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Journée au bénévolat /FT Carter E. Davis

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Le bénévolat. Amélia à sa connaissance à toujours participer à ce genre d’évènements. Déjà toute petite elle donnait de l’argent aux sans domicile fixe, avec l’approbation de ses parents qui la guettait non loin d’elle. Elle a toujours eu une certaine « attirance » pour les personnes étant dans le besoin. Oui Amélia a toujours eu le cœur sur la main. Lorsqu’elle est devenue adolescente elle a immédiatement décidé de donner à manger aux personnes qui mourraient de faim. Elle avait énormément d’ambition pour aider autrui. Durant une année sabbatique elle est partie en Afrique malgré le fait que ses parents n’étaient pas rassurés. Elle leur a promis de leur donner des nouvelles fréquemment. Elle a adoré son année en Afrique et elle aimerait fortement y retourner. Bien entendu cela fait mal au cœur de voir toutes ses personnes mourant de faim, mais c’est un sacré bonheur de les voir sourire. C’est sans nul doute la raison pour laquelle elle aimerait y retourner, sans compter qu’elle aime aider les autres.
Au jour d’aujourd’hui la belle est inscrite à Harvard et elle attend impatiemment la rentrée de septembre. En attendant elle s’occupe à Boston comme elle peut. Elle a tout le temps d’aider les autres, notamment les personnes âgées dans les maisons de retraite. Elle donne aussi et toujours de la nourriture aux personnes qui meurent de faim. Alors elle se réveille avec peine, son téléphone n’ayant pas sonner. Après tout les cours ne reprennent pas tout de suite. Il est dix heures seulement quand elle décide de se lever pour prendre une bonne douche et pour prendre un petit déjeuner digne de se nom. Elle pénètre dans la cabine de douche, malgré qu’elle préfère les bains, et elle se met sous le jet d’eau particulièrement chaud pour dénouer ses muscles. Une fois qu’elle s’est occupée de se laver, elle ressort, le miroir étant recouvert de buée. Elle file dans sa chambre pour passer un pyjama. Elle ne veut pas salir ses vêtements et étant particulièrement maladroite elle préfère ne pas risquer de s’en mettre partout. S’en allant dans la cuisine, elle décide de se faire du pain grillé, seulement voilà elle n’a plus de beurre. Elle n’a pas fait les courses depuis une semaine, par manque de temps entre le bénévolat et le travail à la librairie … & puis il faut bien l’admettre elle a totalement oublié qu’il fallait qu’elle se nourrisse … Alors dans un soupire elle décide qu’elle va prendre son petit déjeuner dehors. Allant dans sa chambre à reculons elle enfile un jeans bleue marine et un top blanc. Elle enfile une paire de converse et s’en va en prenant son sac à main. Ni habillé, ni maquillé, c’est une Amélia que l’on ne connait pas. Cependant elle ne veut pas aller donner à manger aux personnes en talons aiguilles et robes moulantes.
C’est en arrivant au starbuck coffee qu’elle ouvre la porte pour prendre un moka – sa drogue – et un muffin. La queue est longue, toutefois la miss ne perd pas espoir de boire ce breuvage qu’elle aime tant. Une fois arriver à la hauteur d’un employé de l’endroit elle demande son moka en format grand et un muffin tout chocolat. Aujourd’hui elle n’a pas envie de voir des têtes connues, tout d’abord parce qu’ils ne la reconnaitraient pas, mais aussi parce qu’elle a besoin d’être seule de temps en temps, alors la miss ne regarde pas son téléphone pour voir si elle a reçu un appel ou non. Elle prend son temps au café quand elle se rend compte qu’il est déjà onze heures écart passé. S’en allant, elle s’en va à pas rapide pour prendre le premier bus. Elle doit aller au bénévolat pour offrir des repas ce midi et ce soir. Elle pense même qu’elle y restera l’après midi pour parler avec les bénévoles tout comme elle. « Bonjour tout le monde. » Dit-elle en pénétrant le lieu dit. Elle dépose son sac et s’en va saluer tout le monde en leur faisant la bise lorsqu’elle l’aperçoit. C’est Jazmin. Elle lui fait alors un immense sourire avant de lui faire la bise.
