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Un petit cours d'éducation sexuelle ? (ML)

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Les soirées se multipliaient en cette fin d’année. Frénésie étudiante, les partiels passés, chaque occasion était bonne à prendre pour les harvardiens de faire la fête, se lâcher, célébrer l’été qui arrivait à grand pas. Ce soir ne faisait pas exception. Le bar était blindé, et c’est en me frayant un chemin jusqu’au comptoir que je remarquais sa présence : Marie Lou. Mon sourire se fit alors carnassier, les souvenirs de notre étreinte d’une nuit me revenant en tête. Sa maladresse, ses gestes hésitants, et son attitude embarrassée du lendemain ainsi que son comportement fuyant depuis, lorsque l’on s’était parfois croisés sur le campus. Elle ne semblait pas m’avoir remarqué ce soir, et c’est donc par surprise, m’approchant d’elle dans son dos, que je la saluai finalement : « Well well well… regardez qui est là. » Plus elle était confuse et gênée, et plus mon amusement était grand. D’ailleurs c’est clairement dans l’idée d’augmenter son malaise que ma main vint de poser sur sa taille pour l’attirer doucement à moi, me penchant pour lui faire la bise de manière clairement ambiguë, mes lèvres se posant au coin des siennes, à la frontière entre sa joue et sa bouche. « Comment tu vas depuis… la dernière fois. » Insistant volontairement sur la dernière fois, mon regard étincelant d’une lueur salade alors que mon sourire s’élargissait de manière équivoque.
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feat. COLE S.-WILDINGHAM
Tic. Tac. Tic. Tac. L'assommante horloge s'ennuie tellement dans cette salle de classe qu'elle se permet de narguer Lou en décomptant les interminables minutes qui la séparent de la fin du cours... Mais elle écrit quand même l'inachevable liste de devoirs, parce qu'au fond, c'est une bosseuse. À peine les cours terminés, Marie-Lou range ses affaires et s'empresse de sortir de l'université. Néanmoins, elle entend au loin l'écho d'une voix, celle de l'une de ses amies qui la persuade au bout de 15 minutes, de les accompagner danser ce soir. Bien qu'elle fut contre au départ, elle finit par lâcher prise connaissant le côté têtu de son amie. Bref, quelques heures plutard, Lou se retrouvait assise au bar de la boîte de nuit pendant que ses amies dansaient et buvaient comme des folles sur la piste. Le regard perdu sur son verre de jus, une voix s'infiltre soudainement à son oreille et elle n'eut le temps de réagir que les lèvres de Cole se posaient déjà sur le coin des siennes. WTF ? D'où se permettait-il un geste pareil ?. Son regard balança de droite à gauche, puis ailleurs, partout, sayez le malaise encore plus présent que jamais. « Quelle dernière fois ? Il n'y a jamais eu de dernière fois... » Balbutia la demoiselle en fixant le sol comme une petite fille qui se faisait réprimander. « Ne fais plus ça... » Vous savez ? Ce qu'il venait de faire avec ses lèvres. Elle n'osa même pas affronter son regard. Tous deux étaient des étrangers pour l'anglaise, un être à qui elle n'avait jamais adressé la parole et qui ont partagé une nuit qu'elle voudrait oublier. Elle se sentait vulnérable et mal à l'aise, ne sachant pas comment se conduire auprès de lui, ni comment réagir. Marie ferma les yeux, essayant de vider sa tête de ses pensées qui lui polluait l'esprit à cet instant. Mais d'une main hésitante qu'elle posa sur son torse, elle le poussa légèrement pour instaurer une certaine distance entre eux. Il la perturbait à être si proche comme ça.

