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Alec & Cameron
Underco'
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Alec avait la nostalgie du Chili, pas le plat cuisiné, mais le pays et sa fabuleuse Cordillère des Andes. Lui arrivait fréquemment de rêvasser au campement en altitude, rude, mais le seul endroit où la médecine ordonnait de manger tout ce qu’il y avait de plus sucré au monde. Ah pour ça il ne fallait pas craindre de ce nourrir de tablette de chocolat tous les jours, et on ne prenait pas un seul gramme. En revanche le corps était soumis à des conditions extrêmes et Alec en avait fait les frais. Il se souvenait encore parfaitement de son collègue Anglais qui râlait parce qu’Alex ne lui répondait pas. Pourtant il avait été perçoidé d’avoir répondu plusieurs fois. Ce ne fut que lorsque qu’il vit son collègue appeler d’urgence l’équipe médicale avant de le soulever comme un sac de pommes de terre qu’Alec avait compris que tout était fini pour lui. Rare était ceux qui retournait sur le terrain après que leur cerveau est montré qu’ils étaient sujet au mal des montagnes.
Cela fessait donc 3 ans qu’il enseignait à Harvard, et le ciel était loin d’être aussi beau. Néanmoins la grande majorité des étudiants du campus avait déjà vu le professeur allonger de tout son long sur le capot de sa voiture, les yeux grand ouvert à observer les quelque étoiles visible. Tout de suite son autorité en avait pris un coup. Mais pas forcément en mal. La plupart le voyait comme un excentrique, en tout cas, un prof qui n’était pas une machine.
Alec avait décidé de sortir des sentiers battu, ou plutôt du programme, et avait demandé au professeur de photographie de mélanger leurs deux matières.
Prendre les étoiles en photo. L’énoncé du devoir volontaire avait eu le mérite de rendre les mouches audible. Alec avait laissé une feuille d’inscription sur le panneau d’information de la classe de photographie, mais il n’était pas allé voir s’il y avait des inscrits.
Ce soir était le premier cours, et après avoir installé deux instrument, une lunette et un télescope, au fond du parc Alec regarda tout autour de lui et soupira. Ce demandant si il allait passer encore une nuit tout seul à regarder les étoiles.
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Aujourd'hui exceptionnellement mon professeur de photographie m'avait envoyé un message pour que j'aille à Cambridge en ville prendre des photos des étoiles avant le Summer Camp. Bien entendu, j'ai directement accepté, d'autant plus que j'adorais les étoiles autant que la photographie. Si j'avais l'occasion de combiner les deux c'était l'idéal. Après avoir pris mon sac dans lequel j'ai glissé mon appareil photo que je venais de m'acheter, j'ai quitté la maison Cabot pour rejoindre le Cambridge Common ou devait normalement se trouver le professeur d'Astrophysique qui avait demandé des photographes pour le projet.
Moi qui comptais prendre des photos des étoiles - pour moi-même bien entendu - une fois arrivée au Summer Camp, j'allais avoir le parfait entrainement en ville avec le ciel étoilé de Cambridge même s'il allait sûrement être moins visible que le ciel étoilé du Vermont, sans lampadaires et autres lumières artificielles. J'envoyais un message rapide à Jude pour le prévenir que j'allais en ville pour un cours, et alors que la nuit commençait à tomber sérieusement, je me garais dans une ruelle avant de sortir, appareil en main, à la recherche du fameux professeur, Alec Harkness. Au bout de quelques minutes de marche, j'arrivais au point de rendez vous et je distinguais une silhouette qui attendait devant le square. Je m'approchais, hésitante, avant de me risquer à dire « Hm ... Monsieur Harkness ..? »
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Alec pris quelque photo du crépuscule et de ces nuance de couleurs, elles n’étaient jamais les mêmes, et ce soir elles étaient particulièrement belle. Durant l’attente de l’arrivée incertaine d’étudiants à ce cour, qui n’était pas plus amusant qu’une soirée de fête et de débauche, il hésita longuement à dérégler quelque axes. Voir même enlever la lunette astronomique qui ce repérait dans le noire par une bande fluo rouge. La seul couleur qui n’agressait pas les yeux. Et encore. Essayer une seul fois d’éclairer des astronomes en plein observation, et vous comprendrez votre douleur. Alec n’avait mis cette bande que pour éviter qu’un maladroit rentre dedans. Il avait soigneusement enroulé les fils des batteries autour des pieds des deux instruments pour éviter cela.
