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Quand la réalité dépasse la fiction | Bonaventure

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Cette soudaine impression d'avoir le visage en feu, me prend rapidement. Le rouge monte rapidement à mes joues, les colorant et faisant ainsi ressortir un peu plus mon teint clair, très peu bronzer malgré les températures estivales qui arrivent. Je baisse de nouveau les yeux sur mon texto, jouant avec ce dernier d'un air embarrassé, tandis que cette fois je ne préfère pas répondre . Pas la peine qu'il sache que j'ai du mal à croire en moi et en ma beauté . J'expire une longue bouffée d'air, espérant reprendre une certaine contenance devant lui, tandis que je relève lentement les yeux vers lui, un léger sourit que je ne peux pas m'empêcher d'avoir lorsqu'il me taquine légèrement, et que je lui réponds de même. « je pense que tu peux viser mieux que l'assistant ou Robin … Il y a toujours le Joker où je ne sais quel autre ennemi de Batman. » dis-je en riant. Ouais les films de super-héros c'est pas vraiment mon fort, je suis plus Disney et dessin animé. Ma main remonte lentement pour venir récupérer quelques mèches de cheveux que je coince derrière mon oreille avant de mettre fin à cette petite parenthèse pour me concentrer pleinement sur la lourde tâche qui nous attend. J'essaie de le motiver au maximum, car la réussite de cette pièce est, au final, primordiale pour moi. « Je tiens à valider mon année de théâtre et cette pièce, et surtout ce rôle… c'est un peu ma dernière chance. » dis-je en grimaçant légèrement. J'ai déjà foiré les quelques examens que j'ai dû passer en théâtre, et c'est une seconde chance de pouvoir obtenir une note en jouant un rôle, je ne veux pas tout foutre en l'air même si... jouer avec Bonaventure se révèle bien plus compliqué que ce que j'aurai pensé . Je ferme les yeux, essayant de faire abstraction des battements de mon coeur qui tambourine au fin fond de ma poitrine, lorsque je croise son regard. Je me laisse guider par ses yeux, qui semblent me dicter mes paroles . J'ai débranché mon cerveau durant ces quelques minutes d’improvisation, ne voulant penser à rien d'autre … qu'à lui. « mais est-ce une vie de fuir ? D'être renié de notre famille, pour quelques heures de plaisirs insouciants . Je ne souhaite pas te voir mettre ta vie en péril pour moi... Mais je t'offre mon innocence, prends-la, empares-toi de cette dernière avant lui... tu es le seul pour qui je souhaite me donner... » Je finis par laisser ma phrase en suspens, tandis que je lui offre mes lèvres dont il s'empare, capturant les siennes d'un baiser tendre, passant d'effleurement à caresses exquises. Un baiser dans lequel se mêle nos langues, sans gêne , tandis que je resserre mon corps contre le sien. Je le désire, réellement . Ce n'est plus Juliette qui parle, ou qui l'embrasse, mais bel et bien moi , qui approfondis ce baiser, qui laisse ses sens et émotions la guider. Je me laisse totalement aller dans ses bras, fermant les yeux de plaisirs. Sa main sous mon haut, caressant ma peau, cette différence de températures me ramène brutalement à la réalité, tandis que je mets fin au baiser, me reculant de quelques pas. « Je crois que c'est bon... » non ça ne l'ai pas, j'ai encore envie de lui, de ses lèvres, de son souffle chaud contre mon visage, de son corps; mais je sais que j'ai dépassé la limite séparant le réel de la fiction . Je me sens pire que gêné, tandis que je regarde mes chaussures, n'osant pas croisé son regard.   Il est marié bordel, à quoi je joue avec lui?
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Quand la réalité dépasse la fiction
« Sacrilège ! Moi devenir l’ennemi de mon héros, de mon idole ?! Même pas en rêve. Je préfère de loin me transformer en Alfred Pennyworth plutôt que de devenir Double-face ou le Joker. Quoique, dans le cas d’Harvey Dent, on peut dire que Bruce et lui, ont été amis par le passé » se perdit légèrement Bonaventure qui, une fois lancé sur le sujet Batman, avait un peu de mal à retomber sur terre -après, on ne s’étonnait plus de son célibat. Le jeune homme était-il devenu détective privé pour ressembler à son personnage de comics préféré ? Peut-être un peu dans le fond. Qui sait avec Bonaventure Weasley. Par moment, il pouvait se montrer totalement fantasque dans ses choix. Mira semblait réellement motivée comme il lui en fit la remarque. Son année était en jeu, il comprenait d’autant mieux qu’elle se donne à fond. Le Quincy ferait tout pour que cela soit une réussite car il ne voulait pas lui porter préjudice. « Ne t’inquiète pas, nous allons réussir haut la main » se montra-t-il confiant. Leur alchimie sur scène était notable, on ne pouvait le nier. Le seul problème résidait peut-être au manque de passion entre eux. Un problème qui venait très certainement de lui-même s’il se promettait d’y travaillait.

