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Weakness have consequences [Camille]

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Les conversations avec Camille étaient toujours compliquées, il fallait toujours faire attention à ce que Maly disait, et il prenait tout de travers quand Camille parlait. C'était compliqué, mais au final ils étaient tout les deux un peu pareille sur ce point et c'était bien le seul où il n'aurait pas fallu qu'ils soient pareilles. Mais on ne choisit jamais de qui on tombe amoureux, et fallait faire avec, même si Maly n'était pas en forme pour se disputer et ne le voulait absolument pas non plus. Espérons que ça ira pour cette fois. Et le blondinet ne répondit absolument rien sur cette histoire de lunette, il n'avait pas envie de polémiquer, et de se disputer pour un sujet aussi ridicule d'ailleurs, ils avaient tellement plus intéressant pour ça. Les coins de sa bouche se soulevèrent un peu en entendant Camille lui dire qu'il était vraiment content de le voir, même si il se demandait déjà si c'était vraiment le cas, vu leur dernière conversation. « J'avais pas vraiment besoin de ça. J'espère que j'ai rien loupé d'intéressant. » On peut pas dire que la remise de diplome soit quelque chose de passionnant pour le blond, à vrai dire ça l'aurait fait chier plus qu'autre chose. Mais il avait encore du mal à vraiment situer les jours, est-ce que ça avait déjà eut lieu? Rien que de pensées à ça, il fut prit de vertige, fichus cerveau à la ramasse. A la seconde où Maly lui dit que c'était un peu de sa faute, il regretta ses paroles. Mais quand il entendit Camille dire qu'il devait être jaloux, Maly se mit à rigoler. Certes, peu, et pas longtemps vu son état ça faisait trop de brouhahaha dans sa tête, mais le concept était à mourir de rire. Jaloux du métier de Maly. C'était une bonne blague vraiment. « Tu me le dis, si tu veux que je te haïsse. Je peux très bien le faire. » ça devait etre opaque, même Maly avait du mal à se trouver clair, il ajouta quand même. « Le seul.. que j'ai maintenant, est un Eliot. Je le hais, vraiment. Mais j'ai pas pu refuser. J'imagine que maintenant tout le monde sait, tout... » C'était à cause de ces foutus secrets de merde qu'il était dans cet état, mais bon, maintenant le passé était passé, et il ne pourrait plus rien y changé. Quand le temps sera venu, il faudrait penser à l'avenir, et ça, ça sera beaucoup moins easy. Il fit un mouvement de la mains, chassant de l'air en lui répondant simplement. « Oui, mais je n'arrive pas à savoir quel jour on est. J'oublie tout le temps. » En même temps, il avait perdu trois semaines, c'était un peu dur de passer du 21 mai, à mi-juin comme ça, son cerveau s'y refusait. Normal, il faudrait du temps pour s'y habituer. Il ne répondit pas à la question de Camille, bien trop perdu dans ses pensées, et d'ailleurs qu'il arriva à fixer une pensée, la seule chose qui sortit de sa bouche était « Tu serais allé au bal avec moi, si je te l'avais demandé? » Décidément, ce foutu bal voulait pas sortir de sa tête. C'était encore hier. Ah non, c'était il y a trois semaine! Maly! faut se mettre à la page! Et ses yeux fixait le petit brun, attendant une réponse, espérant qu'elle soit brève pour qu'il la comprenne dans son entier, sinon il allait être encore plus perdu que maintenant.

