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soliman ✽ if karma doesn't hit you, i fucking will.

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three days grace ;; i hate everything about you.

Charlie n'était jamais allée à la montagne de toute sa vie, malgré le fait qu'elle en avait souvent eu très envie. Non, ses parents préféraient les emmener, sa soeur jumelle Apple et elle, à Londres, leur lieu de naissance, ou alors dans des stations balnéaires prestigieuses telles que Biarritz en France, ou encore sur les îles. Dans des endroits chauds. Le Summer Camp était donc une occasion idéale pour enfin pouvoir faire la rencontre des montagnes. Et, en réalité, ce n'était pas du tout ce à quoi elle s'attendait. En effet, en se réveillant ce matin, Aélis avait décidé de se vêtir d'un mini-short en jean, d'un tee-shirt aux manches quatre-quarts blancs avec un noeud noué sur le côté, ainsi que d'un chapeau de la même couleur, préférant laisser ses longs cheveux bouclés détachés. L'étudiante en mode avait ensuite fourré dans un sac le strict nécessaire, s'était rapidement maquillée, et ses skis à la main, avait prit la direction du Jay Peak. Sauf qu'au fur et à mesure qu'elle grimpait sur le sentier, la jolie brune se rendit compte qu'il n'y avait certainement pas assez de neige pour skier. S'arrêtant à quelques mille mètres d'altitude, légèrement fatiguée, la Kovalevski aperçut un énorme panneau, où était inscrit la notion : Interdiction de skier en été. « Mais c'est quoi ce bordel ? » Elle n'avait pas pu retenir une exclamation de rage, encore heureux qu'il n'y avait personne. De plus, elle avait l'air fine avec ses skis, surtout qu'elle avait carrément la flemme de faire demi-tour, après tout le chemin qu'elle venait de parcourir. Quelle situation déplaisante. Peut-être pourrait-elle appeler un moniteur, qu'il vienne la chercher ou même lui envoyer un hélicoptère. S'asseyant sur un rocher non loin de là, la Mather lâcha son fardeau à terre et entreprit d'attraper son blackberry dans son sac, avant de réaliser qu'il n'y avait pas de réseau. " Oh, putain ! " Observant avec attention les alentours, la brunette pria pour que rien de bizarre ne surgisse, optant pour quelques minutes de répit. Après, elle retournera au chalet le plus vite possible, et fera bien en sorte de ne plus jamais revenir dans ce coin. Quelle idée aussi de faire tout ce chemin. C'était bien du Charlie tout craché, de faire quelque chose sans réfléchir aux éventuelles conséquences. Mais au moins, elle avait pensé à apporter ses cigarettes. Dénichant dans son Longchamps son paquet de Gauloises, la Mather s'en alluma une, tentant de se calmer par la même occasion.
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A-D Charlie Kovalevski & Soliman A. Marlson

La montage, un endroit qui ne me plaisait pas réellement pour être tout à fait honnête, non pas que le cadre était désagréable mais les deux seules fois où j’avais mis les pieds là-bas il m’était toujours arrivé une merde à moi ou à l’un de mes proches, la première fois mon père s’était cassé la cheville en plein milieu d’une piste et j’avais été obligé de le remonter moi-même à bout de bras jusqu’en bas de la piste, à cette époque j’avais treize ans maximum et soulever mon père qui faisait quarante kilos de plus que moi au minimum n’avait pas été une mince affaire. La seconde fois j’avais tout simplement mis le pied dans un trou et avait été bloqué pendant plus d’une heure en attendant que d’autres skieurs passent dans le coin pour m’aider à retirer ce foutu pied qui aurait pu être sectionné si quelque chose avait bougé. Bref, rien de bien joyeux et bizarrement j’avais eu envie de faire de la marche aujourd’hui, un sport qu’on sous-estimait malgré tous les biens faits qu’il faisait. Ni une ni deux je m’étais retrouvé au milieu de la montagne à gravir les escaliers et les chemins qui conduisaient en haut de la colline d’où les skieurs démarraient l’hiver puisque l’été le ski était interdit. Je ne m’attendais pas non plus à tomber nez à nez avec l’une des personnes qui constituaient mon passé, Charlie. Nous avions eu l’occasion de faire comprendre à tous les autres étudiants de l’université que nous ne nous aimions pas avec une série d’engueulades plus indiscrètes les unes que les autres, elle avait été là au bon moment après ma rupture douloureuse, je l’avais un peu prise pour une conne et j’en étais désolé mais elle croyait que je me foutais de sa gueule ce qui n’était pas le cas, j’avais apprécié sa compagnie. Un petit sourire amusé s’installant sur mes lèvres j’approchais d’elle tranquillement. « Oh la chieuse du campus… J’ai de la chance aujourd’hui ! » Ironique quand tu nous tiens.
