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Je me tenais au volant de ma voiture banalisée. Il faisait nuit noire, et je surveillais les rues de la ville dans l'attente d'une mission. Ou d'une demande de soutient. Vu que je suis seul, j'ai conscience que je n'aurais pas de gros délit à régler... Quoi que. Vu que je suis l'un des meilleurs de cette brigade, on peut me faire confiance pour mener à bien une opération. Et je crois que le tout puissant vient de m'entendre, car le bip de mon téléphone professionnel se fait entendre. J'appuie sur le bouton pour décrocher et, amène le cellulaire à mon oreille. " Adjoint Jimenez, j'écoute. " "-Chef, un appel dans une rue de votre secteur. Madame Mendoza pense que quelqu'un s'est introduit chez elle, et elle a vécue une agression l'année dernière. " " Je prend. Envoie l'adresse. " "-Chef, voulez vous un soutient? " " Non. " Et je raccroche aussi sec. Je ne sais pas si c'est de l'arrogance ou de la prétention. Mais je suis sur de pouvoir gérer l'intervention. Oh, l'officier est rapide, j'ai le message avec la destination. Je passe la vitesse, et le moteur gronde sous mon accélération, je dois vite arriver sur les lieux.

Je descend de mon véhicule, et je me précipite. Si je suis aussi pressé, c'est que j'ai dans la tête qu'une vie est peut être en danger. Je suis donc devant la porte, et d'un doigt plié, je toc trois fois. Et en attendant que madame Mendoza vienne m'ouvrir ; mes yeux regardent les environs. Je me dois d'être observateur, et de vérifier si quelqu'un ne s'échappe pas. Et en même temps, dans ma tête je fais un décompte. Si la victime ne se montre pas dans les quinze prochaines secondes, je me verrais dans l'obligation de défoncer la porte. Mais pour l'instant, je me contente de placer une main sur mon arme dissimulée, et l'autre replace ma veste noire. Toujours habillé de ma chemise blanche et d'un jean noir. Vu que c'est la nuit, je n'ai pas mes habituelles lunettes de soleil. Ce qui permet a mes yeux de se poser devant moi. Quand ça s'entre ouvre pour découvrir le visage de la personne qui a passé l'appel.  
electric bird.

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Le 08 Avril j'avais vécu un accouchement des plus affreux, ma fille était née prématurément et en plus je devais me faire à son absence, elle était rester en couveuse dès le départ et j'avais vraiment mal vécu cet accouchement, le jour qui aurait dû être le plus beau de ma vie c'était transformé en celui le plus dur que j'ai jamais connu. J'étais sorti de l'hôpital seule, moi j'allais plutôt bien physiquement par contre ma fille devait encore rester sous surveillance, je passais tout de même mes journées à l'hôpital et heureusement elle allait de mieux en mieux, en principe dans une semaine de temps je pourrais la ramener à la maison, en attendant je préparais les derniers préparatifs dans sa chambre et je profitais des derniers instants de calme dans cette grande maison où j'étais seule pour le moment. J'étais installé sur mon canapé en train de regarder des photos de m fille sur mon téléphone qui me manquait quand j'entendis un bruit à l'arrière de chez moi. Je me redressais en fronçant les sourcils et je dois avouer que je commençais à flipper en entendant le chien du voisin aboyer, je n'ai jamais été une personne qui flippait pour un rien mais depuis que j'avais appris que mon père était revenu à Cambridge je me disais que c'était pour bientôt son retour et les ennuis, je m'en foutais qu'il s'en prenne à moi sauf qu'aujourd'hui j'avais une fille et j'avais peur qu'il s'en prenne à elle donc autant qu'il se fasse attraper et qu'il termine en prison. J'avais donc appeler la police pour leur expliquer le problème et très rapidement d'ailleurs un officier arrivait à ma porte, j'avais enfilé un peignoir en soie pour ensuite me rendre à la porte pour ouvrir la porte, une fois l'officier face à moi je me poussais pour le laisser entrer. "Bonsoir. Merci d'être venu aussi vite mais je pense que le chien du voisin à fait fuir le rôdeur en aboyant."
