Jay ~ Comme on se retrouve

Il me disais que c'était du sucide. Il contunuait en me demandant ce que j'avais comme études
"Histoire de l'art et art plastique." Je sentais qu'il trouvais sa bizarre
"Mais sauf que fin d'études veut dire que j'ai toute suite plus de bourse et les différent prè a remboursé! Alors va bien falloir que je bosse, alors le premier truc ou je sais que j'aurais un emploie c'est le restaurant de mon ami, mais oui je vais cherché, j'ai envie de faire prof, ou historienne de l'art, mais je sais pas trop si je veux faire ça, faut voir aussi la ou on m'accepte! C'est pas gagné vu le marché du travail actuel. Il me disait qu'il fallait que je vienne pour qu'on puisse se revoir
"Je verrais,"

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Comme on se retrouve

Son choix d'étude en soit était comment dire, assez prévisible en vu de son choix de confrérie, mais en même temps, c'est très loin du métier qu'elle semble vouloir faire. C'est assez étonnant, mais en même temps en art, il ne me semble pas qu'il y ai beaucoup de possibilité d'embauche non plus... Enfin il me semble, je ne me suis jamais intéressé à cela donc je ne peux pas réellement dire, je suis très mal placé. "Et tu as pas tes parents derrière toi pour t'aider ou quoi ?" Non, je ne connais pas du tout Mia, ni même son histoire, c'est pour cela que je dis cela au risque d'être indiscret ou même de dire une connerie. "En fait, tu as fait ses études sans même savoir ce que tu pourrais avoir comme déboucher ensuite ? Hormis prof et histoirienne de l'art c'est ça ?" Parce qu'à l'entendre parlé, j'avais clairement l'impression qu'elle me disait cela, mais en même temps, il était tout à fait possible et assez courant, que des gens fasses des études uniquement parce que la matière les intéressaient, mais c'est parce que derrière, ils ont déjà leur avenir tracé ou même simplement un point de chute... Ce qui ne semble pas être le cas de la jeune femme à côté de moi étant donné qu'elle me parle quand même de prêt. "C'est certain que c'est pas facile de trouver un boulot, mais je pense que l'on peut quand même trouver si on a eu de bon résultat scolaire et surtout qu'on arrive à gérer aux entretient, ce qui n'est pas toujours donné."

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Il me demandait si je n'avais pas de parents derrière moi. Je serrais ls dents
"Non... Je... j'ai pas de parents" C'est plus simple, que de dire que mon père je le connais pas mais pour moi c'est un pur connard, et que ma mère est morte alors que je l'ais connue a pein quelque moi a 24 ans... Il me demandais si j'avais fait des études sans réfléchir. C'est vrai, je voulais juste fuire ma vie de merde.
"Je veux surtout pouvoir arrivé a exposé mes oeuvres c'est ce qie je veux" Comme tout le monde vivre de mon art.
"Je sais pas, mais j'assure mes arrière avec se job de serveuse, je pourrais au moins être sur"

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Comme on se retrouve

Et là, je réalise que j'ai bien merdé... Je serre un peu les dents pour ne pas dire la machoire alors qu'elle vient de me dire cash qu'elle n'a pas de parents... Je sais pas trop si lui dire que je suis désolé est bon ou pas, parce que c'est une phrase surfaite, tout le monde le dit sans le pensé, puis il s'agit surtout de pitié dans le cas comme ça, très rarement de pure compassion... J'avoue qu'en fait, je sais pas quoi faire alors je garde juste le silence,, la laissant simplement poursuivre alors qu'elle répond à ma question. Le truc, c'est que maintenant, j'ai peur de merder encore et de voir la jeune femme mal réagir à n'importe qu'elle parole de ma part. Non pas que je pense qu'elle est susceptible ou quoi, mais plutôt que dans le genre boulet quand je m'y mets on ne fait pas mieux... Alors, je l'écoute juste, parce que c'est tout ce que je peux faire à cet instant. La laissant ainsi parlé de ce qu'elle aimerait faire et aussi de ce qu'elle fait maintenant pour vivre. Je lui affiche alors un petit sourire, un peu crispé dans un sens. "Je vois... C'est une solution comme une autre." Finis-je alors par simplement dire sans trop oser prendre la parole au risque de potentiellement la critiquer ou mettre encore les pieds dans un sujet qui pourrait lui faire du mal. Après tout, je ne suis pas là pour la faire pleurer.

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JE vois Jay mal a l'aise, je lui sourie
"Et détend toi! Tu savais pas c'est rien" Il me disais que c'étais une solution comme une autre ce genre de boulot
"C'est surtout le boulot assuré tu sais, c'est sécuritaire." Je voulais prendre toutes les sécurité possible parce que comme il dit je n'ai pas papa maman pour remboursé derière d'ailleurs j'ai un père fin un géniteur, un homme que je supporte pas, que je ne veux pas voir. Mon nom retentisait
"Madame Douglas C'est a vous" Je me levais difficilement.
"A la prochaine Jay, dans un autre endroit j'espère" Je galerais avec mes béquilles pour atteindre difficilement le cabinet.

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