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[TERMINÉ] - [-18] You're not alone. + James

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You're not alone.

Mes jambes couraient toutes seules. Je n'avais même pas besoin de réfléchir. Il était en détresse, je l'étais aussi. Mais je détestais le savoir ainsi. Je détestais le voir se briser en mille morceaux, que ce soit pour une raison ou pour une autre. La seule idée de le voir effondré en larmes me tue dans une lente et atroce souffrance. Alors je courais, fatigué, à bout de forces, je ne sais même pas comment je pouvais encore courir alors que j'étais si faible. Mais c'était l'amour qui m'animait, c'était le désir de le rendre heureux, d'apaiser ces douleurs, d'être avec lui, qui me donnait les dernières forces nécessaires pour le rejoindre. Lucky suivait, en aboyant, en jappant, tout heureux de sortir avec son maître. Il ne savait pas ce qui l'attendait, oh non. Après de longues minutes à courir à travers la ville, j'arrivais enfin devant la maison. Je m'arrêtais devant la porte, immobile, seule ma respiration essoufflée brisait le silence. Qu'est-ce que je devais faire ? Entrer ? Ou frapper ? Je ne sais pas. Mon cerveau s'essouffle à trop réfléchir, et Lucky me rappelle à l'ordre en grattant contre la porte. Je le regarde, je soupire et finis par frapper. Et en entendant sa voix me dire que c'est ouvert, je ferme les yeux en inspirant profondément et ouvre enfin la porte.. Sur un James recroquevillé sur lui-même, contre le mur.

Je lâche la laisse pour que Lucky aille lui dire bonjour. Ses yeux embués de larmes, et je reconnais cette odeur de whisky flottant dans l'air. Il a bu. Il a bu, il est saoul. Mes yeux gonflés et rougis s'écarquillent légèrement, et j'ai du mal à réaliser. Il a recommencé alors ? Je secoue la tête. Je ne le savais pas si mal, il ne m'avait rien dit. Soudainement, j'attrape ses jambes pour qu'il les étende sur le sol, et je viens m'installer à califourchon sur lui, en prenant son visage entre mes mains pour plonger son regard dans le mien. « Trésor.. » C'est ridicule, je ne sais même pas quoi dire. Je devrais lui dire que je serais là pour lui, que je resterais toujours à ses côtés, je devrais le rassurer là-dessus. Mais les paroles ne sortaient pas, et je n'avais qu'une seule envie : c'était de le lui montrer, de le lui prouver, plus que de le lui promettre. Alors je laisse mes bras l'entourer pour le serrer contre moi, tandis que mes lèvres vont chercher les siennes dans un baiser passionné et amoureux. « Je suis là. Je suis là, James. Je reste là. Avec toi, bébé. » Mes murmures entre mes baisers s'accompagnaient de douces caresses sous son haut, dans son dos, et je laissais ma langue caresser la sienne le plus tendrement du monde, animant ce baiser de tout l'amour que j'éprouvais pour lui. Il fallait qu'il comprenne, il fallait qu'il comprenne qu'il n'était plus tout seul. Que j'étais là, et que jamais je ne partirais.
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Je n'étais pas près, je n'étais sans doute pas près à accepter son regard sur moi, de cette manière. Sous l'effet de l'alcool, mes sentiments et mes émotions étaient, tous les deux, multipliés, ce qui me donnait cette sensation de répugnance. Je me dégoûtais comme jamais, je ne pouvais survivre à l'homme que j'aime, qu'il puisse me trouver ainsi, installé et sans force contre un mur, abandonné dans les bras de l'alcool. J'étais retombé tête la première dans de cercle vicieux, et bizarrement, je n'avais pas le désir, ni l'envie d'y ressortir, pas tant que tout ce merdier ne soit pas correctement remis en place. Pas tant que je serais encore, et encore seul dans cette maudite baraque qui renfermait bien trop de souvenirs douloureux. C'était trop tard, il était devant la porte. J'ajoutais dans une voix à peine audible, qu'il pouvait rentrer, que la porte était ouverte. Mes yeux, remplient de larmes, qui menaçaient de glisser le long de mes joues, à la vision de Nevada qui pénétrait dans notre maison.. Ma maison ? La nôtre ? Qu'importe. Je ne suis pas dans un état à comprendre quoique ce soit, ni à trop réfléchir. Je vois Lucky, qui lui s'agite comme un dingue auprès de moi, je ne l'ai pas vu depuis trois mois, lui aussi, et qu'est-ce qu'il y a grandi. Cela me fait autant de bien, que de mal. J'ai été absent durant le temps qu'il grandissait, et ça me faisait mal au coeur, de voir que les choses ont évolués, et que moi, au contraire. Je me trouve misérable. Totalement dépourvu de toute action bonne et censé.