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Dans cette nuit, il n'y a que la lune et les quelques lampadaires qui se gèrent d'éclairer un peu cette rue vide. Seuls les aboiements du chien se font entendre, sinon c'est un silence complet. Et je suis planté devant cette porte à faire un décompte dans ma tête pour savoir si mon pied allait devoir s'écraser dessus pour pouvoir l'ouvrir et m'assurer du bon état de la propriétaire. Fort heureusement, Madame Mendoza, où mademoiselle je n'en sais rien, ne tarde pas à venir ouvrir. Je découvre son visage, et son allure qui m'indique qu'elle était certainement couchée, et je fixe directement son regard. Pas le temps de me présenter, que mon interlocutrice m'explique que le soi-disant rôdeur doit avoir fui sous la présence affirmée du chien du voisin. Je fais un léger haussement d'épaules pour lui indiquer qu'elle a peut-être raison. Ou peut-être pas. Et je me dois de faire mon travail comme il faut. Il ne manquerait plus que je fasse une erreur. " Bonsoir Madame Mendoza. " Petit salut de la tête " Il est fort possible que votre théorie tienne la route. Mais je me dois de faire un petit tour de la demeure, si cela ne vous dérange pas bien sur. " Oui, elle serait en droit de refuser et de se sentir totalement en sécurité. Intérieurement, j'espère qu'elle me fera entrer pour que je puisse vérifier toutes les portes et fenêtres. Comme ça, ensuite je reviendrais à l'extérieur pour faire un tour du quartier, et je repartirais en vadrouille s'il n'y a personne de bizarre dans les parages. Je vais d'ailleurs me renseigner un peu plus, afin de savoir si je dois ensuite envoyer une patrouille ou quoi que ce soit. " Vous habitez seule? " Le chien ne cessait pas d'aboyer, et comme je suis un spécialiste des détails, je lui demande " Vous savez si vos voisins sont présents? " Vu que le chien ne se fait pas appeler à l'ordre, j'ai comme l'impression qu'il n'y a personne dans la maison à côté. Mais je me trompe peut-être. J'avais un air sérieux, à la limite de l'inquiétude. Je suis vraiment à cran quand il s'agit d'appels comme celui que la jeune blonde avait passé quelques minutes plus tôt au poste. Elle a l'air d'être seule, et moi je déteste la violence sur les femmes.
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J'étais vraiment trouillarde ce soir, j'avais comme l'impression que mon père était revenu en ville et qu'il voulait s'en prendre à moi et surtout à ma fille, elle était pas là ce soir et heureusement, je voulais qu'on l'attrape si c'était bien lui avant que ma fille revienne à la maison, qu'il s'en prenne à moi je m'en foutais il ne me faisait pas peur et j'avais même prit l'habitude de prendre des coups mais j'avais vraiment peur pour ma fille puisqu'il était capable du pire. Je n'avais pas hésité avant d'appeler la police et heureusement l'officier en charge ce soir était arrivé rapidement, je n'avais même pas eu le temps d'avoir vraiment la trouille. Une fois qu'il fut devant la porte j'allais ouvrir en limite m'excusant de le faire revenir pour rien puisqu'il semblait avoir fuit, je me mordillais la lèvre en le regardant une fois face à moi et je bougeais légèrement sur le côté pour le laisser entrer tout de même avant de répondre. "Non aller-y faite votre boulot officier..." Oui par là je lui demandais son nom puisqu'il savait le mien autant que je sache à qui j'avais affaire. Une fois qu'il fut entrer je refermais la porte et je secouais les épaules quand il m'interrogeait. "En principe je vis avec ma petite fille, enfin je viens d'accoucher mais elle est encore à l'hôpital donc pour le moment oui." Je n'allais pas non plus lui raconter ma vie, lui dire que j'avais accouché la semaine dernière et tout le tralala, je voulais juste lui répondre le plus sincèrement possible. "Je ne sais pas du tout mais à priori non." Si le chien continuait d'hurler c'est surement que les voisins étaient absents, je n'avais aucune affinité avec eux du coup je n'en savais pas plus.