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Charlie comprenait mieux à présent le pourquoi ses parents ne les avaient jamais emmené à la montagne l'été. C'était tellement le bordel qu'elle n'avait qu'une envie ; retrouver sa chambre à la hâte et peu importe qu'Apple y soit ou non. Ce détail paraissait tellement minime au vu de la situation dans laquelle elle se trouvait là de suite. Enfin, bref, elle n’était définitivement pas une grande aventurière. Tirant une nouvelle bouffée sur sa cigarette, et avant qu'elle ne puisse poser sa tête sur ses genoux, une voix masculine familière retentit près d'elle, une voix qu'elle connaissait que trop bien : « Oh la chieuse du campus… J’ai de la chance aujourd’hui ! » . Relevant ses yeux verts sur la personne qui venait d'arriver, Aélis, tout doute envolé, aperçut Soliman. Oh, non. Pas lui, pas ici. Soliman Marlson ? Elle le détestait, de par leur passé. Et au fond, même si elle refusait de le reconnaitre, c'était entièrement -ou presque- sa faute : elle n'aurait simplement pas dû se jeter dessus à la première occasion, bien qu'il fallait admettre qu'il était plutôt difficile d'y résister. Après tout, il était beau comme un dieu et se retrouver au lit avec lui n'avait rien de déplaisant. Excepté lorsque l'on apprenait par la suite, qu'on avait clairement servi à tenter d'oublier l'ex petite-amie infidèle. Ca, Charlie ne le digérait pas. Et leurs disputes étaient presque devenues légendaires dans tous les recoins d'Harvard. Esquissant sa mine ironique habituelle, accompagné d'un sourire ultra-faux, la Kovalevski lui répondit : « Mais que vois-je ? Une bite sur pattes. Quelle chance aussi dis-donc. » Alors qu'elle n'avait qu'une envie : lui balancer aussi fortement que possible ses skis dessus. Le jeter dans un précipice. Qu'il se fasse dévorer par un loup. Bon, c'était un peu extrême, mais elle n'en était pas loin. Croisant ses jambes, la designer en mode reprit une nouvelle taffe sur sa Gauloises, et après avoir soufflé la fumée, ajouta : « Tu sais Marlson, chaque fois que je te vois, je n'ai qu'un regret : ne pas avoir plus de doigts au milieu de la main. » Ce n'était pas demain la veille que tout irait mieux entre les deux jeunes. Surtout rancunière comme était Charlie.