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Je me délectais de l’effet que pouvait faire ma simple apparition derrière elle. Son regard qui cherchait à s’accrocher partout plutôt que sur le mien, trouvant finalement le sol, balbutiant, voix hésitante… J’aimais cela et mon sourire s’élargit, sadique… Elle niait la fameuse –dernière fois- que j’évoquais et un rire volontairement moqueur s’échappa de mes lèvres. « Alzheimer précoce ma petite Marie Lou ? Tu as peut être envie que je te rafraichisse la mémoire c’est ça ? Que l’on remette le couvert ensemble ? » Ou pas. Vu qu’elle était formelle et m’ordonnait de ne plus recommencer le simple fait de poser mes lèvres au coin des siennes. « Je te saluais simplement d'une bise. Mais tu préférais quand j’embrassais une autre partie de ton corps ? Tes autres lèvres ? » Tout pour accentuer son malaise, diabolique comme jamais. Et c’est finalement avec une force de mouche que sa main frappa mon torse, essayant surement par là d’instaurer une distance plus décente entre nous. Mes doigts saisirent alors les siens, la bloquant dans sa manœuvre de défense et gardant sa main prisonnière de la mienne quelques instants. « Tut tut tut… Tu fais dans la violence maintenant ? Tu ne m’avais pas parue adepte du genre –la dernière fois-. » Et j’insistais volontairement une fois encore sur ces derniers mots. Cette –dernière fois- qu’elle voulait apparemment occulter de son esprit et que pour ma part, je me faisais un plaisir de lui rappeler.
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feat. COLE S.-WILDINGHAM
Que l'on remette le couvert ensemble ? Cette phrase sonnait comme un coup de fouet à ses tympans. Elle écarquilla les yeux, repassa en boucle ce qu'il venait de dire tandis que son coeur s'était mise soudainement à battre, mais c'était juste l'effet surprise de cette phrase. Remettre le couvert avec Cole ?. Pas qu'elle ne s'était pas enivré de cette nuit se jour-là, pas qu'elle n'avait pas aimé. Justement, il lui avait fait découvrir quelque chose qu'elle se refusait de découvrir jusqu'à cette fameuse nuit. Le sexe. Pas qu'elle lui en voulait à lui aussi, mais elle s'en voulait plutôt à elle d'avoir autant apprécié et ce, même sous l'effet d'un excitant. « Et qu'est-ce...qui te fait croire que j'ai apprécié ?... » Plus gêné que jamais, l'anglaise se mordille la lèvre cherchant toujours à éviter son regard. Et god, ses futurs mots ont eu le don d'hérisser ses poiles. Pourquoi s'acharnait-il autant à la mettre si mal à l'aise ? C'est limite si elle n'avait pas envie de disparaître de cet endroit. Ce dernier prenait même sa main en otage l'obligeant ainsi, à croiser son regard à défaut de ne pas pouvoir se libérer de son emprise. « Cole ?. » Voix fine, douce, pourtant serieuse à cet instant, elle baissa les yeux quelques secondes, puis recroisa de nouveau les siens. « Pourquoi t'acharner autant sur moi ?. Sur cette... nuit ?. » Bonne question n'est-ce pas ? Parce qu'elle cherchait une réponse plausible, mais n'en trouvait guerre. « Pourquoi perds-tu un temps si précieux à parler avec une nana comme moi ?... Regarde autour, il y a des femmes qui n'attendent que ça... que t'ailles les satisfaire. Rends la moi s'il te plait... » Ordornait-elle avec une once de peur dans la voix en lui faisant un signe vers sa main. Elle essayait tant bien que mal de la libérer des chaînes qu'étaient la sienne, mais la pauvre, n'y parvenait pas. Coriace le mec, il ne lâchait jamais l'affaire.