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Journée au bénévolat
— with Amélia.

Tu adorais aider les gens, tu adorais donner du temps pour les autres et en avoir finalement très peu pour toi. C’était ce que tes parents t’avaient appris, tu avais de l’argent, tu avais de quoi vivre et tu savais que ce n’était pas le cas pour tout le monde. Alors, tu donnais de ton temps dans différences associations, les causes ne t’importaient que très peu tant que ton temps était vouée pour une bonne cause et c’était exactement ce que tu avais repris en arrivant à Harvard. Tu voulais que tes parents soient fiers de toi, même loin de toi, tu voulais garder cette chose qu’il t’avait inculqué depuis que tu étais gamine. Tu t’habillais simplement sachant que tu ne mettais jamais des choses de marques, que tu ne faisais jamais en sorte que les gens se sentent inférieur à côté de toi parce que tu ne pensais pas être comme cela. Tu étais comme tout le monde, tu avais juste eu de la chance de tomber sur une famille comme les Davis et tu espérais tout les jours que quelqu’un d’autre pourrait avoir cette chance dans le monde surtout les enfants qui se retrouvaient sans parents. Après avoir enfilé ta veste blanche, tu disparaissais de ton appartement avec ton thermos’ de café en main marchant tranquillement dans les rues Boston, malgré les quelques mois de ta présence, tu ne pouvais pas arrêter de regarder partout autour de toi, de regarder avec des yeux émerveillé alors, que tu commençais tout bêtement à connaître cette ville. Mais c’était plus fort que toi, tu étais plus qu’heureuse d’être ici, de mette ton passé de côté pour aller de l’avant même si certains fantômes de ton passé était aussi présent sur ton campus, c’était comme cela, on ne pouvait pas forcément échapper à son passé. Tu poussas la porte tout en laissant un grand sourire se dessiner sur ton visage, c’était plus qu’une évidence que tu étais à ta place dans ce lieu, que distribuer des repas était quelque chose d’important et que tu adorais faire une telle chose. Tu redonnais le sourire à plusieurs personnes, c’était toujours plaisant de voir un sourire naissant sur un visage. « Bonjour ! » Tu souris grandement aux personnes qui seront auprès de toi durant cette journée, c’était une bonne chose d’être une équipe aussi grande et proche. Tu t’installas à une place tout en commençant à parler à une personne laissant ce liquide chaud rentrait dans ton corps. Un sourire se dessina encore une fois sur ton visage en voyant Amélia, tu lui fit la bise avant de sourire encore plus. « Tu vas bien ? » Tu t’étais rapprochée d’elle au fur du temps et tu étais vraiment heureuse de la connaître.

