Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDon't leave me now. - Page 2
Le Deal du moment :
Pokémon Évolutions Prismatiques : ...
Voir le deal


Don't leave me now.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Don't leave me now.
« Mon cœur, la vérité, c’est que j’ignore totalement ce qui se passe et je ne sais absolument pas ce qui va se passer… La seule chose que je sais, c’est que j’ai besoin d’y croire, j’ai besoin de me dire que tu y crois autant que moi » lui avoue-t-il avec l’envie folle et irrépressible de la prendre dans ses bras, de se raccrocher à elle. Leur histoire était-elle impossible pour que le Destin s’amuse à les séparer ? Bonaventure ne voulait pas s’arrêter là, il ne voulait pas la perdre mais quelque chose lui soufflait qu’il la voyait peut-être pour la dernière fois. Alors, la voir pleurer, la voir aussi fragile et triste lui soulevait le cœur. Il tenta de lui sourire, de se montrer optimiste mais il y arrivait à moitié tant il était aussi malheureux qu’elle. En l’espace d’une seconde, il avait tout perdu, il ignorait ce qu’il allait devenir et cela lui faisait peur. Le policier vint lui signaler qu’il devait y aller et il lança un regard désespéré à sa petite-amie. « Si, il faut que je te le dise ! Je veux que tu saches que même si on m’envoie à des milliers de kilomètres, tu seras toujours avec moi et que je resterai toujours auprès de toi… Je reviendrai » lui promit-il. Oui, quitte à venir uniquement en vacances, quitte à faire des faux papiers pour retourner aux Etats-Unis, il ferait tout ce qui était en son pouvoir pour la retrouver. Hors de question que de la laisser seule et sans espoir. Le policier tira un peu plus sur son bras avant de le faire grimper à l’arrière d’une voiture. « Mademoiselle, calmez-vous, vous faites qu’aggraver la situation. Vous pourrez le voir d’ici quarante-huit heures » lui expliqua le policier avant de claquer la portière de la voiture. Bonaventure lui sourit une dernière fois avant que la voiture ne démarre.
AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je n'aime pas ne pas savoir. C'est plus fort que moi mais ce qu'il me dit me fait littéralement flipper. Je ne veux pas le laisser partir, je ne veux pas qu'il me file entre les doigts et tout ce qui va avec. On vient de se retrouver après un spring break un peu mouvementé et voilà qu'il me glisse déjà entre les doigts comme le sable du Chili... " Je vais y croire pour toi alors " Soufflais-je alors, la voix tremblante, le corps et le coeur souffrant. Je ne vais pas m'en remettre et voilà qu'il me redit qu'il m'aime. Pas littéralement mais c'est ce que ça veut dire. Et moi, je suis toujours incapable de lui dire. Je ne veux pas lui dire parce que j'ai peur, parce que j'ai la trouille, encore plus que lorsque Rwani venait dans ma chambre le soir. Parce qu'avec lui, je savais à quoi m'attendre et là, je suis complètement paumée. " Tu partiras pas Bona, tu partiras pas ! " Je veux pas m'avouer que si, il va partir parce que si son père n'a rien réussi à faire en près d'une semaine, je doute que quarante huit heures vont changer grand chose. Je le vois filer et sers les dents. " Quarante huit heures ? Dégagez de mon chemin ! " Beuglais-je en le poussant légèrement. Bien entendu, quand on pousse un flic, ça finit toujours mal sinon c'est pas drôle. Il attrape mon bras et je me défais de son emprise. " C'est bon, j'ai compris " De toute manière, la voiture démarre quelques secondes après qu'il soit monté dedans. Je file au taxi et demande d'aller au poste de police. Hors de question que je rentre chez moi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Don't leave me now.
