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Je te tue tout de suite, ou j'attend demain ?

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Je te tue tout de suite, ou j'attend demain ?
Dès qu’il avait tenté de me convaincre qu’il allait pouvoir s’endormir bientôt, j’avais clairement eu envie de lui répondre « parle à mon cul, ma tête est malade ! » Mais je suis sûre, qu’il en aurait effectivement fait le malin et aurait RÉELLEMENT parlé à mes fesses, rien que pour me taquiner. Du coup, j’avais préféré m’abstenir, et avait très vite enchaîné sur ma deuxième raison. Et là, comment vous dire : j’étais toute fière de l’avoir fait rire !! Bon seulement pour une micro seconde par contre : parce qu’à peine il s’était mis à geindre de douleur, que j’avais déjà regretté d’en être la responsable, bondissant de ma place pour regarder comment il allait. « Oh bon sang, pardon mon cœur, ce n’est pas cool de ma part, je te fais mal maintenant ! » mais Paris enchaînait très vite en me disant qu’il savait très bien de quel manque je parlais. OUF ! Je retombais sur le lit, à côté de Paris et soufflais de soulagement « Nan mais je te rassure, je te demande rien, hein ! Je me doute que tu ne sois pas « apte » ce soir, mais…je t’assure que sur le coup, j’étais en train de paniquer à l’idée d’être complètement devenue une sorte d’accro en manque de sa dose. Mais ça me rassure, je ne suis pas toute seule ». Je me mettais alors à rire doucement en me disant que j’avais un sacré problème de dépendance à Paris quand même, quand ce dernier me fit sa proposition…alléchante je dois bien le reconnaître, surtout quand je sens ses doigts commencer leur petit bout de chemin. « Ouais mais…non ! Bien que ce soit tentant ! Moi j’ai envie de toi, tu vois ?! Pas juste d’être soulagée… » Je soufflais alors par dépit, et dans mon souffle, ajoutais « Nan bon bah, c’est la vie mon cœur ! On fera pas l’amour ce soir et puis c’est tout. Et puis demain non plus parce que tu seras pas remis…et puis…après demain ? » me voilà partie dans mes petits calculs, levant carrément la main pour symboliser avec mes doigts les trois jours d’abstinence avant de glousser comme une idiote en montrant ma main dans le noir à Paris : « Avoue, c’est bien la première fois que tu pense que le chiffre 3, c’est un GRAND nombre, hein ?! » En tout cas, pour moi, oui !

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Elle l’avait fait rire et ses deux côtes fêlées lui avaient rapidement rappelé qu’elles avaient mal et qu’il ferait bien de ne pas trop jouer au con s’il ne voulait pas des ennuis. « Ne t’inquiète pas, c’est pas si douloureux que ça et puis, ça valait le coup de rigoler » la rassure-t-il pour ne pas qu’elle s’inquiète ou se rende malade de culpabilité. Après sa soirée, il avait franchement eu besoin de rire et elle le lui avait permis. Comment lui en vouloir dans ce cas ? C’était impossible. Il savait également que sa proposition serait refusée. Summer aimait beaucoup les préliminaires mais uniquement s’ils étaient suivis d’une petite visite de junior. Putain, voilà qu’elle lui avait mise en tête de drôles d’idées… Décidément, elle voulait sa mort cérébrale sur la conscience. « Je te confirme, tu n’es pas toute seule par contre… Pour le coup, je dois t’avouer que tu m’as bien allumé en me rappelant à juste titre que notre rituel n’était pas complet » lui dit-il non sans venir balader sa main vers une contrée de ce corps féminin qu’il adorait claquer. Summer rejeta la proposition, comme