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Je la vis écarquiller les yeux, décontenancée par mon audace et mes mots, et mon sourire s’élargit, d’autant plus amusé par sa question, une occasion en or d’accentuer un peu plus son malaise. « Disons que tes –oh oui- et tes –encore- entrecoupés de soupirs et de gémissements étaient assez éloquents. Tu as pris ton pied, n’essaie pas de me faire croire le contraire. » Mes yeux la jaugèrent un instant, regard salace, la déshabillant sur place pour me souvenir de ce corps, ses courbes cachées sous ses vêtements, ses formes que j’avais eu le loisir de parcourir lors de notre fameuse nuit… Sa main était toujours prisonnière de la mienne après qu’elle ait tenté de me faire reculer, mon regard s’accrocha finalement au sien et son ton changea quelque peu. C’est tout doucement qu’elle m’interrogea sur les raisons de mon comportement. J’aurais pu répondre que j’étais un sadique, un type malsain qui se nourrissait de ça, du malaise des autres. Je n’étais pas –le plus intimidant- pour rien après tout. Mais je me justifiais tout autrement : « T’es ma bonne action du jour Marie Lou… En fait, si je remets ça sur le tapis, c’est pour t’aider toi, et aider tous tes futurs partenaires vois-tu… Parce qu’il est évident que tu as besoin de conseils et surtout… d’entrainement. » Elle me demanda de –la lui rendre- et je fis exprès de comprendre de travers ses mots. « Te rendre quoi ? Ta virginité ? Je crois que c’est trop tard pour cela… » me marrai-je alors. Parce que oui, en grand habitué et ayant eu de multiples partenaires, j’avais vite compris lors de notre étreinte que c’était probablement une première fois pour la blondinette. En vrai, par sa phrase, elle voulait juste dire que je devais la libérer, mais je maintenais mon emprise, resserrant mes doigts sur les siens, amenant sa main jusqu’à mes lèvres pour en en embrasser le dos, petit baise main tel un gentleman, bien que mon comportement en était loin. « Je me propose juste de t’aider ma chère. Je pourrais être ton professeur… »
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feat. COLE S.-WILDINGHAM
La Burberry n'étant pas née de la dernière étoiles, bien que naïve, elle pouvait percevoir une lueur d'amusement, de provocation dans les yeux de Wildingham. Elle voyait bien tout le plaisir qu'il prenait à vouloir la mettre mal à l'aise et c'était gagné. Il réussissait ses plans à la perfection parce que là, Marie avait les joues plus rouges qu'une tomate, une vrai poupée de porcelaine. Tant sa phrase l'avait déstabilisé, tant elle ne savait plus où se mettre à cet instant. « Ce n'est pas pour autant que j'ai envie de recommencer... » Lâchait-elle en fuyant son regard. En réalité, lorsqu'elle repensait à cette nuit, à toutes les sensations qu'elle avait pu ressentir, à tous les coups de langues et de reins qu'il avait pu lui offrir, elle s'étonnait d'avoir envie de recommencer, pas forcément avec Cole, mais juste recommencer. Seulement, elle se connaissait bien trop pour avoir le cran et le courage de se lancer ou même de se lâcher. Elle craignait toujours ne pas être à la hauteur. Puis les réponses du jeune homme s'enchaînaient, la laissant sans voix pendant un court instant. Elle l'observait hésitante, tout ceci n'était qu'un jeu pour lui, un moyen de perdre son temps. Non, son corps ne l'intéressait pas plus que ça, tout ce qu'il souhaitait, c'était jouer. « Tu sors vraiment ce grand jeu à toutes les nanas que tu croises pour qu'elles finissent toutes dans tes draps ?. » Simple question, mais elle n'attendait pas moins la réponse. Elle venait de se faire une idée du type d'homme qu'elle avait en face et elle conclu que pour son bien, il fallait vite s'en éloigner. « Tu ne te dis pas qu'en jouant ainsi, des femmes pourraient s'attacher à toi, pourraient t'apprécier et même en tomber amoureuses jusqu'à ce qu'elles comprennent qu'elles ont juste été prise pour des pigeonnes ?. » La demoiselle n'avait jamais été aussi direct avec quelqu'un, mais elle avait eu ce besoin de le dire, surtout lorsqu'il rajouta le baise main en mode gentleman. « Je n'ai vraiment pas besoin d'aide, je me connais, je vais foirer tout comme toujours alors ça ne sert vraiment à rien de perdre de temps. » Elle essayait à nouveau de libérer sa main et cette fois-ci, y parvient. Mais en voulant attraper son verre de jus toute tremblante, elle le renversa maladroitement sur sa robe et se releva sur-le-champ. Marie et sa maladresse légendaire. « Tu vois ? Tu ne peux rien... Bonne soirée Cole. » Et sur ces derniers mots, l'anglaise se précipitait vers les toilettes pour se nettoyer. Sauf que quiche comme elle était, elle n'avait pas regardé avant d'y pénétrer. Résultat, elle se retrouva dans les toilettes des hommes.

