On a pas besoin d’un conte de fée, on a juste besoin de quelqu’un avec qui on est bien + Millinate

Cette rupture, cette dispute tout ce temps avait été le fruit d'un malentendu ? Millicent était franchement dégoûtée. Ayant le souffle coupé par la colère, tandis que Nate ne disait plus rien. Peut-être qu'il avait envie compris qu'elle n'y était pour rien dans ses malheurs. Sentant ses lèvres contre les siennes, Millie ressent une certaine ardeur, passion dans ce baiser. Fermant les yeux, la demoiselle répond positivement à ce baiser en étant aussi passionné que celui de l'homme de vingt-trois ans. À bout du souffle, la Cabot House pose son front contre celui du Winthrop, le temps de reprendre son souffle. Quelques secondes plus tard, la belle repose ses lèvres contre celui de Monsieur McLaren. Ce bisou était plus sauvage, tendre & passionné que jamais. Quand elle sent les mains de Nathanael sur les ficelles du haut de son maillot de bain. Attrapant celles-ci et les gardant dans les siennes. Rompant le baiser à contre cœur, la deuxième année s'approche doucement de l'oreille du beau garçon en disant « Nate, doucement s'il te plaît. Je ne veux pas le faire ici. Je ne l'ai jamais fait. » En disant ces mots, la belle baisse le regard en sentant ses joues devenir rouges comme une tomate. Mademoiselle Weasley ne voulait pas se faire surprendre en pleine action et surtout, elle n'était pas ce genre de fille avec qui on fait ce genre de choses n'importe où.

A voir les deux étudiants, n’importe qui les auraient peut-être traité de fou. Un coup ils se disputaient, un coup ils s’embrassaient. Mais ce genre de comportement avait un nom : la passion ! Elle se cache au plus profond de nous-mêmes. Elle fait semblant de dormir. Elle attend son heure. Et d'un seul coup, lorsqu'on ne s'y attend plus. Elle se réveille. Elle ouvre ses mâchoires. Et elle ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse. Et finit par nous imposer sa loi. Et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d'autre ? Qu’est-ce que Nate pouvait faire d’autre quand son corps ne voulait rien d’autre que celui de Millie ? Son cœur tambouriner dans sa poitrine et à travers ses baiser il essayait d’oublier toute ses années passait sasn elle, comme une façon de  simplement lui dire «  tu m’as manqué ». Mais si le McLaren n’avait que 17 ans la dernière fois qu’ils s’étaient embrassés, aujourd’hui le Winthrop connaissait les joies des plaisirs charnels. Alors qu’il continuait d’embrasser Millie, il n’avait qu’une envie, en vouloir plus. Le vestiaire était vide et il y avait les bancs en bois pour qu’ils soient un peu plus à l’aise. Plus il continuait de l’embrasser et plus il a désirait. Il la désirait comme jamais sa petite carotte, comme il se plaisait à l’appeler autrefois.Alors doucement, il commença à laisser trainer ses mains sur les bretelles de son maillot dans l’idée de la déshabiller, convaincu qu’elle en avait envie tout autant que lui, que lui aussi lui avait manqué. Mais la Weasley l’interrompu dans son empressement. Toujours ses mains sur elle, il la regarda une seconde sans comprendre avant qu’elle ne s’explique. Il ne s’était pas attendu à ça. Vierge. A 20 ans. C’était possible ça ? Apparemment. «  Oh… » dit-il simplement en la lâchant, ayant un geste de recul. «  Okays » dit-il vexer dans son amour propre. Il se sentait tout simplement rejeter. . «  C’est pas grave. » Mais ça l’était… «  J’vais à la douche. A bientôt Millie. »