Les premières étoiles étaient apparues et les premiers clichés étaient inexistants. Officiellement le cour avait comment il y a de cela une demi-heure. Alec avait trouvé préférable que les étudiants volontaires puissent voire la disposition du terrain. Maintenant c’était foutu, il ne restait plus qu’à prier qu’aucun de face tomber un des instruments très coûteux. Si des étudiants ce présentait.
Alec s’était presque totalement résolut a passé une autre soirée seul et à jeter le projet de cour à la poubelle quand une voiture arriva sur le parking un peu plus loin. Alec pris soin de fermer les yeux afin de ne pas trop perdre de sa vue qui s’était habituer au noire puis il entendit qu’on l’appelait.
- Oui. Vous venez pour le cour d’astrophotographie ?. C’est par ici. Faite attention au terrain et n’hésiter pas attendre quelque instant que vos yeux s’habitue à la nuit.
Alec, qui y voyait déjà très bien, presque comme un chat, bien que cela ne valait pas le plateau d’Atacama, alla à la rencontre de l’étudiante et l’aida à ce dirigé dans la bonne direction. Il remarqua qu’elle tenait un appareille et souria, mais personne ne pouvait le voir.
- Vous permettez ?
Sans attendre la réponse Alec pris l’appareille photo des mains de l’étudiante et le retourna, cherchant un pat de vise, avant de le lui rendre dans le même sens.
- Quel est votre nom ?
Lui demanda-t-il alors qu’il était arrivé devant un gros tube de métal poser sur un socle qui ressemblait à un plateau de fromage tournant avec deux arcades pour tenir le tube.
Les premières étoiles étaient apparues et les premiers clichés étaient inexistants. Officiellement le cour avait comment il y a de cela une demi-heure. Alec avait trouvé préférable que les étudiants volontaires puissent voire la disposition du terrain. Maintenant c’était foutu, il ne restait plus qu’à prier qu’aucun de face tomber un des instruments très coûteux. Si des étudiants ce présentait.
Alec s’était presque totalement résolut a passé une autre soirée seul et à jeter le projet de cour à la poubelle quand une voiture arriva sur le parking un peu plus loin. Alec pris soin de fermer les yeux afin de ne pas trop perdre de sa vue qui s’était habituer au noire puis il entendit qu’on l’appelait.
- Oui. Vous venez pour le cour d’astrophotographie ?. C’est par ici. Faite attention au terrain et n’hésiter pas attendre quelque instant que vos yeux s’habitue à la nuit.
Alec, qui y voyait déjà très bien, presque comme un chat, bien que cela ne valait pas le plateau d’Atacama, alla à la rencontre de l’étudiante et l’aida à ce dirigé dans la bonne direction. Il remarqua qu’elle tenait un appareille et souria, mais personne ne pouvait le voir.
- Vous permettez ?
Sans attendre la réponse Alec pris l’appareille photo des mains de l’étudiante et le retourna, cherchant un pat de vise, avant de le lui rendre dans le même sens.
- Quel est votre nom ?
Lui demanda-t-il alors qu’il était arrivé devant un gros tube de métal poser sur un socle qui ressemblait à un plateau de fromage tournant avec deux arcades pour tenir le tube.