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A-D Charlie Kovalevski & Soliman A. Marlson

Venir à la montagne en été n’avait pas vraiment d’intérêt, la neige était beaucoup trop fragilisée par le soleil pour avoir une quelconque utilité sportive et puis, lorsqu’il faisait quarante degrés au soleil en pleine après-midi qui avait envie d’aller à la montagne sérieusement ? Personne c’est bien ce que je pensais, la plage nous ouvrait à tous les bras et pour ceux qui n’aimaient pas l’ambiance de la mer ou qui avaient peur qu’un requin tout droit sorti des dents de la mer s’organise un barbecue géant au milieu des nageurs il y avait toujours la piscine. Bref, si j’étais personnellement venu depuis les chambres du Summer Camp au milieu de la montagne, à deux-cent mètres du sommet de cette dernière ça n’était pas pour faire du ski, juste pour faire un peu de marche à pied l’un des sports qui était le plus intéressant et efficace sur le corps lorsqu’on avait pas vraiment le temps de faire de la gonflette. Je ne voulais surtout pas perdre de ma musculature qui me rendait irrésistible, bon après je n’avais pas besoin de ça je vous l’accorde mais ça faisait aussi mon charme. Ma journée aurait pu être parfaite si je n’étais pas tombé en tête à tête avec Charlie la petite sœur d’Apple, lorsque j’avais été trompé par ma petite copine de longue date j’avais tellement le cœur brisé que j’avais tout fait pour l’oublier et me trouver quelqu’un d’autre pour ne plus avoir mal à ce point. La brunette avait été la première qui m’avait témoigné un intérêt peu de temps après et au final nous avions eu une relation sexuelle qui s’était répétée plusieurs fois avant qu’elle ne comprenne que j’essayais simplement d’aller de l’avant. Forcément son égo en avait pris un coup mais à mes yeux il n’y avait rien eu de négatif, je m’étais attaché à elle et elle ne s’en était même pas rendu compte. Depuis nous allions d’engueulades à engueulades pour le plus grand plaisir des commères d’Harvard qui commentaient le tout. « Mais que vois-je ? Une bite sur pattes. Quelle chance aussi dis-donc. » Je souriais amusé approchant de l’emplacement sur lequel était installée la jeune femme. « Bite sur pattes qui t’as fait gémir pendant un temps si mes souvenirs sont exacts… » Je venais m’asseoir, entre nous il y avait beaucoup de haine mais entre la haine et la tentation il n’y avait qu’un pas. « Tu sais Marlson, chaque fois que je te vois, je n'ai qu'un regret : ne pas avoir plus de doigts au milieu de la main. » Je rigolais sortant de mon sac de sport une bouteille d’eau dans laquelle je buvais un bon quart de contenue, la marche ça tuait, surtout sous cette chaleur. J’avais envie de me foutre à poil et de sauter dans la neige pour me rafraichir. « C’est trop aimable de ta pars, mais tu n’as hélas pas suffisamment de doigts… Tu fais quoi ici ? Tu te prépares pour l’hiver avec tes skis ? »
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« Bite sur pattes qui t’as fait gémir pendant un temps si mes souvenirs sont exacts… » A la remarque de Soliman, Charlie perdit immédiatement son sourire ironique et détourna vivement le regard, tandis qu'il venait également s'asseoir. Un sale petit con, voilà ce qu'il était. Il n'était définitivement pas supportable, et Charlie se dit que ses amis devaient avoir beaucoup de patience pour trainer avec quelqu'un comme lui. Ce qui était bizarre, c'était qu'en temps normal, la Kovalevski en aurait rien à faire de ce genre de choses, étant elle-même du genre à jouer avec les gens lorsque l'envie lui prenait et à les oublier une fois que le soleil s'était levé. Sauf qu'elle s'était plutôt bien attachée à Marlson, fait assez inhabituel mais qu'elle ne s'avouerait jamais, et qu'elle était tombée de haut avec ce qu'elle avait compris au fur et à mesure qu'ils se voyaient, tout le bordel qui s'était passé avec son ex-copine et son ex-meilleur ami. Ce n'était qu'un mec comme un autre, voilà tout. Tentant de rester calme, l'étudiante en mode reprit une bouffée de sa cigarette, et tout en prenant soin de souffler la fumée en forme de cercles, elle lui répondit, sans réellement mesurer ses propos : « Oui mais qui est apparemment pas assez efficace pour empêcher sa copine d'aller voir chez son meilleur ami. » avant de réaliser que ce qu'elle venait de dire était simplement méchant. C'était tout Charlie ça de balancer des mots sans réfléchir, impulsivement. On lui avait déjà reproché bien des fois de ne pas tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Mais rien à faire, elle était toujours pareille. L'anglaise se demanda un instant si elle devait ou non s'excuser brièvement, car après tout, le jeune homme en avait souffert pendant une longue période, mais aucun mot d'excuse ne sortit de sa bouche et elle se contenta de rester impassible.