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Mon interlocutrice recevait bien mon message, ou plutôt, mon insistance pour entrer dans son logement afin de vérifier qu'effectivement, il n'y ait plus aucun danger. Je ne me fais pas prier, et je pénètre en offrant un léger sourire en passant a coté d'elle. Une main toujours sur ma ceinture qui tient mon pistolet, je commence à faire aller un peu mes yeux autour de nous avant de finir en face d'elle. " Adjoint Jimenez. " De mon accent espagnol qui me reste un peu malgré les quatre années passées ici. Je roule toujours bien mes "r'", et je crois que certaines filles ne sont pas insensibles. Après, je n'utilise pas forcément mon accent d'origine pour draguer. Je ne flirte que très rarement. C'est même, une chose quasiment fantomatique dans ma vie. Je commence à marcher, et la jeune femme me suit. Continuant de répondre à mes questions, et quand elle m'informe de son nouveau statut de maman, j'arque un peu mes sourcils gardant mon regard devant. " Mes félicitations. Mais, j'espère qu'il n'y a rien de fort grave... " Oui mon espérance résonne comme une question indirecte. Je suis désolé, mais c'est mon métier d'être curieux comme ça. C'est naturel. Ma main pousse une porte, et je semble être dans une chambre. J'en fais le tour, regardant par la fenêtre, et j'y aperçois le chien qui venait à peine de se taire. Je souris en coin. J'ai toujours eu plus de feeling avec les animaux, ou plutôt, plus d'adoration. Je ne serais décrit.
" J'espère que la bête a un abri. " Voyez, je m'inquiète de son confort. " Mais grâce à elle, je crois que votre individu s'est effectivement sauvé. " Mais je ne m'arrête pas dans mon parcours. Je la frôle quasiment à chaque fois que je quitte une pièce pour aller dans une autre. Et là, c'est la salle de bain. Et c'est dans ce lieu que je me tourne vers elle, un petit sourire et les yeux dans les siens " C'est la première fois que vous appelez pour ce genre de chose? " Je me devais de connaitre un minimum le contexte. Et, surtout m'informer afin de comprendre si je devais placer une sécurité.  
electric bird.

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Ce soir j'avais eu la frousse et j'avais appelé la police parce que oui je préférais que ma fille rentre sans que j'ai une crainte pour elle à cause de mon père mais je me demandais si je n'étais pas non plus en train de devenir parano parce que je venais d'accoucher et que du coup j'avais plus peur qui lui arrive quelque chose surtout qu'elle était née avec un temps d'avance et maintenant je faisais attention à tout pour sa sécurité. Je le laissais entrer pour refermer l porte et donc le regarder vu qu'il se présenta enfin à moi. "Adjoint...ok." Quand même j'avais un adjoint en face de moi donc je comprenais mieux pourquoi il était seul, je souris en entendant son accent, j'étais mexicaine donc je connaissais cet accent là puis je posa mes yeux sur son flingue avant de reposer mon regard dans le sien. Je le suivis dans la maison en écoutant ce qu'il me disait et je souris surtout à ses félicitations. "Merci, non je pense que j'ai peut être paniqué pour rien." Je ne sais pas si je devais parler de mon père et de sa violence, surtout que s'il était toujours au Mexique j'aurais bien l'air bête de me plaindre comme ça, Je le suivis jusqu'à la chambre en restant contre l'encadrement de la porte pour le regarder faire et surtout e soucier du chien, cela me fit sourire et je secouais les épaules. "En principe il ne passe pas la nuit dehors seulement quand les voisins sont absents en généralement en tout cas." C'est pour ça que je les pensaient absent. "Heureusement qu'il est là, je devrais pensé à adopter un chien." Adopter ou acheter un chien n'était pas une si mauvaise idée puis au moins ma fille grandirait avec un animal de compagnie, je le laissa quitter la pièce en me frôlant et je me pinçais la lèvre avant qu'on termine par la salle de bain. "Oui c'est la première fois." J'évitais en générale d'avoir affaire à la police parce que je pensais qu'il y avait toujours plus important que mes soucis à moi et que j'étais comme ça.
