Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMatthaël ► But this fear I built inside - Page 2
Le Deal du moment : -43%
-100€ Pack rééquipement Philips Hue ...
Voir le deal
129.99 €


Matthaël ► But this fear I built inside

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
But this fear I built inside
Je sursaute, quand il lève la voix et qu'il me saisit les poignets, je le regarde surpris, interdit même ne m'attendant pas du tout à le voir réagir comme cela et ça me surprend clairement, me foutant un putain de blanc dans le crâne, ce qui n'est pas plus mal, même si ça ne dure qu'un trentième de secondes. pas assez longtemps pour réussir à bien raisonné quoi... Je me retrouve alors à lui faire face, les deux mains retenues par les siennes alors qu'il ne se prive pas pour les tenir avec une certaine force que je ne pensais pas qu'il avait. Je le fixe, le dévisage alors qu'il me crache ses paroles aux visages. Je me redresse alors, arrêtant de jouer les avachit et je cherche à le faire lâcher prise sur mes poignets. "Non ! Non ! J'ai pas fait ça ! Comment j'aurais pu !" Lui hurlais-je limite dessus, n'en ayant rien à faire de me donner ainsi en spectacle dans le Lord Hobo, pas sur que le gérant apprécie que l'on foute le bordel à chaque fois que l'on vient tout les deux. Je continue alors de me débattre pour le faire lâcher prise sur mes mains. "Lâche moi ! Me touche pas !" Pestiferais-je alors comme s'il allait risquer quelque chose à me tenir ou simplement me toucher, comme si j'allais lui transmettre une malade incurrable, comme si j'avais la peste ou tout autre infection mortelle. Je le repousse alors, cherchant à le faire s'écarter de moi. "Tu comprends pas quoi Oli ! J'ai rien fait ! J'ai rien fait pour la sauver ! J'aurais dû être là, j'aurais du être à sa place dans cette bagnole ! C'est ma faute !" C'est limite, si à cet instant précis je n'aurais pas voulu être à la place de Lottie, être moi mort et elle, toujours en vie.aurait-elle eu cette culpabilité également ? Aurait-elle également sombrer ? Non sûrement pas, parce qu'elle est plus forte que ça. Parce qu'elle, elle aurait aussi été dans cette voiture et qu'elle s'en serait sortit, si j'avais été là comme j'aurais dû l'être.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
   
But this fear I built inside

× Matthaël ×
Il sursaute lorsque j'élève la voix et ma prise sur ses poignets semble le figer. Mes paroles n'ont rien de tendre alors que je le provoque, mais j'ai la satisfaction de le voir se redresser pour me faire face. Retrouver une partie de lui, sa fierté alors qu'il se fait attaquer. Je me sais sur la bonne voie. Malheureusement, j'ai encore besoin de faire des dommages pour l'aider. Je dois briser la carapace d'accusations qu'il se forge lui-même. Il finit par hurler que non, il n'a jamais fait ce dont je l'accuse faussement.  

- Alors arrête de dire que c'est de ta faute! Arguais-je.

Je me fous de rameuter le bar. Mon attention n'appartient qu'à lui. Me donner en spectacle, je m'en contrefou, je veux qu'il craque, je veux l'aider. Et si pour ça je dois me faire bannir de l'endroit, soit, c'est rien.

- Lâche moi ! Me touche pas !

Il se débat pour que je le laisse et pourtant, je ne fais qu'assurer ma prise. Je ne veux pas lui faire mal, mais alors qu'il tente de me repousse, je m'accroche. Évacues, continue de me crier dessus, de me pousser! Laisse passer la colère, si tu gardes tout ça, ça va te détruire Jay. S'il-te-plaît laisse-moi t'atteindre pour te consoler.