Il grimpe sur moi, après avoir allongé mes jambes, je ne trouve la force de lever mes mains pour les placer sur lui, non, elles sont placées sur le sol contre mes cuisses. Il essaie de me rassurer, il essaie de me faire, comprendre et sentir sa présence à travers des gestes doux, et attentionnés, ceux qui reflétaient l'amour et la confiance, ceux qui animaient en cet instant mon coeur exténué. Mes paupières s'abaissent, et mes lèvres épousent à la perfection la forme pulpeuse de sa bouche. J'ai de la peine à contenir mes larmes, qui dévalent sans peine mes joues creusées et meurtris par les coups ramassées. Je m'efforce de garder la tête sous l'eau, alors que tout mon corps est aspiré par les ténèbres. Mes bras, par une force surhumaine, l'entourent, et je le presse contre moi, je le hume jusqu'à n'avoir que son odeur en tête. Je veux qu'il m'appartienne corps et âme, qu'il ne soit qu'à moi, pour toujours. Mais je pue, je pue l'alcool, je suis encore alcoolisé, et cette envie d'en boire de nouveau, me pend au nez. Mais pas devant lui, pas devant l'amour de ma vie. Alors, je m'efforce de le repousser gentiment, les pupilles dilatées et surtout à la limite d'être conscient. < J.. Je ne veux pas que tu voies ça.. > Je me lèvee, je mets mon poids sur mes jambes, et je me redresse. Marquant une pause, pour pouvoir me tenir au mur derrière moi, le visage durcit, les traits sombres, je fixe intensément le sol, en ravalant ce dégoût de moi-même.
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You're not alone.

Assis sur ses jambes, je ne pouvais pas le voir ainsi. Aussi mal, aussi désemparé. On aurait dit un petit garçon perdu qui ne savait plus quoi faire. Avait-il encore l'envie de sortir de cette affreuse souffrance qui s'était abattue sur nos deux êtres durant trois mois consécutifs ? Je n'en savais rien, mais je donnerais cher pour le voir de nouveau sourire, son magnifique sourire sincère et rempli d'amour, d'ambition. Ses larmes me fendaient le coeur, ces larmes que j'essuyais à chaque fois de mes pouces, avant que je ne le tienne dans mes bras, que je ne le serre contre moi comme si je voulais qu'il fasse partie de moi. Et j'anime encore et encore ce baiser qui se voulait plus amoureux et tendre que jamais, plus rassurant, je voulais seulement qu'il comprenne combien j'étais à lui, que je serais là pour lui en toutes circonstances et surtout que je ne le quitterais plus jamais. Plus jamais je ne voudrais traverser cet enfer, et plus jamais je ne voudrais qu'il le traverse aussi. Et alors qu'il me serre contre lui, le serre un peu plus fort, en laissant mes mains s'agripper à son tissu pour m'y accrocher. Je voudrais rester comme ça des heures durant, dans ses bras, à l'embrasser ainsi, contre lui. Mais il finit par me repousser et je fronce les sourcils en me retrouvant assis par terre, en le regardant sans trop comprendre.