il s’en était douté. « Je sais bien que tu veux la totale mais comme tu as dit, ce soir, je risque d’avoir du mal à jouer les amants passionnés » grimaça-t-il car mine de rien, ça le faisait chier de ne pas pouvoir honorer le devoir conjugal qui était, à juste titre, le moment préféré de sa journée. Son ange se mit à dénombrer le nombre de jours où ils allaient devoir faire abstinence et plus le chiffre augmentait et plus il devenait vert. « Attends une minute… Hey, tu vas pas me priver de sexe pendant six jours ce mois-ci ?! Non parce que je te rappelle que dans une semaine, madame va jouer avec ses couche-culotte alors je refuse de perdre trois autres jours » râla-t-il avant de bouder comme un gamin. Paris était ainsi : il était amoché -salement même ; et il continuait de trouver le moyen de râler alors qu’il ne pouvait même pas assurer. Cependant, dans sa tête, une réunion de crise se tenait : SoldatParis1 arguait du fait qu’il était inconscient de faire l’amour dans son état ; SoldatParis2 lui, stipulait que si Summer le chevauchait et qu’ils y allaient doucement et non comme des bêtes, cela pouvait largement passer ; SoldatParis 3… bah lui se matait déjà le film porno dans sa tête. « Ouais ben ce chiffre trois, il m’emmerde profondément » marmonna-t-il avant de soupirer. « T’es sûre que je peux pas te toucher ? Non parce que ce serait déjà une petite consolation pour moi que de t’envoyer au septième ciel hein.. »
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Rassurée par l’état de Paris j’avais fini par reprendre ma place à côté de lui et de me faire à l’idée que les choses allaient être différentes ce soir. Pas de sexe, pas de sexe ! C’était dur à concevoir je l’avoue…si bien qu’au moment où j’avais fait les calculs en rigolant et que j’avais fait part à Paris du résultat, le Dunster me rappelait à juste titre, qu’il y aura d’autre jours de privatisation. Je souriais avec amusement et argumentais : « Nan mais, les 3 autres jours, on a l’habitude, on sait bien que c’est limite obligatoire. Et puis, hey, j’y peux rien moi ! Ce n’est pas moi la mal en point sur les deux ! » C’est vrai quoi : pour une fois que je n’allais pas l’entendre grogner parce que c’était à « cause » de moi qu’on n’aurait pas le droit à nos câlins crapuleux pendant deux trois jours, je pouvais en profiter et lui faire savoir que lui aussi avait sa part de culpabilité maintenant. Seulement parlé de tout ça n’empêchait pas le Dunster de tenter de me convaincre qu’il pouvait me satisfaire…Oh ça oui, je savais qu’il en était capable, et ce n’était pas ça le problème. Le problème c’est que je me connaissais par cœur : je savais d’avance que je ne pourrais pas me contenter de ces caresses intimes ! Il me faudrait plus, toujours plus ! Et surtout, LUI ! Lui tout entier, et pas juste ses mains ou sa bouche. Je grimaçais alors que la main de Paris continuait à voyager dans mon dos, jusqu’à la naissance de mes fesses : c’était plus que dur de résister. « Stop…je changerais pas d’avis mon cœur. Je te veux tout entier, et tu ne pourras rien y changer ! Donc : no sex ! Tu vas garder toute ton énergie pour la prochaine fois !!! Et là mon cher, il y a intérêt que ce soit un véritable feu d’artifice » concluais avec un regard espiègle et une pointe de défi dans la voix ! « Tu vas devoir tout donner, mais alors…TOUT DONNER !! » et je me mettais à rire à gorge déployée en levant les yeux au ciel pour regarder le plafond, et tenter de ne plus me concentrer sur la main de Paris.

