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« Oui… est-ce que tu pourrais contacter Summer et Amanda pour moi ? Ce sont mes meilleures amies » lui répondit-il. Il y avait bien sûr Dana mais il ne voulait pas l’inquiéter. Elle avait suffisamment à faire avec Luke pour qu’en prime, elle se fasse du souci pour elle. « Est-ce que tu crois que tu pourrais essayer de faire en sorte que je puisse avoir de quoi écrire ? Juste au cas où j’ai envie de laisser une lettre à mes proches pour les rassurer et leur expliquer la situation. Les deux personnes que je t’ai cité sont celles que j’aimerai vraiment voir auprès de moi » rétorqua-t-il en fermant les yeux pour simplement savourer le contact de sa peau contre la sienne. Le simple fait qu’elle mentionne Lucy attestait qu’Andrea avait parlé à sa mère. « Ma mère ne sait définitivement pas se taire mais je te remercie de ne pas m’abandonner… Cela compte énormément pour moi » lui dit-il avec sincérité. Pour la première fois, il n’affronterait pas une épreuve aussi harassante tout seul et rien que pour cela, il l’aimait que davantage. « C’est lui qui a lancé les hostilités en premier » marmonna Bonaventure avant de l’embrasser à nouveau. Le simple fait de plaisanter lui mettait un peu de baume au cœur mais ce dernier s’estompa rapidement. « Je sais que tu as peur mon cœur » lui dit-il avant de s’allonger sur la couchette pour mieux la tenir dans ses bras. Il ignorait combien de temps ils leur restaient à pouvoir se voir ou se toucher alors il voulait en profiter. « Quoiqu’il arrive, nous resterons ensemble et si je dois partir alors je t’attendrai le temps qu’il le faudra avant que tu puisses me rejoindre. C’est juste que j’aurais aimé pouvoir t’offrir cette relation simple et harmonieuse à laquelle tu désirais tant t’accrocher… Tout ira bien mon cœur, tout ira bien »

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Je le regarde et acquiesce légèrement. " Oui bien sûr... J'appellerai Summer tout à l'heure, je dois avoir son numéro quelque part " Et puis Amanda, vu que je ne la connais pas, eh bien la Quincy se chargera de la contacter. De toute façon, je risque d'être un déchet avec la jeune femme au téléphone alors recommencer deux fois... Non merci. " Je vais essayer oui... Mais je sais pas si ça va être possible. Ils vont croire que tu veux te planter le stylo dans la jugulaire pour claquer en prison, sur le sol américain, en Amérique " Lançais-je en souriant légèrement. " J'ai regardé trop de films policiers je crois " Soufflais-je avant de lui assurer - et de le rassurer - sur le fait que je ne l'abandonnerais pas. C'est normal, c'est mon petit ami et j'ai pas envie qu'il croit que je suis comme sa conne d'ex, celle qui s'est barrée à la première difficulté. " Même sans parler à ta mère, mon discours serait le même Bona... " J'ai trop perdu, j'ai trop laisse filer de choses pour le faire avec lui... C'est tout bonnement impensable pour moi. Je me battrais pour lui, je deviendrais américaine et le demanderais en mariage s'il le faut. Il va me prendre pour une folle, m'en dissuader alors je ne compte pas lui parler de tout ça pour le moment... Je le regarde et fronce les sourcils. " On dirait deux gamins je te jure... " Non mais sérieusement ! Pas possible ces deux là. Il va falloir qu'ils s'entendent rapidement avant que je pète un câble sévèrement. Il s'allonge et je fais de même. Son bras autour de ma taille, je caresse sa joue et l'écoute. Je souris légèrement. " Si ma vie était simple et harmonieuse, ça se saurait Bona... Mais je veux que tu me promettes d'accepter ce que tes parents te proposent d'accord ? " Même le truc le plus loufoque par excellence... Même m'épouser alors qu'on est ensemble depuis moins de deux mois...
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« Merci beaucoup » lui dit-il avec un sourire reconnaissant tant elle lui enlevait une épine du pieds. Bonaventure n’avait pas vraiment envie de parler à grand monde car dans ces moments-là, il tenait plus de l’huitre que du mec très sociable. Sa mère avait tendance à dire qu’il masquait trop ses faiblesses de peur d’être à nouveau agressé mais c’était plus fort que lui. Le métisse en avait trop pris dans la figure au fil des années pour se permettre d’être un fend la bise alors qu’il se sentait aussi vulnérable qu’un nouveau-né. Au moins la présence d’Andrea le rendait plus fort, plus confiant. « Je me doute… C’est juste que je ne sais pas combien de temps on va me tenir enfermé et je n’ai rien pour me changer les idées » soupire-t-il. S’il ruminait trop, il allait très certainement retomber dans ses travers les plus violents et il ne voulait absolument pas arriver à de tels extrêmes. « Il me reste plus qu’à faire connaissance avec le policier de garde cette nuit, ça me fera toujours un nouveau copain » plaisanta-t-il du moins essayait-il.

