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soliman ✽ if karma doesn't hit you, i fucking will.

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soliman & charlie ;



three days grace ;; i hate everything about you.

Charlie avait seize ans lorsqu’elle avait rencontré Soliman, et étudiante en première année de lycée. Suite à leur histoire ainsi qu’aux nombreux problèmes familiaux, l’adolescente devenue anorexique, avait été renvoyée chez ses grands-parents à Londres. A cette époque, elle s’était soudainement sentie très seule, et vide, surtout durant les nuits sans Marlson, malgré toute la rancœur qu’elle éprouvait envers lui. Mais bien décidée à ne pas se laisser aller, la jolie brune avait pris soin de ne pas se renfermer sur elle-même, faisant partie de toutes les soirées possibles, sortant avec tous les mecs qu’elle jugeait un tantinet mignon, pour tenter de combler l’ennui et le vide. Sans grand succès. Elle fut la plus heureuse au monde de pouvoir retourner à New York, un an plus tard, où elle réussit brillamment ses examens d’entrée à l’université, et celle prestigieuse d’Harvard en prime. Mais quel ne fut le choc de revoir Soliman, qui y étudiait également. Quel manque de chance total… Ou bien, étais-ce un coup du destin ? A ce moment, les disputes ne finirent plus ; partout où ils se voyaient étaient une occasion pour commencer une engueulade, ayant de plus, tous deux des caractères de chien, clairement. Car au tout début, Charlie le détestait, pire le haïssait, ne pouvant supporter de tomber sur lui au détour d’un couloir, en pleurant même de rage le soir dans son lit. Elle le savait, elle était quasiment tombée amoureuse de lui lors de leur relation, ce qui expliquait le pourquoi du comment de ses réactions parfois extrêmes, s’étant sentie blessée lors de sa découverte. Mais quelque chose n’allait pas là maintenant. C’était bizarre ça, être en compagnie de Soliman et ne même pas avoir envie de le jeter d’un précipice, c’était... nouveau. Avoir une conversation à cœur ouvert, encore plus. « Je sais que tu crois que je suis un menteur né, un arnaqueur ou quelque chose dans le style mais… S’il y a une chose sur laquelle tu ne dois pas douter c’est bien ma sincérité, je ne suis pas une langue de pute, je te dis ce que je pense même si c’est un peu tard… On a gaspillé énormément de salive mais c’est de ma faute, je n’aurais pas dû attendre aussi longtemps pour me confronter à… Mes sentiments… » . Charlie le fixa, stupéfaite. Honnêtement, jamais elle ne se serait douté que Marlson lui parlerait aussi sincèrement et ça faisait vraiment beaucoup pour aujourd’hui. Confronté à ses sentiments ? C’était le monde à l’envers. Jouant avec une mèche de cheveux pour avoir quelque chose à faire, la jolie brune, sans détourner son regard vert du winthrop, ne perdit pas une seconde pour répondre, brièvement : « Je ne doute pas de ta sincérité, en fait. » Puis elle se tut, ne sachant pas exactement quoi ajouter de plus et n’osant définitivement pas creuser la question à propos de ses soi-disant sentiments.

Cependant, cette entrevue plus qu’étrange prit fin, lorsque les deux étudiants arrivèrent au sein du Summer Camp, prêts à se séparer pour regagner leurs chalets respectifs. Mais encore une fois, quelque chose d’inhabituel se produisit lorsque Soliman lui déposa un baiser sur le visage ; et que Charlie ne broncha même pas, se contentant de rester impassible, tandis que les battements de son cœur se mirent à accélérer de manière irrégulière. « Compte sur moi pour être là à la rentrée… » . God. La rentrée s’annonçait vraiment de folie en tout cas, elle n’osait même pas imaginer comment allait se dérouler l’année, après ce qui s’était passé au Summer Camp et probablement ce qui se passerait car il leur restait encore un petit temps avant de retourner à Cambridge. Mais elle avait hâte de retrouver Harvard, l’université et son ambiance lui manquait. Sur un dernier regard à Marlson, Charlie reprit le chemin de sa chambre, vide à cette heure, ses colocataires dont sa sœur faisait partie ayant déserté. Tant mieux, elle serait tranquille. Sans attendre davantage, la brunette ôta ses vêtements et se précipita sous la douche. De l’eau bouillante lui permettrait sûrement de retrouver ses esprits ; sauf qu’elle se surprit à sourire comme une idiote en repensant à ce qui venait d’arriver. Qu’elle avait l’air stupide. Esquissant une grimace en s’apercevant dans le miroir en face, la Kovalevski s’extirpa hors de la baignoire, se sécha rapidement, puis enfila sa chemise de nuit de soie blanche qu’elle adorait, projetant de se mettre au lit et regarder un film grâce à son ordinateur portable.

