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Un petit cours d'éducation sexuelle ? (ML)

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   « Arrête, elle était plutôt forte cette voleuse tu sais… » protestai-je avec une moue boudeuse en constatant l’hilarité de mon interlocutrice à l’écoute de mon histoire. « Disons qu’elle avait des atouts dont elle savait bien se servir. » En gros, elle avait su jouer de sa féminité pour me faire craquer et me mette hors course histoire de me dérober mon bien. Mais bien sûr je n’allais pas en rester là, on n’humiliait pas un Wildingham sans en payer le prix. Mais cette Charline était pire qu’une anguille. Insaisissable. Et puis au final, je finis par rire de bon cœur en écho avec la demoiselle. Entre ses moqueries et le remarques salaces qu’elle laissait échapper presque malgré elle, en en rougissant directement, elle me faisait rire la petite… De la même manière, son petit rappel à l’ordre concernant mon côté pervertible de prof en carton me fit également marrer. « Un autre bon point pour toi. Allez, je t’augmente ta note à C. Y’a du progrès déjà… ». Et après un froid polaire jeté par la destination initiale, à savoir l’hôtel, l’ambiance dégela un peu lorsqu’on opta pour un autre endroit : chez la blondinette. Je m’attendais à tout : une villa en banlieu, un immense appartement, un duplex moderne… Tout sauf ça en fait. Un petit studio riquiqui… Enfin riquiqui pour une Burberry. Elle dut probablement lire dans mes pensées parce qu’elle se justifia bien vite. « C’est… mignon… » commentai-je en laissant trainer mes yeux partout sur chaque recoin de l’endroit. « Je veux bien. Ce que tu as. » acceptai-je, décidant de ne pas jouer les compliqués et sentant surtout que dans son offre de boisson se cachait surtout l’envie de reporter au plus tard le fameux cours dans lequel j’ambitionnais de me lancer. Reculer pour mieux sauter ma belle, parce que tu n’y échapperas pas. Mais une autre pensée me vint en tête en observant son chez-elle. « T’as jamais pensé à rejoindre une confrérie ? » Une Burberry à la EH ? Ca serait quand même la moindre des choses non ?
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un petit cours d'éducation sexuelle ?
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« Je ne te savais pas si sensible au charme des demoiselles. » Alors cette bonne note, Marie pourrait l'avoir haut la main ! Il suffisait vraiment qu'elle remonte un petit peu la robe pour que Cole en perde vite le nord. Elle le pensait plus coriace, elle pensait que c'était lui le meneur de danse, mais en fait, c'était lui qui dansait. Un sourire naquit sur son visage alors qu'elle lui présentait sa demeure. Pour une pleine aux as, elle avait un petit studio dont elle en était plutôt fière. L'argent ne fait pas le bonheur, cela a toujours été sa devise et bien qu'elle ne touche rien de ce qu'elle possède en banque, Lou se plaît à bosser par la sueur de son front. Il n'y a que comme ça qu'elle se sentait utile et qu'elle avait l'impression de ne pas perdre son temps pour rien, mais surtout, de grandir et de voler de ses propres ailes. « Je m'attendais un peu à cette réaction. Je t'en prie, fais comme chez toi. » Même si son chez-lui devait être dix fois plus grand qu'ici, il n'y a qu'à voir son moyen de transport pour le constater. En tout cas, elle percevait chez Cole, un homme toujours désireux d'avoir plus, que ce soit argent, affaire ou femmes. Elle était presque certaine qu'il aimait la concurrence. « Je ne suis pas très alcool non plus donc ça sera un soda !. » Fit la Burberry en attrapant un soda de la cuisine tout près de la chambre. Elle lui lança la boisson dans les main et se dirigea vers son armoire où elle fit sortir une nouvelle robe. Cette dernière était blanche et plus longue avec une fente ouverte jusqu'à sa cuisse. Vous savez, le genre de robe que les grecques portaient. Elle s'empressa d'entrer dans la salle de bain pour se changer tout en écoutant la question de l'Eliot. « Si, j'y pense beaucoup. » Avouait-elle en sortant enfin et en baissant légèrement les yeux, replaçant timidement la bretelle de sa robe, elle était mal à l'aise et ça se voyait. Emmener un homme chez elle, tout ça était nouveau pour elle. « Je me vois bien à la Lowell ou à la Quincy. » Ou même la dunster en fait. Petit sourire aux lèvres, regard pleine de tendresse, la demoiselle se dirigea vers son instrument de musique posé à côté de sa table de chevet aka sa harpe. L'anglaise y laissa quelques doigts gracieux émettre un petit son, car c'est bien pour cette passion de la harpe qu'elle voudrait rejoindre les lowell si elle se décidait enfin à intégrer une confrérie.