Bonaventure avait été rapidement conduit en détention. Un désagréable souvenir pour lui mais cette fois-ci, tout était différent. Le Quincy était rongé par l’injustice d’une telle situation mais également par la détresse qu’il avait ressenti en Andrea. La même détresse qu’il éprouvait à cet instant précis en tournant en rond dans sa cellule. Au même moment, une femme habillée d’un tailleur, les yeux rougis pénétraient dans le commissariat, la tête haute. Cette femme qui n’était autre que la mère de Bonaventure : Norah Weasley. « J’aimerai parler au commissaire et de suite. Mon fils a été injustement emprisonné ! Il n’est coupable d’aucun crime et les services de l’immigration m’ont informé qu’ils vous l’ont confié. Je veux parler à votre commissaire » avait-elle déclaré avec un mélange d’autorité mais également de détresse. Elle essayait de se montrer digne mais on allait lui enlever son enfant, lui arracher cet être qui avait fait son bonheur. « Le commissaire n’est pas disponible pour.. » commença l’agent à l’accueil qu’elle interrompit. « Je vais être claire… Je ne quitterai pas les lieux sans avoir parlé à cet homme ou à mon fils ! Et croyez-moi, je n’ai guère de patience actuellement » déclara-t-elle avant de se rendre d’elle-même dans la salle d’attente ou une demoiselle attendait visiblement, les yeux tout aussi rougis qu’elle. « Bonsoir » la salua-t-elle machinalement avant de s’asseoir.

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je suis arrivée rapidement au commissariat avec ma valise et mon ours en peluche version géante. On m'a regardé de travers mais j'en avais strictement rien à secouer. Une jeune policière - qui a du avoir pitié de moi - s'est chargée de prendre mes affaires et de les mettre dans une salle sur le côté. Visiblement, j'ai pas la gueule d'une terroriste ou je ne sais pas quoi. Face au bureau, je regarde la personne et déglutis difficilement. " Je voudrais voir monsieur Weasley, Bonaventure Weasley s'il vous plait " Mon ton est calme, tellement calme que l'employé ne lève pas les yeux. J'écrase mon poing sur le bureau en bois, recevant un coup d'oeil de tous les employés, mains sur leur arme. " Bonaventure Weasley s'il vous plait " Crachais-je alors qu'il m'envoyait m'asseoir sur le côté 'traitant' ma demande. Je sors mon portable de mon sac à main et cherche le numéro de Priape alors qu'une brune entre dans le commissariat et s'énerve autant que moi, si ce n'est plus. J'écoute ce qu'elle dit parce que cette histoire d'immigration et d'injustice est celle de Bonaventure. Oh boy... Vive les rencontres. Elle s'assoit à mes côtés et je déglutis difficilement. À cette allure, je vais m'étouffer ! " Bonsoir " Soufflais-je timidement, tirant sur mon bas de jogging. Non mais j'ai l'air d'une pouilleuse à côté d'elle.. " Vous êtes... la mère de Bonaventure ? " Demandais-je rapidement en lui adressant un léger sourire. " Je suis Andrea sa... petite amie " Soufflais-je doucement. Il n'était pas seul, je n'étais pas seule... Amen.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Don't leave me now.
Norah Weasley ne voulait pas imaginer une seule seconde que son fils lui soit enlevé et envoyé comme un clandestin en Namibie. Elle ne pourrait jamais se relever après une telle perte et surtout, elle ne voulait pas qu’il s’imagine qu’il n’appartenait plus à la famille Weasley. Elle connaissait Bonaventure par cœur. Ce dernier ne dirait rien mais il souffrirait en silence, se renfermant plus qu’il ne l’avait fait jusqu’à présent. Elle devait lui parler, le rassurer, lui dire que quoiqu’il arrive, son père et elle feraient tout en leur pouvoir pour que l’adoption soit de nouveau valable même si pour cela, il devait y mettre des années. Norah espérait tout de même que les avocats de son mari puissent faire des miracles mais elle n’y croyait pas vraiment. Gideon avait eu l’air tellement abattu au téléphone. La demoiselle assise non loin d’elle interrompit le flot de ses questions. « Oui, il s’agit bien de mon fils » répondit-elle en posant un regard d’interrogation sur la jeune femme qui se présenta comme la petite-amie de son fils. « Andrea ? Mais oui, il m’a parlé de vous à plusieurs reprises mais j’ignorais que vous étiez devenus un couple » s’exclama-t-elle avec un sourire ravi. « Norah Weasley, je suis ravie de vous rencontrer Andrea même si j’aurais aimé que cela soit dans d’autres circonstances. Ainsi mon fils a finalement compris qu’il était amoureux de vous ? Excusez-moi, déformation professionnelle. Je suis psychiatre et j’ai tendance à psychanalyser mon fils à son plus grand dam » lui dit-elle avec un sourire à peine désolé. On sentait combien elle aimait son fils. « Comment vous sentez-vous Andrea ? Vous tenez le choc ? »