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Certes, ils avaient l’habitude de se câliner sagement trois nuits par semaines mais là, elle le condamnait carrément à six jours de chômage technique. Savait-elle qu’il allait être grognon ? Car non seulement, Lawrence allait s’assurer qu’il prenait bien ses médicaments mais en prime, il allait devoir rendre des comptes aux deux… Donc non, le priver de sexe n’était certainement pas l’idée du siècle mais Summer pouvait se montrer intraitable par moment. « Mais je vais bien et puis si je prends les antidouleurs, c’est comme si j’étais neuf non ?! Tu te rends compte… six jours ! C’est à un jour près, une semaine. Une semaine sans sexe !! 168 heures sans câlin crapuleux… Non mais Il n’y a pas marqué moine en devenir sur mon front… M’en fou, pendant une semaine, tu fais ce que tu veux, tu te trimbales en combinaison de ski devant moi, en burqa mais je veux pas voir un centimètre de peau sinon je réponds de rien » bougonnait-il comme à son habitude arguant du principe qu’il pouvait tout de même la satisfaire ELLE et se contenter de ses gémissements. Paris n’était pas un amant égoïste, il ne visait pas seulement la pénétration, deux trois coups de reins et il s’en va comme les marionnettes de la célèbre comptine pour enfant. Il aimait lui donner du plaisir, la toucher, la savourer, la voir se cambrer sous lui. Bon sang, il allait réellement devoir faire ceinture. Tant pis pour elle, elle allait se mater des documentaires animaliers à longueur de journée pour se changer les idées. « Ouais ben on verra si je suis en forme ou si je n’aurais pas implosé entre temps… » bouda-t-il comme un gamin qu’on venait de punir de la pire des manières qui soit. « Vais aller chercher le Nutella, j’ai besoin de manger un truc » grommela-t-il avant de se lever lentement. « Putain, j’ai l’impression d’être un grand-père » râla-t-il de mauvaise humeur en allant dans la cuisine non sans pester que la prochaine fois qu’il déménage, il prend un appartement simple et non un duplexe. Décidément, il ne fallait jamais contrarier un Maconahey sans subir dans la foulée son mauvais caractère. Le pire, c’est qu’il en voulait même pas à Summer, il n’était pas con au point de faire la gueule parce qu’elle lui disait non -c’était pas un gros pervers. C’est juste d’être à nouveau vulnérable qu’il l’emmerdait à ce point.
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J’aurais dû le savoir que priver Paris de sexe, allait être dur à gérer. Bon déjà, moi, je n’en menais pas large ! Y’en a qui lise pour s’endormir, d’autre qui consomme des somnifères…moi ? Je consomme Paris, purement et simplement ! Alors oui, c’est vrai, on aurait pu jouer la carte du « toucher-caresses » etc, mais…franchement, même si j’adorais tout ce que Paris pouvait provoquer en moi, j’avais plus que besoin de cette fusion de nos corps en bouquet final ! C’en était presque vital. Ajoutons à cela que moi aussi, j’étais plus que capable de donner du plaisir-solo à Paris, forcément, ne pas pouvoir faire ni l’une ni l’autre de ses deux options, c’était comme me priver de Nutella ! « Dis donc, au lieu de penser que c’est moi qui vais être une sorte de tentation sur pattes pendant 6 jours, est-ce que tu pourrais une seconde te mettre à ma place ? Moi aussi je vais avoir du mal à résister d’accord ?! T’es là allongé et offert sur ce lit ; t’es tellement incapable de la moindre force que je peux même profiter vilement de la situation si je veux…Donc crois-moi celle qui va avoir du mal à résister, c’est moi ! Toi, au moins t’as l’excuse de la douleur, et du rétablissement obligatoire ! » Mais bon, dire tout ça à un Paris frustré et bougon, c’était comme de parler à un mur.