Attachant ses cheveux en un chignon négligé, la Mather alla se faufiler sous ses draps, prête pour visionner pour la millième fois « confessions d’une accro du shopping « son film favori. Mais avant de pouvoir cliquer sur play, on toqua à la porte. Et voilà, il fallait toujours qu’on vienne l’emmerder lorsqu’elle était bien calée. Sur un soupir, Léna se décida à se lever pour aller ouvrir. Oh, et bien. Elle constata que c’était Soliman, appuyé contre le mur, portant un simple short, dévoilant une grande partie de son corps. Et quel corps parfait. « Tiens mais qui voilà… La chieuse du siècle, je crois avoir oublié mes lunettes de soleil après avoir pris tes skis… ». Ah oui, elle devait certainement les avoir dans son sac. Mais plantée au pas de la porte, et un petit sourire se dessinant sur ses lèvres, Léna répliqua, d’un ton ironique, plongeant ses yeux verts dans ceux bleus de Marlson : « C’est possible oui… Mais j’ai quoi en échange ? » avant d’ajouter : « Et par hasard, tu as besoin de vêtements aussi ? J’peux te prêter un tee-shirt hein, pendant qu’on y est. (a) » Comme il était beau, bordel.

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A-D Charlie Kovalevski & Soliman A. Marlson

Cette journée avait vraiment été marquante pour moi, comme lorsque nous avions fait l’amour pour la première fois il y a un peu plus de cinq ans, j’avais toujours insisté pour attendre les premières semaines et au final après un peu plus de deux mois je m’étais senti suffisamment attaché pour prendre le risque d’être son premier, je savais à quel point une première fois pouvait-être importante . Cette soirée avait été spéciale elle aussi, je me souviens qu’en lui faisant l’amour je m’étais senti renaitre, je m’étais senti si bien dans ses bras que je parvenais encore à me souvenir de cette sensation vraiment bizarre. Dans ma chambre du Summer Camp, entouré de quelques amis qui partaient pour le lac je souriais bêtement, niaisement même et je me demandais bien ce qu’il m’arrivait pour être aussi niais, ma conversation avec Roxanna m’avait peut-être fait comprendre que je devais saisir ma chance ? Tenter de séduire à nouveau la jeune Charlie ? La seule crainte que j’avais face à cet amour renaissant c’était peut-être qu’elle le comprenne et qu’elle décide de s’en servir pour me briser le cœur comme je l’avais en quelque sorte fait avec elle lors de notre première relation amoureuse il y a six ans. Trop de questions qui me prenaient la tête, je n’étais pas le genre de mec qui réfléchissait dix ans avant de prendre une décision, beaucoup trop impulsif pour en être capable de toute manière. Ce qui devrait se passer allait se produire naturellement, j’allais agir suivant le feeling du moment et peut-être que c’est ce qui me ferait réussir à y voir plus clair. Acceptant de rejoindre les autres au lac je m’étais donc brièvement déshabillé pour prendre une douche même si c’était un peu stupide puisque j’allais en prendre une deuxième en revenant du lac mais passons… Une fois douché j’avais enfilé un short à fleurs et une paire d’espadrilles marinières, prêt à rejoindre les autres garçons j’avais ressenti l’envie de retrouver Charlie d’abord, je n’étais certes pas très bien habillé mais notre petite conversation n’allait peut-être même pas être longue, une affaire de deux ou trois minutes minimum si elle désirait ne pas trop me voir ce soir.