Ses propos me font secouer la tête, et je me relève aussitôt pour me replacer en face de lui. Si je suis l'amour de sa vie, alors il doit tout partager avec moi, même ses états les plus lamentables. Car je ne suis pas là pour le juger, et même si son intention est de ne pas me faire de mal, il était hors de question que je parte maintenant, il était hors de question que je le laisse dans cet état. Oh non, je n'allais pas le laisser, c'était plutôt le contraire, et s'il m'avait supplié la veille pour que je revienne, je n'allais tellement pas le lâcher qu'il allait peut-être regretter. « Eh bien moi je veux te voir dans tous tes états. Je veux pas seulement être là pour le bon. J'veux aussi faire partie du mauvais, te soutenir complètement, prendre soin de toi, et te ramener à ton si beau sourire. J'veux pas que tu m'caches quand t'es mal, parce qu'un couple, c'est pas ça, c'est pas que du plaisir, c'est pas que du bon. Et si t'es mal, peu importe le temps que ça prendra, mais je resterais là avec toi. » Plongeant mon regard dans le sien, je prends ses deux mains pour les caresser de mes pouces. Je veux qu'il sente que je ne partirais pas. « Nous sommes ensemble. On pourrait traverser des tornades, il pourrait y avoir des ouragans, tout pourrait être détruit, moi je serais là. Et si tu penses que tu es seul, tu n'auras qu'à dire mon nom pour que je te montre combien tu ne l'es pas. »
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J'étais paralysé, paralysé par cette peur qui m'envahissait. J'étais différent. Sous l'influence de l'alcool. Je me retrouvais dans les yeux de Nevada. Voyant mon propre reflet. C'est à ça que je ressemble ? Un monstre, un idiot. Je baisse la tête en direction de mes pieds nus, et j'ai du mal à écouter, j'ai du mal à identifier des paroles, tant mon esprit est brouillé par des pensées des plus sombres. Mes paupières s'abaissent.. Je laisse cette douleur s'extraire de mon corps, en faisant une pause, qui certainement.. N'irait pas durer. Quelque chose clochait en moi, et je ne trouvais pas, je ne savais pas pourquoi j'étais ainsi. Mais, je trouvais le courage, de faire face à cet homme qui est venu depuis chez lui, pour me soutenir. Cet homme qui m'aime avec un amour si puissant. Un amour que je ne comprends d'ailleurs pas. Mes lèvres sont sèches, ma gorge me pique affreusement. Je m'avance vers lui, de mes mains tremblantes, je les déplace jusqu'à ces hanches que j'empoigne sous une force maîtrisé. Je le plaque sans ménagement contre le mur où j'étais précédemment adossé, je l'oblige d'un regard à ne pas me provoquer à ne pas bouger. Je le fixe, je l'observe, je le scrute dans un silence où seuls les sifflements de nos souffles peuvent être entendus. Je suis à quelques centimètres de son visage, et je peux, de cette manière.. Passer le bout de mon index sur les traits de son visage. Qu'il est beau. Il me semble si fragile, si blessé, que mon regard en devient brillant, que mes pupilles virent dans une lueur sombre et triste. Mon doigt, s'arrête sous sa lèvre inférieure, que je dessine délicatement en dévalant sa gorge pour titiller sa pomme d'Adam. Tout en douceur, et sans aucun mot. J'épouse fièrement ses lèvres des miennes, j'anime aussitôt ce baiser en poussant la barrière de sa bouche, pour que ma muqueuse parcoure son intérieur. Je le pousse contre moi, je pousse cet homme contre mon étreinte en le faisant comprendre à quel point je suis dépends de lui, à quel point j'ai peur de le perdre une dernière fois. Je suis.. Pétrifié à cette idée.

J'enclenche un automatisme, et sans doute soumis à idées noirs. Je le tiens. Je le tiens si fort, que j'ai peur de le briser sous mes mains. Mes lèvres cherchent désespérément les siennes, mon souffle se brusque au sien, et je lui donne tout. Je lui donne ma tristesse, je lui donne ma confiance. Qu'il en fasse qu'il voudra. Je ne suis plus maître de moi-même. Je suis tordu de blessures, abîmé de souffrance. Je m'échappe de ses bras. Je m'échoue à genoux, face à cette personne. Je ne veux pas être la cause de cette tristesse, je ne veux pas qu'il soit aussi fragile que ça, à cause de moi. Et pourtant, je ne peux le voir partir, parce qu'il est à moi, il m'appartient corps et âme. Et ciel, ciel.. Je ferai tout pour qu'il reste à mes côtés, qu'il ne pense jamais à partir. Alors, mes mains entourent ses chevilles, et mon corps se penche. Mon front cogne ces jambes. Ma mâchoire est contractée, et ma vue broyée par les larmes. Je suis à lui, je suis à lui.
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Je ne supportais pas de le voir dans cet état, à moitié là, à moitié absent. Non, je détestais de le voir ainsi, mais comme je venais de le dire, il fallait que je sois là, même dans ses pires moments. Comme lui serait là dans mes pires moments. C'était ça l'amour, pour le meilleur et pour le pire. Et alors que je lui lâchais quelques mots, dans un souffle, mais aussi dans une voix très assurée, oui, j'étais sûr de moi et je voulais qu'il le voit. Mais il m'attrape subitement par les hanches, et me plaque contre le mur. Je ne peux retenir un gémissement, mon regard toujours planté dans le sien. Je ne bouge pas, je ne bouge pas d'un centimètre, et même ma respiration se fait beaucoup plus discrète. C'était mon James, ça. Mon amour à moi. Et tout mon corps frissonne alors que je fonds d'amour pour lui. Et son toucher m'électrise. Dans mon regard s'allume une lueur mêlant amour et désir, tendresse et passion, un mélange explosif, jusqu'à ce que je vois le sien devenir triste. Mes sourcils se froncent et mes mains remontent le long de ses bras, jusqu'à ses épaules, puis son cou. Non, non, je ne voulais pas qu'il se sente triste. S'il savait combien je me sentais bien dans chacune de ses étreintes. S'il savait combien je me sentais pousser des ailes à chaque fois qu'il posait un doigt sur moi. Mes yeux se ferment à moitié lorsqu'il titille mon cou, et je le tends en arrière pour lui laisser la liberté de me titiller autant qu'il le voulait. Et lorsque ses lèvres se plaquent contre les miennes, une explosion de sensation éclate dans mon ventre et je dois m'accrocher à lui pour ne pas perdre pied. Une main dans ses cheveux, l'autre dans son dos, ma langue explore sa bouche, le moindre recoin, elle lui signifie en quelques caresses tendres et passionnées à quel point je l'aime, à quel point je suis sien.