- Tu comprends pas quoi Oli ! J'ai rien fait ! J'ai rien fait pour la sauver ! J'aurais dû être là, j'aurais du être à sa place dans cette bagnole ! C'est ma faute !
- Non, justement je te lâcherai pas, tu m'entends? Répliquais-je sur le même ton, tout aussi fort que lui. Il n'est pas question que je te laisse sombrer, que je te laisse t'enfermer dans une tour d'ébène, t'enchaîner toi-même avec tes pensées et t'accabler de tous les maux de la terre! Si moi je comprends rien, alors toi, t'es le mec le plus borné de la planète! Tu ne pouvais pas être là, vous ne vous entendiez pas, vous aviez convenu que vous vous retrouviez au bal : TU. NE. POUVAIS. PAS. SAVOIR. Mais si tu tiens tellement à équilibrer les choses, va! Trouve-toi un pont et saute en bas! C'est ça que tu veux? Ça va être mieux peut-être? Vous serez deux disparus, y'aura encore plus de personnes blessées et accablées par le deuil, mais vas-y, te gêne pas! Vas te lancer en bas, mais je te garanti que je te suis!

C'est la pire des provocations. Je me trouve cruel. Détestes-moi s'il le faut, mais je ne te lâcherai pas! Ça prendra du temps, mais je t'aiderai à remonter la pente.
code by lizzou ×  × gifs by google
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
But this fear I built inside
Arrêter de le dire... Ça je peux le faire facilement, c'est le pensé qui va être bien plus compliqué, est-ce qu'il s'en rend bien compte ? Probablement, parce que je ne risque pas de m'en sortir facilement de cette histoire, je vais encore souffrir un moment, je n'ai pas réellement intérêt à me retrouver seul au risque de sombrer encore plus.
je me redresse donc lui hurlant un flot de paroles complètement con, mais sous l'émotion, sous la douleur, la culpabilité, etc. je ne le réalise pas, je suis incapable de réfléchir. Alors je parle comme je pense, bien que ça reste quand même assez compréhensible vu qu'il me répond, me hurle à son tour dessus, continuant de s'accrocher à moi comme une putain de sangsue. Une sangsue que je n'ai pas envie de me voir me tourner le dos, de me lâcher comme je viens de lui dire, sauf que je suis à bout et ça retombe encore une fois sur lui, comme au bal, quand on s'est finalement retrouvé tout les deux à la table après l'altercation avec Annalynne et Clay. Sauf que maintenant, c'est pire, parce que je suis incapable de rester calme, je ne raisonne plus...

"Je veux pas ça ! Je veux pas Matthy." Si mon premier je ne veux pas ça était crié, le second perdait en intonation alors que je me courbais en avant forcant sur sa prise pour venir saisir sa blouse et m'agripper à lui, parce qu'il avait touché un point qui fait mal, une peur qu'il sait parfaitement que j'ai... Le perdre. Alors je m'agrippe à lui, mes doigts fermement agrippé à sa bouse pour l'empêché de reculer, pour l'empêcher de partir également, parce que je ne veux pas qu'il me laisse, qu'il me menace encore...Je ne veux pas tout ça, je n'ai pas envie de le perdre aussi, alors je m'agrippe à lui en me courbant vers l'avant, posant le sommet de ma tête contre son torse alors que je suis secouer de sanglots, laissant enfin les larmes que j'ai trop longtemps retenues sortir. "Je veux pas..." Continuais-je alors de répéter, ayant peur de le voir aussi disparaître, comme s'il allait réellement mettre en place la menace qu'il vient de dire sans même que moi, je passe à l'acte avant... Je suis misérable, vraiment...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
   
But this fear I built inside

× Matthaël ×
Il hurle à nouveau. Ce n'est pas ce qu'il veut. Son second cri perd en intensité alors qu'il se répête et soudainement de "Oliver", je suis redevenu "Matthy". Enfin, je l'atteinds à nouveau. Lorsqu'il force pour me faire lâcher ma prise à ses poignets, cette fois j'ouvre simplement les paumes, le laissant venir s'appuyer sur moi et s'agripper à ma chemise. Je me sens mal de le voir ainsi courber l'échine, de savoir que mes mots l'ont fait ployer, même et surtout que je n'en penses pas la moitié. J'ai fais exprès de le provoquer, de le pousser à bout et de le faire faillir. Sa tête contre mon torse, il a atteint le point que je voulais, même si ça me fait mal de le voir ainsi. Ses épaules secouées de sanglots, la carapace à explosée d'un coup. Je passe mes bras autour de lui, doucement pour ne pas le brusquer et le ramène un peu plus près, resserrant mon étreinte.