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J'ai comme la sensation que mon statut de chef adjoint surprend la demoiselle. Comme ci, c'était impression d'avoir affaire à un grade aussi important. Bon oui, logiquement je ne suis pas la personne qui intervient dans ce genre d'appel. Mais comme je suis en service, et que c'était à côté de moi, l'officier a jugé bon de me mettre dessus. Et je le remercie. Je m'ennuyais au volant de mon véhicule, et puis, j'aurais pu tomber sur pire. Madame Mendoza est douce, et jolie. Et modeste, car elle avoue s'être certainement un peu emporté sur sa peur. Je souris encore une fois en coin, gardant mon attention légendaire et surtout très pointilleuse. " Même si c'est pour rien, c'est toujours mieux d'en être sure. Vous ne pensez pas? " Je pars de ce principe. Au moins, quand je sortirais de son logement, elle pourra dormir sur ses deux oreilles et moi je serais content d'avoir veillé à la bienveillance d'une citoyenne.
Je me trouve dans la chambre, et je ne peux m'empêcher de montrer ma sympathie envers les animaux. Et plus précisément sur ce chien dehors qui a peut-être sauvé la jeune femme. " D'accord... J'espère que ce n'est l'histoire que d'une nuit. " Je relève mes yeux sur elle pour lui dire, un peu en jouant la bonne âme " Je compte sur vous. Si vous voyez qu'il est encore dehors demain soir, appelez le poste de police et demandait que je revienne. Je m'occuperais du chien. " Non, je ne vais pas l'enlever, mais au moins lui donner à manger ou je ne sais quoi. " C'est une bonne idée. En plus si vous le prenez... Bébé. Un chiot? " J'avais d'ailleurs encore un peu de mal avec certains mots. Je venais de buger devant elle, et j'étais un peu honteux. Mais au final, j'avais le bon mot, et je n'avais pas employé d'espagnol. " Et bien, il grandira avec votre fille et je pense qu'ils seront très complices. " Et en un sourire, je quitte la pièce frôlant son corps du mien. Une fois dans la salle de bain, je m'interroge sur le nombre de fois où elle aurait téléphoné pour une histoire similaire. Je gigote un peu la tête de haut en bas " Donc, aucun risque que quelqu'un vous opportune? Aucun ennemi ou ex totalement accro qui chercherait à faire peur? " Si je dis ça, c'est que la semaine dernière j'avais eu affaire à ça une fille en panique, et c'était à cause de son ex-mari.  
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Je m'attendais à tomber sur un simple officier pas un adjoint alors oui j'étais assez surprise mais bon tant mieux au moins mon appel avait été prit au sérieux, je l'embêtais en plus pour trois fois rien puisque à priori je ne craignais plus rien du moins pour le moment et je préférais garder mes secrets pour moi et le fait que mon père était une menace pour moi. Je souris en lui indiquant que j'avais surement eu peur pour rien puis sa réponse me fit rire sur le coup, il avait pas tord au bout du compte, je me mordillais la lèvre en souriant. "C'est vrai et puis au moins j'ai fais votre connaissance, enfin j'ai rencontré l'adjoint.... Laissez je dis n'importe quoi ce soir." Il allait surement prendre ça pour de la drague et il aurait raison parce que c'était ce dont ça avait l'air du coup j'essayais de me rattraper pour éviter qu'il s'en aille de chez moi en courant. J'aimais beaucoup les animaux mais c'est vrai que le chien des voisins avait été ma dernière préoccupation avant qu'il se mette à aboyer. "Je pense.." Quand il me dit ceci je souris parce que ce chien le préoccupait vraiment. "Ne vous en fait pas pour lui s'il est toujours dehors je m'en occuperais je vous en fait la promesse." Prendre un chien pour qu'il grandisse avec ma fille me semblait maintenant une bonne idée. "Oui je le prendrait bébé, je risque juste de tomber amoureuse de ce chiot alors qu'il sera censé être celui de ma fille." Je craquais pour tout ce qui était petit, déjà que je voulais être maman et j'avais ma petite fille alors un chiot serait une chose de plus auquel je m'attacherais un peu trop. "C'est sûr même et c'est pour ça que je le ferrais." Je souris en y pensant puis on quitta la pièce après qu'il m'est frôlé pour rejoindre la salle de bain, il était séduisant mais je savais que son frôlement était innocent alors je ne me faisais aucune idée, je répondais à toutes ses questions mais je n'étais pas sûre de devoir lui parler de la violence de mon père. "Ennemi non je ne pense plus en avoir ici et des ex encore moins, tout est clair entre eux et moi donc non vraiment je ne vois pas." Je pensais à mon père mais je ne me voyais pas en parler, avant je voulais me renseigner et savoir s'il était au Mexique ou bien ici.