Une fois à la porte et après avoir toqué trois fois je me surprenais une nouvelle fois à éprouver un trac vraiment étrange, j’étais stressé de la voir, je me demandais même si j’allais être capable d’enchainer trois mots sans avoir l’air idiot. Heureusement, après une bonne minute à loucher sur son corps parfait et encore plus attirant qu’en temps normal dans cette petite chemise de nuit j’avais su lui parler comme je le faisais habituellement, je parvenais toujours à reprendre le contrôle sur mes émotions, c’était une chance. « C’est possible oui… Mais j’ai quoi en échange ? » Impulsivité quand tu nous tiens, j’allais répondre du tac au tac et flirté avec elle et il y avait une petite chance pour qu’elle ne le prenne pas bien. « Oh je sais pas… Ton prix sera le mien… Tu veux mon short ? Tu veux mon corps ? Tu veux que je me casse en vitesse pour te laisser en paix ? » J’étais presque sûr qu’elle poursuivrait notre échange ironique en choisissant la troisième option, normal, qui ne l’aurait pas fait ? « Et par hasard, tu as besoin de vêtements aussi ? J’peux te prêter un tee-shirt hein, pendant qu’on y est. (a) » Je souriais amusé glissant ma main contre mon torse. « Je ne suis pas sûr que l’un de tes tops me convienne mais… Pourquoi pas… » Je pouffais de rire après avoir tout de même réussi l’exploit d’avoir eu l’air sérieux. « Non, je pars pour un bain de minuit avec des copains au lac… Tu… Tu veux venir avec moi ? » Je ne savais pas dans quoi je m’embarquais mais j’avais un besoin aux limites du surnaturel de passer du temps avec elle maintenant que les choses allaient « un peu » mieux.
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Charlie n’était définitivement pas faite pour les relations qui duraient, son grand maximum étant trois mois, et pourtant, ce n’était pas faute d’avoir essayé. Généralement, son mauvais caractère était le motif de plusieurs de ses ruptures, car supporter la Kovalevski à longueur de temps était une tâche plutôt difficile. Agaçante, chiante et arrogante, il fallait carrément s’accrocher, ou du moins, savoir se montrer patient, ce qui n’est évidemment pas le cas de tout le monde. De ce fait, l’étudiante avait simplement décidée qu’elle favoriserait les aventures de quelques jours, voire d’une nuit, qui marchaient nettement mieux, et qui lui évitaient de se prendre la tête. Auparavant, elle n’avait jamais songé à commencer quelque chose de sérieux avec Soliman ; non seulement parce qu’elle le détestait, mais qu’en plus, ils avaient des caractères tellement similaires et opposés à la fois que tout volerait probablement en éclats à la moindre remarque mal interprétée, comme ils en avaient l’habitude. Sauf que, plus les jours passaient, plus elle pensait à lui, de manière différente, avec moins de haine. C’était inattendu, complètement. Et alors qu’elle était tranquillement allongée dans son lit, avec son ordinateur portable devant elle, prête pour regarder « confessions d’une accro du shopping « , elle se surprit à repenser encore une fois aux évènements qui venaient de se dérouler. Quelle journée bizarre quand même, elle n’aurait jamais cru qu’en se réveillant ce matin, tout ceci allait se produire. Et ce qui l’étonnait le plus, c’était qu’elle avait réagi de façon plutôt « cool « , selon elle. Réussir à parler de cette façon avec Soliman, c’était une grande nouveauté. Et de ce fait, la jolie brune se demanda soudain comment allait se passer les jours suivants. Continueraient-ils à se parler aussi… calmement ? Et sincèrement ? Qui vivra verra, pour l’instant autant se focaliser sur le film, et éviter ainsi de repenser encore et encore à lui. Sauf qu’elle n’eut pas le temps de le lancer, qu’on frappa à la porte, et que c’était justement Marlson, vêtu d’un simple short à motif de fleurs, qui venait réclamer ses lunettes de soleil, lunettes qui étaient dans son sac. Charlie ne perdit pas une seconde pour répliquer aussitôt, ce à quoi la réponse du jeune homme ne tarda pas : « Oh je sais pas… Ton prix sera le mien… Tu veux mon short ? Tu veux mon corps ? Tu veux que je me casse en vitesse pour te laisser en paix ? » La Kovalevski eut un léger rire en entendant la troisième proposition, avant de reprendre un air plus sérieux. Certes, la deuxième option était de loin la plus alléchante, mais elle n’allait certainement pas le dire à voix haute ; et puis, ce n’était pas permis de penser à ce genre de chose. S’appuyant contre le mur au pas de sa porte, la brunette répliqua, d’un ton sarcastique : « J’aime bien la troisième option… mais non c’est bon, je vais te les rendre tes lunettes. Ah, ma bonté me perdra. » Mais bien sûr.