- Je sais Saël. Je suis là, murmurais-je.

Je sais que j'ai été jouer sur des cordes sensibles, depuis le début ou presque, il me l'a dit. Il m'a partager cette crainte de me voir partir, de me voir lui tourner le dos. Alors que depuis ce weekend hors du temps, je m'accroche à lui sans être capable de m'en éloigner. Je lui ai promis de ne pas le laisser tomber, même s'il ne me choisissait pas, et maintenant qu'on est ensemble, je n'ai en aucun cas l'intention de renier cette promesse. Le chemin sera long, mais je l'aiderai.  

Voyant un mouvement au côté de mon champ de vision, je resserre instinctivement mes bras autour du blond accroché à moi, avant de tourné la tête. C'est le barman. Il vient pour ouvrir la bouche, mais avisant le regard de mort que je lui lance, il se tait et rebrousse chemin. Bonne idée avant que tu ne passes pour celui qui à eu l'éclair de génie de vendre la bouteille de rhum à Jaysaël. Appuyant ma tête contre celle de mon copain, je lui frotte tendrement le dos, pour le rassurer, lui montrer qu'il n'est pas seul et pour lui permettre de se laisser aller autant qu'il en aura besoin.
code by lizzou ×  × gifs by google
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
But this fear I built inside
Toucher le point sensible, cet endroit qui est le plus douloureux... Voilà ce qu'il vient de faire avec ses mots... Me faire peur d'avantage, comme si la possibilité que CS n'a fait que me confirmé n'était pas déjà assez présente... Le perdre à cause de mes conneries, c'est ça dont j'ai peur, parce que je doute de tout, de lui, de moi... Depuis janvier, c'est réellement l'enfer pour moi, pour la confiance que j'avais en moi. Je ne suis plus que l'ombre de moi-même dans un sens, et je pense que beaucoup de gens peuvent dire que j'ai changé au cours de ses six derniers mois... Et ce n'est pas uniquement une question d'orientation sexuelle...

M'agrippant au Lowell avec désespoir, parce que j'ai peur de le voir réellement partir, de le voir me laisser, même si la façon dont il avait tourné ses propos montrait plus que c'était moi qui allait l'abandonné et qu'il allait me suivre, sauf que je n'étais pas capable de raisonné sur cela, non, tout ce que j'avais retenu était la fin, qu'il allait disparaître par ma faute aussi, c'était ça l'idée... Alors, je m'agrippe, répétant plusieurs fois que je ne veux pas ça, que je ne veux pas sa mort, ni même qu'il me laisse. J'ai l'air d'une pucelle qui pleure après son premier amour qui a décidé de se casser avec une autre. Je fais pitié. Je me fais pitié, quand je repenserais à cela dans le futur, j'aurais honte, honte de m'être ainsi donné en spectacle, mais là, je suis bien incapable de penser à ça, aux regards des autres, il n'y a que celui du blond à côté de moi et le mien qui compte. Je ne remarque même pas l'approche du gars qu'Oliver fait s'éloigné d'un regard, non... Tête baissée, je reste prostré dans la même position à pleurer, à laisser mes larmes s'écoulent, à cause de la mort de Lottie, de ses sentiments que j'éprouve de tout et de rien, je craque juste pour de bon et il a finalement été le déclencheur à la place de l'alcool.