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Pourquoi tout devait être compliqué ? Camille ne pouvait s’empêcher de se le demander, dès qu’il y avait un moment de répits entre les deux, il fallait qu’un drame arrive et déclenche une dispute. Si le brun croyait au destin, il se dirait sûrement que c’était de sa faute et qu’il voulait lui faire passer un message. Qu’il fallait qu’il s’éloigne à tout prix de plus âgé et qu’il ne recherche en aucun cas son contact. Mais pour Camille, c’était impossible. Il avait besoin de lui dans sa vie et même s’il ne trouvait jamais les bons mots pour lui faire comprendre, il espérait que Maly le sache. Il se passa une main dans les cheveux alors qu’ils parlèrent de lunettes, c’était vraiment une conversation banale pour le coup mais au moins cela ne déclenchait guère de guerre et c’était plus qu’appréciable. Après ses semaines de stress où il avait du regarder un Malachy endormi en se demandant quand celui-ci allait se réveiller, il ne voulait pas perdre de temps à se quereller avec lui. Il voulait juste être là avec lui et en profiter au maximum. « Non pas vraiment, Harvard était plutôt calme.. Enfin comme d’hab’. Je n’ai pas vraiment remarqué quoi que ce soit d’intéressant. » Il faut dire que Camille en parfait étudiant sans confrérie ne se mélangeait pas réellement aux autres. Il avait un groupe d’amis et c’était suffisant pour le moment.

Le fait qu’il lui avoue sans détours que c’était de sa faute en partie causa un trou noir dans sa poitrine et il n’avait jamais trouvé aussi intéressant ses chaussures. Il s’en doutait mais il avait préféré nier l’évidence même comme pour se rassurer. La vérité était toujours douloureuse en entendre et il se tortilla quelques secondes sur le bord du lit. Il fronça néanmoins les sourcils quand il l’entendit rire. Il se moquait de lui là ? Il faut croire, comme s’il ne se sentait pas déjà mal, il fallait que le blond en rajoute une couche. Faut croire que le voir mal à l’aise devait lui procurer une certaine satisfaction même si ça lui brisait le cœur. « Non, pas envie que tu me haïsses… Même si je le mérite sans doute.. » dit-il d’une voix monotone en secouant les épaules. « Tu n’as pas à te justifier, tu es libre. La plupart le savent sans doute… Les secrets ont du mal à rester secret ici. » Par moment, il pouvait arriver qu’un secret reste cacher mais il y avait toujours des petites fouines pour jeter un coup d’œil à ce qui ne les concernaient pas. Camille ne supportait pas ça, déjà qu’il avait du mal à gérer ses propres affaires, il ne se voyait guère se préoccuper de celles des autres même si ce n’était pas son genre d’être égoïste. Loin de là.

« Ne te force pas à te souvenir, ça viendra tout seul. Faut que tu te reposes et ça ira mieux.. » dit-il avec un sourire. Il ne fallait pas être un médecin pour se douter qu’après un coma de plusieurs semaines, tout reviendrait en mémoire. Il fallait probablement un temps d’adaptation. A sa question, il le regarda avec les yeux un peu écarquillés, il ne s’y attendait pas à celle-là. Changement de sujet radical. « J’avais un cavalier déjà, tu te souviens ? » dit-il en le regardant droit dans les yeux avant de reprendre la parole. « Mais j’aurais annulé. Juste pour y aller avec toi. »