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 « Disons qu’elle était plutôt maline… » En plus d’être charmante, ça allait de soit… « Et elle a su très bien s’y prendre pour obtenir ce qu’elle voulait… » Endormir les soupçons avec un décolleté plongeant, quelques battements de cils et une danse langoureuse… Aucune volonté. Mais on m’y reprendrait plus. Ou pas. Parce que déjà mes prunelles se perdaient sur les jambes de mon interlocutrice qui suggérait de me laisser en voir davantage si bonne note au bout il y avait. Aucune volonté donc, cela se confirmait. Je la suivis jusqu’à chez elle, un petit chez elle, pas vraiment l’idée que j’avais en tête lorsqu’elle m’avait révélé son nom de famille prestigieux. Quand on avait les moyens de s’offrir le luxe pourquoi se contentait d’une cage à lapin ? Mais je ne cherchais pas à la vexer, mon –c’est mignon- trahissant surement déjà bien assez le fond de ma pensée. « J’ai pas de chez moi… » révélai-je alors. Pas à Cambridge en tout cas. Mon chez moi, c’est la maison de famille londonienne, ou au pire mon duplex à Oxford. Ici, en terres américaines, c’était à la EH et régulièrement dans les hôtels du coin que j’avais posé mes valises. « Mais merci je vais prendre mes aises. » Elle me proposait à boire, m’informant alors que ça serait soda, précisant qu’elle n’était pas très alcool. « Je m’attendais un peu à cette réponse. » m’amusai-je à lui souffler, reprenant ses mots quant à ma réaction devant son studio. Un petit sourire moqueur se dessina néanmoins sur mes lèvres alors que les souvenirs de notre nuit ensemble me revenaient. « Tu as peur de perdre le contrôle ? Comme la dernière fois ? » questionnai-je avant de réceptionner la canette. Je m’approchai ensuite de la salle de bain où la demoiselle avait disparu, entrouvrant la porte discrètement pour observer dans l’entrebâillement Marie Lou se dévêtir puis se glisser dans sa nouvelle robe, tout en discutant confrérie. Je m’éloignais ensuite de la salle d’eau pour qu’elle ne repère pas mon coup d’œil voyeur. Elle reprit alors le fil de notre conversation, m’informant qu’elle songeait à rejoindre les Lowells, ou les Quincys. Je grimaçai : « Ca serait du gâchis Lou… Ta place est à la Eliot. » soufflai-je comme si c’était une évidence. Mais en la voyant s’avancer près d’un instrument auquel je n’avais pas fait attention jusqu’à présent : une harpe, sur lesquels ses doigts glissèrent un instant. « Ha je vois… On accepte aussi les musicos chez nous tu sais… » l’informai-je avec un petit sourire avant de glisser mon pouce sur l’anneau d’ouverture de ma canette, le soulevant pour ouvrir ma boisson sauf que toujours sous pression, cette dernière se déversa en jet moussant sur mon torse, détrempant ma chemise. « Et m… » Mon juron mourut sur mes lèvres et avec un petit rire, je relevai les yeux vers la demoiselle en commentant : « On fait bien la paire on dirait… »