Cependant, avant qu’elle ne puisse retourner dans sa chambre pour fouiller dans son sac et récupérer l’objet convoité, la réponse de Soliman se fit entendre, suite à ses propos lui demandant s’il voulait aussi un tee-shirt, étant donné qu’il se baladait en short : « Je ne suis pas sûr que l’un de tes tops me convienne mais… Pourquoi pas… ». Léna leva les yeux au ciel ; certes il avait raison. Elle était plus mince que lui, et sûrement pas aussi musclée, n’étant pas une adepte de sport, mais de toute manière, le brun ne perdait pas une occasion pour exhiber sa musculature, tellement il devait en être fier. En même temps, il y avait de quoi, il était quasiment parfait. S’attardant légèrement sur ses tablettes, Charlie détourna vivement le regard ; mais qu’est-ce qu’elle faisait ? Ce n’était pas autorisé. Se concentrant à nouveau sur le visage de Marlson, elle l’entendit continuer : « Non, je pars pour un bain de minuit avec des copains au lac… Tu… Tu veux venir avec moi ? ». Un bain de minuit ? C’était très tentant. Surtout qu’elle n’avait rien de mieux à faire. Mais elle se voyait mal s’incruster parmi les amis de Soliman, déjà qu’avec lui, ça allait à peu près ; elle ne voulait pas vraiment prendre le risque de se faire noyer au cas où quelque chose déraillerait entre eux. Haussant les épaules, l’étudiante en mode lança : « Hm, je ne sais pas… Ils sont beaux tes potes ? » ajouta-t-elle avec un petit sourire. En réalité, elle s’en fichait complètement, réfléchissant sérieusement à l’invitation de Marlson. Elle n’avait qu’à y aller, la soirée –la nuit plutôt- s’annonçait amusante, et elle pourrait très bien se regarder son film demain. En plus, ce n’était pas comme si elle n’avait pas envie de passer encore un peu de temps avec lui. Continuant alors, Charlie dit : « Au pire, je veux bien venir, j’allais me regarder un film mais un bain de minuit, ça me tente plus… Tu peux m’attendre cinq minutes, juste le temps d’enfiler un maillot ? Hum… entre si tu veux. » Elle s’écarta pour le laisser entrer dans la chambre plus qu'ordonnée, -Charlie étant une maniaque de la propreté- puis se précipita vers son placard pour en dénicher son bikini rose ainsi qu’une légère robe couleur corail, et alla s’enfermer dans la salle de bains, pour enfiler d’abord le maillot, puis la robe Gucci, décidant de laisser ses cheveux attachés en un chignon, s’appliquant au passage de l’eye-liner noir waterproof, évidemment, avant de ressortir. « C’est bon, je suis prête… On y va ? »

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A-D Charlie Kovalevski & Soliman A. Marlson

Eileen était à ce jour la seule fille avec qui j’avais vécu une relation sérieuse, j’ai envie de dire que j’avais même été vacciné au moment de notre séparation puisqu’elle s’était lamentablement tapé mon meilleur ami qui, de son côté voulait simplement me montrer d’après ses dires qu’elle n’était qu’une putain qui me trompait depuis un moment. Il avait réussi au péril de notre amitié même si depuis quelques semaines il avait repris contact, je ne parvenais pas à oublier toutes les merdes qui m’étaient arrivées à partir de cette soirée, je n’étais pas capable de pardonner à l’un d’entre eux et probablement que j’en serais incapable pour le restant de ma vie. Si je ne considérais pas Charlie comme l’une des filles avec qui j’avais eu une relation de couple c’était tout simplement parce qu’il n’y avait pas eu suffisamment de temps pour que nous exploitions nos sentiments respectifs, j’en avais bien eu envie mais trop de choses s’étaient interposées. Aujourd’hui après six ans de célibat à profiter des bonnes choses de la vie, des filles et des garçons au lit je me redécouvrais prêt à aller de l’avant en amour. Roxanna était derrière ce retournement de situation, elle avait trouvé les mots pour me faire comprendre que je devais foncer malgré mes craintes en prenant tout de même des précautions, j’étais un peu fébrile à l’idée que Charlie puisse peut-être me manipuler pour mieux me mettre plus bas que terre. Appuyé contre le mur de la porte qui menait à sa chambre qu’elle partageait avec quelques colocataires tout comme moi je plaisantais même si j’aurais apprécié qu’elle choisisse la seconde option, elle avait toujours eu un effet d’excitation sur moi mais je n’étais pas un animal, je savais retenir mes pulsions même si l’envie n’était pas forcément présente. « J’aime bien la troisième option… mais non c’est bon, je vais te les rendre tes lunettes. Ah, ma bonté me perdra. » Je rigolais tellement fort qu’on pouvait voir à dix mètres de là que je me foutais ouvertement d’elle. « Je pense aussi, tu devrais peut-être aller aux secours populaires trier les vieux vêtements qui puent… Tu vas évaporer ta bonté plus facilement et pouvoir à nouveau me haïr, c’est plus marrant quand même ! » Je lui souriais amusé n’étant pas vraiment sérieux.