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Les accidents arrivent, mais il est vrai que Maly avait un énorme potentiel de conneries et qu'il accumulait facilement les merdes de toute évidence. Et en dépit de tout ce que le bon sens, ou même ses amis pouvaient dire, il n'avait pas envie d'abandonner Camille parce que c'était bête, mais il aimait ce petit jeune et il n'arrivait pas à lâcher prise. Pauvre petit Maly. Pauvre petit Camille aussi. Et le blondinet souriait doucement en l'écoutant lui raconter qu'il n'y avait rien de nouveau à Harvard pendant le temps où il jouait à prendre la plus grosse sieste jamais faite. « Tant mieux, j'aurais détester raté quelque chose d'important. » Maly fit un petit sourire amusé par sa propre connerie, comme si ça l'intéressait de bases. C'est juste qu'il aimait être aux nouvelles, après tout, si jamais un ami ou une amie était en trouble, c'était bon de le savoir. pour l'instant ça ne semblait pas être le cas, encore heureux parce que sinon, Maly serait retourné dans son coma illico. Maly trouvait drôle que Camille soit jaloux à cause de son travail pas forcément joyeux. Et le blond du se rendre à l'évidence que Camille ne comprenait pas vraiment ce qui le faisait rire comme ça. Il soupira doucement en l'écoutant lui dire à qu'il méritait que Maly le déteste. Camille faisait exprès de ne pas comprendre, encore que Maly avait des circonstances atténuantes de ne pas comprendre quand on lui parlait, Camille allait très bien lui, normalement.. Il soupira une nouvelle fois, allant lui choper une des mains, pour capter toute son attention. Il le regardait sérieusement avant de se mettre à lui parler, sur le même ton sérieux, qu'il détestait prendre d'ailleurs. « Ce qui me fait rire. C'est que tu es jaloux, d'un travail que je n'aime pas spécialement. Que je passe du temps, avec quelqu'un que je haïs profondément. Et arrêtes de penser ça. Ce n'était pas la joie ce bal bien avant que tu découvres quoi que ce soit. Peut être que les propos m'ont énormément blessé et que tu es la cause de mon mal-être... Mais tu n'es en rien responsable. » Il détestait garder ce ton sérieux, et il détestait dire ce genre de choses, profondes, intimes, et.. humiliante. Toute façon avec Maly tout était humiliant dès que c'était personnel. Il ajouta. « Je suis responsable. J'ai choisi cette harpie. J'ai choisi de ne pas y aller avec toi. J'ai choisi ce que je fais comme métier, par dépit, mais je l'ai choisi. Et C'est moi encore qui ai choisi de prendre de la drogue ce soir-là. Alors enlèves toi cette idée de la tête. Je n'ai aucune raison de te haïr pour quoi que ce soit. Celui que je déteste, ça reste toujours moi. Et je ne veux pas être libre. » Et le jour où il arrivera à s'aimer et bien ça sera la fiesta parce que c'est pas encore ça. En ce qui concernait ses petits secrets découverts, il ne savait pas trop comment le prendre, mais pour le moment, dire ces choses à Camille l'avait suffisamment exposé pour la journée, et c'était relou de faire des phrases même si ça semblait fluide pour le moment. Il fit un petit sourire à son Camille, il était gentil à vouloir qu'il se repose, mais.. Maly devenait fou à force de rester ici toute la journée. « Seulement si ça ne veut pas dire Dormir. Je m'ennuie comme un rat mort ici. » Et le petit blondinet commençait à s'impatienter ici, il avait envie de partir, et de rentrer chez lui... Chez lui? Il avait plus de chez lui, Harvard allait fermé pour les vacances, et tout ça lui filait le tournis à penser à tellement de choses à la fois. Au final il demanda à Camille si il serait venu au bal avec lui, si jamais Maly aurait eut les couilles de lui demander, chose qui évidement n'avait pas été le cas. Et la première réponse de Camille, ne fut pas vraiment ce à quoi il s'attendait, ce n'était ni oui, ni non à vrai dire, et Maly allait s'en contenter, rester dans le flou c'est pas si mal au final, du moins jusqu'à ce qu'il reprenne la parole. Et là pour le coup, Maly resta très silencieux, n'étant pas certain d'avoir entendu ce qu'il avait dit correctement. Et tout ce qu'il trouvait à répondre fut « D'accord.» En vrai il se disait qu'il était débile, et qu'il aurait dû le faire. Mais si il disait ça à voix haute, pas sûr que Camille aurait apprécié le côté "je suis débile" même si en ce moment ça résumait énormément son ressentit sur tout ...



