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Un petit cours d'éducation sexuelle ? (ML)

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Et là, attiré par elle entre ses cuisses, je l’avais senti joueuse, presqu’à deux doigts de me déstabiliser. Sauf que la petite blonde ne savait pas dans quoi elle s’embarquait, et surtout contre qui elle entamait cette partie. Je m’étais repris, ma main avait voyagé sur sa peau, le long de sa cuisse, jusqu’à atteindre sa culotte et elle me soufflait un –arrête- alors que ses frissons, son pouls que j’aurais presque pu entendre battre vu notre proximité à ce moment là, tout en elle me criait qu’elle en voulait davantage. J’aurais pu l’embrasser, j’aurais pu d’un baiser et de mes caresses l’envouter, la pousser à le faire, là, tout de suite maintenant, dans ces toilettes masculines. Mais non, c’était une Burberry, et maintenant que je le savais je ne pouvais pas la sauter dans un lieu si peu adapté… Et puis quel genre de prof je serais si je ne lui apprenais pas un minimum les règles. Je m’écartais, lâchant donc l’information sur le lieu où nous nous trouvions, info qui le décontenança un peu plus. Elle descendit précipitamment, réajusta sa robe alors que l’importun disparaissait rapidement, se faisant probablement de fausses idées sur la scène qui avait eu lieu ici entre nous. « Je perds pas mon temps Marie-Lou… Je peux t’apprendre. » Lui apprendre à aimer cela, à assumer cela, et à ce que que cela soit en accord avec tous les beaux principes inculpés par sa famille. Elle n’était pas du tout sûre d’être prête mais saisit quand même la main que je lui tendais. J’allais d’ailleurs me diriger vers la porte quand elle se plaça devant moi. « Pas dans les toilettes des hommes on a dit… » me moquai-je en la voyant tendre de nouveau les mains vers ma ceinture. Mais je réalisais ensuite que c’était pour la refermer que ses doigts s’activaient. « Merci. » lui soufflai-je avant de remettre une de ses mèches de cheveux en la dévorant des yeux. Mon autre main dans la sienne, je l’entrainai avec moi, quittant les sanitaires pour la salle bondée du bar où tous les regards ne tardèrent pas à se porter sur nous, suspicieux. « Autre règle Lou : garde toujours la tête haute, quelque soit la situation. » Ma main se fraya un chemin sous son menton et délicatement, je lui fis relever les yeux vers moi. Mon visage s’approcha lentement du sien et mes lèvres effleurèrent les siennes dans un doux et furtif baiser. « Mais puisque je vois que la foule te gêne… Viens avec moi… » Nos doigts toujours liés, je pris le chemin de la sortie, où m’attendait limousine et chauffeur. J’ouvris galamment la porte à la jeune femme en annonçant : « Le cours ne fait que commencer. »
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un petit cours d'éducation sexuelle ?
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Idiote ! Voilà comment se sentait Marie et elle ne comprenait sincèrement pas pourquoi Cole tenait temps à l'enseigner cette passion que ressaient deux corps en osmoses, en fusion. Lorsqu'elle boucla sa ceinture, Cole lui fit une remarque qui lui monta le rouge aux joues. Évidemment que cet endroit ne lui plaisait guerre, c'est bien pour cela qu'elle avait saisi sa main dans l'espoir qu'il la fasse sortir d'ici au plus vite. Elle aurait voulu articuler quelque chose, une phrase, mais tout ce qu'elle réussit à sortir de sa bouche, c'est un petit son, pitoyable. La tête toujours baissée, il l'entraîna jusqu'au bar où il glissa quelques doigts sous son menton pour l'obliger à relever la tête en lui donnant un second conseil. Franchement ? Comment ne pas perdre tous les moyens quand il la dévore des yeux, quand il lui effleure les lèvres et quand il y dépose un chaste baiser qui fait trembler tout son être ?. Elle ne bougea cependant plus. Comme si de longues racines partant du sommet de son crâne jusqu'à ses pieds, la fixaient au sol et l'empêchait d'effectuer un mouvement. Peut-être était-ce l'effet qu'il faisait, qu'elle n'osait briser une nouvelle fois en reculant ou en baissant la tête ou en remettant une mèche de cheveux à sa place. Tout le poids de ses défauts la démangeait pendant une fraction de secondes jusqu'à ce qu'elle se reprenne en se mordant la lèvre comme si elle avait envie de garder ce doux goût à même la langue. Sauf qu'elle fut