Et ce travail commençait par une improvisation totale avec sa partenaire de scène. Mira ne voulait plus suivre le texte, le jugeant sûrement trop réducteur ou quelque chose du genre. Bonaventure lui, la suivait tout simplement parce qu’il était curieux et surtout, il voulait à tout prix voir ce qu’ils avaient dans le ventre tous les deux. La compétition faisait partie intégrante de sa personnalité et il refusait de perdre même si l’enjeu ne le concernait pas directement. « Je préférerai perdre l’amour de ma famille que perdre le tiens… Une vie sans eux ne sera jamais moins douloureux qu’une vie sans amour, enfermé dans un mariage de raison. Je t’aime, tu es la seule que je souhaite à mes côtés. Toi et pas une autre, encore moins une femme qui m’est étrangère » rétorqua-t-il avec l’étrange impression de parler de lui. Le personnage et Bonaventure avaient beaucoup en commun : fils d’une riche famille, marié par raison et non par amour. Il lui manquait plus que de trouver une Juliette pour que le tableau soit complet songea-t-il avec désarroi. Cette émotion ne le gagna pas très longtemps car le baiser lui retourna l’esprit.

Un baiser empli de passion mais aussi de tendresse, comme s’il découvrait Mira et non Juliette à travers de cet échange langoureux. Roméo cédait dangereusement sa place à Bonaventure qui, se plongeait corps et âme dans l’union de leurs lèvres. Sa jeune partenaire mit fin brutalement au baiser en se reculant de quelques pas. « Euh.. oui..oui » confirma-t-il un peu l’esprit ailleurs, portant sur elle un regard nouveau. Mira semblait très mal à l’aise si bien qu’il s’approcha d’elle pour relever son visage, une main sur sa joue. « S’il te plait… N’aie pas l’air aussi mal à l’aise après notre baiser… Nous ne faisons rien de mal Mira, nous sommes en train de répéter une pièce. Oublie Bonaventure pour te concentrer sur Roméo. Je sais que ce n’est pas évident… J’avoue que j’ignorai que tu embrassais aussi bien »tenta-t-il de désamorcer cette tension entre eux, avec un peu d’humour.

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Je ne peux m'empêcher de froncer les sourcils aux dires du jeune Quincy. J'essaie principalement de comprendre ce qu'il dit, il est parti dans son délire de Batman je crois . « Euh... » J'écarquille un peu les yeux, essayant de le couper, mais quelque chose me dit que ce serait une mauvaise idée de faire ça … j'ai déjà l'impression d'être devenu le diable d'avoir pu lui proposer d'être l'ennemi de Batman. « quitte à paraître pour une imbécile, ou une blonde : c'est qui Alfred Pennyworth ? » Je lui adresse un sourire désolé. L'univers de ce héros, ne m'est pas vraiment connu. Les bandes dessinées, ça n'a jamais vraiment été quelque chose qui m'intéressait… et les films de super-héros non plus à vrai dire, seulement quelques-uns ont réussi à me traîner dans les salles obscures ou devant mon écran de télévision. Mais notre présence sur cette scène revient rapidement comme sujet principale de conversation, tandis que j'avoue à Bonaventure qu'il s'agit d'une dernière chance en quelque sorte, ayant déjà raté les examens écrits de théâtre . Je lui adresse un sourire tandis qu'il se montre aussi motivé qu'il le peut pour m'aider à réussir à décrocher ce diplôme. Je pousse une légère expiration, me rapprochant de lui, avant de me lancer dans cette improvisation, un exercice très prisé dans mon cursus, le premier que l'on apprend à faire . Il est primordial de savoir improviser lorsque l'on est comédien, alors je me jette à l'eau. « c'est pourtant ce à quoi nous sommes destinés, comme des milliers d'autres personnes...Pourquoi ce serait différent pour nous ? Il n'est pas si aisé de tromper l'avenir qui nous aient déjà destinée . Je t'aime, plus que de raison, mais ton coeur est déjà dédié à une autre et pourtant… j'y reste accroché, je ne souhaite pas le lui céder, je veux le garder sceller à tout jamais, en garder la clé précieusement en moi et ne te la rendre que si tu m'en fais la demande… Si un jour tu souhaites te défaire de cet amour que je t'offre pour l'éternité me concernant" Je finis ses paroles en les cédant par un baiser que j'offre à Bonaventure, aventurant mes lèvres sur un terrain qui m'est, pour lors, inconnu, caressant les siennes avec tendresse, apprenant à les connaître, me les appropriant en y laissant mon empreinte. Je me laisse totalement absorbée par cette émotion qui grandit en moi, resserrant mon emprise sur son t-shirt, que je tiens toujours au creux de ma main. Je ne veux pas le voir s'échapper, m'échapper tout simplement .Et pourtant c'est moi qui me suis fin à cette étreinte, ayant peur de dépasser les bornes d'un simple baiser, du simple rôle qui m'est donné. Je ne veux tout simplement pas éprouver ce genre de chose pour une personne mariée, pour une personne dont je sais que je ne tirerai rien, où la réciprocité sera impossible. Je n'ose même plus relever mon regard, de peur de croiser le sien, et d'être de nouveau pris par cette envie irrésistible de mêler mes lèvres aux siennes, mais il prend le risque, me relevant mon doux visage. Il réussit notamment à avoir de moi l'esquisse d'un sourire, qui disparaît bien rapidement. « il est là le problème ce n'est pas Roméo que j'ai envie d'embrasser, mais bel et bien toi » et cette envie est encore présente bordel, encore plus, lorsque je pose mes yeux sur ses lèvres, encore en ma possession il n'y a que quelques secondes.