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D’aussi loin qu’elle s’en souvienne, Amélia a toujours nagé dans le bénévolat. Petite, elle accompagnait ses parents, se rendant utiles en donnant elle aussi à manger aux plus démunis. Petite fille tous les sans abris et les personnes n’ayant pas les moyens de faire des courses la nommaient « la petite princesse ». Elle était adorée de tous, et elle leur rendait bien. Amélia était heureuse de passer entre les tables pour discuter avec ses personnes. Ils avaient tous des histoires plus ou moins tristes, mais ils retrouvaient de la joie quand la petite princesse venait leur donner à manger. Bien entendu elle n’y allait pas tous les jours, mais au moins une fois par semaine. C’était son rendez-vous et elle ne voulait pour rien au monde le manquer. Elle aimait tant écouter les nouvelles histoires des nouveaux arrivants, puisque oui, malheureusement il y avait tous les jours de nouvelles têtes. Mais tous prenaient le pli en nommant Amélia la petite princesse. Son envie d’aider les autres et notamment de leur donner à manger n’a jamais failli. Même en grandissant. Avec les cours et les années passants, elle a moins d’occasions de s’y rendre, alors elle s’y rend tous les weekends, le samedi et le dimanche. Ce sont un peu comme ses jours de bénévole. Bien entendu, elle s’attèle à d’autres causes, donner de la nourriture aux pauvres n’est pas sa seule occupation. Elle donne des vêtements aux personnes qui n’ont pas les moyens de s’en payer. D’ailleurs elle trie régulièrement les siens pour les donner. Tous ses sacs Hello Kitty ont été donné aux petites filles pauvres. Tous ses vêtements les plus larges ou dont elle n’a plus envie s’en vont eux aussi comme des petits pains. Cela rend joyeuse Amélia, qui toute la semaine attend le weekend avec impatience. Elle ne partage pas ces activités avec son groupe d’amis. Elle n’a pas besoin d’être en permanence avec eux. Elle connait aussi des têtes dans son groupe de bénévoles et elle est heureuse de les retrouver tous les weekends. Après un « bonjour » lancé à tous, elle remarque une tête qu’elle adore. Lui faisant un immense sourire, elle s’approche d’elle pour la prendre dans ses bras. « Salut toi. Comment tu vas ? On a plus de temps avec les vacances pour s’occuper des pauvres. » Amélia pose son sac dans un coin. « On a encore le temps ? Je pense qu’ils vont arriver bientôt. » Elle ne se trompe pas, les portes ouvres et le service commence. Elle adore être la dernière, celle qui donnera le dessert. Non seulement parce qu’elle est gourmande, mais aussi parce qu’elle peut parler plus longuement avec les personnes qui viennent pour manger. « Bonjour. » Entonne-t-elle alors que le premier arrive pour qu’on lui serve. Elle sourit à tout le monde, heureuse de donner du baume au cœur aux personnes dans le besoin. « Bonjour vous. Comment allez-vous ? » Heureusement non loin d’elle, pour ne pas dire à ses côtés, elle trouve Jazmin. Lui faisant un grand sourire, elle va prêt d’elle pour lui chatouiller les côtes ! Elle se met à rire avant de retourner à son service du midi.

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Journée au bénévolat
— with Amélia.

Tu étais assez fière de ce que tes parents avaient pu t’inculquer comme éducation, de te montrer que vu le genre de vie que tu as, c’était donc normal d’aider ceux qui n’avait pas une vie aussi bien que la tienne. Tu passas ta langue sur tes lèvres doucement en pensant à cela, en pensant au premier jour où ta mère avait été capable de te prendre par la main pour t’amener à une mission de bénévolat, tu avais adoré ça, tu t’étais plongé dedans comme ci c’était naturel chez toi. Et tu avais continué par la suite sans personne, choisissant toi-même les missions qui te tenait plus à cœur et finalement, tu essayais tous, tu avais tout essayé parce que tu te sentais plus à l’aise comme cela. Tu étais une personne assez sociable, tu n’hésitais pas à parler avec le plus de personne possible, enfin celle qui avait envie de te parler parce que tu ne forçais personne, ce n’était pas ton genre de faire une telle chose. Mais toutes les personnes savaient que tu étais là si le besoin est. Donc tu avais repris tes activités ici, à Harvard ne pouvant pas t’en empêcher, tu aimais tellement cela que tu ne t’imaginais pas ne pas le faire, ta présence n’était pas quotidienne, tu essayais de venir le week-end, mais il était vrai que parfois tu ne pouvais clairement pas venir à cause de diverses