soudainement tirée par l'Eliot qui la guidait jusqu'à sa limousine où il lui ouvrait la portière en bon gentleman. Marie sortit de son petit nuage en fixant l'intérieur de son véhicule quelque peu hésitante. « On m'a toujours dit de me méfier des gars en limousines. Quelle garantie ai-je pour être maître de mes faits et gestes une fois à l'intérieur ?. » Interrogea l'anglaise en fixant le jeune homme. Non non, elle ne venait pas de l'accuser d'un possible violeur ou psychopathe.. quoi que, elle ne savait encore rien de lui si ce n'est sont talent pour satisfaire une femme. Ce qui étonna la belle néanmoins, c'était son rire si soudain, qu'avait-elle dit de si drôle ?. Lou se demandait à quoi il pensait. Riait-il parce qu'elle était attendrissante ? Ou parce qu'elle avait une tête amusante ? Ou une mèche de cheveux en l'air ?. « C'est gênant... » Dit-elle en laissant filer un petit sourire sans qu'elle ne s'en rende compte elle-même. Finalement et après avoir passé une mèche de cheveux derrière son oreille, elle se décida enfin à grimper dans la limousine allant jusqu'à s'installer à l'autre bout de la portière histoire de lui faire comprendre qu'elle voulait garder une certaine distance entre eux. Mais connaissant un peu mieux l'Eliot, il fera tout le nécessaire pour réduire cette distance. « Peut-être qu'on devrait finalement marcher. T'as déjà essayé la marche ?. » La marche ce n'était pas pour les riches, mais ça faisait du bien vraiment. Il devrait peut-être de temps à autres quitter tout ce luxe pour s'offrir un petit moment de simplicité. En fait, c'est surtout qu'elle était mal à l'aise et qu'elle n'arrêtait pas de jouer nerveusement avec le bout de tissu de sa robe.

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J’étais du genre à prêter une grande attention à mon image, à ce que l’on allait dire de moi… Donc les cochonneries dans les toilettes, c’était habituellement bien plus discret, et sortie en deux temps plutôt qu’ensemble et main dans la main que je les effectuais. Mais ce soir c’était différent, en fait ça l’était depuis qu’elle avait laissé échapper son nom. Ma vierge Marie que j’aimais tant martyriser n’était pas n’importe qui finalement. C’était une Burberry. Alors qu’on me voit sortir en sa compagnie des sanitaires, que l’on me voit lui voler ce furtif baiser, cela ne risquait pas d’écorner ma si précieuse réputation. Mais sentant la jeune femme se figer sous mes lèvres, son malaise s’accentuer, je choisis finalement de nous sortir de ce bar, de ce lieux où les regards l’empêcheraient de se lâcher complètement et c’est donc vers la sortie que je l’entrainai, puis jusqu’à ma limousine. Sa remarque, son hésitation me firent aussi rire. Et de mon rire découla un petit sourire sur les lèvres de la demoiselle qui, baissant sa garde, finit par s’engouffrer dans mon piège, ma limousine, prenant soin néanmoins de mettre le plus de distance possible entre nous, s’installant à l’opposé de moi sur la banquette arrière, proposant quelques secondes après que l’on soit rentrés dans le véhicule d’opter plutôt pour la marche. « T’as pas fait tant d’histoire la dernière fois… » la charriai-je alors en me souvenant de notre précédente soirée. Quoique… « J’avais pas encore ma limousine en fait, je roulais en Roll Royce. On t’a jamais dit de te méfier des gars en Roll Royce ? C’est peut être pour cela que tu étais moins farouche cette fois là. » me moquai-je, un petit pincement au cœur néanmoins en pensant à ma chère voiture, dérobée depuis ce temps. « On ne marche pas, c’est trop loin… » Et comme j’étais allergique au métro. Un toc toc sur la vitre et j’indiquai à mon chauffeur de démarrer. Glissant ensuite sur le siège pour me rapprocher de la jeune femme, son air nerveux me faisant réellement me sentir comme un prédateur, j’ôtai la veste pour la lui poser sur les épaules : « T’as l’air d’avoir froid… » Dans sa robe encore trempée de jus, oui elle pouvait… « A moins que tu ne trembles de peur ? » suggérai-je avec un petit sourire moqueur. Mes lèvres glissèrent alors au creux de son cou et je lui soufflai une nouvelle règle, espérant ainsi qu’elle allait se détendre le temps du trajet : « Jamais dans une limousine non plus… » Encore moins sous regard lubrique de mon chauffeur…
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un petit cours d'éducation sexuelle ?