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Camille ne pouvait s’empêcher si au moins une fois dans sa vie, celle-ci serait calme. Dès qu’il pensait avoir trouvé un faible équilibre, il fallait que quelque chose gâche tout. Certes, cela rendait sa vie étudiante moins ennuyeuse et il ne restait pas ainsi le nez plongé dans ses bouquins mais tout de même. Parfois, il aimerait des problèmes un peu plus souples qui n’iraient pas jusqu’à se torturer le cerveau afin de trouver une solution. Solution qui ne venait jamais étant donné qu’il restait dans le brouillard ou qu’il faisait le contraire de ce qu’il avait prévu. Mais c’était tout Camille, il faut croire qu’il avait le don pour tout gâcher. Que ce soit par ses gestes que par ses paroles, il suffisait qu’il ouvre la bouche pour que l’ambiance change. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle aujourd’hui, il prenait un instant de réflexion avant de parler, quitte à ce que ses phrases soient longues. « Après, il s’est peut-être passé quelque chose chez les Mathers mais je n’en ai pas entendu parler. Les confréries et moi.. » finit-il par dire en roulant des yeux. Il était peut-être à l’écart mais au moins, il n’avait guère de soucis de conflit entre les différentes maisons. Le jeune brun se passa une main dans les cheveux, cherchant à comprendre pourquoi il riait.

Maly lui expliqua et il se contenta de secouer les épaules. Ses paroles avaient du sens mais cela n’empêche guère celui-ci d’avoir un goût amer dans la bouche dès qu’il y pensait. « Être la cause et ne pas être responsable, j’ai quelques doutes pour le coup… Ce n’est pas spécialement de ton travail que je suis jaloux mais plus des autres personnes… Enfin, tu dois me trouver juste stupide et je n’aurais surement pas du en parler.  C’est juste que je n’aime pas savoir que d’autres mecs.. et bien tu sais quoi. Et tu as vraiment été obligé par ce mec ? Qu’est ce qui te prouvait qu’il ne dirait rien malgré ce qu’il se passait entre vous ? »  Ce sujet de conversation le rendait mal à l’aise et il y avait de quoi, c’était délicat de parler au garçon pour qui on ressentait quelque chose, des autres personnes avec qui il passait la nuit. Ou la journée au choix. Camille secoua la tête et avança sa main jusqu’à ce qu’il puisse entrelacer leurs doigts ensemble. « On fait tous des erreurs dans nos choix, on y peut rien. J’ai moi-même pris des décisions qui étaient stupides et je donnerais tout pour les changer mais c’est comme ça, on fait avec. Il faut que tu puisses t’accepter et arrêter de te haïr de la sorte. µTu peux très bien prendre un nouveau départ et oublier tout ce qui pouvait te lier à ta vie d’avant. Un nouveau Maly ! » Chacun à Harvard avait ses petits secrets et son lot de dramas alors rien ne montrait que certains étaient au courant de ceux du blond. Ils devaient surement s’occuper de leurs propres problèmes et bien de penser déjà à leurs vacances.

Le jeune brun secoua les épaules après qu’il lui ait dit qu’il fallait qu’il se repose. « Tu m’étonnes et tu n’as rien avec toi pour t’occuper ? Dis-toi que c’est bientôt fini et que tu vas pouvoir profiter de tes vacances après. » Il ne préférait même pas imaginer ce que pouvait bien ressentir Maly dans un lit d’hôpital. Certes, lui-même avait vécu la situation mais il y avait toujours du monde en sa compagnie. Principalement, sa mère qui n’avait pas quitté son chevet et qui avait utilisé une forte dose de mouchoirs à force de pleurer. Il ne pouvait pas en dire la même chose de son père, hormis rejeter la faute sur sa femme, il n’avait pas fait grand-chose. Mais cela ne servait à rien de ressasser le passé. Il se mordilla la lèvre avant de prendre la parole. « Et si moi, j’avais fait le premier pas ? Que je t’aurais demandé malgré tout, tu n’aurais pas accepté, n’est ce pas ? » Es ce que l’idée qu’il y aille avec lui, lui avait effleuré l’esprit ? Bien entendu mais Camille n’était pas idiot, il savait que le blond aurait refusé et qui sait, il l’aurait peut-être envoyé promener. « Peut-être qu’on n’aurait pas du y aller… On aurait été autre part, tous les deux et on en serait sûrement pas là aujourd’hui.. » finit-il par dire avant de laisser échapper un petit soupir.