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A Starry Sky
J’avais entendu parler d’un projet très sympathique concernant la photographie, mais aussi l’étude des étoiles. Je n’avais pas hésité une seule seconde à m’inscrire. Une fois qu’on me parlait de photographie, je me sentais comme pousser des ailes et je ne pouvais par conséquent refusé. C’était donc en pleine après midi qu’à l’aide d’un stylo, j’avais inscrit mon prénom ainsi que mon nom de famille sur la feuille de papier qui avait été accroché par le professeur d’astronomie. Mélanger les deux pouvait être une très belle expérience, surtout que les étoiles étaient tout simplement magnifique. Je me désolais parfois de ne pas pouvoir en voir plus souvent dû à la pollution et aux lumières artificielles, mais loin de me préoccuper du réchauffement climatique, car j’avais bien d’autres préoccupations que ça et que j’étais la première à jeter mes mégots de cigarettes par terre, je me contentais de prendre des choses bien moins rares.
C’est donc sans gêne, que je laissai choir ma cigarette finie, par terre. Je venais d’arriver à bon port et je n’avais pas l’intention de me faire choper par le professeur en train de polluer sans aucun complexe notre pauvre planète bleue. Apparemment, il ne m’avait pas vu et discutait soit avec sa petite amie qu’il avait décidé d’emmener avec lui pour pouvoir et gérer sa vie amoureuse en lui promettant une ballade en regardant les étoiles, et en s’occupant des étudiants, ou bien était-ce le signe que je n’étais pas la première étudiante à arriver. Le contraire m’aurait étonné. Ce professeur là, je ne le connaissais pas, mais ne voyant personne aux alentours, j’en faisais la conclusion que peut-être que c’était lui ou bien qu’il n’était pas encore arrivé.
Je m’avançais alors vers eux, d’un pas assuré, me positionnant vers une jeune fille que je ne connaissais pas et qui était bien plus jeune que le garçon qui, apparemment, était bel et bien un professeur à moins qu’il est redoublé plusieurs classes. « Je ne vous dérange pas ? » demandais-je, curieuse de savoir ce qu’ils étaient en train de faire. Bon, c’était certes peut-être mal placée, mais si on ne prenait pas ma question de manière déplacée, on pouvait penser que ça en était une tout à fait normale. Je leur souriais tous deux avant de jeter un petit coup d’œil sur ce magnifique ciel. Il n’y avait aucun doute, nous voyons beaucoup mieux les étoiles d’ici, qu’au campus d’Harvard. J’étais donc prête à prendre tout plein de photo, mon appareil professionnel autour du cou.
C’est donc sans gêne, que je laissai choir ma cigarette finie, par terre. Je venais d’arriver à bon port et je n’avais pas l’intention de me faire choper par le professeur en train de polluer sans aucun complexe notre pauvre planète bleue. Apparemment, il ne m’avait pas vu et discutait soit avec sa petite amie qu’il avait décidé d’emmener avec lui pour pouvoir et gérer sa vie amoureuse en lui promettant une ballade en regardant les étoiles, et en s’occupant des étudiants, ou bien était-ce le signe que je n’étais pas la première étudiante à arriver. Le contraire m’aurait étonné. Ce professeur là, je ne le connaissais pas, mais ne voyant personne aux alentours, j’en faisais la conclusion que peut-être que c’était lui ou bien qu’il n’était pas encore arrivé.
Je m’avançais alors vers eux, d’un pas assuré, me positionnant vers une jeune fille que je ne connaissais pas et qui était bien plus jeune que le garçon qui, apparemment, était bel et bien un professeur à moins qu’il est redoublé plusieurs classes. « Je ne vous dérange pas ? » demandais-je, curieuse de savoir ce qu’ils étaient en train de faire. Bon, c’était certes peut-être mal placée, mais si on ne prenait pas ma question de manière déplacée, on pouvait penser que ça en était une tout à fait normale. Je leur souriais tous deux avant de jeter un petit coup d’œil sur ce magnifique ciel. Il n’y avait aucun doute, nous voyons beaucoup mieux les étoiles d’ici, qu’au campus d’Harvard. J’étais donc prête à prendre tout plein de photo, mon appareil professionnel autour du cou.