feat. COLE S.-WILDINGHAM
Cole ne ratait vraiment pas une occasion pour rapeller leur fameuse nuit où elle s'était quelque peu lâchée. Elle avait été sous emprise de substances inconnues qui lui avait presque donné des ailes. « Ce jour-là, je n'étais pas entièrement moi... Ce n'était pas mon état normal. » En gros, étant encore vierge et ignorant ce que l'amour pouvait produire à ce temps-là, elle ne se serait jamais donné aussi facilement. Marie avait toujours craint les approches de ce genre, mais depuis qu'elle a goûté a ce fruit qui lui était défendu aka le sexe, lorsqu'un homme l'approchait de cette façon, elle ne pouvait pas s'empêcher de ressentir des frissons et l'Eliot lui, savait étrangement s'y prendre avec elle, car en sa compagnie, elle était comme hypnotisée. « Je préfère de loin la Rolls Royce à ta limousine. Quoi que... Je n'aurais pas autant de place dans l'autre pour pouvoir garder mes distances. » Lâcha l'anglaise en souriant de nouveau. Mais c'était sans compter que le bleu n'en faisait qu'à sa tête. Alors qu'elle le vit se rapprocher, la belle fronçait les sourcils pensant qu'il allait de nouveau passer à l'attaque, mais ce dernier lui offrit simplement sa veste qu'il déposa sur ses épaules. « Merci... » Esquissa blondie en resserrant l'étreinte de sa veste autour d'elle un peu plus. Non pas qu'elle avait froid, bien qu'elle soit de nature un peu frileuse, mais c'était son moyen de protection en quelque sorte. Fin, pas avec un Eliot aussi têtu que celui qu'elle avait en face d'elle finalement. Monsieur se permettait maintenant de glisser ses lèvres dans son cou pour lui souffler de nouveau, une règle. Elle ressentait soudainement les battements de son cœur s'accélérer. Peut-être qu'elle aurait dû décliner son offre non ?. Elle n'était vraiment pas habituée à toute cette proximité qui la chamboulait énormément. Lou relève un sourcil et en tournant rapidement son visage vers celui du jeune homme, leurs lèvres s'effleuraient, leurs nez se frôlaient tandis que leurs souffles se mélangeaient. Yeux dans yeux, elle resta immobile pendant quelques secondes. Intimidée. Mais reprenant ensuite ses esprits, elle posa son index sur les lèvres de l'étudiant et le poussa à reculer légèrement la tête afin de murmurer d'une petite voix. « Cette règle s'applique aussi aux préliminaires.. Non ?. » Et donc pas de bisous dans le cou, pas de caresses sur les cuisses, pas de baisers sur les lèvres. « Je me demandais... C'était comment ?. J'veux dire, cette fameuse nuit... As-tu apprécié ?... » Marie se souvient avoir aimé chaque seconde de cette nuit alors qu'elle ne pensait pas se donner un jour à un inconnu pour sa première fois. Mais lui ? Avait-il aimé ? Ou bien n'avait-il jamais eu plus mauvaise nuit que celle qu'il avait passé avec elle.