Et soudain, il glisse entre mes doigts. Il s'effondre à mes pieds, et mes yeux s'écarquillent. Mes mains restent suspendues dans l'air, comme si je tentais encore de rattraper quelques uns de ses morceaux. Il était en train d'éclater en sanglots, de s'éparpiller à même le sol, sous mes yeux. Une colère noire m'envahit, non pas contre lui, mais contre moi-même. Je meurs de ne pas être capable de le rendre heureux. Je meurs de le voir ainsi dans la souffrance, j'ai tellement mal de le voir ainsi. Alors, je glisse moi aussi à genoux devant lui. Je prends de nouveau son visage entre mes mains, et sans rien lui dire, je l'embrasse de nouveau. Durement, comme si je cherchais à tout prix à le réparer avec ce baiser seul. Ca ne fonctionnera pas, je le sais, mais je ne peux pas le laisser comme ça, et c'est la seule chose qui me vient, là, de suite. L'embrasser comme si ma vie en dépendait. Lui dire combien je l'aime à travers des mots doux murmurés aux coins de ses lèvres. Lui avouer ma dépendance, que je suis fou de lui, que je lui appartiens, que je remuerais ciel et terre pour lui. Que je lui donnerais tout, même ma propre vie, pour le sauver. Et je le lui dis. Je le lui dis à travers des paroles murmurées où se dévoilent tout mon amour.
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J'arrête de pleurer, je cesse de me morfondre. Je le sens se poser face à moi, à genoux. Mes yeux sont ouverts, et je ne sais par quelle force, il peut encore avoir. Il vient sceller nos lèvres ensemble, d'une violence, qu'un moment, nos dents se cognent. Je me sens affolé, et bordel, que j'aime ça. J'ai l'impression de me retrouver petit à petit, de ressentir à nouveau ne serait qu'un bout du paradis. Ce paradis qui m'avait tant lâché durant trois misérables mois. Mes mains se posent sur le creux de ses hanches, j'anime. J'anime sans relâche ma bouche contre la sienne, je mord à plein coeur sa lippe inférieure jusqu'à sentir le goût métallique envahir ma bouche. Je quémande sa personne plus que jamais je ne l'aurais voulu. Ce n'est pas qu'un désir de sexe, mais c'est également cette affection qu'il m'avait interdit durant notre séparation. Alors, sans ménagement, je quitte cette étreinte, mes mains passent dans ses cheveux que je maintiens férocement entre mes doigts. Je tire son visage pour que nos fronts soient adossés. Et je le fixe, je le fixe d'un amour brûlant et grandissant, d'un désir charnel, pour qui je me damnerai les yeux fermés. Mes lèvres s'étirent, pour former un sourire inespéré, depuis bien longtemps, ce sourire n'avait plus apparu. Je me tais, durant un laps de temps, le temps qu'il faut pour que j'admire le contour de son faciès, et les traits gracieusement dessinés par le temps. < Reviens, reviens à la maison. > Je ne veux plus vendre cette baraque, même si il est vrai, que de vivre ici, me fais encore mal, je suis et je reste persuadé qu'au moment où il reviendrait, tout cela ne sera que passé, que le malheur et la douleur se seront enfuient à grandes enjambées. La seule idée de traverser encore le couloir seul, me démoralise, et je ne veux plus faire face à cette solitude qui me ronge, et à ce reflet dans le miroir qui me dégoûte.