raisons. Aujourd’hui était un jour où tu étais disponible, de plus c’était les vacances donc ta présence était totale même si tu devais préparer ta valise pour le summer camp, mais tu auras le temps de le faire plus tard. Pour l’instant, tu préoccupais de l’endroit où tu étais. Tu souris un pu plus à Amélia avant de la prendre légèrement dans tes bras, tu l’avais connu grâce à ses missions, grâce à ce que vous étiez en train de faire actuellement, tu étais donc très heureuse de la retrouver à chaque fois. « Je vais bien et toi ? Je pars au summer camp donc je n’aurais sûrement pas tous le temps pour faire cela. J’aime beaucoup les aidé, mais je pense que j’ai aussi besoin de vacances. » Tu souris doucement en sachant parfaitement que cela pouvait être vu comme un geste égoïste, mais ce n’était pas du tout le cas. « Je pense aussi. » Tu souris encore une fois avant de te mettre à ta place en commençant à distribuer ce que tu avais devant toi, tu souriais à toutes les personnes qui passaient, tu parlas pendant un peu de temps avec certaines personnes, tout en continuant de donner ce pourquoi tu étais présente. Puis tu laissais un rire sortir de ta bouche en sentant deux mains sur tes côtes, tu lanças un regard faussement noir à la jeune brune avant de prendre la parole. « Je me vengerai. »

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Elle se souvenait de ce garçon. Elle voulait croisé son regard et elle sentait qu'il avait quelque chose de différent. Il se rendait ici pour manger avec sa mère. Elle ne les avait jamais vu avec un homme, une figure paternelle. Non, ils n'étaient que deux. Elle avait remarqué le jeune homme ainsi, alors qu'il poussait la porte pour venir manger et chercher des vivres. Amélia ne savait pas pourquoi, mais quelque chose en lui l'attirait profondément. Lui, étant honteux de venir ici, il avait toujours la tête baisser. Amélia ne pouvait jamais croisé son regard. Pourtant elle le désirait fortement. Elle voulait croiser son regard, au moins une fois ... Il revenait souvent, assez assidu. Ils devaient n'avoir rien à manger, Amélia se demandait même s'ils n'étaient pas des sans abris. "Bonjour." Avait-elle soufflé, alors qu'il arrivait à sa hauteur. Elle perdait espoir quand il redressa sa tête et qu'elle croisa ainsi son regard. Ses prunelles étaient d'un bleu océan. Magnifique. A couper le souffle. Elle comprenait alors qu'elle était tombée amoureuse de ce jeune homme qui n'avait rien à demander hormis de la nourriture. "Comment tu t'appelles ?" Avait-elle essayer de demander. Il se contentait de prendre son plateau pour aller manger à une table avec sa mère. A présent il était imprimé sur sa rétine. Lorsqu'elle fermait les yeux, elle apercevait son visage, ses magnifiques prunelles bleues océan. Amélia revenait tous les jours, espérant le revoir. Durant une semaine il ne venait plus. Sa mère non plus. Leur était-il arriver quelque chose ?? Elle était au début impatiente, puis elle baissait les bras, s'avouant vaincu. Plus jamais elle ne rencontrait ce jeune homme pour qui son coeur battait si fort. Pensant à autre chose elle lança un "Bonjour" sur demande quand elle entendait sa voix. "Bonjour." Elle levait ses yeux et elle croisait son regard. Il était revenue. Un sourire venait éclaircir le visage de la jeune femme, son coeur battant à la chamade. "Comment ça va?" Demandait-elle ne sachant s'il allait répondre. Il haussait les épaules avant de répondre : "Et bien si je viens ici c'est que je ne peux pas me nourrir, ma mère non plus sinon ça va et toi ?" Elle mordait sa lèvre se sentant idiote. "Désoler." Soufflait-elle. "Moi ça va. J'adore venir ici et discuter avec les personnes." Elle lui souriait, attendant une réponse de sa part. "Hum ... Tu es de ses personnes qui aiment aider les autres." Son sourire s'amplifiait davantage, ses rouges prenant une couleur rouge. "Oui, mes parents m'amènent ici depuis que je suis toute petite." Elle hausse les épaules, le servant. "Tu crois que tu peux me tenir compagnie pendant que je mange ?" Son coeur s'emballait, mais elle dû dire non à son invitation. "Désoler, ce n'est pas que je ne veux pas, c'est juste qu'il n'y a pas assez de personnels pour que je puisse prendre le temps de m'asseoir pour le moment." Il haussait les épaules avant de dire : "J'espère que tu auras le temps de venir me faire un coucou avant que je ne parte." Il s'en allait avec son plateau. Elle lançait un : "J'espère aussi." Ne sachant s'il l'avait entendu ...