« C’est trop aimable de ta pars, mais tu n’as hélas pas suffisamment de doigts… Tu fais quoi ici ? Tu te prépares pour l’hiver avec tes skis ? » Charlie dut serrer ses lèvres pour éviter de sourire, étant donné qu'elle savait elle-même qu'elle avait été stupide d'emporter ses skis en été. Aussi, lorsque l'on était jamais venu, on ne pouvait pas savoir. En guise de réponse, la brunette lança : « T'es drôle toi. Non tu vois, j'espérais passer un moment tranquille et oui je pensais qu'il y aurait de la neige, ce qui explique la présence des skis, mais étant donné que je n'ai ni le moment tranquille ni la neige, j'attends d'être un peu moins crevé et je vais retourner dans ma chambre. » Écrasant sa cigarette sous ses chaussures, et ôtant son chapeau blanc, Aélis ajouta : « Et toi, à part faire chier le monde, tu faisais quoi ici ? Non pas que ça m'intéresse mais bon, question de politesse. » Ouais, bien sûr, surtout que pour la politesse chez Charlie, on repassera.
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A-D Charlie Kovalevski & Soliman A. Marlson

Ma relation avec Charlie avait vraiment été très étrange et bien avant qu’elle découvre que je me servais d’elle les premières semaines pour oublier cette garce qu’était mon ex-copine. Au départ comme je venais de le dire elle me servait juste à me défouler, à penser à autre chose et peut-être même parfois à rendre jalouse celle qui avait été ma copine pendant trois longues années de ma vie. Le problème c’est qu’avec le temps j’avais appris à faire plus ample connaissance avec Charlie et que j’étais tout simplement tombé sous son charme, elle me plaisait énormément et j’étais même sur le point de céder à des sentiments qui naissaient en moi. Par malchance ou au contraire par chance elle avait compris que les bases de notre relation n’étaient que mensonges et elle ne s’en était visiblement jamais remise sur le point de l’égo, elle était rancunière je le savais et j’aurais espéré qu’elle passerait à autre chose pour avoir une quelconque seconde chance de lui prouver que je n’étais pas qu’un abruti mais ça n’arriverait pas et peut-être que ça n’était pas plus mal à la réflexion, je n’en savais rien mais toujours est-il que malgré toutes les engueulades, les pics et les insultes qui fusaient entre nous deux j’étais content de passer un peu de temps avec elle, bien sûr jamais je ne le lui ferait savoir par fierté mais c’était vraiment le cas. Je taquinais comme habituellement Charlie qui avait profité de la fameuse bite sur pattes comme elle le disait si bien. « Oui mais qui est apparemment pas assez efficace pour empêcher sa copine d'aller voir chez son meilleur ami. » Touché coulé, je baissais la tête une microseconde sentant la rage qui montait d’un seul coup comme une simple montée d’adrénaline dans des situations vraiment dangereuses mais je n’étais pas faible au point de lui hurler dessus pour qu’elle soit fière d’avoir appuyé sur l’une des cordes sensibles qui, d’ailleurs l’était nettement moins, je m’en fichais de mon ex, elle était aussi importante qu’une personne qu’on ne connaissait pas, aucun intérêt. Je ne souriais néanmoins plus relevant la tête sans lui adresser le moindre regard ni la moindre réponse.