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Les choses se compliquaient toujours entre eux principalement parce qu'ils étaient différents et ne faisaient pas les choses de la même façon. Mais c'était ce qu'il aimait le plus chez Camille qu'il soit différent de lui même si au final ça n’apportait que des disputes. Comme on dit ils n'y a disputes que si les personnes tiennent à l'autre et là c'était le cas. Et pour tenir à Camille il n'y avait aucun doute la dessus. Il lui sourit gentiment.  « Je suis pas un vrai Mather de toute façon. Pis les études sont finies alors c'est pas bien grave. » Au pire la seule Mather qui comptait pour lui avait son numéro elle savait où le trouver en cas de besoin même si elle le fera pas.  Les choses devinrent plus sérieuses et déprimantes mais Maly pouvait pas laisser Camille comme ça. Il soupira doucement. « Tu m'as pas forcé à prendre la drogue. T'es pas responsable je suis un grand garçon Cam. » il était capable de faire ses propres erreurs tout seul. Et le reste était pas plus joyeux. D'ailleurs Maly grimaçait de temps à autre. « Pas d'autres hommes. Juste celui-là. Pis ça n'a rien à voir. C'est juste un travail. Simple. S'il l’ouvrait je ne bosserait plus pour lui et vu le sex addict que c'est, c'était pas dans son intérêt.  » Pas la conversation la plus sympathique au monde avec Camille. Heureusement qu'ils passèrent à autres choses sinon Maly serait mort de honte. Il considèra les paroles de Camille avec attention même si il n'était pas vraiment d'accord avec lui sur le fond. Il ouvrit sa bouche et la referma regardant avec attention leurs doigts mêlés ensemble avant de finalement lui répondre. « Je sais. Mais tout oublier n'est pas une solution. Je l'ai fait y a 9 ans. Je verrais bien. Plus tard. » Maly avait pas très envie de se répandre en paroles ne sachant pas trop ce que l'avenir lui reserverait et il n'avait pas très envie d'y réfléchir. Pour le moment il voulait rester dans quelques choses plus leger avec Camille et moins gênant que jusqu'à présent. Il soupira doucement l'ennui dans cette chambre d'hôpital vide les trois quarts du temps.  Il lui adressa un petit sourire. « Je t'ai toi pour le moment. Les vacances c'est loin non ?  » Maly soupira les vacances allaient être difficile dans cet état et longues surtout. Espérons qu'il se remette bien.  Et Camille lui posa la même question que lui a propos du bal. Son visage s’assombrit un peu à cette question il lui répondit tristement.  « Probablement que non. Désolé. » et Maly était triste à ce fait là même si il aurait voulu y aller avec lui il lui aurait dit non très certainement. Maintenant tout changeait. Tout le monde savait et l'année était finie.  Il émit un faible sourire en entendant Camille. « C'est pas grave. Tout est bien maintenant. Ça restera une soirée mémorable… »


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Il y avait un écart entre eux, que ce soit niveau caractère que mode de vie. Camille avait beau être attiré par elle tel un aimant, il savait qu’il y aurait toujours ce fossé entre eux qui viendrait tout gâcher. Cela avait fonctionné la première fois alors qui pouvait affirmer que cela ne serait pas la même chose s’ils s’accordaient réellement une deuxième chance ? Le brun n’en savait rien et il ne voulait pas y penser pour l’instant, après tout il allait bientôt s’envoler pour Paris ce qui lui laisserait le loisir de réfléchir à la question. « Tu as bien de la chance que tes études soient terminées… merci de me faire souvenir que j’ai encore sept  ans à tenir ici.. » dit-il en laissant échapper un petit soupir avant de sourire. Il aimait bien Harvard mais il avait hâte d’en terminer avec les études pour enfin faire le métier qu’il souhaitait. Peut-être qu’il se louperait mais au moins, il ne voulait en aucun cas renoncer à son rêve. « Je ne t’ai peut-être pas forcé à en prendre mais si on ne s’était pas pris la tête avant, es ce que tu l’aurais fait ? Peut-être ouais mais quoi que tu puisses dire, je ne peux pas m’empêcher de me dire que c’est de ma faute si tu te retrouves là.. » Cette horrible boule de culpabilité revenait au galop dans le creux de son ventre et la conversation qu’ils entretenaient ne l’aidait pas réellement à se sentir mieux. « Mouais, si tu le dis.. »