Andrea ne l’abandonnait pas et cela aussi l’aidait à tenir quoiqu’il en dise. « J’ai de la chance d’être avec une femme aussi extraordinaire. N’empêche, tu as vu, je suis un véritable badboy manque plus qu’un tatouage pour être véritablement l’homme infréquentable que ton ami désire que j’incarne » s’amusa-t-il à dire mais même ce type allait lui manquait si jamais il devait se faire expulser. « Excuse-moi, je sais que la tension entre Priape et moi te blesse, c’est juste que je crois que j’ai besoin de me raccrocher à tout ce que je peux » avoua-t-il en la serrant contre son torse après s’être allongé. « Je te promets de bien peser le pour et le contre en cas de proposition. C’est tout ce que je peux faire mon cœur. J’aimerai tellement que tu puisses rester avec moi cette nuit mais je doute que ce soit possible. J’étais même étonné qu’on m’accorde une visite. Faut croire qu’il reste quelques privilèges à être fils de sénateur »


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Mon monde, notre monde, le cocon qu'on a créé pendant ces cinq semaines et demi ensemble sont littéralement entrain de s'effondrer. Moi qui pensait que notre couple était fort, solide, je me rend compte que ce n'est qu'un château de cartes colmaté au sable humide. Ce n'est pas notre faute, loin de là, on y est pour rien... Mais comme dans Mario, on a un putain de Bowser à la con qui vient tout foutre en l'air. Je l'écoute et souris timidement. " Tu peux peut être l'amadouer oui... Je t'autorise à user de tous tes charmes si c'est une femme " Soufflais-je en me blottissant un peu plus dans ses bras. Je sais bien que ce n'est pas son genre mais s'il faut ça pour qu'il soit heureux alors soit, je suis partante et pas qu'un peu. J'essayerais de lui ramener ce qu'il me demande mais je sais d'avance que c'est peine perdue, à mon grand damne. Je ne sais même pas si je vais pouvoir le revoir avant qu'il parte, avant que la décision finale soit prise et irrévocable comme un couperet sur la nuque de tous ces innocents... Je secoue légèrement la tête de droite à gauche. " Pas de tatouage. Je préfère te voir tout nu qu'avec un dessin pour couvrir ta peau à un endroit ou un autre... Sauf si c'est moi qui le dessine mais à part les organes vitaux, je sais rien dessiner " Riais-je légèrement. J'en ai assez de cette ambiance tendue comme un string, de cette gorge que je sens se nouer, de ce coeur que je sens se tordre dans ma poitrine... " Tu veux que je leur dise de te garder ici parce que tu dois remonter les bretelles de Priape ? " Soufflais-je avec un sourire. J'embrasse ses lèvres et ferme les yeux quelques secondes, posant mon front sur son épaule. " Et moi je voudrais rester avec toi tout le temps... Je veux pas partir et qu'on m'empêche de te revoir " Alors je me colle d'avantage à lui, glissant une jambe entre les siennes, l'autre par dessus pour l'avoir vraiment proche. " Ça m'étonne surtout que personne ne soit venu nous dire qu'on a pas le droit de se toucher " Lançais-je avec un léger sourire. " Et puis, y a pas de pour et contre. Tu sais très bien que tes parents ne te proposeront jamais rien de fou... Et si c'est moi qui trouve une solution, tu feras comment ? Tu diras non ? " Bonne question tiens...
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« Pour que tu veuilles me castrer après coup ? Non merci… De tout de manière, je ne suis vraiment pas crédible quand j’essaie de charmer une autre femme que toi. Je t’ai trop dans la peau pour ne serait-ce penser à user de mes charmes » réfuta-t-il son idée avec un léger sourire. Andrea l’avait prévenu qu’elle était jalouse et là, elle lui proposait de faire comme si de rien n’était. Elle devait vraiment avoir envie de lui faire plaisir, d’améliorer son séjour en prison pour lui proposer une telle idée. « J’ai une idée, tu n’as qu’à dessiner l’anatomie humaine sur mon corps… Après l’homme qui s’est tatoué le plan d’une prison dans une série… le petit-ami transformait en antisèche humaine pour les beaux yeux de sa petite-amie. La classe internationale non ? » rigola-t-il en déposant ici et là des baisers sur son magnifique visage. Oh comme il serait dur de vivre sans elle. Comment faire ? La blesser pour qu’elle continue sa vie loin de lui, qu’elle trouve un autre homme bien plus capable de lui offrir une vie calme et aimante ? Bonaventure était trop égoïste pour le coup. Il ne pourrait pas jouer les méchants, il l’aimait trop pour ça. « Hey, tu sais, ça peut être un bon argument : monsieur le juge, je ne peux pas être expulsé… Je dois prouver au meilleur ami de la femme de ma vie que je suis un gars bien ! Avec un peu de chance, je tomberai sur un ou une romantique et elle m’accordera un sursis » rigola-t-il de bon cœur en imaginant la scène.