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Quand la réalité dépasse la fiction
Mira n’avait aucune idée de quoi il parlait et Bonaventure ne pouvait pas dire qu’il n’en avait pas l’habitude. Les femmes s’intéressaient pas souvent aux comics et aux films de super héros. « C’est le majordome de Bruce Wayne, le seul à avoir toutes les accréditations pour les secrets de Batman ! Il est un peu comme un père spirituel pour lui » lui apprit-il avec son enthousiasme habituel. Le jeune homme avait toujours trouvé du réconfort dans ce monde fictif mais il devait avouer qu’entre tous les super héros, Batman avait eu sa préférence. Pourquoi ? Parce qu’il n’avait aucun pouvoir. Il était le meilleur des détectives, il savait hacker le moindre système informatique et surtout, il avait façonné son corps pour devenir THE super héros, le justicier qui ne tue jamais. Oui, Batman l’inspirait beaucoup même si on pouvait trouver cela idiot mais il s’en fichait totalement.

Contrairement à Batman, Roméo l’inspirait moins. L’amour que ressentait ce personnage pour sa Juliette, cette façon de voir la vie, de vouloir mourir pour l’être aimé.. Ce n’était pas sa tasse de thé. Bonaventure n’avait jamais connu une telle passion dans un couple malgré ses fiançailles pour Lucy. Pour preuve, la perte de cette dernière n’avait qu’une goutte d’eau dans sa souffrance après les attentats contrairement à la mort de son meilleur ami Jarod. Est-ce qu’un jour, Bonaventure pourrait aimer à un tel point ? Aucune idée. Alors, en attendant, il donnerait le change en jouant la comédie, en essayant d’imaginer les pensées de ce Roméo. « Garde mon cœur près de toi ma Juliette… On m’a peut-être destiné à une autre mais toi seule aura mon cœur, mon âme. Je t’appartiendrai jusqu’à mon dernier souffle.. Fuyons, partons vivre notre amour loin de ceux qui veulent lui faire la guerre. Je n’ai besoin que de ta présence pour être heureux » murmura-t-il contre ses lèvres avant qu’elles se joignent aux siennes pour un baiser qui le troubla au plus haut point. Bonaventure n’était plus certain de jouer un rôle car si les paroles restaient les mots de Roméo, ses actes, eux, semblait bien plus lui appartenir. Ce baiser n’en était que plus agréable, que plus addictif mais toutes les bonnes choses ont une fin. Mira s’écarta de lui et Bonaventure comprit qu’elle était gênée. Aussi tenta-t-il de briser la glace, la forçant gentiment à relever son visage vers lui. Sa réponse le surprit même s’il n’en montrait rien. Mira avait envie de l’embrasser lui et non Roméo. Ce constat était perturbant surtout qu’il devait à chaque instant se remémorer qu’il était marié. La vie était d’un compliqué. « Je te mentirai si je te disais que je n’ai rien ressenti en t’embrassant mais…c’est compliqué » soupira-t-il et par compliqué, il voulait bien sûr parler de son statut d’homme marié. Pourtant, Bonaventure déposa un léger baiser sur ses lèvres comme pour le lui accorder à moins qu’il ne cède à sa propre envie.

