il le laissait passait juste quelques minutes après moi. Machinalement, je viens entourer sa phalange de la mienne, et je l'oriente vers la porte où se trouvait deux grandes blondes, des hôtesses de l'air, qui nous observaient du coin de l'oeil. Intérieurement, cela me faisait sourire, non parce qu'elles nous regardent comme si nous étions des bêtes de foires, mais qu'à cet instant, je ne ressens aucune gêne. < Nous sommes en premières classes. > Dis-je en affrontement l'une d'entre elles. Je lui tends gracieusement les billets où était inscrit les places. Surprise, sans doute. Tiens connasse, si tu penses qu'on est pauvre, t'es loin de savoir. < Viens, Nevi. > Lui signalant ma main, la femme nous montre deux places, plutôt derrière et du côté gauche. Sur les sièges, il y avait deux couvertures, deux masques pour ne pas être réveillé durant la journée. Des magasines. Bon sang, que j'aimais voyager. < On va être bien là. > Dis-je en relâchant la pression de sa phalange, pour m'installer vers celui de la petite fenêtre. J'aimais pouvoir regarder le paysage, voir le temps défiler et surtout savoir où nous étions en traversant les continents. < On décolle dans quinze minutes environs, ou plutôt dix. > Mon regard est braqué sur le visage de mon partenaire, conscient qu'il serait nerveux à l'idée de prendre une nouvelle fois un avion. Mais c'était important, et dans tous les endroits que je voulais aller, nous devrions prendre ce genre de transport. C'est bien plus sécurisant qu'une voiture, ou qu'un train. Ma main se pose sur sa cuisse, et j'appose mon crâne sur le sommet du siège, en plissant des yeux, d'un air songeur, mais malgré tout, très présent. < Sid, sera là ? > Est-ce que l'autre idiot sera présent ? Heureusement pour moi, que Nevada ne lui ressemblait pas, et heureusement pour moi, que j'ai été choisi par le bon frère.
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