Je prenais à présent un premier risque en lui proposant de venir avec moi pour un bain de minuit, je n’étais pas sûr du tout qu’elle accepte de m’accompagner mais j’avais au moins fait un effort qu’elle ne devait pas attendre de moi. Lui proposer une sortie publique devant tous les autres, mes amis en particulier même si Roxanna manquait un peu à cette soirée. « Hm, je ne sais pas… Ils sont beaux tes potes ? » Je souriais faisant durer le suspense quelques secondes avant de finir par répondre en manquant de tomber à la renverse lorsqu’elle m’offrait une vue sur son cul bombé en se baissant pour récupérer mes lunettes. J’avais tout le mal du monde à fermer la bouche et à ne pas avoir une réaction masculine parce qu’elle était très sexy là. « Je pense qu’ils sont trop cons pour toi… Tu mérites mieux qu’eux ! » Moi ? Tout à fait mais je n’aurais jamais le toupet de le lui dire, trop de fierté. « Au pire, je veux bien venir, j’allais me regarder un film mais un bain de minuit, ça me tente plus… Tu peux m’attendre cinq minutes, juste le temps d’enfiler un maillot ? Hum… entre si tu veux. » J’entrais sans ajouter un mot prenant le temps de suivre chacun de ses mouvements jusque dans la salle de bain. Respectueux et gentleman comme j’étais je saisissais mon portable pour prévenir Roxanna de cette soirée et mes potes par la même occasion histoire qu’ils ne soient pas trop cons pendant la soirée. « C’est bon, je suis prête… On y va ? » Je levais la tête et restait ébloui par la beauté de la petite brune. « Tu sais qu’on ne part pas pour la fashion-week là ? Tu es… Magnifique ! » Je souriais prenant la direction du lac, nous retrouvions mes fameux potes en quelques minutes, je faisais brièvement les présentations décidé à aller à l’eau dès maintenant, il faisait trop chaud. « Tu sais quoi… J’ai bien envie de te faire boire la tasse ce soir. » En quelques secondes je lui arrachais presque sa robe qui glissait naturellement sur son corps jusqu’à atteindre le sol et nos deux serviettes la prenant comme un sac à patates pour courir dans l’eau tombant et emportant sous l’eau Charlie par la même occasion. Voilà qui était mieux.
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La vie était inattendue. Jamais Charlie ne se douterait que six ans plus tard, elle retrouverait Soliman, et dans l’université où elle avait décidé d’étudier, Harvard. On pouvait clairement qualifier cela de coup de destin. Elle qui le haïssait, voilà que maintenant elle commençait à passer du temps avec lui, et même le retrouver devant la porte de sa chambre au Summer Camp. Et qu’en prime, ça ne la dérangeait pas, loin de là. Bizarre. Bientôt la fin du monde ? Bref. Charlie releva son regard vert sur Marlson lorsqu’elle l’entendit se mettre à rire, suite à sa remarque, certes très ironique. Car il fallait avouer que la brunette et la bonté… il y avait une marge. Très grosse marge. Ayant grandie au sein d’une famille reconnue mondialement et sans soucis financiers, Léna avait toujours obtenu tout ce qu’elle désirait, et en bonne garce qu’elle était, ne fréquentait que les personnes avec un rang social élevé. Pas de pitié pour les autres, dont elle restait le plus loin possible. Pourtant, elle savait que ce n’était pas la meilleure des attitudes, mais s’en fichait totalement ; elle était comme ça, voilà tout. « Je pense aussi, tu devrais peut-être aller aux secours populaires trier les vieux vêtements qui puent… Tu vas évaporer ta bonté plus facilement et pouvoir à nouveau me haïr, c’est plus marrant quand même ! ». La Kovalevski esquissa un léger sourire : très drôle. Même Soliman ne croyait pas en sa soi-disant bonté, étant donné qu’il s’en moquait ouvertement, et à la vue de tous. Elle eut envie de le frapper –gentiment- sur le coup, mais ne fit aucun geste, se contentant de répliquer simplement : « Ne t’inquiète pas Marlson, ma bonté va s’évaporer avec l’été ; à la rentrée, je te haïrais de nouveau. » C’était peu probable, et ça la troublait, d’ailleurs, de ne pas savoir encore comment se comporter avec en septembre. D’habitude, elle ne se posait pas de questions : dès qu’elle le voyait, une pique à balancer et voilà. Mais maintenant ? Allait-elle avoir à lui dire bonjour dès qu’elle le verrait ? Lui parler, continuellement ? C’était perturbant. N’ayant aucune réponse qui lui paraissait plausible, elle aviserait à la rentrée. Pour le moment, Charlie alla chercher les lunettes du brun, qui se trouvaient bien dans son sac, posé sur son lit, avant de venir les lui tendre, tandis que le jeune homme lui répondait à propos de ses amis : « Je pense qu’ils sont trop cons pour toi… Tu mérites mieux qu’eux ! ». Nouveau sourire. Et bien, et bien, c’était surprenant, encore. L’étudiante en mode passa une main sur son chignon négligé, le détacha, et le fit une nouvelle fois, tout en répliquant, amusée : « Je vais devoir passé la soirée avec toi alors ? Mon dieu, quelle torture. » Sûrement pour ça qu’elle trépignait d’envie d’y être enfin avec lui. Se pressant, Charlie prit la direction de la salle de bain, pour enfiler son bikini et la robe, avant d’en ressortir, avertissant Soliman qu’elle était prête. « Tu sais qu’on ne part pas pour la fashion-week là ? Tu es… Magnifique ! » . Se tournant vers le miroir en pied, la brunette jeta un coup d’œil à son reflet ; on lui avait souvent dit qu’elle était belle, mais lorsque le compliment provenait d’une personne à qui on tenait, il prenait encore plus de sens. Rivant son regard sur le Winthrop, Léna haussa légèrement les épaules, répondant brièvement, flattée malgré tout : « Merci ; et je sais que l’on ne va pas à la fashion week. »