Fiche (c) Espe
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Je n'ai jamais été très à l'aise avec les parfaits inconnus, alors bon, retrouver un prof que je n'avais pas normalement à la tombée de la nuit en plein coeur de Cambridge, je vous laisse imaginer que j'ai un peu hésité avant de me décider à quitter le bâtiment des Cabots pour y aller. Et surtout, me décider à aller parler au professeur, chose que je finit par faire après quelques secondes d'hésitation. Celui ci se tourna vers moi, alors que, intimidée, je le regardais : Oui. Vous venez pour le cour d’astrophotographie ?. C’est par ici. Faite attention au terrain et n’hésiter pas attendre quelque instant que vos yeux s’habitue à la nuit. J'acquiesçais plusieurs fois, et je le suivais, le laissant me prendre mon appareil photo sans broncher. Je le regardais le manipuler avant de me le rendre, et alors qu'il bidouillait ses appareils, il me demanda : Quel est votre nom ? Alors que ma vue s'habituait lentement mais surement au manque de lumière, je finis par répondre avec un peu plus d'assurance : « Blackburn, Roxanna Blackburn monsieur. » - « Je ne vous dérange pas ? » La voix d'une jeune fille me tira de ma présentation, et je pivotais pour lui faire face. Sans aucun doute une étudiante, comme moi. J'esquissais un sourire, me permettant de répondre : « Non non, pas du tout ! Toi aussi tu viens pour l'astrophotographie ? Moi c'est Roxanna! » Me présentais-je à nouveau avec un sourire en tendant la main à la nouvelle venue. Ouf, je n'étais pas seule à prendre des photos pour ce cours quand même !
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Alec cherchait une cible facile dans le télescope quand une autre élève arriva. Il souria, finalement il ne serait pas seul ce soire. Il se tourna vers la nouvelle venu et pointa son appareille photo du doigt.
- Bonsoir. Montre le dessous de ton appareille.
Alec attendit qu'elle s'exécuter et chercha le reflet d'un pat-de-vise en métal.
- Très bien,..., nous ne somme pas pas là pour que je vous rabâche les oreilles avec des formule mathématique ou de chose trop scientifique, donc si vous ne comprenez pas n'hésiter pas à me demander de réexpliquer. Je ne mord pas,..., Pour ce premier cour nous allons commencer par du planètère. Il a actuellement deux planète visible de là où nous sommes. Dont une bien reconnaissable parce qu'elle est le seul point brillant rouge dans le ciel.
Il pointa rapidement une étoile au reflet rouge dans le ciel avec un lazer vert, il entoura la cible dans le ciel comme si il s'agissait d'un tableau dans une salle plonger dans le noir mais rangea vite le lazer qui était interdit à cause du danger avec le trafic aérien.
- Une planète rouge. J'ose espérer que vous avez deviné de la quelle il s'agit,..., L'autre est nettement plus plus grosse si c'était un ballon on pourrait y mettre 760 fois notre planète, mais malgré sa taille, elle flotterait sur l'eau. Un appareille photo de 7,6 million de pixel et un télescope d'au moins 400 millimètre comme celui-ci suffise a la prendre en photo s'en avoir besoin d'autre chose que le zoom et un oculaire.
Alec se remis à chercher la planète. Puis à l'aide d'un boitier numérique cala le mouvement du télescope su la cible.
- Chacune a votre tour, sans donner de coup dans aucun des appareille aller chercher a prendre en photo le point blanc que l'on voix à travers l'oculaire. Nous verrons la quelle aura le mieux cibler.
Il s'éloigna des instrument et laissa les filles faire.
- Bonsoir. Montre le dessous de ton appareille.
Alec attendit qu'elle s'exécuter et chercha le reflet d'un pat-de-vise en métal.