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Jubilant devant la teinte cramoisie que prenaient ses joues à mesure que je parlais, j'observais chacune de ses réactions avec de plus en plus d'amusement. Le petit rappel de ses nombreuses manifestations de plaisir la déstabilisèrent mais elle trouva malgré tout l'audace de répondre, affirmant sa non volonté de recommencer, regard fuyant... "C'est pas beau de mentir..." Avoue que tu en crèves d'envie. Mes yeux perçants scrutaient les siens avides d'y lire toute trace de désir.  Mon petit speech sembla d'abord la laisser perplexe, elle resta sans voix devant moi. Elle retrouva néanmoins son aplomb en me questionnant de manière accusatrice sur mon attitude, à savoir c'était le même cinéma avec toutes les filles qui croisaient mon chemin. "Seulement quand le jeu en vaut la chandelle..." Probablement aussi que mon instinct pressentait l'importance sociale de la demoiselle, dont j'ignorais encore le nom de famille et l'appartenance à une famille de la haute. Pour l'heure, c'était juste ses réactions démesurément gênées qui me poussaient à insister lourdement. C'est avec un rire que je l'écoutais me sermonner sur les dommages collatéraux que mon comportement pourraient provoquer et je corrigeais alors : "Tu vois tu me parles d'amour quand moi je te parle uniquement de sexe... Il ne faut pas tout confondre ma petite Marie Lou, tu as encore beaucoup à apprendre." Mais de mon aide, elle ne voulait vraiment pas. Se dérobant de mon emprise en le réaffirmant, elle finit par renverser le contenu de son verre sur sa robe. Mon regard se fit intéresser scrutant soudain avec intérêt le tissu mouillé qui épousait avantageusement ses formes, une vision très brève puisque la blondinette fila rapidement vers les toilettes... des hommes... "Oh non Marie..." soufflai-je alors en ne pouvait faire autrement que de suivre ses pas. Une fille comme elle, dans une robe mouillée qui dévoilait un peu trop son anatomie, se trouvant dans les sanitaires d'un bar avec des mecs bourrés, c'était dangereux... Je me dépêchai donc de la rejoindre là bas, espérant qu'aucun client masculin n'allait lui chercher des noises... Son bourreau, c'était moi. La place était déjà prise.