Attrapant sa serviette de plage au passage ainsi que son blackberry rose duquel elle ne se séparait jamais, Charlie suivit Soliman jusqu’au lac. Ses amis étaient déjà là, et les présentations ne tardèrent pas à être faites. A peine la brunette eut-elle le temps d’étaler sa serviette au sol et d’y laisser son portable, qu’elle entendit Marlson dire : « Tu sais quoi… J’ai bien envie de te faire boire la tasse ce soir. ». Sans qu’elle ne puisse réagir, la Mather sentit sa robe glisser hors de son corps, et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, se retrouva prise comme un « sac de patates « par le jeune brun. Donnant des coups dans son dos, Charlie se mit à lancer : « Lâche-moi… Lâche-moi tout de suite Marlson ou tu vas le regretter… Noon… » puis elle se sentit plongée dans l’eau froide. Après quelques secondes, Léna refit surface, et s’approchant de Soliman, se mit à le frapper avec ses mains : « T’es con, il fallait d’abord que je vérifie si l’eau était un minimum propre. Mais je comprends mieux pourquoi tu traînes avec des amis cons ; en fait tu l’es toi aussi. » Puis elle essaya du mieux qu’elle pouvait d’appuyer sur sa tête pour le faire couler.

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A-D Charlie Kovalevski & Soliman A. Marlson

Je ne croyais pas du tout en la fatalité du destin, je pouvais néanmoins accepter le fait que parfois les choses soient faites d’une manière surprenante pour permettre à des choses inattendues d’arriver. Un exemple ? Une possible amitié avec Charlie, pas que tout soit dans la poche hein mais il y avait du potentiel, nous ne nous étions pas hurlés dessus depuis le début de la soirée et c’était clairement une évolution, le fait d’avoir été seuls au monde pendant une ou deux bonnes heures sur cette piste de ski qui était fermée l’été nous avait permis d’avoir une conversation à cœur ouverte sans aucuns mensonges, une conversation supplémentaire qui était inattendue. Bref, peut-être que le destin avait quelque chose à voir avec le fait que l’on soit en permanence forcé d’échanger de temps en temps l’un avec l’autre, tout d’abord à l’université puis au Summer Camp. Peut-être que j’avais un petit coup de collier qui m’était donné pour comprendre que j’avais encore des sentiments puissants à son égard, peut-être que si je n’avais jamais eu l’impression de retomber amoureux c’était parce que Charlie était celle de qui j’étais fou depuis six ans ? Trop de questions pour des réponses bien trop floues. Le temps ferait son travail en me permettant d’y voir plus clair, la seule chose que je savais à ce moment précis c’est qu’elle occupait mes pensées et que je désirais plus que tout au monde la revoir au plus vite. Avachi à l’entrée de la chambre de Charlie je plaisantais pour la première fois depuis longtemps avec cette dernière, des pics, de l’ironie toujours aussi présente mais dans un degré plus agréable, il n’y avait rien de foncièrement méchant. « Ne t’inquiète pas Marlson, ma bonté va s’évaporer avec l’été ; à la rentrée, je te haïrais de nouveau. » Je souriais amusé m’approchant légèrement pour lui répondre avec autant de sarcasmes qu’elle. « Génial, j’ai hâte de revoir ça… Tu seras la première au courant de la reprise des hostilités à la rentrée. Prépares-toi à verser du sang pendant notre nouveau round. » Humour quand tu nous tiens, je ne me sentais même plus capable d’être méchant à son égard, la seule chose qui me faisait envie pour la rentrée c’était d’être plus proche d’elle, étais-ce possible ? Surement que oui. Proche comment ? Ensemble ? Aucune idée. Lui proposant de venir avec moi pour un bain de minuit je justifiais la nécessité qu’elle soit avec moi par le fait que mes amis n’étaient pas suffisamment géniaux pour elle. Improvisation totale je vous l’accorde. « Je vais devoir passé la soirée avec toi alors ? Mon dieu, quelle torture. » Je souriais une nouvelle fois ne la quittant pas du regard une seule seconde, il ne faisait pas froid dehors et être seulement vêtu d’un short ne me dérangeait pas. « Pourquoi attendre la rentrée pour te torturer après tout ? Mais oui… C’est hélas ça, tu vas devoir subir ma présence pendant une bonne partie de la nuit… C’est… Epouvantable n’est-ce pas ? Tu veux que je prévienne les urgences qu’ils se tiennent prêts à t’accueillir en cas de suicide ? » Je souriais une nouvelle fois, j’étais comme heureux avec elle ce soir.