« Tu sais, je ne vais pas me plaindre que personne nous surveille actuellement » dit-il en glissant une main sous son haut pour caresser sa peau, traçant des arabesques du bout des doigts. « Si cette solution ne te met pas en danger ni te porte préjudice, je serais fou de refuser. La seule chose qui me vient à l’esprit est de faire en sorte de me faire des faux papiers pour revenir et squatter ton appartement en mode kamikaze » plaisanta-t-il avant de faire en sorte de l’allonger sous lui, se retenant de peser de tout son poids sur elle. « Il y a une célèbre chanson qui dit que Dieu ne sépare pas ceux qui s’aiment. J’ai envie d’y croire… cela ne sera peut-être pas simple mais je sais que si c’est notre destin alors nous nous retrouverons. Je veux y croire alors toute solution sera bonne à prendre si elle vient du cœur » murmura-t-il avant de se pencher vers elle et de l’embrasser.


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" Comme si j'étais agressive physiquement non mais je rêve ! " Soufflais-je en souriant largement. " Et franchement, la plus embêtée dans l'histoire ce serait moi après " Oui parce que moi, j'aime bien ce qu'on fait le soir, dans notre lit... Je suis jalouse mais si j'ai donné le feu vert, je crois que ça pourrait le faire... Non mais sérieusement, j'essaye vraiment de me convaincre là ?! Quelle connerie ! " Même MerDer n'ont pas fait ce genre de choses, c'est pour dire ! " Je souffle légèrement. On a pas eu le temps de se mettre à jour dans Grey's Anatomy et clairement, on aura pas le temps. J'essaye de ne pas être négative mais je me dis que plus je passe de temps avec lui sans être dérangée et plus ça veut dire que rien n'est bon pour son dossier. Je souris et, en même temps, je sens mon coeur se briser quand il m'appelle la femme de sa vie. J'ai la pression et pas qu'un peu quoi ! Sans compter que tout ça est complètement dingue. Priape est capable de s'extasier sur le fait que Bonaventure va finir en Afrique, à des milliers de kilomètres de moi... Je ne me relèverais jamais. Il faut vraiment que je pense à tout ça, à ce que la mère de Bona a énoncé tout à l'heure. Suis-je prête à devenir américaine, à perdre un bout de mon identité pour me marier avec lui et le faire revenir ? " Arrête de dire ça, ils vont te coller une puce pour être sûre d'où tu te trouves après ! " Soufflais-je en souriant très légèrement. " On trouvera une solution... De toute façon, je ne vais pas au bal sans toi alors je te laisse deux mois pour te muscler un peu plus mais pas un jour de plus " J'espère que ça ne durera pas aussi longtemps. Ses doigts glissent sur ma peau et je le regarde. Je ne pourrais pas vivre, pas survivre sans lui, c'est tout bonnement impossible. Je prolonge son baiser et reste vraiment collée à lui. On dit qu'on ne fait qu'un tellement nos corps sont proches et s'imbriquent à la perfection. " On se retrouvera Bona... Pas après s'être quitté parce que je te quitterais pas, compte pas la dessus. Et je te laisserai pas me quitter non plus.. On se retrouvera comme si on avait fait un stage un peu long mais c'est tout " À situation dramatique, solution dramatique... Sauf là. Hors de question quoi. " Je pense que pour le repas de demain, c'est foutu " Lançais-je avec une petite moue.
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« De tout de manière, la question ne se pose pas, tu es la seule que je souhaite charmer » rétorqua-t-il en haussant les épaules. En prime, il était une véritable quiche surgelée pour draguer une femme si bien que si on regarde ses différentes conquêtes finalement, il n’avait couché qu’avec des amies. La loose totale n’est-ce pas ? « MerDer ? Là, il va falloir que tu m’expliques parce que tu m’as parlé chinois » lui demanda-t-il totalement paumé. Cela devait très certainement venir de cette série médicale qu’ils devaient voir ensemble -projet assez compromis aujourd’hui ; Qui sait, peut-être pourrait-il s’acheter les premières saisons de cette série afin de la regarder, cela lui permettrait de passer le temps et de se donner l’impression qu’Andrea était à ses côtés. Il essaierait de voir si ses parents pourraient les lui fournir avant de partir. Avant de partir ? Bonaventure commençait à se faire à l’idée que sa vie aux Etats-Unis était sur le point de se terminer. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’on lui accordait bien trop de liberté à cet instant précis si bien que le métisse s’attendait même au dernier repas du condamné. « Pour me muscler un peu plus ? Tu ne me trouves pas assez musclé ? Tu veux que je ressemble à une armoire à glace comme ton acteur adoré ? » protesta-t-il avant de rigoler. « Bon j’ai deux mois pour apprendre à danser… tu crois que je peux t’emprunter gros nounours pour m’entrainer ? » la taquina-t-il avant que la conversation devienne bien plus triste voire dramatique. « Tu as raison… essayons de voir cela comme des vacances longues durées mais oui, je vais te poser un lapin pour demain ! J’ai une super excuse : je suis derrière les barreaux… Et je vais devoir te faire faux bond pour les courses aussi… mince je suis le pire des petits-amis »