Je l'aide, tant bien que mal, à se redresser, à nous relever pour que nous soyons à la même hauteur. Je ne dévie pas mon regard, je suis bien trop occupé à lire dans ses prunelles assombries par la lumière atténué. Mon pouce, passe le volume de sa lèvre inférieure, divinement déchirée par mes soins. Je l'aime, je l'aime tellement que je pourrai faire tout, absolument tout pour cet homme. Il m'a changé, il me fait être un homme bon, un homme digne de lui. Ma muqueuse passe en travers de mes chaires, alors que Lucky vient à notre rencontre, comme s'il avait sentis quelque chose, comme s'il s'apprêtait lui-même à fêter un événement nouveau. En me reculant, pour ne pas paraître trop lourd, et inversement, pas trop. Pour ne pas être éloigné de l'homme de mes envies, de mon amour. Je joins ma main à la sienne, nos doigts s'entremêlent et je caresse tendrement le dos de sa phalange en imaginant plusieurs formes invisibles à l'oeil. < Tu veux boire ? J'ai du vin, on pourrait boire un verre. > Un verre, je ne sais pas si c'est une bonne chose. Et à cette idée, je me braque. < Tu veux revoir la maison, plutôt.. ? Elle n'a pas beaucoup changée. Mais, peut-être que ça te ferai plaisir de revoir les pièces, qui sont.. En désordre. > Je ris, je souris. Je lève les yeux au ciel, en sachant pertinemment qui se trouvait face à moi, à maniaque du rangement, et ciel, que j'aimais cela.
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J'étais heureux à nouveau. Je pouvais enfin respirer, ce sourire qu'il m'offrait enfin me donnait des ailes, et m'arrachait le sourire le plus heureux que j'ai pu faire durant ces trois derniers mois. Je le retrouvais enfin, mon amour à moi, mon bel ange, mon tendre trésor, mon homme à moi et rien qu'à moi. Mon front contre le sien, je revois cette lueur dans son regard que j'aimais tant. Bordel qu'il m'avait manqué. Qu'il m'avait manqué ce regard, et ce sourire. Ce magnifique sourire que j'attendais depuis si longtemps. Qui me réchauffait le coeur et qui me donnait envie de me battre, de vivre. Et j'allais le faire, j'allais me battre et vivre auprès de l'homme le plus merveilleux que je connaisse et qui était mien. Dieu que je l'aimais, j'étais prêt à tout pour lui. Alors lorsqu'il me demande de revenir, que pourrais-je lui répondre d'autre qu'une réponse positive ? Sans attendre, les doigts accrochés à ses tissus, encore secoué par ce baiser violent et rempli d'amour, je hoche la tête en arborant un large sourire heureux. « Oui mon amour. Je vais revenir près de toi. Je vais revenir, à la maison. Chez nous. » Que j'étais comblé à cette idée, de revenir ici, de me rendormir à ses côtés le soir, apaisé. J'avais tellement hâte de vivre de nouveau avec lui. Quel bonheur, je respirais le bonheur. C'était lui, mon bonheur. Mon futur, mon avenir, je le voulais avec lui et personne d'autre.

Je me relève avec son aide, sans quitter ses yeux, et frissonne en sentant son pouce sur ma lèvre précédemment déchirée par son amour. J'aimais quand il faisait ça, quand il m'embrassait jusqu'au sang, et qu'il caressait mes lèvres comme pour se faire pardonner. Mon sourire ne me quitte plus désormais, j'étais avec lui, je l'avais retrouvé, et Lucky l'avait bien senti. Un léger rire m'échappe d'ailleurs en le sentant venir vers nous en jappant tout heureux. C'était ma petite famille et j'en étais extrêmement fier. Je serre ses doigts, et je ne le quitte plus du regard. Je ne le quitte plus tout court, il m'avait tant manqué, je voulais absolument rattrapé le temps perdu. Il me propose un verre que je refuse en secouant la tête, avant de froncer les sourcils et de plisser les yeux. Du bordel ici. Mais à son rire et son sourire, je ne peux m'empêcher de sourire en coin malgré ce froncement de sourcils. « Fais moi voir tout ça, avant que je devienne dingue. Mh.. » A l'idée de voir les pièces en désordre, je me disais bien que j'allais courir partout pour tout ranger. Je n'y peux rien, c'est en moi, je déteste ça. « Je vais te montrer qu'on n'a pas besoin d'une femme de ménage ! » Dis-je alors sur le ton de la plaisanterie, en rajoutant quelques mots. « Sauf pour la cuisine. »
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Baby, I just wanna get you out them clothes..

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