A présent il ne venait plus au centre du bénévolat. Elle l'avait longtemps espérer qu'il pousserait de nouveau la porte, mais elle avait perdu espoir. Aujourd'hui elle se consacrait à nouveau aux personnes étant venues pour manger. Quand Jaz lui annonçait qu'elle allait au summer camp elle lui sourit. Amélia avait oublié de s'y inscrire et à présent elle se retrouvait coincer à Boston. Une chose l'enchantait, elle pourra s'investir dans le bénévolat durant toutes les vacances. "Je comprends. Je passe mes vacances ici, je vais en profiter pour faire du bénévolat."
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Journée au bénévolat
— with Amélia.

Tu continuais de faire ton service, tu continuais de donner à manger aux personnes qui se présentaient devant toi tout en souriant grandement. Tu ne pouvais pas faire autrement, tu étais heureuse d’être là et personne ne devait se douter de ce qu’il se passait dans ta tête. Tu étais tellement confuse, à croire que ta vie ne pouvais pas être simple, il a fallut que Lysandre soit présent dans cette université et que tu fasses la rencontre de Roman. Tu avais presque envie de soupire en pensant à cela, en pensant aux deux hommes qui étaient capables de te faire tourner la tête encore et encore. Tu ne voulais pas de ça, tu ne voulais pas te prendre autant la tête, mais c’était tellement bon d’être avec Lysandre, de l’embrasser sans se poser de questions comme pendant les retrouvailles qui avaient été étranges dans le fond, mais que tu ne pouvais pas oublier. Tu avais pu l’avoir pour toi, seulement pour toi, tu pouvais l’embrasser, tu pouvais le toucher sans soucis en touchant son corps, en jouant avec lui, en se rapprochant de lui comme jamais. Avec Lysandre les choses avaient toujours été intense, tellement folle au point que tu ne pensais à rien sauf à le suivre encore dans ses délires, dans ses défis, mais tu aimais tellement poser sa bouche contre la sienne, tu aimais avoir toute son attention et toujours essayer de le faire gémir. Tu avais réussie à le faire, tu avais juste envie de continuer de le faire, mais tu ne pouvais pas être collé à sa personne. Tu ne pouvais pas non plus être amoureuse de lui, de toute manière tu n’en savais rien dans le fond. Ce que tu savais, c’était que tu ressentais quelque chose de fort pour Roman, c’était déjà un bon début à tes yeux, mais pas assez. Dans ta tête, tu n’arrêtais pas de comparer les deux hommes, un représentait la folie à tes yeux, qui te laissais devant celle que tu étais réellement et l’autre était plus tranquille, il n’essayait pas de te faire changer et vous profitiez chacun du corps de l’autre. Tu finis par laisser un soupir de ta bouche te rendant compte que ta vie était bien trop difficile et ce n’était pas du tout parce que tu étais en train de servir différentes personnes, tu aimais ça. « Tu n’as pas voulue participer au summer camp ou c’est parce que tu ne peux pas venir ? » Tu questionnais la jeune femme comme deux personnes normales, vous étiez amies enfin tu le pensais. « J’espère pouvoir en profiter aussi et ne pas me prendre trop la tête. » Tu ris doucement avant de lancer un grand sourire à la nouvelle personne qui se plaça devant toi.