La main d'Oliver dans mon dos, sa tête sur la mienne, ces simples contacts me font du bien, parce qu'il reste là, alors petit à petit, je me calme, les sanglots se faisant plus rare, les larmes finissant par cesser de couler le long de mes joues. Cependant, il me faut encore un petit temps pour relâcher ma prise sur sa chemise et encore plus de temps pour finalement bouger, me reculant ainsi un petit peu après de très longues minutes à pleurer contre lui. Me redressant donc, les yeux rougis, je frotte doucement ceux-ci avec le revers de mes manches pour tenté de faire disparaître les traces de mes larmes. Gardant la tête baissée, m'adossant contre le dossier de la banquette, je fixe maintenant mes mains jointes sur mes cuisses, les malaxant légèrement, une certaine nervosité toujours présente.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
   
But this fear I built inside

× Matthaël ×
Je l'ai atteint. J'ai brisé la carapace d'accusations qu'il se créait tout seul, mais lorsque je le vois courber l'échine, je m'en mords l'intérieur de la joue. Je l'ai atteint, mais j'ai dû le blesser pour y arriver, tourner les couteaux dans les trop nombreuses plaies et je me sens mal pour ça. Lorsqu'il s'appuie sur moi et empoigne ma chemise, je le laisse faire, l'accueillant doucement pour tenter de panser les blessures. Je ne voulais pas qu'il s'emmure dans le silence et la culpabilité, j'en suis devenu provocant et cruel. Il est temps de me faire pardonner. Tendrement, je le prends dans mes bras, lui frictionnant le dos, appuyant mon menton sur sa tête, me voulant protecteur.  
 
On reste un moment ainsi, laissant s'écouler le temps au même rythme que les larmes. Puis, peu à peu, ses sanglots se calment, ses épaules ne tressaillent plus. Il ne relâche pas sa prise pour autant, tout de suite, et je ne le force pas non plus. Le gardant près de moi, essayant de lui transmettre encore un peu de chaleur humaine, continuant mes caresses. Je n'ai rien d'autre qui me vient à l'esprit pour le réconforter présentement.  
 
Lorsque finalement il bouge et se redresse, je le laisse faire. Il a les yeux rouges, les joues humides de larmes bien qu'il les essuie et les yeux encore brillants parce que pleins d'eau. Adossé, il garde la tête baissée et je le vois partir à nouveau dans la bulle, se perdre dans ses pensées. Et avant que je ne sois plus capable de l'atteindre à nouveau, je glisse ma main sur les siennes qu'il triture.  
 
- Qu'est-ce qu'il y a? Demandais-je doucement.  
 
Je sais qu'il a quelque chose qui le chiffonne, l'ennui c'est que je ne sais pas quoi. À le voir se malaxer les mains ainsi, il y a une pensée qui le torture encore. Peut-être ses mots que j'ai dit et que je ne pensais pas, ses pointes lancées pour le provoquer... Je peux lui expliquer, mais si ce n'est pas et que je lui dis que je ne pensais pas ce que je lui ai débité, j'ai peur qu'il s'enferme à nouveau sur lui-même. Alors j'attends. J'attends qu'il me donne une réponse pour voir ce que je peux lui dire ou non, m'excuser de l'avoir blessé volontairement.
code by lizzou ×  × gifs by google
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
But this fear I built inside
De nouveau assis, écarté de lui, parce que j'essaie de reprendre une certaine contenance après avoir pleuré comme une madeleinse, je suis réellement mal à l'aise après avoir pleurer de la sorte, m'être montré si faible devant lui. Que doit-il penser de moi maintenant ? J'aurais aimé ne pas craquer comme cela devant lui, ne jamais me retrouver aussi minable... Maintenant, j'ai peur, peur qu'il décide de me laisser parce que j'aurais détruit l'image qu'il pouvait avoir de moi, que je ne suis pas aussi bien, pas assez bien pour lui, parce que CS à raison, il trouvera tout de suite mieux ailleurs, il sera mieux avec un autre gars plutôt qu'avec moi...