Tiens, moi qui parlait de Nutella y’a pas quelques secondes, voilà que Paris lui aussi y faisait référence. Sauf que lui, c’était pour aller s’y jeter dessus et faire passer sa mauvaise humeur. Je le regardais se lever du lit en grommelant et je ne pouvais m’empêcher de lui « Ne mange pas tout ! Tu vas encore laisser le fond du bocal dans le placard et y’a rien de plus énervant que ça… » Ah si… « Ah si ! Le manque de sexe, c’est vrai ! C’est tout aussi énervant » et là je savais que je n’aurais pas dû dire ça, parce que Paris, après avoir eu un mal fou à sortir du lit, me jetait un regard noir avant de quitter la chambre. Moi, je riais sur le moment…mais une fois Paris plus là, je restais là dans le lit, avec toujours ce manque persistant. Jetais alors la couette qui me couvrait pour la balancer du côté de Paris. Et ainsi allongé sur le lit, sans rien pour m’emprisonner, je plaçais les mains sur mon visage pour le café et étouffé mes cris de frustration, tout en tapant des talons sur le matelas, telle une gamine ! Je le faisais assez fort jusqu’à ce que mes jambes me lâchent et se sentent épuisée…puis finalement, le silence. Je retirais mes mains et respirais calmement avant de murmurer à moi-même : « Je sais bien que je ne vais pas tenir….je préfère même pas parier parce que je sais direct que je vais perdre, et lui sauter dessus alors la fin de ces 3 prochains jours… » J’ouvrais alors les yeux pour regarder le plafond en soupirant d’exaspération contre moi-même, ayant envie de me dire « ma pauvre fille, t’es désespérante »…mais finalement, c’est un regain de motivation qui me prenait au corps : Je bondissais du lit, et sortais alors de la chambre pour dévaler les escaliers et arrivé jusqu’à la cuisine, pour voir Paris sortir le Nutella et chercher je ne sais quoi pour aller avec. « J’ai le droit d’en prendre une cuillère avant que tu ne dévore tout ? »

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« Mais vas-y viole moi !! J’attends que ça » s’écria-t-il car elle lui tendait une sacrée perche mine de rien. Paris était dégouté… A quoi ça sert d’avoir une petite-amie ultra canon et surtout nymphomane monogame sur les bras si ce n’était pas pour en profiter. D’accord, son corps lui, était loin d’être à la noce, il avait réellement mal mais s’il y avait bien quelque chose qui pourrait le calmer ce soir, c’était bien une partie de jambe en l’air. Par contre, qu’on ne se méprenne pas. Paris n’était pas là à se dire que sauter sa nana était le remède à tout mais après la frayeur qu’il avait eu ce soir, l’idée d’une étreinte tendre et aimante… Bah ça avait le don de le motiver à passer outre sa douleur. Il ne cherchait pas vraiment la relation sexuelle dans tout cela. En réalité, il recherchait surtout la quiétude et le sentiment d’être dans un cocon d’amour plus que toute autre chose mais il était bien trop fier pour l’exprimer clairement. A la place, il pestait, rageait, il grognait même. En somme, il faisait exactement ce que l’on attendait de lui.

Le pire, c’est que Summer ne l’aidait en rien, parlant de frustration sexuelle et de Nutella. Paris la fusilla du regard avant de quitter la chambre comme un grand-père se lancerait dans les 24 heures du Mans pour maison de retraite : lentement, avec des gestes pesés pour ne pas faire mal. Cinq minutes… Il lui fallut cinq minutes pour gagner la cuisine, attraper le pot de Nutella et une petite cuillère. Il manquait plus que le pot de glace, le film romantique et il se transformait en gonzesse de série B. Son orgueil allait déjà mal alors autant en rajouter une louche songea-t-il amèrement en plantant la cuillère dans la pâte chocolatée. Une première bouchée et déjà, il se sentait moins grognon. Le chocolat, c’était son vice caché : il adorait ça. Summer arriva sur ces entre-faits et il la toisa d’un œil un peu noir. « Mouais mais tu sors le pot de crème glacée que tu te réservais pour ta prochaine soirée avec Amanda ! » marchanda-t-il en reprenant une cuillérée de Nutella. « Cette soirée est vraiment pourrie… Je vais finir par croire que je devrais me farcir l’horoscope juste histoire de savoir si je peux sortir de la couette le matin » soupira-t-il, les fesses sur un des tabourets de la cuisine.