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Amélia essaye de l'oublier. Après tout ce n'est pas si important dans sa vie. Elle fait tellement de choses qu'elle se demande comment elle peut encore y penser ... & pourtant ... elle a été amoureuse de ce garçon à la carrure d'homme. Elle l'avait aimé à la seconde où leurs regards s'étaient croisés. Comment l'amour peut-elle ainsi faucher des vies ? Pourquoi tombait-on amoureux de mauvaises personnes ? Il était pauvre, il venait manger ici avec sa mère et Amélia quant à elle était issu d'une famille aisée. Evidement elle aidait les autres, mais pour ses personnes pauvres cela était différent. Elle avait entendu l'un d'eux dire qu'ils étaient présent pour se donner bonne conscience. Cela avait atterré la jeune femme qui s'était alors mise en colère. "Vous dites n'importe quoi ! Nous ne sommes pas comme cela !" Elle devait rouge de colère et ses prunelles s'emplissaient de larmes. "Si vous pensez cela c'est que vous êtes pourri de l'intérieur. Comment peut-on porter de tels propos sans savoir ! Tous les jours nous venons pour vous donner à manger, nous vous donnons de vêtements pour que vous soyez plus propres et vous osez parler ainsi ?" Elle commençait à pleurer avant de partir s'enfermer dans a cuisine du local. Elle pleurait à chaud de larmes quand il est venu. Il a poussé la porte et l'a prise dans ses bras. Elle sentait sa délicieuse odeur, elle serrait son corps contre le sien, son coeur s'emballait et il avait déposé ses lèvres sur les siennes. Elles étaient douces, juteuses, mielleuses, parfaites. Il ajoutait sa langue dans sa bouche et elle le titillait délicatement avec la sienne. Elle ne connaissait toujours pas son prénom. Alors lorsqu'ils défaisaient leur étreinte elle lui demandait : "Comment t'appelles-tu ? Moi c'est Amélia." Il déposait sa main sur la joue de la jeune femme avant de lui dire : "Je sais que tu t'appelles Amélia. Moi c'est Henri-Charles." Elle frissonnait au contact de sa peau et ses joues s'enflammèrent. "Merci d'être venue ..." Il déposait son index sur la bouche d'Amélia avant de lui dire dans un quasi murmure :"Ce n'est rien." Il haussait les épaules. "Je lui ai mis mon poing au visage. Je ne peux plus venir manger ici, ma mère prendra de quoi manger pour moi. Ils m'ont dit que ce n'était pas contre moi, qu'il fallait tout simplement suivre le règlement." Amélia s'en voulait. Cela était de sa faute. Elle se mordait la lèvre inférieure quand il lui demandait : "Mais, comment te reveraige-je ?" Un mince sourire se formait sur son visage. "Ne t'en fais pas, je ne compte pas disparaitre." Puis il s'en allait tranquillement en poussant la porte, la laissant derrière lui. "La vache." Soupirait-elle avant de se laisser glisser contre le mur. Amélia émerge doucement quand elle entend son amie lui demander pourquoi elle ne participe pas au Summer camp. "J'ai oublié de m'inscrire en fait ... Du coup quand j'ai voulu m'y inscrire s'était trop tard." Elle se mordille la lèvre. "J'espère que tu en profiteras pour moi, d'accord ?" Elle lui fait un clin d'oeil. "Je vais rester ici, sa me convient tout aussi bien tu sais." Elle hausse les épaules et lui dit :"Amuses-toi surtout, ne te prends pas la tête avec les garçons."
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— with Amélia.