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Et oui la demoiselle mentait, elle ne faisait que mentir depuis tout à l'heure. Chose qu'elle n'avait jamais fait auparavant. Et là, elle ne se reconnaît même pas, simplement parce qu'il lui était impossible d'avouer à ce bourreau des coeurs, qu'elle avait kiffé être envahi par toutes ces sensations. Le sexe c'était bon, mais pire que la drogue, trop additif et elle ne voulait pas devenir l'une de ses filles qui écartes les cuisses au premier venu. Elle n'était pas une marchandise après tout. Quoi qu'aux yeux de Cole, si elle l'était et ça la faisait flipper lorsqu'il la regardait avec ses yeux si gourmands. « Je... » Que pouvait-elle lui dire après ça ? Lui dire un mensonge à nouveau ? Lui dire qu'elle ne mentait pas alors qu'il savait très bien ?. Ses gémissements, ses petits râles, le plaisir qu'elle avait ressenti, tout ça l'avait trahi, la prenant elle-même à son propre piège. « Chez les Burberry, on n’a pas l'habitude de voir le sexe de cette façon. C'est plus significatif pour nous. On est sensé le faire avec une personne qu'on aime... » Et sur ses mots, elle s'était cassée dans les toilettes. Toilette des hommes je précise. En somme, il n'y a qu'elle pour faire ce genre de gourde. Anyway, Marie commençait à se nettoyer lorsque l'Eliot entra de nouveau. Elle soupira avant de stopper ce qu'elle était en train de faire et de fermer quelques secondes les yeux. « Tu n'abandonnes donc jamais ?. » Était-il la meilleure personne pour lui apprendre toutes ces choses qu'elle ne savait pas ?. « Sérieusement ? Qu'est-ce que tu attends de moi ? Que j'écarte à nouveau les cuisses pour tirer vite fait ton coup et te casser après comme si tu ne me connaissais même pas ?. » En fait, elle ne comprenait même pas ce qu'il la trouvait à vouloir la suivre comme ça. Elle était si maladroite qu'un autre à sa place, aurait vite fait d'aller voir ailleurs. L'anglaise balança le mouchoir afin de s'asseoir sur un marbre près d'un levier où elle tirait doucement l'Eliot par son col histoire qu'il se trouve entre ses cuisses. Remarquez qu'elle avait toujours la tête baissée et qu'elle exprimait une expression totalement gênée par son geste qu'elle trouvait elle-même déplacé. Ce n'était pas elle. « C'est là que tu veux être ?. » Entre ses cuisses lisse et toujours chaudes. Ses doigts agrippaient la ceinture de son pantalon qu'elle défait, mais ne retire pas. « Je me déteste ! Parce que oui tu as raison, j'ai aimé ce que tu m'as fait ressentir. J'ai aimé chaque coup de reins que tu m'as donné... Chaque baiser que tu écrasais sur ma peau... T'es content ? Est-ce que ça suffit pour que tu me laisses tranquille maintenant ?. » Ou bien devait-elle écarter les cuisses à nouveau pour qu'il la lâche ?. Cette fois-ci, elle osa croisé son regard, elle y plongea même, mais cette proximité commençait à la rendre nerveuse. Elle bougeait inconsciemment pour reculer jusqu'à ce que son dos heurte doucement le miroir derrière elle. « Qu'est-ce que tu veux m'apprendre ?. » Demanda-t-elle d'une voix presque tremblante alors que ses paumes viennent trouver place de chaque côté de son corps contre le marbre. Avec tout ça, elle ignorait toujours qu'elle se trouvait dans les toilettes des hommes. Quelle honte.

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J’avais un sourire victorieux devant son –je- sans suite, si les mots lui manquaient c’était que j’avais mon petit argumentaire. Sauf qu’elle se dégagea de mon emprise, renversa son verre dans la manœuvre et elle retrouva la parole pour me répliquer quelque chose sur sa famille, la vision qu’on lui avait inculpé du sexe, que cela impliquait des sentiments… Blablabla… Ce n’était pas tant ça que je retenais non, je restais scotché sur tout autre chose : son nom de famille. Elle avait dit quoi ? Chez les Burberry ? Et soudain, j’eus comme un flash, certaines images publicitaires de la célèbre marque me revenant en tête. Comment n’avais-je pas pu tiquer plus