Il n’avait franchement pas envie de connaître tous les détails sur la relation qu’il entretenait avec l’autre homme. Certes, il s’était calmé niveau colère mais bon, parler de ça maintenant, ce n’était pas une bonne chose. Camille voulait rester calme et ne surtout pas déclencher une énième dispute. « Toi seul peut choisir ce que tu veux faire réellement. Je te donne juste un conseil, à toi de voir si tu le suis ou pas. » Il avait juste dis sa façon de penser, après rien n’obligeait le blond à suivre cette direction. Il était assez grand pour prendre son avenir en main. Même si le leur était encore flou, le brun ne pouvait pas mettre de mots sur ce qui les liait réellement. Un sourire apparut sur ses lèvres à ses mots et il serra un peu plus sa main contre la sienne. « Elles ont déjà commencé les vacances… je devrais déjà y être mais je préfère être avec toi. » Pas pour rien qu’il avait retardé son retour à Paris. Il ne se voyait pas profiter de ses vacances en sachant que Maly était sur un lit d’hôpital. Puis, Camille préférait largement le voir réellement plutôt que de demander des nouvelles à quelqu’un… à qui d’ailleurs ? Personne était au courant, du moins de son côté. Il émit un petit sourire triste face à sa réponse même s’il s’en doutait. « Ne le sois pas, je m’en doutais de toute façon. » Le jeune brun savait qu’il ne voulait pas s’afficher, sans doute les choses auraient été différentes s’ils avaient choisi une autre option. Mais avec des si, c’était facile de s’imaginer une autre réalité. « Pas sûr que ce soit mémorable dans le bon sens.. »



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Ils étaient différents c'est un fait mais c'était plaisant justement de ne pas être le genre fusionnel toujours d'accord sur tout. Ça c'était l'ennui mortel, le meilleur remède au sentiments.  Il émit un faible sourire  « Chance pas vraiment maintenant je dois choisir quoi faire de ma vie. Toi tu le sais déjà. Et pis ça sera vite passé tu verras. » Si Camille aimait ce qu'il faisait il n'y avait aucun risque qu'il s'ennuie pas comme Maly qui regrettait encore sa majeur mais au moins il pouvait faire des choses avec ces diplômes. « Non. J'aurais probablement fait un coma éthylique  force de boire pour oublier cette soirée affligeante. Non c'est la mienne et on le sait tout les deux. »  et Cette conversation était désagréable à souhait. « on peut parler de choses moins déprimantes ?  S'il te plait. » Maly il était comme ça et puis même le tout était très peu sympathique à discuter avec son beau Camille. C'est pas qu'il se fichait de ce qu'il lui disait mais Maly ne voulait pas se prendre le chou à ce propos l'avenir était compliqué et c'était pas le moment. « Je t'ai dit plus tard. Pas maintenant. »  Et même s'il voulait être avec Camille, est ce qu'ils pourraient seulement l'être ?  Parce que la vie change et rien n'est prévu vraiment. Il soupira doucement en écoutant Camille. Les vacances avaient commencé. C'est vrai qu'il avait loupé pas mal de temps. Et à chaque fois ça le deprimait de pas réussir à replacer le temps. « C'est plaisant ce que tu dis. Mais t'aurais du partir en vacs. Je veux pas te priver de tes vacances. » De toute façon les vacances seraient un peu compliqué et forcément nulles sans Camille mais ça il n'allait pas le dire. Il soupira tristement à ce constat. « Peut être mais je suis désolé. » Pour lui pour eux. C'était déprimant et Maly le savait bien il faisait pitié comme ça son cousin lui avait dit bien plus tôt dans l'année et il s'en rendait compte dans toute son horreur.  « Seul le temps nous le dira. Mais c'est sur que y a plus agréable à se souvenir… Comme les vestiaires.. » Maly lui fit un petit sourire taquin. Non il comptait pas oublier ce passage de sitôt jamais même il tenait trop à Camille, même si il continuait d'être quelqu'un qui le repoussait par peur…