Continuant de malmené mes doigts, les triturant dans tout les sens alors que finalement, il pose sa main sur moi, m'arrachant un petit sursaut alors que je ne m'attendais pas à un tel geste de sa part maintenant, alors que je me persuade tout seul qu'il va me laisser, parce que c'est ce qu'il a clairement dit dans ses paroles, en parlant de ce suicider, n'ayant retenu que ce point-là et pas le reste qui venait avant... Parce que si c'était le cas, alors, j'aurais compris qu'il ne comptait aucunement me lâcher.

Sa voix parvient alors à mes oreilles et je me fige un instant, alors qu'il me demande des explications... Je relève la tête un instant pour poser mon regard sur lui ouvrant la bouche pour parler avant de finalement la refermer sans rien dire et reprendre la même position qu'avant. Qu'est-ce que je pourrais dire hein ? Que j'ai peur qu'il me laisse aussi, que je me sens minable ? Continue dans mes pensées défaitistes qui n'auront qu'au final le seul effet que de le repousser, de le faire fuir ? Alors, je ne préfère pas, je préfère me taire, lui laissant juste entendre un soupire... Lasse.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
   
But this fear I built inside

× Matthaël ×
Il s'emmure à nouveau dans son silence et je m'en mords l'intérieur de la joue pour ne pas soupirer. Un pas devant, deux pas derrière. C'est frustrant, mais je sais que ce sera ainsi pendant encore un moment, alors je me force au calme. Prenant sur moi, car je sais qu'il a besoin d'aide et que je veux être là pour la lui fournir. Je veux l'aider à se relever, même si ça prend un mois, un an... n'importe. Je suis incapable de me détacher de lui, de me détourner lorsqu'il n'est pas blessé, alors ma volonté n'ira pas dans ce sens lorsqu'il plonge vers le bas de la pente. Je veux l'aider, je veux retrouver mon Jaysaël, mon blond. Celui dont je tombe amoureux, même si je suis encore incapable de l'affirmer haut et fort. Même si je suis incapable d'aligner ses trois mots pour lui dire de vive voix, ça devient assez clair dans ma tête que c'est ce qui se produit.

Alors qu'il se malaxe les doigts, s'éloignant encore une fois dans ses pensées, je glisse ma main sur les siennes, avant qu'il ne parte trop loin et que je ne sois plus capable d'aller le repêcher. Il sursaute à mon contact, tandis que je lui demande ce qui ne va pas. J'aimerais qu'il me le dise, parce que dans son état, je suis incapable de suivre le fil décousu de son jugement et je suis largué pour essayer de le rassurer. Il relève la tête et semble vouloir m'expliquer, mais au final aucun son ne sort et il revient à sa position. Je l'observe un moment, espérant qu'il tentera une nouvelle fois, mais non, il soupire plutôt, semblant lasse. Si c'est de ma présence et de mon insistance à le faire s'exprimer, il est mieux de s'accrocher, je n'ai pas fini!

Je ne veux pas te blesser à nouveau pour te provoquer. Une fois c'est assez. C'est même trop. Alors je m'approche simplement, me soulevant un peu de ma position pour passer son épaule et déposer un baiser sur sa joue, avant de me rasseoir. Débattant avec l'idée quelques secondes, j'appuie ma tête sur lui, ma main caressant les siennes jointes, l'autre s'appuyant doucement à sa taille. J'attendrai. Je patienterai jusqu'à ce qu'il veuille à nouveau communiquer. Du moins, c'est mon plan pour le moment.
code by lizzou ×  × gifs by google
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
But this fear I built inside
Je me terre dans le silence, pour ne pas lui dire tout ce que je pense, ces peurs qui me vrille l'esprit pour le moment, qui m'assaillent sans crier garde et qui me torture dans un sens, me faisant redouté qu'il me laisse à cause de ce que je suis, comme le soit du bal quand je lui ai demandé s'il me considérait comme un nuisible à cause de ses deux amis qui ne peuvent pas réellement me cadré à cause de la parano de la femme... Je continue de triturer mes doigts, pour tenter de me calmer, cherchant à me concentrer sur ses gestes pour calmer mes pensées, pour tenter de les faire taire même, mais c'est un acte vain, parce que je continue de réfléchir, d'analyser tout et je me rends bien compte que d'être là comme ça, sans rien lui dire, me refermer dans ma coquille ne va pas aider à calmer ma peur, parce qu'il va partir, il va me laisser au final, parce que je n'aurais pas répondu à ses attentes... Je ferme un peu les yeux, haussant les épaules.