tôt ? Ce visage angélique, je l’avais déjà vu quelque part et c’était bien en tant que model pour Buberry. Alors si en plus, c’était son patronyme, ça ne pouvait pas être un hasard, Marie Lou était surement l’héritière de cette firme de vêtements et accessoires de luxe. J’en étais resté bloqué quelques secondes, suffisantes pour que la demoiselle ne file vers les sanitaires, espérant surement me semer ainsi. Sauf que, mauvais choix la belle, elle s’était dirigée dans les wcs des hommes. Je soupirai en prenant moi aussi cette direction. Devant le lavabo, Marie s’activait à détacher sa robe, spectacle intéressant qui me fit aussitôt sourire. « Je suis quelqu’un de persévérant... » l’informai-je en m’approchant alors qu’elle s’étonnait de me voir la suivre jusqu’ici. C’est alors que la conversation changea de ton. Avec une certaine hésitation, Marie Lou se lança à son tour dans le jeu, espérant surement retourner la situation à son avantage et me remettre à ma place, m’interrogeant sur ce que je cherchais, ce que je voulais. Sa main agrippa mon col et elle m’attira entre ses cuisses, yeux baissés néanmoins. Et il était clair que c’était une danse qu’elle n’avait pas l’habitude de mener. Mon regard chercha le sien en bain et je sentis ses doigts dénouer ma ceinture… Mon pouls s’accéléra sensiblement l’espace d’un instant. Etait-elle sérieuse ? Allait-elle vraiment faire cela et ici en plus ? Ca ne collait pas vraiment avec le discours sur les bonnes manières inculpées par sa prestigieuse famille. Enfin, c’est par un aveu qu’elle termina son petit numéro : elle reconnut qu’elle avait aimé cela, notre nuit, notre étreinte, mes baisers sur sa peau… Nouvelle accélération de mon rythme cardiaque. Fallait croire que finalement, elle n’était pas si novice, si elle arrivait à me troubler ne serait-ce qu’un peu. A la question de savoir si j’étais satisfait de cela, suffisamment pour la laisser tranquille, je restais muet, me contentant de secouer la tête lentement de gauche à droit pour répondre à la négative. Oh non, Marie Lou, tu ne t’en sortiras pas aussi facilement… Elle releva finalement les yeux, nos regards se percutant et c’est une lueur de peur que je lis dans ses prunelles, le signal qu’il me fallait pour reprendre les rennes.  Elle recula, bloquée rapidement par le miroir, à ma merci… « Ce que je veux t’apprendre ? » Ma main glissa à son tour sur sa cuisse, faisant remonter un peu plus sa robe, caressant du bout des doigts sa peau : « Premièrement qu’on ne s’attaque pas à plus fort que soit… »En gros, n’essaie plus avec moi ce genre de petit jeu, j’étais le maitre en la matière… « Deuxièmement, je compte te prouver que parfois il faut savoir écouter son corps. » Mon visage se rapprocha du sien, venant souffler ses mots contre sa peau alors que ma main continuait en parallèle son ascension dangereuse. « Mais la règle d’or ça reste quand même… » poursuivis-je lentement, pour bien doser mes mots alors que c’est la dentelle de sa petite culotte que j’effleurais désormais du bout des doigts. Je pourrais l’embrasser, là tout de suite maintenant. La pousser à nouveau à se donner à moi, comme lors de notre précédente nuit… Ca ne serait pas la première ni la dernière que je sautais dans les toilettes d’un bar. Mais dans ma tête, son nom résonnait encore. Et non, une Burberry méritait un meilleur traitement. Mon rôle de bourreau s’effritait déjà un peu. « … Jamais le faire dans les toilettes des hommes. » terminai-je donc finalement ma phrase avec un petit rire, m’écartant d’elle d’un pas, alors même que le bruit d’une chasse d’eau résonnait. Un client des lieux sortit de l’un des cabinets de toilette, nous fixant un instant avec surprise, son regard se stoppant sur ma ceinture ouverte et la position compromettante de la demoiselle, il s’excusa rapidement en bafouillant et prit vite la poudre d’escampette. « Alors, Marie-Lou, on s’en va d’ici, tu me suis ? T’es prête à jouer dans cour des grands ? » demandai-je en lui tendant la main.