Après lui avoir fait savoir qu’elle était superbe nous avions pris la route du lac et je ne m’étais pas fait attendre pour en finir avec les présentations et l’emmener de force dans l’eau, tant pis si je lui mouillais les cheveux ou je ne sais quoi d’autre, ce soir je comptais bien m’amuser à l’embêter. « Lâche-moi… Lâche-moi tout de suite Marlson ou tu vas le regretter… Noon… » Je souriais courant encore plus vite dans l’eau, la force du liquide me faisait rapidement ralentir dans ma vitesse pour finalement m’exploser comme une merde dans l’eau avec la jeune femme, il y avait suffisamment de profondeur pour que l’on se retrouves tous les deux la tête sous l’eau, reprenant mon souffle à la surface je pouffais de rire alors qu’elle faisait de mon épaule la victime de ses petites baffes qui paraissaient être des petits coups de vent sur mon corps musclé. « T’es con, il fallait d’abord que je vérifie si l’eau était un minimum propre. Mais je comprends mieux pourquoi tu traînes avec des amis cons ; en fait tu l’es toi aussi. » Je pouffais de rire. « Le lac est propre, mais il y a des attaques de requins blancs tu devrais faire attention… Et… Qui se ressemble s’assemble ma chère, tu es donc très conne toi aussi ! » Je souriais revenant à la petite plage de sable me demandant ce que mes amis faisaient. « Soliman… Charlie, vous jouez au jeu de la bouteille ? Charlie lance en première puisque tu es une invitée spéciale ce soir ! » Une des seules filles du groupe s’adressait à nous deux. Me laissant tomber auprès d’eux formant un cercle plus distingué je levais la tête vers Charlie. « Alors ? Madame n’est pas suffisamment conne pour jouer avec nous ? » Je souriais amusé.
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soliman & charlie ;



three days grace ;; i hate everything about you.

« Génial, j’ai hâte de revoir ça… Tu seras la première au courant de la reprise des hostilités à la rentrée. Prépares-toi à verser du sang pendant notre nouveau round. ». A la remarque de Soliman, Charlie sourit, amusée. Honnêtement, la rentrée s’annonçait carrément bizarre. Alors quoi, il n’y aurait plus leurs bonnes vieilles et grosses disputes au sein de l’université, celles qui commençaient avec une simple pique que l’un ou l’autre lançait, étant donné la situation dans laquelle ils se trouvaient à présent ? Et dire qu’il avait suffi d’un isolement d’une heure voire deux en haut de la montagne pour enfin réussir à communiquer comme deux personnes normales et se dire toutes les choses qu’ils pensaient. Pourtant, ils venaient de passer trois longues années –sans compter celle du lycée- dans la même université, sans jamais parvenir à ce résultat. En même temps, s’éviter à Harvard était bien plus simple, étant donné que Charlie traînait avec ses amis, et Soliman avec les siens. Ils n’étaient donc jamais seuls dans un même endroit, dans une situation propice pour des explications. Le Summer Camp avait donc été une occasion idéale, et Charlie ne regrettait finalement pas d’y avoir participé, surtout au vu des évènements qui se déroulaient. Du moins, pour l’instant. Tournant son regard vers Soliman, la jeune femme secoua légèrement la tête, avant de lui répondre, d’un ton sarcastique : « C’est toi qui va verser du sang Marlson, alors c’est plutôt à toi de t’y préparer. » Carrément troublant lorsqu’elle réalisa qu’ils étaient vraiment en train de plaisanter. Jamais elle n’aurait songé à débuter une sorte de complicité avec lui, c’était hors de question. Mais c’était exactement là où tout cela tendait. La preuve : le bain de minuit, qu’elle allait passer avec ses amis et lui. Auparavant, Soliman ne l’aurait certainement jamais invité, c’était même impensable ; et elle n’aurait d’ailleurs jamais acceptée. Mais voilà que ce soir, elle avait enfilé son bikini, prête pour s’y rendre, réellement, sans cependant négliger une petite pique ironique en passant, étant donné que c’était devenu une habitude entre eux, pique à laquelle la réponse de Marlson ne tarda pas : « Pourquoi attendre la rentrée pour te torturer après tout ? Mais oui… C’est hélas ça, tu vas devoir subir ma présence pendant une bonne partie de la nuit… C’est… Epouvantable n’est-ce pas ? Tu veux que je prévienne les urgences qu’ils se tiennent prêts à t’accueillir en cas de suicide ? ». Un léger sourire sur les lèvres, Charlie esquissa une grimace : le pire était probablement qu’au fond, elle avait hâte de se retrouver à ses côtés pour le restant de la soirée. Mais elle ne pouvait décemment pas le lui avouer, du moins, pas pour l’instant, c’était bien trop tôt encore. Réajustant alors sa robe rose, la jolie brune répliqua : « Épouvantable, comme tu dis. Mais si tu penses que je vais me suicider pour toi, alors là, tu peux aller te suicider. »