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Un regard quelque peu interloqué se pose sur le jeune homme en face de moi. Tous ses noms qu'il vient de citer... C'est stupide mais j'ai l'impression de débarquer d'une autre planète lorsque je l'entends parler de ça ... ce n'est pas du tout mon univers et… ça m'énerve ! Un soupir s'échappe de mes lèvres lorsqu'il semble avoir terminé, tandis que je pose une question sur l'un des personnages qu'il a cité. La curiosité m'anime, mais pas seulement elle. L'envie d'en apprendre un peu plus sur ce qu'il aime est également présente. Je suis toujours curieuse d'apprendre de nouvelle chose, mais le concernant lui et ses goûts, c'est encore mieux. « Oh d'accord je vois... C'est un personnage secondaire mais également important dans l’histoire… Tu as l'air de beaucoup aimé ça : Batman et les super-héros. » dis-je avec un beau sourire aux lèvres, tandis que je jette quelques coups d'oeil à mon script, lisant quelques phrases par moments « Le seul super héros qui m'ait intéressé pour le moment c'est Daredevil… » dis-je en relevant les yeux vers lui. C'est le seul dont j'ai vraiment aimé l'histoire, où j'ai réussie à m'identifier d'une certaine fan dans le fait qu'il soit maltraité par les autres élèves de sa classe, mais qui malgré tout , fait tout pour s'en sortir et avec la main sur le coeur, quitte à finalement perdre la vue pour avoir sauvé un homme.
Je ne cesse de le regarder, d'essayer de comprendre à quoi il pense derrière ses paroles, qui sont au final celle de Roméo et non de Bonaventure. Ce n'est que de la comédie, un rôle que nous jouons, pour le plaisir de certaines personnes venues voir la pièce, se remémorer ce chef-d'oeuvre théâtral de Shakespeare . Je me perds dans ce rôle, comme on se perd dans un labyrinthe, à chercher la sortie, à tourner sans cesser en rond, sans jamais savoir si on approche de la sortie ou non. J'essaie de comprendre cette Juliette, tombé amoureuse en un seul regard, prête à se livre corps et âme dans cet amour impossible . Je n'arrive pas à me reconnaître en elle, n'ayant jamais vécu de coup de foudre, ayant préféré quitter un homme que j'aime plutôt que de devoir affronter la dure épreuve de la distance et de l'éloignement. Mais malgré tout j'arrive à mêler cette passion, que désirait tant le metteur en scène, à ce baiser, faisant abstraction de ce rôle, pour me concentrer exclusivement sur Bonaventure, sur ces lèvres, sur les sensations qu'elle procure dans le reste de mon corps, des frissons, à la boule au ventre lorsque j'y mets fin brutalement. L'interprétation est finie et le rideau est tombé. Pourtant il ne s'éloigne pas de moi, brisant et remplissant cet espace entre nos deux corps pour venir me relever le visage. Je ne peux m'empêcher de laisser sortir un rire nerveux de mes lèvres. » c'est toujours compliqué lorsqu'on est marié... ne puis-je retenir. Car il est bien là le problème non ? Il est marié, fidèle et certainement amoureux de son épouse. « … mais personne n'est ici avec nous... » dis-je, ne quittant plus son regard tandis que je viens enfermer ma lèvre entre mes dents «  Qu'est ce que tu as ressenti en m'embrassant ? » ajoutai-je , me rapprochant de nouveau de lui. Je veux comprendre, savoir ce qu'il pourrait ressentir , ce qui se passe dans sa tête , peut-être pour réussir à mettre mes propres idées au clair . Il m'attire c'est indéniable, mais peut-être qu'il y a autre chose. Ce qu'il vient de se passer , je ne le ressent pas à chaque fois que j'embrasse une personne non plus… ça m'est étranger… et pourtant j'adore ça !
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« Oui c’est une véritable passion chez moi ! Je suis un gros consommateur de Comics mais j’ai surtout deux héros préférés : Batman et Flash. Deux personnages aux antipodes l’un de l’autre » rigola-t-il. Les ténèbres et la lumière. Deux personnalités distinctes mais le même objectif : rendre le monde meilleur. On pourrait limite se dire que Bonaventure ressemblait à Barry Allen durant la journée mais que dans l’intimité de sa chambre, il revêtait l’aura sombre de Bruce Wayne. Deux facettes qui, au final, donnaient l’impression à ses proches de ne pas le connaître réellement tant il était secret. C’était logique dans la mesure où Bonaventure portait un masque continuellement qu’il soit le joyeux luron, à cet homme qui pouvait entrer dans les draps d’une femme et en sortir sans réussir à s’attacher. Le seul point commun entre ces deux hommes était très certainement la souffrance qui se dissimulait derrière ce masque. Une souffrance qu’il ne souhaitait partager avec personne et le rendait de ce fait en quelque sorte inaccessible malgré sa nature sociable. « Daredevil ? Très bon choix ! Il y a une série qui est sortie sur ce personnage, tu l’as vu ? » lui demanda-t-il heureux tout de même de pouvoir parler d’une de ses passions avec la jeune femme. D’ordinaire, ce genre de conversation, il les réservait à ses potes et non à ses amies.