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Es ce qu’ils y avaient vraiment quelque chose qui les rassembler ? Ils semblaient à chaque fois avoir un point de vue différent ce qui pouvait expliquer les nombreuses disputes qu’ils avaient pu avoir. Et qu’il y aurait sans doute dans le futur, le calme n’était guère le maître mot de ce qui les liait. « Je suis sûr que tu vas trouver… Peut-être que oui, tu auras du mal à te décider et devra alterner entre diverses options mais tu finiras par trouver quelque chose qui te plait réellement. » dit-il avec un sourire. Chacun avait son rythme pour son avenir. Lui l’avait déjà en tête mais si jamais, rien ne se passait comme prévu, il serait plutôt mal. Il ne se voyait que dans ce domaine dans l’avenir et si celui-ci ne lui ouvrait pas sa porte, il serait bien embêté. « Je suis d’accord, changeons de sujet. Déjà que nous sommes dans un hôpital, si en plus on parle de choses déprimantes, je crois que je risque à mon tour d’y faire un stage.. » Non pas parce qu’il aurait fait une bêtise, plus par regret. Camille se sentait fautif et le nœud qui se trouvait dans son estomac lui confirmait tout ça. « Désolé, je me tais. » dit-il en se pinçant les lèvres. Bon, cela allait être difficile pour lui de ne pas parler mais il fut soulagé de voir un autre thème être abordé. Les vacances, cela faisait toujours plaisir. Camille secoua la tête à sa remarque. « Tu ne me prives de rien du tout, si j’avais envie de rester, c’est parce que je le voulais. Puis, je me voyais pas retourner à Paris sans avoir de tes nouvelles.. » Camille se mit à regarder ailleurs comme si cela le gênait d’avouer ça alors qu’il n’y avait rien de honteux à admettre cela ? Après tout, ils n’étaient plus à quelques révélations près. « Stop de t’excuser ! Cela ne sert à rien, tu es comme tu es et de toute façon, on ne peut pas revenir en arrière. » Le brun n’était pas déçu de cette réponse, peut-être parce qu’il se doutait déjà de celle-ci ? Sans doute, ils avaient suffisamment connu de disputes à ce sujet pour savoir que Maly ne changerait pas de sitôt d’avis. « Oui par exemple… C’était.. bien. » Bon, s’il était franc envers lui, c’était plus que bien mais c’était assez gênant de discuter de ça. Surtout qu’il ne savait même pas ce que cela représentait à ses yeux. D’une petite voix, il prit la parole. « Tu ne regrettes pas ce qui s’est passé là-bas ? »