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je suis complètement perdue et quand je passe la porte du commissariat, je me revois en juin dernier quand, pendant le bal, Isaac a été embarqué par les flics et que je suis venue rejoindre Maxime ici. Tout s'était bien terminé pour les jumeaux Jackson alors peut être que cette fois encore, tout irait bien. Je n'en sais trop rien, je l'espérais et je ne partirais pas d'ici avant d'avoir vu Bonaventure, de l'avoir serré dans mes bras ou je ne sais pas quoi. La mère de mon petit ami à côté de moi, je souris légèrement, je tente de retrouver la force et la sérénité qui me qualifient normalement mais c'est dur. Je sens mon coeur chuter dans ma poitrine quand elle me dit qu'elle ne sait que pas nous étions en couple. Bon, peut être qu'il n'en a parlé qu'à sa grand mère ou il n'a rien voulu leur dire suite à ma crise de panique à l'aéroport... " J'aurais préféré vous rencontrer dans d'autres circonstances aussi " Soufflais-je, les joues légèrement rosies de ce qu'elle venait de me dire. Son fils est amoureux de moi. Il m'a dit je t'aime mais je crois que c'est à ce moment même que je tilte, que je comprends que moi aussi je l'aime, je l'aime vraiment. Je l'écoute et secoue légèrement la tête de droite à gauche, mordant ma lèvre inférieure le plus fort possible. " Non pas... Pas vraiment " Soufflais-je, la voix qui tremble. " Votre mari l'a appelé pour ça quand on était au Chili ? " Demandais-je rapidement. On aurait du rester là haut putain, on aurait du ! Mais l'immigration serait venu le cueillir au sot du lit, j'en doute pas...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Don't leave me now.
Andrea était une très belle femme malgré le chagrin qui assombrissait ses traits. Norah ne pouvait que saluer le goût de son fils en matière de femme mais au-delà de la beauté, elle était simplement heureuse de voir qu’Andrea n’abandonnait pas son fils à son triste sort. Bonaventure avait connu une première trahison, trois ans de cela et elle était rassurée de voir qu’au moins, malgré la peur Andrea ne se défilait pas face à l’adversité. L’élégante brune se leva pour se rapprocher de l’étudiante, prenant l’une de ses mains dans les siennes après avoir pris place à ses côtés. « Oui, Gideon voulait prévenir notre fils de ne pas revenir aux Etats-Unis, de rester au Chili du moins, le temps de quelques semaines. Nous savions qu’au moment-même où il poserait le pied sur le sol américain, l’immigration lui tomberait dessus » soupira-t-elle. « Je ne sais pas si mon fils vous en a parlé mais mon mari s’est lancé dans les primaires démocrates et visiblement, cela ne plait pas beaucoup à certaines personnes. S’attaquer à Bonaventure pour toucher mon mari était visiblement leur tactique pour l’atteindre » lui expliqua-t-elle avant de serrer un peu plus sa main dans les siennes. « Je suis tout de même heureuse de voir que malgré les difficultés, vous ne lui avez pas tourné le dos. Bonaventure n’exprime que rarement ses sentiments mais je sais que votre soutien est très important à ses yeux »

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je déglutis difficilement quand je l'écoute. Pourquoi est-ce que Bona n'a pas essayé de joindre son père après le séisme ? Ah, oui. On passait du temps à se crêper le chignon à cause de Priape et de tout ce qu'il a fait et pas fait en même temps. Je me sens mal, l'estomac qui se tord et je l'écoute. Je l'écoute comme s'il s'agissait du président des États-Unis qui était entrain de prononcer un discours de la plus grande importante. C'est pas le cas mais presque, avouons le. Ses mains autour des miennes, je la regarde droit dans les yeux. " Je ne lui tournerais pas le dos... Je l'aime bien trop pour ça " Confiais-je à la mère de mon petit ami. Je suis incapable de lui dire à lui mais là, ça sort presque tout seul. Je me désespère mais qu'est-ce que j'y peux sérieusement ? Avec lui, c'est plus difficile alors que je sais qu'il n'attend que ça, je n'attends que ça aussi, lui dire. Mais je sens que face au Quincy, je perdrais mes moyens, comme au Chili. Je soupire légèrement et me retiens de pleurer à nouveau. " Il n'a rien demandé et puis... Ça fait longtemps que vous l'avez adopté, il n'y a pas quelque chose là dessus ? Il est américain, il a des papiers américains alors que moi non... C'est moi qu'on devrait vouloir renvoyer en Afghanistan et pas lui " Soufflais-je, tremblant légèrement. On était pas des étrangères, ma mère et moi. On est arrivé de manière tout ce qu'il y a de plus légales ici mais je me sentais bien moins américaine que Bonaventure peut l'être. " Il y connait quoi de la Namibie ? Rien " Il est américain putain ! C'est pas si compliqué que ça non ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Don't leave me now.