Une amie avec qui, il ferait le maximum pour l’aider à obtenir son année. Mira était importante pour lui alors s’il pouvait l’aider en quoique ce soit, il le ferait avec bon cœur. Il était important de s’entraider dans la mesure du possible. Le problème c’est que plus ils répétaient et plus Bonaventure avait l’impression que Roméo lui était étranger. Comment tout sacrifier par amour ? Comment décider que cette personne serait la femme de votre vie d’un regard, d’un baiser ?! Cet homme avait tourné le dos à sa famille par amour, il s’était émancipé et au final, il s’était perdu ou peut-être trouvé. Le résultat s’était soldé par un beau gâchis, des morts inutiles. Quelle était la morale de l’histoire ? Que l’amour conduisait au désastre ? Ce n’était pas très optimiste comme façon de voir. Malgré cette incompréhension, il avait su jouer le rôle, simuler la passion mais l’avait-il simulé ou s’était-il simplement mis en avant dans ce baiser ? Un baiser peut-être un peu trop passionné, trop réel et pas assez théâtrale. De quoi rendre mal à l’aise la jeune femme.

Bonaventure ne se doutait pas un seul instant que Mira ait voulu l’embrasser lui et non Roméo. Il s’était toujours figuré que sa gêne vis-à-vis de ce genre de scène était tout simplement un excès de pudeur. « Oui, le mariage complique toujours tout » soupira-t-il conscient que Suzanne serait toujours un frein à sa vie sentimentale tant que ce simulacre de mariage perdurerait. Le problème, c’est qu’il devait jouer la comédie de l’homme heureux. Un nouveau masque à sa collection. Il n’était plus à cela près. Mira jouait avec le feu et idiot, il l’attira à lui. Quand est-ce qu’il retiendrait la leçon ? Il n’y avait rien de bon à le fréquenter ou même à vouloir le faire pourtant, au lieu de la repousser, son regard l’encourageait car il se sentait seul et malheureux dans sa peau. « Ce que j’ai ressenti ? C’est dur de le décrire mais une chose est certaine, c’est qu’il ne m’a pas laissé indifférent et que ce n’était pas Roméo qui t’embrassait Mira » lui dit-il en caressant sa joue d’un revers du pouce. « On ne devrait pas s’engager sur ce terrain… » murmura-t-il sans pour autant la lâcher. Il ne pouvait rien lui offrir alors à quoi bon se faire souffrir ? Pourtant, Mira l’attirait, il ne pouvait le nier. Elle le touchait également par cette fragilité qu’il sentait en elle. Une fragilité qui lui donnait envie de la prendre dans ses bras et la protéger. Bonaventure soupira et déposa un baiser sur son front comme pour s’empêcher de l’embrasser à nouveau malgré la tentation.

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Les BD, les comics, c'est bien souvent les hommes qui en sont les principaux consommateurs . Ces derniers essaient principalement de s'identifier aux personnages, des super-héros, aimé de tous, capable de sauver le monde et idolâtrer par les femmes. C'est d'ailleurs assez drôle de constater qu'il y a peu de super-héroïnes, ou alors elles sont toujours dans l'ombre des hommes, comme Cat-Woman je crois... Enfin, elle s'est spéciale il me semble, mais je ne suis pas sûre, je ne m'y suis jamais intéressé. «  Et tu ressembles plus à l'un d'entre eux ? » dis-je avec un petit sourire en coin. Je ne les connais pas vraiment en détails, mais plutôt dans les grandes lignes, mais ça me permettrait peut-être de mieux cerné le personnage qu'est Bonaventure. Quant à moi, si je dois sélectionner un des personnages de marvel, je pense que ce serait Daredevil, un faible devenu plus fort au fil des années. «  Ouais enfin, je n'ai vu que quelques épisodes pour l'instant …J'ai du mal à prendre le temps de me détendre devant une bonne série. » Dis-je avec un petit sourire . Avec le boulot, les cours, si j'ai un moment de répit, j'en profite pour sortir, pour profiter de la vue, ou alors je m'écroule sur mon lit de fatigue. Mon ordinateur n'a plus beaucoup l'occasion de me voir ces derniers temps , ni même ma télévision. Je passe le plus clair de mon temps au Lord Hobo, avec mes bouquins coincés entre la cafetière et la tireuse à bière, prête à les attraper dès qu'un instant de repos sans client, pointe le bout de son nez.! Et malgré tout, je ne pense pas avoir réussi mes examens de théâtre. Ma dernière chance reste cette pièce de théâtre, ce rôle dont je partage la vedette avec Bonaventure. Mais ce n'est pas vraiment ce qui me préoccupe pour le moment. Ce baiser provoque bien trop de sensation en moi, de plaisirs et de désirs mélangés. L'envie de l'approfondir, de le pousser toujours plus loin mais c'est la raison qui prend le dessus tandis que j'y mets fin. Une sage décision ? Je ne sais pas, surtout lorsque je sens cette envie tirailler mon ventre tandis que je le regarde. Et même s'il est marié, je ne peux m'empêcher de le désirer et d'avancer d'un pas vers lui. «  On peut simplifier les