- Très bien,..., nous ne somme pas pas là pour que je vous rabâche les oreilles avec des formule mathématique ou de chose trop scientifique, donc si vous ne comprenez pas n'hésiter pas à me demander de réexpliquer. Je ne mord pas,..., Pour ce premier cour nous allons commencer par du planètère. Il a actuellement deux planète visible de là où nous sommes. Dont une bien reconnaissable parce qu'elle est le seul point brillant rouge dans le ciel.
Il pointa rapidement une étoile au reflet rouge dans le ciel avec un lazer vert, il entoura la cible dans le ciel comme si il s'agissait d'un tableau dans une salle plonger dans le noir mais rangea vite le lazer qui était interdit à cause du danger avec le trafic aérien.
- Une planète rouge. J'ose espérer que vous avez deviné de la quelle il s'agit,..., L'autre est nettement plus plus grosse si c'était un ballon on pourrait y mettre 760 fois notre planète, mais malgré sa taille, elle flotterait sur l'eau. Un appareille photo de 7,6 million de pixel et un télescope d'au moins 400 millimètre comme celui-ci suffise a la prendre en photo s'en avoir besoin d'autre chose que le zoom et un oculaire.
Alec se remis à chercher la planète. Puis à l'aide d'un boitier numérique cala le mouvement du télescope su la cible.
- Chacune a votre tour, sans donner de coup dans aucun des appareille aller chercher a prendre en photo le point blanc que l'on voix à travers l'oculaire. Nous verrons la quelle aura le mieux cibler.
Il s'éloigna des instrument et laissa les filles faire.
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A Starry Sky
Elle l’air assez sympathique en premier point. Elle ne me snobait pas et me faisait part de son prénom. Bien sûr que ça paraissait évident que mon but ici n’était pas de faire plus ample connaissance avec le professeur. J’étais là dans l’unique but de prendre des photos et donc oui, j’étais bel et bien là pour l’astrophotographie. « Cameron ! Mais tu peux m‘appeler Cam si tu veux » lui dis-je en souriant avant de me tourner vers le professeur dont sa spécialité était les étoiles et tout ce qui touchait de prêt ou de loin, à la galaxie. Autant vous dires que tout ce qui était étoile et planète, ce n’était pas mon dada et j’attendais juste le top départ pour prendre des photos, mais c’était toujours bon d’avoir de bonnes bases pour savoir ce que nous prenions en photo. Je ne le suivais pas toujours, mais j’avais compris l’essentiel. À vrai dire, j’avais déjà eu assez de mal comme ça à apprendre le nom des planètes et leur ordre -même si j’avais apprit un mnémotechnique- au collège, alors vous dires la taille, vous me surestimez.
J’avais comme il me l’avais demandé, retourner mon appareil photo afin qu’il l’observe. Une fois fait je le laissais se redéposer tout doucement sur ma poitrine attendant alors la suite des instructions. Le regard dans le vide, ou plutôt dans le ciel, il est vrai qu’on pourrait croire que je n’écoutais pas, mais le fait de regarde ne faisait qu’apporter des images à ses paroles. « Je veux bien commencer ! » m’exclamais-je alors. Il n’y avait pas grand monde pour le moment, alors le choix ne se disputait pas vraiment. Mon appareille photo en main, je me baissai pour jeter un petit coup d’œil l’oculaire et observer le petit point blanc. J’avais plissé légèrement les yeux dû à la luminosité, mais aussi pour mieux voir. J’étais fin prête. Je ne tardais donc pas à prendre mes plus belles photos pour ce cours en suivant bien les instructions, avant me reculer pour laisser place ç Roxanna. « On va voir si tu peux faire mieux » dis-je en m’adressant à la seconde étudiante. Un grand sourire aux lèvres, ce n’était en rien un défi, quoi qu’un peu, mais mon intention n’était pas qu’elle se braque et qu’elle me pense snob, loin de là. Je voulais juste détendre un peu l’atmosphère, car sinon la nuit ne serait pas très sympathique.