Tu avais toujours les mêmes choses en tête, tu te demandais comment c’était possible d’aimer autant une personne alors que cela faisait que quelque temps que vous vous connaissiez, ce n’était clairement pas possible, si ? Tu n’en savais rien, tu te souvenais de la première rencontre avec Roman. Vous aviez pou habitude de vous lancez des piques, de faire en sorte que tout le monde pense que vous ne vous entendez pas alors, que ce n’était pas réellement le cas. C’était plus amusant qu’autre chose, tu passas ta langue sur tes lèvres souriant à une nouvelle personne qui se présentait devant toi, mais tu avais toujours ses images en tête, tu avais toujours Roman et surtout les moments que vous passez ensemble dans le loft. Cela te fait passer presque pour un nymphomane, mais avec le brun vous aviez été capable de le faire n’importe où dans ce loft, sur tous les meubles et encore tu te demandais si vous aviez réellement tous fait. C’était juste dingue de se dire ça, surtout de penser à cela dans un tel moment, mais c’était la vérité. C’était compliqué entre vous, enfin surtout pour toi dans le fond, tu étais amoureuse de lui qu’est-ce qu’il y avait à dire de plus que ça ? Mais pour lui ne devait être qu’un prénom comme d’autre sur sa liste. Tu essayais réellement de cacher tes sentiments, ta jalousie par rapport au fait qu’il était capable de coucher avec d’autres personnes, tu ne pouvais rien dire, tu devais juste te taire et attendre que les choses passent. Tu reposas ton attention sur Amélia qui était à tes côtés, dommage qu’elle ne vienne pas, tu ne pourrais pas profiter de sa présence pendant deux mois. « Oh, je suis désolé pour toi. Puis c’est dommage, je ne pourrais pas te voir pendant deux mois. » Tu fis une moue boudeuse en la regardant parce que cela t’embêter vraiment dans le fond. « Oui, je vais vraiment profiter pour deux, j’ai vraiment envie de m’amuser et de faire en sorte d’oublier tous les petits soucis de la vie à Boston. » Tu ris un peu sachant qu’elle ne connaissait pas vraiment ce qu’il se passait pour toi, mais tu ne le cachais pas…en faîte, un peu quand même. Tu passas ta langue sur tes lèvres avant de tourner sa tête rapidement vers elle, à croire qu’elle était capable de lire dans tes pensées pour te parler de garçon, chose que tu avais en tête en ce moment même et encore tu pensais à un seul des deux qui faisaient en sorte que ta vie soit galère pour toi. « Comment ne pas se prendre la tête pour des garçons hein ? » Tu essayas de laisser un rire sortir de ta bouche, mais ce n’était pas facile sachant que faire l’indifférente n’était pas facile.

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Amélia n'a jamais parlé d'Henri-Charles à qui que ce soit. Elle a peur que personne ne la croit, après tout personne ne les a vraiment vu ensemble. Ils étaient toujours entrain de se cacher des autres. Amélia s'est même demandé s'il n'avait pas honte de sortir avec une fille comme elle, riche alors que lui n'avait rien ... Cela l'avait rendu malheureuse lorsqu'il a coupé les ponts ... Du jour au lendemain il ne lui a plus donné de nouvelles ... Il était son premier amour, celui qui l'a pour la première fois embrasser, celui qui lui a fait pour la première fois l'amour ... Il lui manque tellement ! Elle aimerait tant pouvoir l'oublier, mais toutes les nuits elle est hantée par son visage, la douceur de sa peau ... le contact de la sienne avec celle d'Amélia ... Elle est malheureuse, jamais plu elle ne laissera un homme agir ainsi avec elle. Amélia se l'est tout simplement promis. Alors en soirée elle fait mine de s'amuser avec les hommes, mais il n'en est rien. C'est simplement pour faire croire, elle fini toutes ses soirées seule et cela lui va bien. Elle n'a été touché que par un jeune homme et il l'a laissé tomber. Il a disparu pour emmener tous leurs souvenirs ensemble. Poussant un long soupire elle se rend compte que si elle continue ainsi elle restera seule toute sa vie. Comment faire pour accorder de nouveau confiance à une personne ? Elle aimerait sincèrement le savoir ! Pour le moment elle s'amuse avec ses amis filles et garçons sans se préoccuper du reste. Quand on la colle de trop elle s'eclipse et puis elle fuit tout bonnement. Elle se demande quand elle sera prête à accueillir de nouveau un homme dans sa vie ... Quand Jaz lui dit que c'est dommage qu'elle ne participe pas au Summer Camp, la belle Amélia reçoit un e-mail de l'université. Elle l'ouvre et lit attentivement. "NON !" Elle souffle. Elle regarde alors son amie dans les yeux et lui dit : "J'ai été accepté pour le Summer Camp. Je pensais qu'ils n'accepteront pas, mais finalement si !" Elle saute sur place en prenant Jaz dans ses bras. "On va pouvoir être ensemble durant les vacances, cool non ?" Elle cesse de sautiller, son coeur bat à la chamade et elle a un sourire encrer sur son visage. Quand elle lui répond comment on peut ne pas avoir d'histoire avec les garçons Amélia baisse la tête. "Il faut que je te dise ..." Elle ne sait pas comment commencer. Elle n'en a jamais parlé à personne, c'est presque devenue bizarre, comme si elle s'était inventée l'histoire elle-même. Des fois c'est ce qu'elle préfère croire, pour moins souffrir. "Je suis sortie avec un garçon ... il vivait avec sa mère, mais ils n'avaient pas les moyens pour manger, ils avaient seulement un logement." Elle baisse le regard : "Je suis sortie avec lui, mais nous étions cachés. Puis, il a tout bonnement disparu, je n'ai jamais eu de nouvelles." Elle essuie une larme à la naissance de son oeil. Elle n'avait jusqu'à présent jamais parlé d'Henri-Charles.