choses si tu le souhaites... » Je peux partir, mettre fin à cette discussion et ainsi à cette répétition si c'est ce qu'il souhaite, s'il ne veut pas que je le tente ou autres. Je ne tiens pas à le rendre infidèle non plus... j'ai horreur de ça, mais… quelque chose me dit que sa femme ne doit pas compter autant que ça pour lui, mais je veux vérifier, savoir ce qu'il a pu ressentir durant notre baiser. J'avance d'un pas vers lui, ne lâchant toujours pas son regard. Je sens sa main agripper à moi tandis qu'il me rapproche encore de lui. Ce qu'il me dit, réussit à faire apparaître un sourire amusé sur mes lèvres. «  J'embrasse bien et je ne te rends pas indifférents, du moins mes baisers... C'est un bon début… »Une ouverture pour moi ? Sa main sur ma joue, la douceur de sa peau contre la mienne, c'est une sensation plaisante, mais qui demande toujours à être approfondi, à être plus présente pour moi. Je viens passer ma main dans ses cheveux. Ses mots ne sont que murmures, comme s'il semblait avoir peur qu'on nous entende. «  pourtant tu ne fais rien pour reculer... » bien au contraire, il m'attire à lui, caresse ma joue. Ce n'est que plus de tentation qu'il s'inflige. Son regard semble voilé, comme si ce n'était pas vraiment lui devant moi, ou qu'il s'infligeait sa propre torture. J'aimerais pouvoir le libérer du mal qui le ronge et dont j'ignore encore pour le moment , de quoi il s'agit . Son baiser sur mon front, me fait relever les yeux vers lui, faisant glisser ma main sur sa joue . «  laisse tomber ton masque... » dis-je simplement, avant e me remettre sur la pointe des pieds, prenant l'initiative de reposer mes lèvres sur les siennes ; S'il en a envie, rien ne devrait l'en empêcher.
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« Si je devais être honnête, je crois que je suis un mix des deux même si Bruce Wayne est très certainement celui dont je me sens le plus proche » avoua-t-il. Bruce vivait avec le spectre de la mort de ses parents qui avait fait de lui, l’homme torturé, le sombre justicier. Son spectre à lui prenait les traits d’un homme innocent que gamin, il avait envoyé dans le couloir de la mort sans aucun remord parce qu’il pensait faire le bon choix, parce qu’il souhaitait protéger sa meilleure amie. Il avait eu tort et un innocent était mort par sa faute. Sa quête de vérité avait débuté à ce moment-là, lorsque la mère de cet homme avait commencé à le harceler. A douze ans, ce genre de harcèlement pouvait provoquer des ravages sur une personnalité déjà bien trop malmenée. « Si tu veux, on essaiera de se trouver un moment toi et moi à la Quincy pour regarder cette série ! Il faut absolument que tu la vois » lui dit-il en reprenant le fil de leur conversation, chassant ses sinistres pensées de son esprit.

D’autres pensées vinrent le parasiter à l’instant même où Mira lui avoua qu’elle souhaitait l’embrasser lui et non Roméo. Une nouvelle qui l’avait bouleversé au point d’en perdre un peu son latin et surtout de le plonger dans une introspection des plus romantiques. Bien sûr, par automatisme, le jeune homme avait parlé de son mariage mais le ton n’avait pas été très convainquant car lui-même ne l’était pas. Suzanne. Comment pouvait-il simuler l’amour, la passion avec une pareille compagne ?! Pourtant, il devait le faire car sa vie se trouvait ici et qu’il avait trop souffert de son expulsion. Bonaventure ne souhaitait plus revivre cette mise à l’écart, ce bannissement. Pourtant, quand son regard se plongeait dans celui de Mira, une petite voix lui souffla que la solitude qu’il s’infligeait en était un également. « Je ne le souhaite pas, ce n’est pas très intelligent de ma part mais je ne le souhaite pas » soupira-t-il, incapable de lui mentir. Au contraire, au lieu de l’éloigner, il ne fit que l’attirer tout contre lui, la gardant prisonnière de ses bras. « Non, je ne fais rien… toi non plus » murmura-t-il en caressant sa joue, redessinant les contours de ses magnifiques traits du bout des doigts. Bonaventure était fatigué de fuir depuis toutes ces années, de ne laisser personne l’approcher de peur de perdre à nouveau un être cher, de montrer qu’au final, il n’était qu’un homme brisé. Mira lui demanda alors de laisser tomber son masque et il ne masqua pas sa surprise qui se perdit dans son baiser. Un baiser qu’il lui rendit, sa main venant se poser sur sa nuque pour ne pas lui laisser la moindre chance de s’échapper. A nouveau, il songea que ce n’était pas raisonnable, que Mira ne méritait pas ce genre de traitement. Il ne voulait pas la faire souffrir mais elle l’attirait comme un papillon le serait par la lumière. « Mira… il n’y a rien de bon à vouloir de moi, je ne ferais que te blesser » soupira-t-il en se détachant cette fois-ci pour mieux aller s’asseoir sur le canapé qui leur servait de décor pour le moment.