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 Je ne pris pas ses paroles au pied de la lettre non, pensant qu’elle faisait référence aux quelques verres de trop qu’elle avait pu boire ou encore au fait qu’elle s’était laissée transcendée par mes avances et mes baisers ce fameux soir. « Elles disent toutes ça quand elles sont avec moi… C’est l’effet que je produis : je fais planer les femmes… » Elle m'arracha un rire avec sa réflexion suivante. Du charme, de l’humour et du goût… Celle que j’avais pris pour une proie facile, celle dont je comptais à la base, m’amuser à ses dépends, se révélait de plus en plus intéressante. Au delà même de son nom de famille. « Je dois reconnaître que tu as bons goûts alors… » Et puisqu’elle préférait, comme moi, la marque anglaise à l’américaine, je me devais bien de lui raconter ma mésaventure. Peut être aussi histoire de discuter, de me dévoiler un peu, de lui faire baisser un peu plus sa garde. « On me l’a volée… Ma Rolls… En attendant la fin de l’enquête, j’ai opté pour ça. » Je désignais d’un geste des mains l’habitacle autour de nous. « Mais tu as raison, c’est trop grand… » Ca ne m’empêcha pas de me glisser sur la spacieuse banquette pour me rapprocher d’elle, d’abord en grand gentleman, pour déposer ma veste sur ses épaules… Puis dans un deuxième temps pour laisser mes lèvres se perdre dans son cou, respirant son parfum lui soufflant cette nouvelle règle comme pour la rassurer, comme si les mots pouvaient contre balancer le message tout autre que mes gestes semblaient envoyer. Lou tourna son visage vers moi, nos lèvres n’étaient plus qu’à quelques millimètres que je m’apprêtais à franchir lorsque son index me stoppa, venant se poser sur ma bouche. Un sourire se dessina sur cette dernière d’ailleurs, après l'objection que fit mon interlocutrice. « Une élève qui apprend vite j’aime ça… » Enfin, pour les règles de ne pas le faire, Marie Lou semblait particulièrement douée. Quand il allait s’agir d’un cours plus sulfureux, cela changerait surement la donne.  Je me reculais donc, docile, appliquant ce principe que je venais moi même d’énoncer, et c’est alors qu’elle me surprit par sa question, s’intéressant à ce que j’avais ressenti lors de notre nuit ensemble et si j’avais apprécié. Mon sourire s’élargit, touché par ce petite côté innocent chez elle, attendri qu’elle puisse vraiment se soucier de cela, du plaisir que j’avais pu prendre de mon côté, alors même que depuis, je n’avais pas été très correct, cherchant plutôt à la troubler et la mettre mal à l’aise.« C’était ta première fois pas vrai ? » demandai-je d’abord sans répondre à sa question. « T’as été très bien, si cela qui t’inquiète, c’est juste qu’il y a des petites choses qui ne trompent pas… » Des petites gestes maladroits, des moments d’hésitation… « Mais si tu me laisses t’apprendre, les prochaines fois tu ne seras pas –très bien-, tu seras parfaite. »
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feat. COLE S.-WILDINGHAM
« Ça va les chevilles super Macho ?. » Néanmoins, Marie ne doutait guerre qu'il arrivait à faire planer toutes les demoiselles qui croisaient son chemin. Même qu'elle était certaine qu'elles en redemandaient encore et encore et la preuve, elle-même n'arrivait pas à partir d'ici. Elle se laissait guider par ses paroles, elle était si naïve la petite, mais comment lui en vouloir ?. Là, dans cette limousine, elle s'était transformée en poupée de porcelaine, facilement manipulable, l'Eliot pouvait faire tout ce qu'il voulait d'elle. Mais, ce n'était pas une poupée sans émotions non plus, voilà pourquoi elle ne lui rendait pas la tâche facile. Pour en venir au sujet de ses véhicules, elle hocha positivement la tête comme pour confirmer qu'elle avait bon goût. Elle fut cependant surprise d'apprendre qu'on lui avait volé sa précieuse Rolls Royce. « Pourquoi ne pas t'en offrir une nouvelle alors ? En plus, je te vois mieux dans ce genre de voiture que dans une limousine. Tu aurais plus de classe je parie. » Là, tout son sex-appeal en prenait un coup. On s'attend toujours à voir sortir un vieux d'une limousine et Cole était encore loin de cet âge. Anyway, à l'instant d'après, leurs lèvres avaient failli entamer une danse endiablée, mais elle avait stoppé à temps, le mettant