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Journée au bénévolat
— with Amélia.

Tu te demandais si le dire à voix haute rendait les choses réelles ou pas, dire à quelqu’un que tu étais amoureuse de lui rendrait vraiment cela vrai parce que pour toi, ce n’était pas vraiment le cas. Tu étais juste attachée à lui, c’était surtout ça que tu te disais ou surtout attacher à son corps. Enfin, tu n’avais pas dépassé ce stade si critique dans une amitié, ce n’était pas ça à tes yeux donc, tu te demandais si le dire pour la première fois à quelqu’un rendrait cela réelle. Je suis amoureuse de Roman, c’était juste bizarre de le penser alors, tu ne préférais pas le dire. C’était comme un secret que tu gardais jalousement pour toi, personne n’avait le droit de savoir que tu étais follement amoureuse de ton colocataire, cela allait être bizarre surtout qu’il n'était pas le genre de personne à se mettre en couple enfin, tu le pensais dans tous les cas. Tu passas ta main une nouvelle fois dans tes cheveux souriant à la personne devant toi, heureusement les choses se calmèrent un peu, tu avais donc le temps de parler avec Amélia, dommage qu’elle ne venait pas, tu t’aurais bien vu sortir quelque fois avec elle pour s’amuser, pour rire ensemble puis tu entendis la jeune femme te dire que finalement, elle pouvait venir. Un grand sourire se dessina sur tes lèvres, vraiment heureuse de savoir une telle chose. « Mais c’est génial ! Ouais, c’est vraiment cool que tu viennes, je me sentais mal de te laisser seule à Boston pendant deux mois. » C’était vrai, cela t’avait fait de mal de savoir qu’elle allait rester seule même si elle devait connaitre plusieurs personnes d’autre que toi, c’était quand même triste dans le fond. Tu t’approchas d’elle en voyant qu’elle devenait sérieuse, tu te demandais si tu n’avais pas dit de bêtise et tu l’écoutas parler sans rien dire. Finalement, tu avais fait une bêtise en parlant de garçons, mais c’était tellement compliqué pour toi que voilà. Tu fermas les yeux avant de t’approcher de la jeune femme, tu entouras ses épaules de ton bras avant de la coller contre toi pour la réconforter. Tu avais tellement l’habitude de la voir sourire, rire que c’était étrange de la voir triste, tu passas ta langue sur tes lèvres sachant que cette fois-ci, c’était à toi de te confier pour lui montrer qu’elle n’était pas la seule à mal vivre des histoires avec des hommes. « Tu sais le plus important était que les sentiments étaient réciproques, tu devrais sûrement te rappeler cela pour aller de l’avant et ne plus penser comment il a mis fin à votre histoire. » Tu passas ta langue sur tes lèvres sachant que l’abandon faisait mal, tu le savais avec Lysandre. « Je suis amoureuse de mon colocataire et…je n’ose pas lui dire parce qu’il n’est pas du genre à se mettre en couple, mais je couche souvent avec lui. » Autant se taire sur l’identité du brun, tu n’avais pas envie que les personnes te regardent avec pitié.

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