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Vous allez prendre pour une dingue c’est sûr, mais : Un Paris bougon, pour moi c’est un Paris qui me fait craquer ! Quand il est comme ça, j’ai trop envie de me jeter dans ses bras et de l’embrasser partout jusqu’à ce qu’il arrêter de ronchonner et qu’il se mette enfin à sourire ! Et pour cela, je suis obligée d’employer les grandes méthodes, je me dévoue volontiers ! Enfin…habituellement. Là, ce soir, je devais me retenir !
A peine arrivé dans la cuisine, je quémandais une cuillère de Nutella, mais Paris en était déjà à la négociation. Je me pinçais les lèvres à sa demande et posais mes mains sur mes hanches en penchant la tête tout en le regardant. Il marchandait dur dis-donc ! « Bon..okay..j’accepte le deal » lui répondais-je en marchant tranquillement jusqu’au réfrigérateur pour en sortir le fameux pot de crème glacé du bac de congélation. « Mais…je ne sors qu’UNE cuillère » ajoutais-je comme conditions au deal alors que je pivotais sur moi-même, glace en main en fermant le frigo d’un coup de hanche. Un passage vers le tiroir pour sortir une grosse cuillère et me voilà enfin à côté de Paris qui trônait sur son tabouret, prête à ouvrir le pot de glace, l’air de rien « Forme : Ne vous surpassez pas trop physiquement, vous risquerez de regretter quelques entraînements physiques qui vous coûteront chers » lançais-je avec une sourire narquois sur les lèvres, énonçant l’une des possibles phrase que Paris aurait pu avoir sur son horoscope. Puis tournant la tête vers mon petit-ami, je plongeais ma cuillère dans le pot pour la garnir de crème glacée et la tendais bien vite à Paris en ouvrant la bouche pour qu’il m’imite et se laisse prendre au jeu « Arrête de bougonner mon cœur…tu sais très bien que je te trouve trop chou quand t’es comme ça en plus ! » Qu’est-ce que c’était moche, mais alors très moche de ma part, de lui faire remarquer que je pouvais être émoustiller pour pas grand-chose le concernant, tout en lui disant « Niet ! Pas de sexe ! » Vilaine fille…

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Un marché était un marché, Paris comptait bien dévaliser le réfrigérateur ainsi que le congélateur car s’il ne pouvait pas avoir de sexe, il aurait autre chose : de la bouffe. Du sucré de préférence. « D’accord mais tu me donneras la bectée dans ces cas-là » la prévint-il mais c’était plus un effet de grande gueule qu’autre chose car si en temps normal, il serait capable de la lui piquer, là, il savait que cela ne serait pas le cas à moins de finir au sol en pleurant comme un bébé. Décidément, cette soirée n’était franchement pas gratifiante ni pour son égo ni pour son junior. Le pire, c’est qu’en sortant du hangar, il avait songé à plein de choses comme : Une Summer en tenue d’infirmière pour soigner ses petits bobos car bien sûr, il lui aurait dit que c’était une simple bagarre de comptoir. Il y avait également une Summer en maitresse d’école qui le gronderait car ce n’était qu’un vilain chenapan…. A aucun moment, il ne s’était figuré une Summer en mode « Madame Irma » qui lui conterait son horoscope. « Couple : à trop priver votre partenaire de sexe, vous risquez de vous retrouver gémissante en plein milieu de la nuit, la tête de ce dernier entre vos cuisses » dit-il avant de prendre la cuillère dans sa bouche et de pousser un petit « hum » significatif, le tout agrémenté d’un petit coup de langue précis sur le dos de la cuillère comme pour lui montrer tout ce qu’elle ratait en se refusant à lui. « N’empêche, tu es sadique avec moi ! » continua-t-il de pester non sans lui tendre à son tour une bonne dose de Nutella. Paris se pencha en avant et grâce à la force de son bras, il l’attira entre ses jambes. « Là, c’est bien mieux, pourquoi te tenir si loin de moi ? Tu as peur de craquer ? » lui demanda-t-il avant de déposer un baiser frais sur sa joue. Tous les moyens étaient bons pour faire craquer l’adversaire mais pour être honnête, Paris avait surtout besoin de sentir sa chaleur contre lui pour se rassurer. Il ne voulait pas lui montrer la peur qui était la sienne. Hors de question que de paraitre à nouveau faible à ses yeux -il l’avait que trop été tout à l’heure quand il avait pensé qu’elle allait le quitter à cause des combats clandestins.