face à ses propres règles. Ben oui, Marie était peut-être sous hypnose-là, mais elle arrivait encore à s'en sortir, fin pour l'instant, car elle ne pouvait pas nier que lorsqu'il réduisait la distance entre eux, tout son corps tremblait d'excitation. Il recula et elle fut beaucoup plus soulagée, plus détendue, d'ailleurs, Lou lâcha la veste et se tourna légèrement pour être face à son interlocuteur histoire de pouvoir pleinement prendre part à la discussion. Baissant toutefois quelques secondes les yeux, elle finit par les relever afin d'avouer. « C'était ma première fois en effet... » Même qu'à cet instant, elle se demandait combien de première fois avait-il pu prendre ou voler ou bien était-elle sa seule première fois ?. Par contre, elle fut rassurée d'entendre qu'elle avait été bien... Non parce qu’autant elle avait aimé recevoir, autant elle aurait aimé donner de la même façon. En gros, elle aimait mieux donner que recevoir. Un petit rire s'échappa soudainement de ses lèvres. Rire qu'elle tentait d'étouffer avec quelques doigts sur les lèvres, finissant par les libérer pleinement. Et sous le regard surpris du bleu, elle balaie la goutte de larme qui s'apprêtait à fondre le long de sa joue. C'était ainsi lorsqu'elle riait beaucoup. « Tu t'entends ?. » Demanda l'anglais en essayant de calmer ses rires. « Je crois qu'un nouveau métier vient de voir le jour ! » Vous croyez que le Doyen d'Harvard accepterait de mettre au profil ce nouveau métier ?. « Hellow everybody ! I'am your sex teacher. Please undress you, we'll begin the lesson. » Imitant un professeur de son accent anglais très prononcé et très séduisant, la Burberry plaqua maintenant son dos contre la fenêtre et stoppa son rire en plongeant plus sérieusement ses prunelles dans les siennes. « Alors ?... Où est-ce que tu m'emmènes ?. »

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  « Je suis très bien dans mes chaussures, merci. » répondis-je naturellement, comme si sa question avait eu vraiment pour but de s’enquérir du bien être de mes pieds, alors qu’au fond, je savais très bien qu’elle essayait de me faire redescendre sur terre. Il allait falloir qu’elle s’y fasse, la modestie n’était pas mon principal trait de caractère et fier de mes nombreuses conquêtes, j’aimais à me croire maître dans le domaine… Et la sentir électrisée à chacun de mes rapprochements ne m’aidait pas non plus. J'étais de plus en plus intéressée par cette petite blonde qui derrière ses airs naïfs de petite pucelle détenait un certain talent de répartie qui me plaisait. Et lorsqu’on se mit à parler automobile, forcément sa préférence allant vers mon ancienne Rolls, je ne pus que confirmer son bon goût. Je me surpris même à lui raconter ce qui était arrivé à cette pauvre voiture et le larcin dont j’avais été la victime. « Je n’en veux pas une autre, je veux la mienne. » lâchai-je. Caprice d’un gosse de deux ans à qui on venait d’enlever son jouet préféré. Bien sûr, j’avais le portefeuille pour me racheter un autre modèle de la célèbre marque anglaise, l’argent n’était pas la question. C’était mon petit égo qui avait été blessé quand cette garce de Charline m’avait dérobé subtilement les clés de ma Cole-mobile. « La limousine c’est temporaire… J’ai espoir de récupérer mon bien… » Et lorsque mon interlocutrice souligna le manque de classe du véhicule de remplacement, un petit rire s’échappa de mes lèvres : «Peut être que j’aurais récupéré ma Rolls pour notre prochain cours, puisqu’elle t’inspire davantage… » Enfin, si autre cours il y avait… Pour le moment, c’était sur notre nuit que le sujet revint, et elle me le confirma : c’était sa première fois. « Je m’en doutais… » Pourquoi ? Pas parce que j’avais une grande expérience en terme de dépucelage, non… Il y avait bien eu Leevy, mais à l’époque, ados, on était tous les deux aussi empotés l’un comme l’autre. Donc Marie-Lou était un peu unique en son genre, et savoir que j’étais le premier à l’avoir initié aux plaisirs de la chair, cela m’excitait encore un peu plus, me donnant encore davantage envie d’endosser ce rôle de prof particuliers et mon ton pédagogue eut d’ailleurs raison de son sérieux. Pouffant d’abord, essayant d’étouffer cette marque d’hilarité, elle finit par laisser s’échapper complètement ce rire