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feat. COLE S.-WILDINGHAM
« En tout cas, si tu mets la main sur elle et que tu récupères ta Rolls, tu n'oublieras pas de m'emmener faire un tour on est d'accord ?. » Pas qu'elle avait envie de tester la banquette arrière de sa voiture, mais elle avait juste envie d'y faire un tour en sa compagnie et que ce soit lui évidemment qui conduit et non son chauffeur. « Et de préférence avec toi au volant. » Précise-t-elle en tirant la langue suivie d'un petit sourire. L'écoutant de nouveau, elle ne pouvait s'empêcher de grimacer parce que oui, il avait vu juste, Marie avait peur de perdre le contrôle déjà que le savoir chez elle et dans sa chambre, si proche, avait le don de déclencher une énorme remontée de traque. Mais à présent, elle ne pouvait plus vraiment faire marche arrière, elle l'avait invité d'elle-même et elle voulait à tout prix pouvoir se lâcher « T'as vu juste ! J'ai peur d'aimer davantage... » affirma l'anglaise en regardant ailleurs et en croisant les bras derrière son dos juste après avoir lâché une note musicale de sa Harpe. Elle écouta attentivement l'avis de l'Eliot concernant son choix de maison, mais en réalité, elle hésitait encore à en choisir une. Elle avait peur de se retrouver entourer de tout un tas de monde vivant sur le même toit et ne pas pouvoir aller vers eux. En fait, elle avait surtout peur d'être totalement ignorée et alone dans une confrérie. Puis, elle n'était pas si mal en simple étudiante aussi. « La Eliot ? Hum peut-être bien que j'ai ma place aussi, mais je sais que je ne m'en sentirais pas à l'aise... » Avouait-elle en toute sincérité. La belle ne voulait en aucun cas faire parler sa poche avant tout, ni même qu'on parle d'elle comme étant l'héritière de la grande marque Burberry. Si l'on voulait parler d'elle, elle souhaitait que ce soit uniquement d'elle, de la fille qu'elle est vraiment, ne souhaitant pas qu'on l'associe à sa richesse. D'ailleurs, l'anglais ouvra sa canette, mais aussi maladroit qu'elle, il s'en était mis partout sur le torse et sur sa chemise. Lou laisse échapper un rire qu'elle ne peut retenir face à sa remarque. « Je reste quand même la reine de la maladresse. Attends, bouge pas. » Elle se dirigea à nouveau vers la salle de bain afin de mouiller une petite serviette et revient rapidement vers lui. L'étudiante déboutonna sa chemise n'osant pas croiser son regard pour l'instant. En fait, elle évitait de penser à quoi que ce soit, même à ce torse légèrement poilu qu'elle venait de dénuder pour nettoyer. Alors c'est en tamponnant doucement qu'elle sentit son regard sur elle. Levant finalement le sien, ses yeux croisèrent timidement les siens, plongeant et s'y perdant. « Quoi ?. » Osa-t-elle demander en fronçant les sourcils. Avait-elle un truc moche sur le visage ?. Elle se demandait à cet instant pourquoi il la fixait ainsi et donc, elle cessait de tamponner son torse pour se mordiller nerveusement la lèvre inférieure.