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Les choses étaient... ce qu'elles étaient à vrai dire entre eux. Un seul mot pour décrire serait bien trop compliqué, comme eux à vrai dire. « Oui. Probablement.» Maly n'en savait rien, et c'était pas vraiment le moment pour se prendre le chou là dessus, il avait déjà du mal à rester dans la réalité du moment, mais c'était pas la peine d'en rajouter, sinon Camille se sentirait peut être embêté par sa réponse. « Ca serait pas pour me déplaire que tu fasse un séjour ici. » plus de Camille, plus souvent, ça serait pas mal, même si Camille avait bien d'autres choses à faire que de rester ici avec lui. Après tout, il avait sa vie. Maly n'ajouta rien, à vrai dire tout ça le dérangeait, l'avenir, les erreurs du passés, mais faudrait faire avec le blond. « D'accord... Je suis content que tu sois là.  » Même si parfois on pouvait se demander avec Maly, il était pas des plus expressifs en ce moment, à vrai dire, tout était plus dur que d'habitude, les neurones ils étaient foutus... sûrement. Peut importe si Camille était gêner de ce qu'il disait, Maly ce qui le gênait lui, c'était toute cette conversation à propos du bal, et du fait qu'il était lâche. Alors Maly qui voulait dire quelque chose, finit juste par fermer sa bouche, et ne rien ditre. toute façon à part s'excuser une nouvelle fois, il n'aurait rien de plus à dire, alors bon, il respecta ce que Camille disait, et la ferma. Et puis Maly avait ouvert la bouche pour dire une connerie, enfin ce n'était pas une connerie, il le pensait sincèrement, mais voilà que Camille semblait avoir quelques soucis avec ce qui s'était passé dans les vestiaires, du moins, sa question le perturbait un peu notre Malouche. Il le regardait un peu surprit, prenant quelques longues secondes, avant que la surprise passe de son visage, et qu'il ne réponde plus sérieusement.  « Je regrette seulement la partie de dispute, comme toujours à vrai dire. J'ai aucune envie de me disputer avec toi, jamais. Et je ne regretterais jamais ce genre de chose, avec la personne que j'aime. » Maly et le coma, c'est pas bon ménage, il dit des trucs bien trop personnelles. Mais il était sincère, et espérons que ça se voit énormément.


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Es ce qu’il y avait réellement un mot qui pouvait les décrire. Un jour, ils se disputaient et le lendemain, il se retrouvait assis sur un lit d’hôpital à le regarder quitte à retarder ses vacances. Décidément quelque chose clochait chez lui et il n’avait pas envie de savoir quoi. C’était mieux parfois de rester ignorant ou de continuer à nier l’évidence. Au moins, cela pouvait éviter les désillusions. Camille ne put s’empêcher de sourire face à ses paroles même s’il ne put retenir une grimace rien qu’à cette idée.  « Et bien merci, ravi de voir que tu veux que je reste dans un lit d’hôpital. » dit-il en souriant. Certes, cela lui permettrait de passer du temps en sa compagnie mais tout de même, cela lui ferait rappelait d’anciens souvenirs qu’il voulait oublier. Puis, il y avait bien d’autres solutions à ce genre de problème n’est ce pas ? Dans leur cas, cette option était la plus radicale. Le brun hocha la tête Il sourit de nouveau, cela faisait toujours plaisir à entendre ce genre de chose, il ne répondit rien mais se contente d’hocher al tête. Comme pour lui dire que lui aussi mais es ce que Maly allait comprendre ce langage un peu flou, c’était une autre histoire. Il faut bien avouer que tous les deux, ils avaient de sérieux soucis de communication. La moindre parole pouvait faire changer l’humeur de l’autre.

Sa curiosité avait encore frappé et il n’avait guère pu s’empêcher de lui poser la question qui lui tiraillait l’estomac. Il avait eu ce besoin de savoir, es ce que ce qu’il s’était passé entre eux était important à ses yeux ou c’était juste à cause de la folie du moment ? Sauf que la réponse le laissa stupéfait, il se mit à le regarder les yeux grands ouverts bien trop surpris pour prendre la parole. Il se contenta d’imiter le poisson pendant quelques secondes, le temps que ses neurones décident de fonctionner de nouveau correctement. « Moi non plus, je n’ai pas envie qu’on se dispute à chaque fois même si j’ai l’impression que ça arrive dès qu’on se croise. On ne peut pas s’empêcher, peut-être parce qu’on n’est pas doué avec les gens qu’on aime… Enfin dans mon cas, c’est parfois difficile de savoir le dire sans avoir la crainte de tomber de haut par la suite. »



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