Je changeais rapidement de sujet n’étant pas vraiment d’humeur pour les pics dans ce genre parce qu’être méchant ça me connaissait aussi mais c’était uniquement sous le coup de l’impulsion. La dernière fois où j’avais été méchant gratuitement, juste pour le plaisir de faire mal la jeune fille en face avait explosé en sanglots et même si je la détestais je m’étais senti tellement mal que j’avais pris note de cette expérience pour ne plus reproduire cette erreur. Depuis je lançais toujours autant de pics mais ils étaient moins blessants, après, lorsqu’on me cherchait un peu trop je redevenais le mec méchant parce qu’il n’avait pas disparu comme par magie. « T'es drôle toi. Non tu vois, j'espérais passer un moment tranquille et oui je pensais qu'il y aurait de la neige, ce qui explique la présence des skis, mais étant donné que je n'ai ni le moment tranquille ni la neige, j'attends d'être un peu moins crevé et je vais retourner dans ma chambre. » Je souriais amusé plongeant mon regard dans le sien alors qu’elle écrasait sa clope. « Pauvre chérie qui n’a rien pour elle aujourd’hui… Un conseil, retourne vite te coucher ça ira mieux demain ! » Je souriais une nouvelle fois prenant une courte inspiration prêt à dégainer avec de nouveaux pics si elle me répondait. « Et toi, à part faire chier le monde, tu faisais quoi ici ? Non pas que ça m'intéresse mais bon, question de politesse. » Je la regardais un instant répondant du tac au tac avec un air ironique. « Ça se voit pas ? Je cherchais quelqu’un à faire chier et c’est là que tu prends de l’importance… Pour une fois que je t’accorde de l’importance pour autre chose qu’oublier les anciennes conquêtes. » Je venais d’être méchant gratuitement, une petite vengeance pour ses propos de tout à l’heure. « Non… Je fais juste un peu de sport et j’en profite pour m’aérer l’esprit loin des autres mais je ne sais pas pourquoi je te le raconte… Tu t’en fous après tout ! »
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La méchanceté gratuite ne dérangeait aucunement Charlie. Si ce n'était pas quelqu'un qu'elle appréciait, elle ne se gênait absolument pas pour balancer ses moindres pensées, aussi mesquines soient-elles et sans regret. Elle-même en avait été victime plus jeune, et par ses propres parents qui plus est. Lorsqu'elle n'était qu'une adolescente, son père la critiquait ouvertement de propos divers, tels que " tu n'es qu'une traînée " , " t'es bonne pour finir à la rue ", " t'es bonne à mendier " et le pire " prends exemple sur Apple ". C'était par ailleurs de là que la rivalité avec sa jumelle avait commencé, lorsque Charlie ne parvint plus à la supporter, jalouse du succès qu'elle avait auprès de presque tout le monde, et surtout de sa famille. Depuis cette période, la jolie brune avait décidé de ne plus se laisser marcher sur les pieds et après que ses parents l'aient renvoyé à Londres suite à son honteuse anorexie -selon eux-, Charlie s'était radicalement éloigné de ces derniers. Et ça lui faisait un bien fou. De ce fait, elle eut un pincement au coeur lorsqu'elle se rendit compte après coup de la phrase qu'elle venait de balancer à Soliman, dont elle le vit du coin de l'oeil, baisser la tête quelques instants. Même si elle était franchement loin d'apprécier ce qu'il avait fait, il n'empêchait que malgré tout, ils avaient été plutôt intimes durant plusieurs nuits et que même si elle ne l'aurait pas souhaité, elle s'était attachée à lui, vraiment. Sans oser se tourner de son côté, la Kovalevski saisit à nouveau dans son sac, son paquet de Gauloises, et s'en alluma encore une. C'était ça lorsqu'elle commençait à stresser. Et avant de la porter à ses lèvres, la Mather lança d'une voix quasiment inaudible : « Désolée, c'est pas ce que je voulais dire. » Une grande première, elle qui détestait s'excuser.