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 C’était comme si me dévoiler, parler de ce recel, de cette mésaventure dont j’avais été victime, m’avait rapproché un peu de la demoiselle. Peut être de la laisser entrevoir que je n’étais pas que Cole, le salopard prétentieux insupportable voleur de virginité, cela m’avait fait gagner des points. Parce qu’au final c’était elle même qui réclamait une balade en Rolls lorsque j’aurais retrouvé mon carrosse, ajoutant qu’elle préférait me voir aux commandes. Un sourire amusé étira mes lèvres… « Promis… » soufflai-je alors avec un petit rire. Marie Lou était vraiment pleine de surprise, et je me surprenais à l’apprécier, à m’amuser avec elle et non pas d’elle, ce qui était nouveau.  En l’interrogeant un peu, remettant sur le tapis le sujet de ce qu’elle craignait, la perte de contrôle, se laisser aller, elle reconnut avoir peur d’aimer cela davantage. Sa gêne était palpable, son regard fuyant… Et pourtant, il allait bien falloir que le –cours- commence. Elle ne m’avait pas invité ici pour me faire un concert de harpe si ? Enfin, profitant du sujet confrérie pour faire ma propagande pro Eliot, elle fut un peu réceptive, mais craignait de ne pas y être à l’aise. « Je m’occuperais de ton bizutage, tu seras comme chez toi… » promis-je alors, avec un large sourire en imaginant déjà la chose… Pas sûr que cela soit très rassurant et encourageant pour la jeune femme cela dit… Je fis pas le malin très longtemps, parce que ma canette déversa une partie de son contenu sur ma chemise et un juron s’échappa de mes lèvres…  Marie Lou insista sur son titre de reine en la matière avant de s’éclipser et revenir avec un linge mouillé. Ses doigts s’activèrent sur les boutons de ma chemise, alors que ses prunelles évitaient soigneusement les miennes… Ce n’est qu’après quelques minutes qu’elle les releva finalement vers moi… Ma main glissa alors vers son visage, mes doigts effleurèrent doucement sa joue, et c’est électrisé par ses gestes contre mon torse que je réduis à néant la distance entre nos deux visages, déposant mes lèvres sur les siennes sans lui dire quoi que ce soit… Que le cours commence !
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feat. COLE S.-WILDINGHAM
Cole était peut-être un Don Juan et ça se voyait bien, mais n'empêche qu'il se comportait très bien avec elle. Il était doux et attentif, alors comment ne pas se laisser emporter par le tourbillon ravageur et sexy qu'il était ?. C'est pourquoi, lorsqu'il empoigna sa joue avec tendresse, elle plongea ses prunelles dans les siennes. Leurs souffles se mêlent et les lèvres de l'eliot capturent les siennes. Elle mordille sa lippe inférieure avant de chercher sa langue dans un baiser qui les emporte tous les deux au paroxysme de la passion. Son coeur tambourinait dans sa poitrine, menaçant de se libérer des chaînes qui l'empêchaient de sortir de sa cage thoracique. Marie était bien à cet instant et ne pensait plus à rien. La demoiselle plaqua ses deux mains sur le torse de l'anglais et le poussa à s'allonger sur le lit, elle au-dessus de lui. Sa poitrine repose sur la sienne, leurs corps s’enlacent et son poul s’emballe plus encore. Elle éloigne sa bouche de la sienne et se redresse pour glisser ses mains sur son ventre, sous son chemisier. Doucement, elle parcoure sa peau en glissant insensiblement jusqu'à son torse, puis redescend à nouveau pour terminer la course sur les boutons qu'elle défait histoire de lui retirer son vêtement. « Jusque-là, je crois que je me débrouille très bien non ?. » Demanda-t-elle accompagné d'un petit sourire mutin. Ses yeux ne lâchent plus les siens et cette fois-ci, c'est elle qui prend l'initiative de l'embrasser. Elle pose une main contre sa joue réduisant à néant l'espace entre leurs visages. Ses lèvres épousent tendrement celles du jeune homme alors qu'une nouvelle fois, elle ressent un frisson infini qui s’empare d'elle. Leurs lèvres collées pour quelques secondes, elle se redresse amusée et se penche pour cueillir du bout de la langue, les petites pointes frémissantes de ses tétons. « Il faut dire aussi que j'apprends super vite. » Précise-t-elle entre deux coups de langue. La Marie vierge d'avant n'aurait jamais fait ce grand pas, mais depuis qu'elle avait goûté à la chair humaine, elle ne pouvait se résoudre à s'en priver, et puisqu'elle connaissait à présent tous les détails du corps de Cole, elle ne se privait pas pour l'explorer à nouveau. Elle voulait le rendre fou comme il l'avait fait lors de leur première nuit. Lui montrer qu'elle n'était pas qu'une simple fille qui passait son temps à repousser les autres, lui montrer qu'elle avait du répondant et qu'elle pouvait être tout aussi entreprenante lorsqu'elle voulait. D'ailleurs, quelques doigts se posent sur ses mâchoires afin de lui tourner légèrement la tête vers la droite dans le but de parcourir son cou de baisers langoureux. Sayez, elle sombrait à nouveau dans les délices de l'excitation et le temps n'existait plus à présent.