qu’elle ne pouvait retenir. Je la regardais, un brin vexé, sentant très bien les nuances moqueuses dans sa voix. Mais lorsqu’elle enchaina sur ce nouveau métier tout droit sorti de mon imagination, petit accent anglais dans la voix alors qu'elle entonnait sa présentation,  je ne pus empêcher mes lèvres de s’étirer à leur tour en un sourire amusé, et un petit rire finit même par s'en échapper alors que je la rappelais au calme : « Un peu de sérieux mademoiselle où je vous colle un D à votre prochaine interro… » menaçai-je alors, me prenant au jeu. Et l’instant d’après, collée contre la fenêtre, elle m’interrogea sur notre destination et je sus aussitôt que cette information allait carrément lui faire passer l’envie de rire : « J’ai une suite au Mandarin hotel. C’est là que je t’emmène… » annonçai-je sans détacher mon regard du sien, scrutant sa réaction.
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Cole faisait un petit caprice de gosse, mais en même temps, quand quelque chose nous tenait vraiment à coeur, il était difficile de le remplacer. Il espérait revoir son bien un jour et elle espérait qu'il la retrouvera. « Pourquoi ne pas faire les enquêtes toi-même ? J'veux dire, on est jamais mieux servi que par soie-même non ?. Si ça se trouve, le voleur est plus proche que tu ne le penses. » Elle pourrait l'aider, l'anglaise avait toujours kiffé se prendre pour une Sherlock Holmes un jour, mais elle n'était pas certaine de pouvoir se concentrer en sa présence et surtout pouvoir réfléchir. « Si prochain cours il y a... Je suis certaine que tu auras d'autres chattes à fouetter. » Elle mordit rapidement sa langue dans une grimace de surprise, ces derniers mots s'étaient échappés tout seuls et ses joues avaient soudainement rougies. Elle se racla la gorge en massant nerveusement sa tempe. « Desolé... Ce n'était pas ce que j'voulais dire... Gad !. » T'es qu'une idiote ma pauvre. Ceci dit, elle conclut par un petit rire. Ce n'était pas grave de toute façon, elle avait peut-être raison, il aura certainement mieux à faire que lui donner un nouveau cours dans sa Rolls Royce. Et qu'est-ce qui la prenait à penser même à un futur cours d'ailleurs ?. Elle ne voulait plus en parler, ni même parler de sa première fois. Cole avait dû se rendre compte qu'elle était vierge au moment où il avait commencé les préliminaires, car elle n'avait jamais eu le courage d'aller aussi loin, ni même se laisser aller dans les bras d'un homme de cette façon. Ces faits et gestes maladroits ne l'ont certainement pas échappés. Quoi qu'il en soit, elle venait de pouffer lorsqu'il s'improvisa prof de sexe ne pouvant pas empêcher une petite moquerie de s'évader. D'ailleurs, sa réplique arracha un sourire à la demoiselle qui s'étirait un peu les muscles. « Pas si je vous sudoie en remontant légèrement ma robe. Il paraît que sa marche avec tous les professeurs. » Il suffit d'un petit morceau de culotte visible pour avoir tous les faveurs d'un homme, encore plus d'un professeur. Mais Cole avait vu juste, son sourire s'effaça bien vite lorsqu'il mentionna le mot hôtel. La veste glissa le long de ses épaules alors qu'elle les haussaient. « Généralement ce sont les putes qu'on emmène à l'hôtel et... Je n'en suis pas une... » C'est ainsi qu'elle voyait les choses et elle ne voulait pas avoir la sensation de s'être fait ramasser dans la rue pour l'hôtel la plus proche. Elle préférait de loin son chez-lui, à moins qu'une autre femme l'attendait sagement la-bas. « C'était vraiment sympa de discuter un peu avec toi... Mais tu pourrais me descendre là s'il te plaît ?. » C'était au tour de Marie de faire un petit caprice, mais elle n'avait vraiment pas aimé sa proposition. D'autres filles s'en foutraient royalement tant qu'on pouvait les sauter, mais pas elle. Oui oui, elle était peut-être encore vieux jeu, où je ne sais quoi, mais elle tenait quand même à son honneur. Constatent qu'il n'était pas prêt à la laisser partir, elle demanda elle-même au chauffeur de s'arrêter, mais ce dernier n'obéissait qu'à son patron. « Ou bien je pourrais aussi t'inviter chez-moi... Je me sentirais plus à l'aise et je pourrais changer de vêtement. » Ce n'est pas toujours que la belle invitait un homme chez elle et donc fallait pas hésiter à saisir cette occasion.