Mais évidemment, elle avait tout de même un coeur comme tout le monde, et il lui arrivait de se sentir mal lorsqu'elle disait ou faisait quelque chose de pas forcément gentil. Tirant une bouffée sur sa cigarette, Aélis tourna son regard verdoyant vers Marlon tandis que celui-ci lui répondait : « Pauvre chérie qui n’a rien pour elle aujourd’hui… Un conseil, retourne vite te coucher ça ira mieux demain ! » Pour une fois, il avait raison même si elle n'appréciait pas le ton. Cependant, elle se garda de répondre, surtout qu'il continua : « Ça se voit pas ? Je cherchais quelqu’un à faire chier et c’est là que tu prends de l’importance… Pour une fois que je t’accorde de l’importance pour autre chose qu’oublier les anciennes conquêtes. » Sans sourire, en le fixant, la jeune femme répondit d'un ton froid : « Je sais que ça te fait plaisir, mais vraiment, Marlson, t'es qu'un con. » Parti comme ça, elle allait être de mauvaise humeur toute la journée. « Non… Je fais juste un peu de sport et j’en profite pour m’aérer l’esprit loin des autres mais je ne sais pas pourquoi je te le raconte… Tu t’en fous après tout ! » Sans même le regarder, et après avoir décroiser ses jambes, Charlie lança brièvement sur un ton agacé : « Oui voilà, je m'en fiche complètement. D'ailleurs, tu peux partir là, au moins j'aurais la paix ; tu reviendras me voir sûrement quand t'auras encore une ex à oublier. » Énerver la Kovalevski, c'était probablement la chose la plus facile au monde. C'était simplement chiant qu'il soit aussi craquant.
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A-D Charlie Kovalevski & Soliman A. Marlson

Peut-être que j’étais borné pour ne pas avoir fait d’excuses à Charlie depuis que les évènements s’étaient déroulés il y a de cela près de cinq ans, pour moi je n’avais rien fait de mal, certes au départ je n’avais pas accepté de sortir avec Charlie lorsqu’elle était venue me proposer d’aller avec elle au cinéma sans être intéressé par l’idée d’oublier tout ce qu’il m’arrivait avec cette fille dans ses bras mais la suite n’avait pas été aussi préméditée qu’au début, j’avais couché avec elle la première fois parce qu’elle m’attirait soyons honnêtes et je n’aurais jamais fait ça sans réfléchir puisque j’avais été le premier à lui faire l’amour et même si ça pouvait paraitre stupide j’avais encore des valeurs de vieux garçons, je n’étais pas le premier pour des filles qui ne m’intéressaient pas. Par la suite j’avais vraiment eu quelque chose pour elle, un coup de cœur et si personne n’avait fait comprendre à Charlie que les premières semaines de notre relation n’étaient pas forcément basées sur des envies honnêtes je pense qu’il aurait pu y avoir une relation sur la longue durée. Je ne pouvais pas savoir ce qu’il se serait passé mais puisque j’étais sincère j’avais un peu du mal à voir en quoi j’avais fauté pour la jeune femme. Avec le recul je comprenais néanmoins que le fait que je l’ai en quelque sorte trahie en me jouant d’elle au départ pouvait lui rester en travers de la gorge d’où sa haine envers moi et les pics de plus en plus présents lorsqu’on se voyait puisque je n’étais pas du genre à me taire et faire l’indifférent. Sans pour autant entrer dans son jeu j’aimais encore bien accepter ses phrases fracassantes avec une bonne dose d’ironie ce qui avait le don de l’énerver encore plus.