Les deux jeunes s’étaient ensuite dirigés vers le lac ; Charlie y était déjà venu quelques jours plus tôt, lors d’une fête organisée où tout le monde était en sous-vêtements, et elle trouvait le coin plutôt charmant. Certes, ce n’était pas ici qu’elle traînerait tous les jours, mais c’était pas mal. Il y avait un bar à proximité, et c’était sans aucun doute ce qui rendait l’endroit plus intéressant. Mais avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, elle sentit Soliman l’attraper, puis il fonça droit dans l’eau, qui était plus profonde qu’elle ne l’aurait cru, sans écouter ses menaces. Après être remontée à la surface, Charlie donna des coups aussi forts que possible vers le brun, qui s’était mis à rire, geignant en même temps. « Le lac est propre, mais il y a des attaques de requins blancs tu devrais faire attention… Et… Qui se ressemble s’assemble ma chère, tu es donc très conne toi aussi ! » . Il était sérieux avec ces requins blancs ? Jetant un regard inquiet alentour, Léna décida de s’extirper hors de l’eau, se posant sur le rebord, plus en sécurité, avant de faire un doigt en direction de Marlson : « Fais-toi bouffé par ces requins blancs tiens... Qui se ressemble s’assemble exactement, c’est bien pour ça qu’on ne s’assemblera jamais… En plus, mes cheveux doivent être dans un état… » Léna passa une main dans ses cheveux mouillés, refaisant par la même occasion son chignon, avant de suivre des yeux Soliman qui sortait également de l’eau, pour rejoindre la petite plage, tandis qu’une voix féminine retentit : « Soliman… Charlie, vous jouez au jeu de la bouteille ? Charlie lance en première puisque tu es une invitée spéciale ce soir ! ». L’étudiante se releva de sa place pour rejoindre les autres, assis en cercle. Jouer au jeu de la bouteille avec Marlson et ses amis ? On aura tout vu, décidément. Était-elle en train de rêver, par hasard ? « Alors ? Madame n’est pas suffisamment conne pour jouer avec nous ? ». La Kovalevski se laissa tomber au sol, sur le sable, s’asseyant en tailleur au côté de Soliman, à qui elle adressa un petit sourire. « Tais-toi va… Bon, d’accord, je commence alors. » Au milieu se trouvait une bouteille de vodka vide et Charlie ne put s’empêcher de se dire qu’un verre d’alcool n’aurait pas été de refus là tout de suite. Non pas qu’elle soit alcoolique, mais la jeune femme cachait des bouteilles dans ses placards, aussi bien ici qu’à Harvard, et elle aimait prendre un verre dès que l’envie se présentait. Enfin, tendant la main vers celle qui était au milieu, la brunette la fit délicatement tourner, avant de s’arrêter sur la fille justement. Dur quand on ne connaissait pas la personne mais une idée lui germa dans la tête et Charlie lança : « Facile. Enlève ton tee-shirt. » Non pas qu’elle s’intéressait aux filles, mais c’était simplement pour pouvoir observer comment Soliman allait réagir, s’il allait la matter et cie ; bizarre mais vrai. (a) La fille dont Charlie avait oublié le prénom, s’exécuta, avant de répondre : « A mon tour. » Elle fit tourner la bouteille qui s’arrêta sur Marlson justement. Relevant la tête vers la fille, Léna attendit d’entendre le défi lancé.

(Invité)

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