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Alec fit signe à Cameron, dont il avait entendu le nom il lui demanda de voire la photo et s'en surprise l’a photo ne montrait qu’un point blanc sur un écran noire. Il lui demanda alors à voix basse, afin de ne pas déranger Roxanne de zoomé au maximum sur le point blanc, de poussé l’appareille jusqu’à avoir des pixels disgracieux mais le résultat était belle et bien là, on distinguait très nettement la forme d’une planète bien connu de notre système solaire.
- Bon je vous accorde que la qualité est vraiment médiocre à devoir zoomé autant mais cela est déjà très intéressent, nous pouvons même apercevoir quel partie de la planète est le plus éclairer. Regarder, il y a deux couleur, bleu et rouge, cela nous indique où il fait jour sur la planète … enfin grossièrement.
Il jeta un coup d’œil à ce que faisait Roxanne puis entraina Cameron vers la lunette astronomique qui reposait sur le côté d’une sorte de grande plaque. A l’endroit où l’on pouvait en installer une autre un visse attentait qu’on y dépose un appareille photo.
- Aujourd’hui tout est déjà centré, on verra les réglages un autre jour. Vous voyez le petit amas d’étoile juste au-dessus de l’horizon ?, ce qui ressemble à une sucette, ou à un escargot. Dans l’astronomie beaucoup de personne voient des formes différentes mais sont dicté par ce qu’on leur dit que c’est. Celons notre vu on en voit entre 5 et 7 mais il y en a en réalité bien plus. Mettez votre appareille en pose longue, 30 second devrait suffire. Vissé le bien à côté de la lunette.
- Bon je vous accorde que la qualité est vraiment médiocre à devoir zoomé autant mais cela est déjà très intéressent, nous pouvons même apercevoir quel partie de la planète est le plus éclairer. Regarder, il y a deux couleur, bleu et rouge, cela nous indique où il fait jour sur la planète … enfin grossièrement.
Il jeta un coup d’œil à ce que faisait Roxanne puis entraina Cameron vers la lunette astronomique qui reposait sur le côté d’une sorte de grande plaque. A l’endroit où l’on pouvait en installer une autre un visse attentait qu’on y dépose un appareille photo.
- Aujourd’hui tout est déjà centré, on verra les réglages un autre jour. Vous voyez le petit amas d’étoile juste au-dessus de l’horizon ?, ce qui ressemble à une sucette, ou à un escargot. Dans l’astronomie beaucoup de personne voient des formes différentes mais sont dicté par ce qu’on leur dit que c’est. Celons notre vu on en voit entre 5 et 7 mais il y en a en réalité bien plus. Mettez votre appareille en pose longue, 30 second devrait suffire. Vissé le bien à côté de la lunette.
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A Starry Sky
Ce cours pouvait être intéressant, mais surtout du point de vu des magnifiques clichés qu’on pouvait prendre, car la partie théorie était d’un ennui mortel. Enfin, j’essayais tout de même d’écouter attentivement la professeur pour ne pas avoir l’air totalement perdue lorsqu’il me demandera quelque h*chose. Ne sait-on jamais, ça pouvait toujours être important. Pour le moment je restais assez perplexe quant à cette photo. Oui un point blanc, mais en allant au-delà de ça, on pouvait trouver ça fascinant. Au final, en le regardant sans le lâcher des yeux, on pouvait se sentir sur une toute autre planète, ce qui eut le don de me faire sourire, mais avant de partir trop loin dans mon imagination, je retournai ma tête vers monsieur Harkness. J’avais alors zoomé pour mieux voir ce petit truc blanc, sans le lâcher des yeux. J’avais bien essayé de le voir à l’œil nu, mais ça c’était résolue être un échec.