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  Pourquoi ne pas enquêter moi même ? Parce que c’était déjà tout vu, si je remettais la main sur cette Charline, elle allait me le payer et comme entre temps, je lui avais découvert un lien de parenté avec ma meilleure amie, c’était compliqué. « Disons que je laissa sagement ça aux forces de l’ordre pour le moment… Mais si les choses ne bougent pas, je vais devoir m’en mêler moi même en effet.  Surtout si ma limousine me fait perdre des points dans ton cœur Lou… » ajoutai-je avec un ton mielleux. «Et c’est une voleuse… » avouai-je finalement… Apportons un peu d’eau au moulin de mon interlocutrice, histoire qu’elle ait de quoi bien rire de mon déboire. Et puis avec le traitement que je lui réservais depuis notre nuit, moqueries et remarques cherchant volontairement à la mettre mal à l’aise, elle avait toutes les raisons de se faire narquoise à son tour. D’ailleurs, à l’évocation d’un futur cours, elle objecta, doutant de cette possibilité, précisant avec une note d’humour que j’avais d’autres chattes à fouetter… Un rire franc s’échappa de ma gorge, de plus en plus séduit par ce côté drôle de la demoiselle et surtout la façon dont elle même se surprenait à l’être, ses joues rosissant à nouveau. « T’excuse pas, ne t’en fais pas… » Il en fallait tellement plus pour me vexer… Ma réputation de séducteur me précédait, même auprès des demoiselles sages comme Marie Lou. Il allait peut être vraiment falloir que je me calme… Mais pas ce soir, non. Ce soir c’était notre premier, et peut être donc unique, cours. Et le rôle de prof que j’endossais avec un certain sérieux déclencha l’hilarité de mon élève. Je la rappelais d’un ton sévère à l’ordre, et entrant dans mon jeu, elle planifia alors de me soudoyer en laissant remonter sa robe. Mon regard se reporta alors sur le vêtement, recouvrant sagement ses cuisses pour le moment, et une lueur intéressée dans les yeux je répliquai : « Essayez donc, et vous verrez quelle note je vous octroie… » Un C, un B peut être même un A, si le tissu remonte suffisamment haut… Heureusement que je ne me destinais pas vraiment à l’enseignement hein… Pervertible au possible. Et l’ambiance décontractée et détendue entre nous s’arrêta là, lorsque le mot –hôtel- fut prononcé, la blondinette se raidit. Elle fit aussitôt remarquer que c’était le lieu où l’on emmenait les prostituées habituellement, paroles qu’elle accompagna d’un haussement d’épaule qui fit glisser ma veste et révéla un peu sa peau. Mes mains se tendirent vers elle, venant attraper le tissu pour remonter le vêtement et la recouvrir en confirmant : « Clairement, non, tu n’en es pas une. » Qu’elle n’aille pas croire que je la considère comme telle, mademoiselle Burberry. Parce que je la sentais déjà beaucoup plus sur la défensive soudain. Ce n'était pas contre elle. Mais je n’emmenais pas mes conquêtes chez moi, à la Eliot… C’était mon petit monde, mon univers, et je ne laissais personne y entrer. Alors pour les étreintes passionnées, c’était direction l’hôtel. Mais la destination avait eu raison de notre complicité temporaire, parce que Marie Lou était d’un coup bien plus fermée, me demandant même si il était possible de la faire descendre. « On ne fait que commencer… » lui soufflai-je, réponse qui ne lui convint pas surement puisqu’elle se tourna vers le chauffeur et réitéra sa demande. Mais la limousine ne ralentit pas, et probablement résignée, elle finit par proposer autre chose, un plan presque plus séduisant que celui de la conduire au Mandarin : elle m’invitait chez elle. Mon sourire revint… « Oui, bien sûr, il faut que tu enlèves cette robe… » acquiesçai-je alors. « Et puis si tu es plus à l’aise chez toi, dans ton lit… » rajoutai-je avant de tourner la tête vers le conducteur pour l’informer : « Changement de destination Charles. On va à... Ton adresse ? » demandai-je finalement en reportant mon regard vers elle.