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La demoiselle serait elle entrain de me draguer sérieusement? Ou alors, la peur d'avoir un individu chez elle lui faisait perdre un peu la tête? Après tout, je dois bien avouer que j'étais satisfait de me faire draguer par une jolie fille. Ca me faisait juste un peu bizarre. Je ne répondais pas alors, et je filais rapidement a la vitre pour observer le chien a l'extérieur et montrer mon inquiétude. Je suis un amoureux des bêtes, et surtout des chiens. Je ne sais pas pourquoi , mais j'ai une complicité énorme avec eux. Au poste de police, nous avons des bergers allemands et malinois et je ne peux jamais me retenir d'aller faire des caresses et tout... Mais bref! Quand madame Mendoza me promet de s'occuper de lui si jamais demain il n'est pas rentré, je lui offre un petit sourire et je viens poser mes yeux dans les siens pour lui dire, touché de son geste  " Et bien je vous remercie d'avance. C'est vraiment gentil de votre part. " Et je l'écoute ensuite me parler du projet d'en prendre un pour sa fille, et pour se sentir en sécurité. Je pouvais voir les étoiles dans ses yeux, et je devinais rapidement que son enfant tenait une importance particulière dans sa vie. " Vous pouvez en tomber amoureuse. Ce sera votre chien. Car je ne suis pas sur que votre fille pourra s'en occuper pour le moment. Enfin, elle ne pourra pas le nourrir, le sortir... " Et j'en passe en m'arrêtant la pour sortir de la chambre. J'avais pu sentir le parfum de la demoiselle en détresse, et il était agréable. Une fois dans la salle d'eau, je me retourne pour l'interroger sur des quelconques ennemis. Me soutenant que non, je remarquais que quelque chose était caché. Je suis policier, et il est rare de pouvoir garder un secret. J'approche alors en me tenant juste devant elle, a quelques centimètres. Je penche un peu ma tête pour bien attraper son regard du mien, et d'une voix rassurante " Vous êtes sure que personne ne pourrait vous vouloir du mal? "
electric bird.

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Je n'avais pas appeler à l'aide pour me mettre à draguer, le fait d'avoir eu une petite peur me faisait perdre la tête et c'est pour cela que je m'étais vite rattraper et heureusement que cet officier ne rebondissait pas dessus parce que j'aurais pas su quoi répondre en fait. Je préférais passer outre ce petit passage à vide que j'avais eu et le fait qu'il se préoccupe du chien et qu'il le regarde par la vitre m'aidait à totalement oublier ce petit passage là. "Je pense que d'autre l'aurait fait à ma place c'est juste normal quand on a un minimum de coeur." J'aimais les animaux, je n'étais pas entouré d'animaux chez moi mais j'aimais beaucoup ces petites bêtes et je détestais la maltraitance envers les animaux maintenant je n'étais pas une militante à fond dans la cause mais j'étais contre et j'avais un minimum de coeur pour laisser ce chien dehors s'il l'était encore demain. "Oui et il sera toujours plus fidèle qu'un homme." J'en ris mais je le pensais, j'étais amoureuse de ma fille et bientôt je serais surement amoureuse d'un petit chiot mais ce seront les seules personnes à qui je donnerais mon coeur. Quand il sortit de la chambre je l'avais suivi jusqu'à la salle d'eau et je croisais son regard, il avait vu que je cachais quelque chose mais je ne pouvais pas dire la vérité parce que je ne savais pas si mon père était en ville. "Je ne pense pas.."
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