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Bruce Wayne … Batman si je ne me trompe pas, celui qui est milliardaire je crois. Je pose mon regard sur Bona, essayant de comprendre de quelle manière, ou en quoi, il s'identifie à ce personnage, torturé par la mort de ses parents. Le jeune Quincy n'est pas orphelin à ce que je sache, donc ce n'est pas par rapport à cela. «  Pourquoi ? » un simple mot sorti d'entre mes lèvres. Il me parle assez ouvertement depuis son arrivée dans le théâtre, ce qui me permet d'oser lui poser cette question, qui peut être personnelle, mais j'espère qu'il acceptera de me répondre, me permettant ainsi de mieux réussir à le cerner lui : le beau Quincy qui réussit à me mettre mal à l'aise rien que pour la scène d'un baiser. «  Ouais ça pourrait être sympa de se retrouver dans un autre contexte. » dis-je avec un beau sourire aux lèvres . Une sorte de rendez-vous sans prise de tête, juste une télé ou un ordinateur avec de quoi grignoter… Bien différent de l'endroit où l'on se trouve. Une scène, une salle qui pourrait être remplie de spectateurs, une pression pour mon année, un rôle important à jouer, et des sentiments qui sont présents malgré qu'ils ne doivent être que joué. Je ne sais quoi faire contre ces derniers, faire comme si de rien n'était . Comme si c'était bel et bien, cette foutue Juliette qui s'exprimait à travers moi ? Non je ne suis pas capable de ça et les ignorer. Pourtant, je sais qu'il est marié, qu'il serait plus simple de taire ses sentiments, de passer cette scène de théâtre, le plus normalement possible et d'ensuite… tout oublier . Mais maintenant que j'ai avoué avoir eu envie de l'embrasser, je ne peux plus faire machine arrière, je n'ai plu qu'à essayer de comprendre ce qui peut bien se passer entre nous deux, d'essayer d'y mettre des mots. Le mariage est quelque chose de compliquer, mais le sien semble l'être plus que d'ordinaire.Il n'est pas difficile de comprendre qu'il ne semble pas heureux dans cette relation, mais je ne veux pas venir tout chamboulé dans sa vie pour autant, mais il ne semble pourtant pas me rejeter bien au contraire : de quoi me faire perdre encore plus la tête. Aime-t-il sa femme ? Est-il capable de ressentir quelque chose pour une autre femme ? Pour moi ? «  moi je n'ai rien à perdre...» Je n'ai personne, je ne risque de blesser quelqu'un en m'approchant de lui, en laissant ma main jouant avec ses cheveux, en posant de nouveau ma main sur son torse musclé toujours en restant accrochant à son regard ensorcelant . Je ne peux résister plus longtemps, laissant le désir et mon envie de l'embrasser prendre le dessus, tandis que je pose une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes, prenant cette initiative . C'est une sensation des plus agréables, capable de me retourner l'estomac, tandis qu'il exerce une légère pression de sa main dans ma nuque, approfondissant de cette manière ce baiser , si longtemps désirer, qui ne laisse de doute aux deux personnes qui s'embrassent . Il n'est plus question de Roméo ou de Juliette cette fois. Je me laisse aller dans ce baiser jusqu'à ce qu'il vienne le rompre, cette fois-ci, c'est lui qui s'éloigne. Je le regard s'installer sur le canapé, me mordillant la lèvre avant de baisser les yeux. Je ne tiens pas à briser son couple ou à vouloir faire de lui un infidèle mais … je ne peux m'empêcher d'avoir envie de lui, d'être attiré par lui …Je pousse un soupir, fermant les yeux avant de le rejoindre sur le canapé, m'installant quelques secondes à ses côtés «  je ne te demande pas une idylle à la Roméo et Juliette non plus... »a ne me ressemble pas de me cacher, de vivre en secret, et je n'ai pas envie de ça .. même si , d'une certaine façon, je sais que Bona ne pourra que me proposais cela. «  je ne te demande rien … tu es marié, et je ne veux pas te rendre infidèle ..même si j'ai terriblement envie de te sauter dessus. » ajoutai-je un sourire aux lèvres, tout en continuant de me mordiller la lèvre inférieure, comme pour résister à cette envie . Ce n'est pas raisonnable. «  il vaut mieux mettre fin à tout ça. » dis-je en me penchant vers lui pour déposer un baiser sur sa joue, simplement sa joue, évitant d'imaginer mes mains se glissant sous son t-shirt, lui soulevant pour l'en débarrasser, tandis que je reprendrai rapidement possession de ses lèvres…. Non, je détourne la tête, et me penche sur le côté pour ramasser mon sac