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un petit cours d'éducation sexuelle ?
feat. COLE S.-WILDINGHAM
Et la surprise fut de taille. « Une voleuse sérieux ?. » Qu'elle répéta en éclatant de rire sans pouvoir se contrôler. Non, mais ils auraient dû depuis longtemps mettre la main sur elle et si Cole la connaissait déjà, c'était encore plus facile étant donné sa position plutôt haute placée non ?. Aller, Marie avait la certitude qu'il était capable de récupérer sa bagnole s'il le désirait. Enfin... Elle venait de faire une plus grosse bêtise en perdant le contrôle de sa langue, car parler de chatte et de cette façon ? Non, mais qu'est-ce qui t'a pris chérie ?. Heureusement pour elle, Cole ne l'avait pas prise en mal, elle aurait immédiatement souhaité devenir invisible, disparaître même. Mais ce sont des erreurs qui arrivent, enfin non, qui n'arrivent qu'à elle en fait. Lui par contre, il venait d'en faire une et l'anglaise s'était toute suite refermée dans sa coquille. Hôtel, cours sexuelle, ça sonnait pour elle comme s'il venait de l'embarquer pour une petite nuit qui passera vite à l'oubliette lorsqu'il aura vidé toute sa libido et la belle elle, ne voulait pas se sentir aussi sale. Elle méritait un traitement meilleur que celui-ci surtout qu'elle n'était pas du genre à écarter les cuisses à tout va. C'est pour ne pas le faire justement qu'elle avait peur de se laisser aller dans les bras de Cole. Car elle avait la sensation qu'elle pourrait devenir accro et pourrait connaître ce monde de débauche si addictif, mais à trop penser aussi, elle finirait par se chopper une migraine. Anyway, l'anglais remonta à nouveau la veste sur ses épaules alors qu'elle le remerçia en rajoutant tout de même. « Pas dans la limousine, c'est la règle non ?. » Fit-elle allusion à la robe qu'elle devait remonter pour avoir cette fameuse bonne note. Cependant, monsieur la rassurait en acceptant sa proposition et Marie préférait de loin cette option en indiquant rapidement au chauffeur, le chemin de sa demeure. Et une fois arrivé à Along Charles River, elle guida l'Eliot vers un petit studio où elle était certaine qu'il réagirait bizarrement. Genre une Burberry dans un petit studio tout simple ?. La réaction n'allait pas tarder d'ailleurs puisqu'elle venait d'ouvrir la porte afin d'entrer et le laisser faire de même à son tour. « Bienvenue dans mon petit nid... » Lança Lou en refermant la porte derrière lui. Le studio émanait une odeur de parfum framboise, la sienne. Tout était bien rangés, la décoration aussi simple que sa personnalité. « Ce n'est peut-être pas digne d'une Burberry, mais je n'aime pas trop les grands espaces. Ce studio me suffit amplement pour l'instant. » Après tout, elle n'avait encore ni mari, ni enfant et si elle se plaisait ici, eh bien c'était l'essentiel. « Je te sers quelque chose à boire ?. » Politesse, politesse. En fait, son but étant de repousser l'instant fatidique, l'instant où il lui fera glisser la robe le long de ses courbes, l'anglaise pensait qu'avec un peu de chance, il partirait sans aller au bout de sa mission. Par la même occasion, elle retira la veste Wildingham de ses épaules qu'elle déposa sur le petit fauteuil près du lit.

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