« Merci » répondit simplement Norah en la regardant avec une certaine tendresse somme toute maternelle. Andrea n’imaginait pas combien elle soulageait la mère de son petit-ami à cet instant précis. « La dernière fois que j’ai vu mon fils, je le trouvais changé, comme si une partie de sa tristesse s’était envolée. Maintenant je comprends pourquoi, vous le rendez heureux Andrea et je vous en remercie » ajoutait-elle avant que la jeune femme ne s’insurge devant l’injustice que subissait Bonaventure. Sur ce point-là, elles étaient d’accord. Son fils avait grandi aux USA, il y avait passé sa vie. « Ne dites pas de telles choses Andrea. Je sais que la situation est injuste malheureusement, pour l’heure, c’est ainsi que sont les choses. L’adoption étant caduque, les papiers de Bonaventure ne sont plus valables. C’est comme si, il n’avait jamais été…notre fils » souffla-t-elle ces derniers mots avec difficulté. Son cœur de mère se serrait à l’idée qu’on lui arrache son bébé, son enfant. « Nous avons lancé en marge des recours, une procédure pour la rendre de nouveau valable mais malheureusement, cela peut prendre un an voire deux ans. Il faut que le dossier repasse en commission et le fait qu’il soit majeur fait en sorte que le dossier n’est pas prioritaire, loin de là »regretta Norah avant de reprendre la parole. « Bonaventure n’avait que quatre mois lorsque nous l’avons adopté, il ne connait rien de son pays natal mais nous avons des amis de longues date qui y habitent et ils sont déjà en train de faire les démarches nécessaires pour trouver une maison, pour organiser son arrivée si jamais les choses tournaient mal. Andrea, quoiqu’il arrive, nous nous battrons pour le faire revenir… si seulement vous aviez été américaine, vous auriez pu l’épouser et lui offrir la nationalité américaine en attendant que l’adoption soit à nouveau viable. Pour l’heure, celle-ci n’est reconnue qu’en Namibie... Il n’y a que là-bas où il est effectivement un Weasley »
AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ce qu'elle me dit me touche réellement. Je ne pensais pas avoir cette importance pour Bonaventure. Bien sûr, on est ensemble, on s'aime, on est bien mais moi, je suis encore sur la retenue... J'ai peur, j'ai tellement peur de souffrir et il semblerait que j'avais raison. Aucune de mes relations amoureuses ne semblent vouloir aller comme il le faut. Il est où mon 'happily ever after' sérieusement ? " Ce n'est pas seulement injuste. C'est inhumain c'est... Ils l'ont escorté jusqu'à la voiture de police avec les mains menottés dans le dos devant toute la Quincy House " Soufflais-je, encore dégoûtée de ce que j'avais vu. " Ils l'ont traité comme un criminel alors que les mather dealent tranquillement à deux rues de là " Soufflais-je. Il y a définitivement un problème dans cette université à la con. Comment peut-on laisser un étudiant comme Bonaventure se faire arrêter pour des conneries de ce genre alors que les Mather fument et vendent des trucs pire qu'illégaux à côté. Ça me dépasse, ça me répugne, ça me donne carrément envie de vomir, c'est pour dire. Je soupire légèrement et l'écoute. Je n'imaginais même pas ce que ma mère ressentirait si on venait à lui dire que je devais repartir à l'autre bout du globe, quelque part où j'ai jamais mis les pieds... Elle serait dévastée, autant que la mère de Bonaventure. Rien ne tourne rond ici, y a pas de doutes là dessus. " Il est aussi un Weasley ici. Pour nous, il est un Weasley " Soufflais-je en réfléchissant à ce qu'elle venait de me dire... " Je pourrais... Je pourrais devenir américaine. Il y a un test à passer pour ça non ? " Je n'y connais rien moi là dessus, je ne m'y suis jamais intéressée. " Mais il n'acceptera jamais, absolument jamais " Soupirais-je tristement, perdant espoir, perdant la petite lumière qui venait de s'allumer dans mon regard.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)