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  On était pas là pour faire un concert de harpe pas vrai ? Alors oui, dans un sens, ça m’arrangeait que le soda ait fini sur ma chemise, qu’elle soit venue près de moi s’occuper du vêtement, l’ouvrant, dévoilant mon torse, lançant le top départ pour ce cours que je lui promettais depuis le début de soirée. Ma bouche se posa sur la sienne, chastement, doucement, prudemment et c’est en la sentant me répondre, me mordiller légèrement que j’entrouvris les lèvres, presque surpris de constater son initiative et son audace lorsque sa langue vint chercher la mienne, doux ballet, électrisant. Le baiser se fit plus fougueux, plus pressant également. Mes doigts se faufilèrent dans ses cheveux puis au creux de sa nuque, comme pour l’empêcher de se raviser, de s’écarter de moi... Mais c’était un autre programme que la demoiselle avait en tête. Elle me poussa jusqu’à son lit, m’y faisant ainsi m’y allonger, dos au matelas, grimpant au dessus de moi. Plaqués l’un contre l’autre, je sentais son cœur battre la chamade et je ne pus m’empêcher de penser que c’était probablement la première fois que la demoiselle prenait ainsi les commandes. Et c’était loin de me déplaire. Lorsqu’elle s’écarta, je repris mon souffle, large sourire aux lèvres, profitant de la vision de la blonde se redressant, les joues rosies. Elle laissa ses doigts terminer de défaire mon vêtement, me demandant d'évaluer ses compétences. Mes prunelles cessèrent de dévorer des yeux ses courbes que sa robe laissait entrevoir un instant, pour se planter dans les siennes où une toute nouvelle lueur avait vu le jour. Une autre Marie Lou, méconnaissable… Aventureuse… Hardie. « C’est peut être toi qui va tenir le rôle de prof finalement… » lui soufflai-je pour toute réponse, preuve que ce changement était pleinement à mon goût. Sa bouche retrouva la mienne, glissant ensuite sur mon torse qui bougeait au rythme de ma respiration qui s’affola quelque peu, l’excitation grimpant en la découvrant si joueuse. « L’élève pourrait bien dépasser le maitre… » commentai-je, alors que déjà elle remontait dans mon cou, provoquant un frisson que j’essayais de dissimuler par un petit rire. Si je lui laissais trop entrevoir à quel point je la trouvais douée, ça signifierait la fin de notre petit jeu, la fin de nos petites leçons particulières… Alors, reprenant mon ton pédagogue, je lui soufflai : « Je vais te donner une astuce, puisque je suis quand même là pour t’apprendre des choses… » Ma main droite se tendit pour s’emparer de la sienne, descendant le long de son bras en une lente caresse jusqu’à son poignet, expliquant : « Quand tu as l’impression de t’enflammer, que tu veux t’assurer que tu n’es pas la seule et que ton partenaire ait gagné par le même feu, tu peux d’un simple geste t’en rendre compte… »  Et non, je ne parlais pas d'aller vérifier ce qui se passait dans mon boxer... Quoique, c'était également une technique... Non, pour illustrer ma méthode à moi, je la lui montrais : j’amenai sa main à ma bouche, l’embrassant doucement, puis mes doigts s’arrêtèrent ensuite à l’endroit où son pouls battait follement, constatant ainsi l’effet qu’avaient eu nos baisers sur la demoiselle. Mon sourire s’élargit. Relâchant son poignet, je fis courir mes doigts le long de son dos, passant sans préambule sous sa robe déjà un peu remontée du fait de sa position, bien décidé à faire encore plus s’affoler son rythme cardiaque…
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