« Désolée, c'est pas ce que je voulais dire. » Des excuses de sa part ? J’étais tellement surpris que j’en avais perdu la parole, fait également rare pour qu’on le signale. Du coup je venais à me sentir mal de lui avoir répondu de manière sèche à tout ce qu’elle venait de me dire, j’en avais même profité pour lui lancer un pic à la hauteur du dernier qu’elle m’avait mis dans les dents, avoir des remords ne rentrait pas dans mon caractère et pourtant j’en avais parce qu’il y avait des choses concernant Charlie que je ne pouvais pas maitriser. J’aurais toujours une certaine affection pour elle, malgré toute notre histoire perturbée elle avait su s’offrir une place d’importance dans ma vie et son départ précipité m’avait un peu pris de court à l’époque. « Je sais que ça te fait plaisir, mais vraiment, Marlson, t'es qu'un con. » Je souriais avec un air de mec fier de sa connerie. « Merci… Je cherche à avoir la médaille d’or des Jeux Olympiques de la connerie, j’ai besoin d’entrainement et t’es un bon punching-ball ! » Je lui adressais un petit sourire amusé tout en conservant mon ton hautement ironique. « Oui voilà, je m'en fiche complètement. D'ailleurs, tu peux partir là, au moins j'aurais la paix ; tu reviendras me voir sûrement quand t'auras encore une ex à oublier. » Je me mordillais la lèvre inférieure, qu’est-ce qu’elle pouvait être sexy lorsqu’elle était en colère. « Très bien… J’ai tout de même été content de te revoir, un été sans avoir droit à quelques pics ça me paraissait beaucoup trop long. » Un instant de sincérité comme il était rare que je le sois, pas que le mensonge fasse partie intégrante de ma vie bien au contraire puisque je n’y allais jamais de main morte lorsqu’il fallait dire ses quatre vérités à quelqu’un mais ouvrir mon cœur même si ça paraissait minime comme ça était très rare. Je n’aimais pas dévoiler mes sentiments. Je me relevais reprenant ma bouteille d’eau pour partir.

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Charlie prit une nouvelle bouffée sur sa cigarette, sans accorder un regard à Soliman, énervée des remarques ironiques et blessantes de ce dernier. Elle avait déjà tenté de jeter l'éponge et oublier toute l'histoire avec le jeune brun, mais sa rancune était trop forte pour qu'elle joue la carte de l'indifférence. Elle détestait le fait de savoir qu'elle avait été " utilisée " dans un but précis , à savoir pour oublier son ex petite-amie, le pire étant qu'il avait été le premier avec qui elle avait couché et qu'elle avait l'impression qu'elle avait justement gâché cette " première fois " qui aurait dû être parfaite. Enfin, elle ne pouvait nier qu'en réalité, ça avait été parfait, sauf que la suite avait tout gâché. Elle comptait cela comme une trahison, implicitement du moins, étant donné que sur le coup, elle s'était prise d'affection pour Marlson. Et que malheureusement, c'était toujours un peu le cas, la raison du pourquoi elle s'était excusée rapidement lorsqu'elle avait balancé une réplique loin d'être élégante à propos de ce qu'il avait vécu. Elle qui d'habitude s'en ficherait complètement. Cependant, le sujet changea totalement, avec la réponse du jeune homme : « Merci… Je cherche à avoir la médaille d’or des Jeux Olympiques de la connerie, j’ai besoin d’entrainement et t’es un bon punching-ball ! » Aélis roula ses yeux ; il mériterait bien des baffes, surtout que niveau connerie, il était loin d'être en reste. Soufflant la fumée de sa Gauloises, la Mather tourna son regard verdoyant sur Soliman, et riposta aussitôt : « Crois-moi, la médaille, si ce n'est pas toi qui la gagne, alors c'est personne. Pour les conneries, t'es très fort ; le seul domaine où tu l'es d'ailleurs. »

Alors qu'il se relevait de là ou il était assis, Soliman lança en même temps, suite à sa remarque : « Très bien… J’ai tout de même été content de te revoir, un été sans avoir droit à quelques pics ça me paraissait beaucoup trop long. » Charlie eut un léger pincement au coeur alors qu'il s'apprêtait à partir. Même si elle ne voulait pas se l'avouer, sa présence ne la dérangeait pas, au contraire et bien que les piques et les disputes ne manquaient pas, au fond, elle aimait bien se retrouver avec lui. Vraiment. Tentant de prendre un air aussi désintéressé que possible, la brunette répliqua d'un ton froid : « Ouais, bah pas moi, je me sens bien mieux sans toi. D'ailleurs, pendant que t'y es, emmène mes skis avec toi et laisse les dans le chalet. Tu me dois bien ça, au moins. »