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Je te tue tout de suite, ou j'attend demain ?
Je l’avais bien cherché le coup de MON horoscope, je l’avoue. Le pire, c’est qu’en me disant cela, j’avais tout de suite eu l’image dans ma tête, et forcément je m’étais mise à rougir. Je me mordais les joues pour ne pas trop me faire griller et surtout pour résister à ce gémissement que Paris provoquait tout en léchant la cuillère de glace « Moi je suis sadique ?! Est-ce que tu veux qu’on parle de ce que tu es en train de faire là, peut-être ? » Lui faisais-je remarqué alors que c’était lui maintenant qui venais me nourrir de Nutella. Et tout en gardant la cuillère dans ma bouche en la retenant par la force de mes lèvres, Paris m’attira à lui pour que je finisse entre ses jambes, lui assis sur son tabouret, et moi debout à ses côtés…Je lâchais enfin la cuillère de Nutella et prenais le temps de laisser fondre ce dernier sur ma langue, avant de répondre à ses questions : « Nan…c’est pour m’empêcher de faire ceci.. » : je prenais la cuillère de glace, portais une mini portion de crème dans ma bouche, et me penchait ensuite vers Paris, venant embrasser son cou. Dans mon acte, je laissais alors ma langue fraiche se plaquer sur la peau, déposant par la même un peu de glace dans son cou que je léchais bien vite. « Un "Paris Haagen daz", c’est juste trop bon… » mumurais-je en laissant échapper un gémissement pour rendre la monnaie de sa pièce au Dunster, fière de mon acte !

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Paris avait pris un air surpris et angélique à souhait. « Faire quoi ? Je mange de la glace, je ne fais rien de mal. Ce n’est pas ma faute si tu as les idées mal placées bébé. Alalalah c’est pas grave, je t’aime quand même va » susurra-t-il avec un grand sourire cette fois-ci bien plus canaille qu’innocent. Le Dunster aurait du se méfier, savoir que lorsqu’ils se lançaient dans ce genre de petit duel, c’était à celui qui ferait craquer l’autre et tous les moyens étaient bons. Summer n’allait pas se rendre sans se battre et elle frappait très fort en jouant avec la fraicheur glaciale de la glace pour mieux le faire frissonner. « Saloperie… Tu le fais exprès » grommela-t-il alors que son bras s’enroulait autour de sa taille pour la maintenir contre lui, contre son cou. Elle était une véritable sadique mais si elle voulait jouer à ça… se dit-il avant de lui prendre la cuillère qu’il plongea dans le pot de crème glacé. Dans un premier temps, il fit mine de lui apporter à ses lèvres avant qu’il ne vise exprès sa joue. « Quel maladroit je suis » murmura-t-il avant d’embrasser cette même joue, lapant le petit peu de crème glacée. « Mince, elle coule… » dit-il avant de reposer la cuillère et de lui enlever son T-shirt bien trop ample -et surtout bien trop inutile. « C’est pour pas le salir… » prit-il la première excuse qui passait avant de ramener la cuilière à ses lèvres et la retourner -par mégarde ; Un peu de crème chuta à la naissance de sa poitrine. « Vraiment maladroit ce soir » grommela-t-il avant de la faire grimper sur ses cuisses pour mieux être à la bonne hauteur. Du bout de la langue, il vint cueillir cette noisette de glace. « Mais Une Summer Haagen daz est toute aussi délicieuse »
AVENGEDINCHAINS
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