Je suis alors surpris quand ses lèvres rencontres ma joue et je relève vivement la tête, est-ce que ça veut dire qu'il me dit au revoir et qu'il va partir ? J'ai peur, je le supplie du regard de rester, sans dire un mot, continuant de paniquer, d'être tout simplement incapable de parler de peur de le voir vraiment partir alors qu'au final, il ne fait que se coller contre moi pour me prendre dans ses bras... Je me détends un peu, décontractant mes muscles, réalisant alors à quel point j'étais tendu depuis quelque minutes... Je déglutis un peu "...se pas." Murmurais-je alors... Sauf que je me rends bien compte moi-même qu'il ne doit pas avoir entendu ce que je voulais dire, alors je le redis, chercher à le dire un peu plus fort. "Ne me laisse pas..." Une supplication, un appel à l'aide, au réconfort...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
   
But this fear I built inside

× Matthaël ×
Alors qu'il se terre à nouveau dans son silence, je décide cette fois de le laisser faire. Je l'ai assez blessé et j'ai l'impression que si je le force toujours à parler, ma présence ne lui deviendra qu'insupportable et qu'il ne pensera pas à venir me voir s'il lui faut quelqu'un. Ce n'est pas ce que je veux. Au contraire, s'il a besoin, je veux qu'il sache que je serai là pour lui et que ça l'aide.  

Ma main sur ses mains jointes, l'empêchant peut-être un peu de les triturer, je m'étire juste assez pour déposer un baiser sur sa joue, le faisant relever la tête alors que je me rassois et que je jongle avec une idée. Son regard paniqué me fait finalement choisir et avec un doux sourire, j'appuie ma tête sur son épaule, ma main libre allant rejoindre sa taille. Je le sens se décontracté légèrement et mon sourire s'agrandit. C'est déjà ça de gagner. J'en reste surpris lorsque sa voix s'élève, ne m'attendant pas à ce que ça se produise si tôt. Je tourne la tête vers lui, appuyant mon menton à son épaule, tentant de comprendre ce qu'il a dit, mais il répète et j'entends sa panique.  

- Je n'ai pas l'intention de partir Saël, lui répondis-je doucement, me voulant le plus rassurant possible.

Je dépose un baiser sur son articulation, au travers du tissus, puis ris légèrement.

- On a assez galéré pour être ensemble, tu crois vraiment que je te laisserais filer? Demandais-je en essayant d'être un peu plus charmeur. Non, tu es à moi maintenant. Faudra t'y faire, je te collerai au basques.

Je suis pas un pot de colle naturel : le genre de mec qui s'attache encore plus qu'une glue et qui vous appelle 345 fois par jour juste "pour savoir ce que tu faisais". Non c'est pas moi, alors je peux me permettre d'en rire. Je veux pas le traumatisé, je suis pas ainsi, et je crois qu'il le sait, mais je ne peux pas m'empêcher de dire des conneries ou d'essayer de détendre l'atmosphère. Les conversations ou les ambiances lourdes ou trop sérieuses, j'ai jamais été capable, je les fuis encore aujourd'hui. Et puis, je m'en cache pas, je préfère nettement le voir sourire.  
code by lizzou ×  × gifs by google
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)