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A-D Charlie Kovalevski & Soliman A. Marlson

L’ironie était ma seule défense contre les gens qui avaient un minimum d’intérêt pour moi, foncer dans le tas pour les autres n’avait rien d’extraordinaire et je n’avais même pas une once de remord à répondre de la même manière qu’on s’y prenait pour me faire du mal. J’aurais très bien pu faire ça aujourd’hui sauf que Charlie avait une importance particulière à mes yeux, je ne pourrais pas dire qu’elle occupait mes nuits même si c’était parfois le cas lorsque j’étais nostalgique ou qu’il arrivait un moment pendant lequel j’étais dans ma période de regrets, je me sentais toujours très mal en repensant au regard de chien sur le point de mourir qu’elle m’avait adressé lorsqu’elle avait appris pour le départ plutôt très intéressé de notre relation. Ce regard il était impossible que je ne puisse pas m’en souvenir, il était resté ancré en moi et je m’étais senti pire qu’une merde ce jour-là, j’en avais été malade pendant plusieurs jours même si personne ne s’en était rendu compte, la discrétion concernant mes sentiments étant la chose qui me caractérisait le mieux lorsqu’on parlait d’amour depuis cette merdique dernière année de lycée. Tout ça pour dire qu’à chaque fois que je me retrouvais face à elle je me noyais dans une marée de sentiments différents, la tristesse de lui avoir fait autant de mal, la nostalgie d’une relation simple qui m’avait presque fait oubliée ma douleur pendant un moment et également une pointe d’amour parce que je ne pourrais jamais totalement faire une croix sur elle. Je m’enfonçais toujours plus loin dans ma connerie, rentrant totalement dans le jeu de l’exaspération qu’elle maitrisait à merveille tout comme moi, qui se ressemble s’assemble non ? « Crois-moi, la médaille, si ce n'est pas toi qui la gagne, alors c'est personne. Pour les conneries, t'es très fort ; le seul domaine où tu l'es d'ailleurs. » Je rigolais d’une manière très vulgaire, on aurait pu croire un psychopathe complètement timbré pour illustrer encore plus la chose. Toujours sur le ton du sarcasme et de l’ironique je répondais avec un plaisir que je ne dissimulais même plus. « Je pense que j’aurais la médaille mais concernant la médaille de bronze ou d’argent tu es en pole position… Tu n’es pas la fille la plus censée qui soit… Tu dis beaucoup de conneries, des conneries bien plus grosses que toi ce qui n’est pas difficile puisque tu n’as pas un kilo en trop. » Un compliment dans une réplique censée lui faire un peu de mal quand même, je devenais vraiment trop gentil avec elle, j’éprouvais beaucoup trop d’affection et j’étais surement malade pour ressentir ça.

Comprenant qu’elle ne voulait pas de moi ici je me relevais ne pouvant m’empêcher de ressentir une pointe de peine à l’idée de partir parce qu’elle ne voulait pas me voir. Elle me coupait néanmoins dans ma lancée. « Ouais, bah pas moi, je me sens bien mieux sans toi. D'ailleurs, pendant que t'y es, emmène mes skis avec toi et laisse les dans le chalet. Tu me dois bien ça, au moins. » Je tournais la tête vers elle hésitant à répondre à sa froideur. « Mes sentiments me perdront… » Je m’avançais vers elle me baissant pour finir à quelques millimètres de ses lèvres, une petite impulsion aurait provoqué un baiser qui m’aurait plus que plu et m’aurait surement rappelé des bons souvenirs et peut-être donné envie de revenir dans le passé pour une seconde chance ? Je n’y pensais pas, je saisissais les skis de la petite brunette me relevant d’un bond. « Passes de bonnes vacances mademoiselle la chieuse qui ne sourit que lorsqu’elle se rend à l’enterrement de son pire ennemi. » Je repartais un peu plus lentement quelque peu découragé par les quelques kilomètres que j’allais devoir faire avec deux horribles skis. Je franchissais finalement la petite barrière sur notre droite prêt pour redescendre au Summer Camp.
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