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Marie n'étant pas habituée à ce genre de proximité, voilà qu'elle lançait elle-même les hostilités. Le jeune homme s'était retrouvé entre ses cuisses alors qu'elle n'osait pas relever la tête. Tout ce qu'elle sentait, c'était l'adrénaline qui remontait petit à petit, son coeur qui tambourinait de panique au geste déplacé qu'elle avait fait. Bon sang ! Elle venait de l'inviter elle-même entre ses cuisses et c'était juste insensé. Marie n'en revenait pas de se laisser aller aussi facilement en sa présence, elle en était troublée... Pour tout dire, elle en était là première étonné. Peut-être parce qu'elle avait déjà sauté le pas avec lui, car n'oubliez pas qu'elle avait pu elle aussi, goûter à sa peau. Mais là n'est pas le problème, le problème c'est qu'elle avait peur d'en devenir accro, accro au sexe et ne plus savoir s'y contrôler. En gros, oui, elle avait bien des choses à apprendre. On pouvait la comparer à un bébé qui apprenait à dire maman et papa pour la première fois. Et puis, trop de souvenirs remontaient en elle... Des souvenirs qu'elle avait enfoui au plus profond d'elle et qu'elle ne voulait pas voir rejaillir. Sa dernière histoire d'amour remontait à presque un an... Et depuis, plus rien. Elle se refusait tout approche de peur de tout foirer encore une fois. Vous vous imaginez que seul Cole avait eu la chance d'aller plus en profondeur, même Sloan n'avait pas eu la chance d'aller si loin. Vaguant dans ses pensées, elle en fut vite sortit par la main de l'Eliot qui remontait sensuellement sa cuisse emportant sa robe au passage. Lou arrêta de penser. Elle était troublée dans ses gestes, dans sa position et elle avait du mal à suivre la discussion. Son regard jonglait entre le sien et sa main qui effleurait sa petite culotte à présent. « Ar..rête... » Murmura-t-elle à peine audible. En fait, tout son corps frissonait à son contact et elle ne pouvait guerre le cacher. Cela était tellement visible par les petits ports alarmés et ses poils de bras totalement hérissés. Elle l'écoutait sans vraiment l'écouter, son visage se rapprochait dangereusement du sien alors qu'elle eut un léger mouvement de recule, mais sa tête se colla à la vitre l'empêchant d'échapper à son souffle qui s'abattait sur son visage. Sauf qu'à l'instant d'après, ce fut le choc lorsqu'il avoua ne pas vouloir le faire dans les toilettes des hommes. Ouvrant ses grands yeux, la Burberry redescendit soudainement sur terre. La mâchoire presque pendante, elle posa une main sur ses lèvres en fixant l'inconnu qui venait de sortir des toilettes aussi choqué qu'elle. « Mais qu'elle idiote je suis !... » S'insultant elle-même, elle descendit du marbre en replaçant correctement sa robe. « T'vois à quel point tu perds ton temps Cole ?. » Ça n'arrivait qu'à elle ce genre de chose, mais l'Eliot semblait vouloir persister jusqu'au bout. Peut-être devrait-elle se laisser aller, peut-être qu'il était finalement apte à lui apprendre pleins de choses, peut-être qu'enfin, elle pourrait sortir de sa coquille ? C'est tout ce qu'elle demandait non ?. Avec une pointe d'hésitation, elle finit par glisser sa main tremblante dans celle de l'étudiant, en même temps, elle n'avait pas tellement le choix puisqu'elle se trouvait dans les toilettes des hommes. « Prête, je ne dirais pas ça, mais je te suis... sors-moi juste d'ici... » Demanda-t-elle en ayant la tête baissée jusqu'à ce qu'elle remarque la ceinture du jeune homme encore défait. La Burberry se plaça devant lui, puis glissa de nouveau ses mains sur la boucle de sa ceinture pour la refermer. Elle croisa son regard quelques secondes, baissa ses yeux et recroisa à nouveau son regard. « C'est mieux ainsi... » Elle n'avait pas envie de franchir le pas des toilettes alors que tous les regards pervers se poseront aussitôt sur eux et que des rictus s'échapperont des lèvres en voyant la ceinture de Cole défaite. Maintenant, ils pouvaient s'en aller et vite.

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