Je confirmais les dires de l’astronome. Du moins je l’appelais comme ça vu qu’il s’y connaissait pas mal. Je devais avouer que la qualité n’était pas top et que je préférais la photo sans zoomer. Je le laissais m’entraîner vers la lunette pour mieux observer ce qu’il y avait à l’intérieur. Je fronçais les sourcils avant de me retourner vers le professeur. « Donc en fait je peux voir ce que je veux, tant que je me dis dans ma tête que c’est telle ou telle chose ? » je marquais une courte pose en réfléchissant à ce que je venais de dire. « Hum…intéressant… » je me pencha de nouveau pour pouvoir mieux regarder cet amas d’étoiles. Je pris alors mon appareil photo et le mis comme il venait de me le dire, en pose longue. Je le vissais alors à côté de la lunette et pris comme à mon habitude les plus belles photos. De toute façon, je trouvais que les miennes étaient toujours les plus belles.
Je confirmais les dires de l’astronome. Du moins je l’appelais comme ça vu qu’il s’y connaissait pas mal. Je devais avouer que la qualité n’était pas top et que je préférais la photo sans zoomer. Je le laissais m’entraîner vers la lunette pour mieux observer ce qu’il y avait à l’intérieur. Je fronçais les sourcils avant de me retourner vers le professeur. « Donc en fait je peux voir ce que je veux, tant que je me dis dans ma tête que c’est telle ou telle chose ? » je marquais une courte pose en réfléchissant à ce que je venais de dire. « Hum…intéressant… » je me pencha de nouveau pour pouvoir mieux regarder cet amas d’étoiles. Je pris alors mon appareil photo et le mis comme il venait de me le dire, en pose longue. Je le vissais alors à côté de la lunette et pris comme à mon habitude les plus belles photos. De toute façon, je trouvais que les miennes étaient toujours les plus belles.
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L'appareille photo traita l'image prise sur une longue pose, puis une image apparut sur le petit écran numérique.
Alec Pinça les lèvres.
- On appel ça une photo "cramé" en terme astronomique, les plus grosse étoile sont éblouissante et font de grosse tâche blanche. Ce qui empêche de faire les plus faible. Je vous présente la constellation des Pléiade, elles représente mythologiquement les Muses des art Grec ... les photographes on leur Déesse.
Elle lui avait poser une question. Est-ce qu'on pouvait voire ce qu'on voulait. Il souria. Scientifiquement non, le ciel était comme un sol sur lequel on aurait rependu des milliard de conféties et les scientifique cherchait au milieu de tout cela celles qui avait une certaine couleur. Mais pour les amateurs, tout autre personne, c'était quelque chose de très beau, ou de désintéressement.
- Les étoiles sont comme les nuages ont peut imaginer n'importe qu'elle forme en les reliant entre elles. Et vous vous voyez quoi comme forme?
Il lui posa cette question avec un grand sourire, curieux de s'avoir ce qui passait par la tête de l'étudiante. Il lui arrivait lui même de voire un hamburger dans les étoiles si il avait faim.
Alec Pinça les lèvres.
- On appel ça une photo "cramé" en terme astronomique, les plus grosse étoile sont éblouissante et font de grosse tâche blanche. Ce qui empêche de faire les plus faible. Je vous présente la constellation des Pléiade, elles représente mythologiquement les Muses des art Grec ... les photographes on leur Déesse.
Elle lui avait poser une question. Est-ce qu'on pouvait voire ce qu'on voulait. Il souria. Scientifiquement non, le ciel était comme un sol sur lequel on aurait rependu des milliard de conféties et les scientifique cherchait au milieu de tout cela celles qui avait une certaine couleur. Mais pour les amateurs, tout autre personne, c'était quelque chose de très beau, ou de désintéressement.
- Les étoiles sont comme les nuages ont peut imaginer n'importe qu'elle forme en les reliant entre elles. Et vous vous voyez quoi comme forme?
Il lui posa cette question avec un grand sourire, curieux de s'avoir ce qui passait par la tête de l'étudiante. Il lui arrivait lui même de voire un hamburger dans les étoiles si il avait faim.
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