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" Tant mieux " Concluais-je avec un léger sourire. Je n'avais vraiment pas envie d'être une jalouse de base, le genre de nana qui pète un câble parce qu'elle n'est pas contente de voir son petit ami draguer une autre femme. Mais franchement, je serai verte de rage s'il le faisait. Peut être pas dans ce contexte parce que c'est pour pouvoir écrire aux gens qu'il aime mais bon, je me connais, mon sang ne fera qu'un tour... " Derek et Meredith dans Grey's Anatomy. Faut vraiment qu'on regarde cette série ensemble " Mais quand ? Quand est-ce qu'on va pouvoir la regarder sérieusement ? Dans dix jours ? Demain ? Jamais ? Je déglutis difficilement et tente d'effacer tout ça, d'échapper à ces questionnements qui me hantent. Comment vais-je faire sans lui ? Je me sens enfin mieux, enfin prête à réellement avancer et... Et puis je peux pas, on peut pas. " Non t'es parfait comme tu es chéri... Et je peux te le laisser oui. Une policière l'a mis dans une salle avec ma valise quand je suis arrivée histoire de pas être encombrée " Mais je pense que je vais vouloir le garder parce que je vais terriblement en avoir besoin pour dormir la nuit... Je le regarde et souris. On arrive presque à en rire et c'est plaisant... " Je devrais te mettre la fessée " Lançais-je en donnant une petite tape sur son postérieur. " T'as pas la cape d'invisibilité d'Harry Potter par hasard ? " Demandais-je sérieusement avec un large sourire. Allez dis oui que je me cache là !
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« Oui je crois qu’il est urgent que nous la regardions histoire que je puisse comprendre ce que tu me racontes… Et puis, je suis toujours aussi curieux vis-à-vis de cette April. D’ailleurs, elle apparait dès le début ? » lui demanda-t-il pour faire la conversation, rester sur un sujet léger qui leur promettait des soirées de visionnage dans les bras l’un de l’autre. Une belle illusion qui volerait très certainement en éclat un jour où l’autre. Bonaventure espérait juste que cela serait le plus tard possible rien que pour pouvoir graver dans son esprit, le sourire de sa petite-amie. « Je ne voudrais pas te priver de ton nouveau petit-ami tu sais » rigola-t-il doucement même si, contrairement à d’habitude, l’amusement ne faisait guère pétiller son regard clair. Il rigola un peu plus lorsqu’elle lui mit une fessée après qu’il lui ait dit qu’il était un vilain petit-ami avec tous les lapins qu’il serait obligé de lui poser. « Dis donc femme, il y a pas écrit masochiste sur mon front » râla-t-il pour le principe non sans lui voler un baiser en guise de dédommagement. « Je n’ai pas ça mais tu peux toujours essayer de te cacher dans mes bras » lui dit-il dans un murmure alors que des pas résonnaient dans le couloir. « Les visites sont terminés ! Je suis désolé les tourtereaux mais va falloir vous séparer »fit le policier qui visiblement, n’en menait pas large. Pour le coup, Bonaventure en avait presque pitié de lui. « Allez file, on se reverra et si je peux passer un coup de fil, je te promet de t’appeler pour te donner des nouvelles » la poussa-t-il à quitter ses bras et sa cellule non sans un dernier baiser. Un tendre et long baiser. En la voyant partir, le métisse posa son front contre les barreaux froids et ferma les yeux. Elle lui manquait déjà… Elle lui manquerait d’autant plus à l’avenir.

TOPIC CLOS.

AVENGEDINCHAINS
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