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Quand la réalité dépasse la fiction
Mira cherchait à le cerner, à le comprendre et ça, Bonaventure l’avait bien saisi et quelque part, cela l’effrayait. Il ne voulait pas qu’elle voit au-delà de son masque car ce qu’il y avait en-dessous n’était pas beau. C’était même aussi laid que les cicatrices qu’il avait tenté de camoufler sous ses divers tatouages. L’explosion et les diverses opérations de chirurgies avaient laissé des traces, des marques indélébiles comme des témoignages à même la peau de sa souffrance, de ses erreurs. « Nous avons tous les deux horreur de l’injustice » se contenta-t-il de répondre. Ce n’était pas un mensonge bien au contraire mais pas non plus l’entière vérité. Il y avait des choses qu’il ne voulait confier à personne par peur d’être jugé ou simplement de les revivre en souvenirs. « Alors considère que c’est chose faite ! Tu vas au Summer Camp ? Car si c’est le cas, on pourrait peut-être se prendre du temps ensemble non ? » lui proposa-t-il incapable de résister à ce beau sourire. Mira était attendrissante, il ne pouvait le nier.

C’était bien tendresse qu’il ressentait à son égard qui se révélait être la source de ses problèmes. Un baiser et voilà qu’il n’arrivait plus à réfléchir sereinement. Des baisers, ils en avaient pourtant échangé durant leurs précédentes répétitions puisque le metteur en scène les jugeait pas assez passionné seulement, celui-là était différent. Pourquoi ? Peut-être tout simplement parce que Mira avait su éveillé en lui quelque chose de différent, quelque chose de moins automatisé. Elle le touchait, elle semblait être la solution à tous ses problèmes mais il ne pouvait pas se le permettre même si elle lui annonçait qu’elle n’avait rien à perdre. « Au contraire, tu as tout à perdre » rétorqua-t-il avec une infinie tendresse teintée de tristesse. S’il avait été célibataire, la question ne serait pas posée mais il ne l’était pas. Du moins, officiellement. Officieusement, aucune femme ne réchauffait son lit ou même son cœur. Bonaventure peinait à réfléchir tandis qu’elle passait sa main dans ses cheveux. Il la voulait contre lui, il voulait l’embrasser encore et encore, qu’importe qu’il se trouve au théâtre. Dans cette bulle, il avait l’impression d’être seul au monde avec elle. Ils s’embrassent à nouveau et le Quincy se détourne d’elle à contrecœur. Il ne pouvait et ne devait pas succomber.

Alors, il s’éloigne et a presque envie de gémir quand elle lui affirme qu’elle ne lui demande pas une idylle à la Roméo et Juliette. « Qu’est-ce que tu attends de moi alors ? » lui demande-t-il en tournant la tête vers elle, son regard ancré dans le sien. Elle ne souhaite pas le rendre infidèle. Amer, Bonaventure ricana. « Je me fiche bien d’être infidèle…la seule chose qui me préoccupe, c’est de faire d’une femme, ma maitresse. Une femme mérite bien mieux que cette position mais je n’ai que cela à proposer » soupire-t-il. Malgré sa solitude, sa souffrance, Bonaventure se refusait d’être égoïste et d’entrainer une femme dans une relation cachée, honteuse. Son baiser sur la joue lui arrache à nouveau des frissons et malgré lui, il la retient par le poignet. « Mira… je suis désolé… Si les circonstances avaient été différentes, crois-moi, je n’hésiterai pas un seul instant car tu m’attires et que je rêve de t’étendre sur ce canapé pour te faire l’amour mais je refuse de te manquer de respect de cette façon » lui dit-il, son pouce venant caresser la base de son poignet. Bon sang, pourquoi fallait-il qu’ils soient amis…


AVENGEDINCHAINS
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