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Don't leave me now.

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Don't leave me now.
Norah n’osait pas imaginer la frayeur de son fils lorsqu’on lui avait passé les menottes et encore moins la honte qu’il avait dû ressentir face à ses camarades de confrérie ou même face à sa petite-amie. Bonaventure ne le dirait jamais, il n’aimait pas montrer ses faiblesses. « Je sais que c’est injuste et croyez-le, j’aurai aimé que mon fils se voit réserver un meilleur traitement surtout que je le connais suffisamment pour savoir qu’il a dû avoir peur et honte en même temps. Tout comme il doit tourner en rond dans sa cellule à l’heure actuelle. Il déteste être enfermé depuis que des gamins l’ont poussé dans un puit abandonné. Il y a passé huit heures avant que le service de sécurité de mon mari ne le retrouve. Depuis ce jour-là, il ne supporte plus les espaces clos.. tu as du remarquer qu’il apprécie énormément être dehors n’est-ce pas ? » lui dit-elle avant de garder le silence quelques instants. Son fils lui manquait déjà atrocement mais c’était surtout ce sentiment d’impuissance qui la tuait à petit feu. « Oui, il sera toujours un Weasley… mais serais-tu réellement prête à l’épouser ? Il y a effectivement un examen à passer pour devenir citoyen et Gideon a le bras suffisamment long pour pouvoir te faire passer en urgence » s’exclama Norah, passant inconsciemment au tutoiement. « Il acceptera s’il sent derrière cette demande une véritable volonté de te lier à lui et non simplement pour faire de lui un américain… Andrea, tu dois savoir une chose sur mon fils, il a vraiment eu le cœur brisé suite au départ de Lucy au point que j’ai réellement cru qu’il n’aimerait plus jamais. Il a beau joué les garçons courageux qui a toujours le sourire, qui a toujours confiance en la vie mais ce n’est pas le cas. Mon fils a souvent été rejeté dans sa vie à cause de sa différence et depuis, il a constamment peur d’être abandonné… Lucy n’a fait que renforcer cette peur ancrée en lui » confessa la quinquagénaire avant qu’un policier ne vienne leur accorder le droit à une seule visite. « Va le voir mais dis lui que ses parents sont derrière lui s’il te plait »
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Je l'écoute et déglutis légèrement. Bonaventure m'a dit qu'il a été poussé à bout par des gens, qu'il a été discriminé, mis de côté par les jeunes de son école et tout ce qui va avec. Mais à ce point ? J'en avais aucune idée. Instantanément, je me sens mal. J'ai l'impression d'avoir été prise au dépourvu par la mère de Bonaventure et qu'on vient de me couper les deux jambes, bien qu'il m'en manque déjà une. J'ai l'impression de revivre la même chose qu'en 2013... " Oui je... Je l'ai remarqué. Il adore passer des nuits à la belle étoile " Soufflais-je avec un léger sourire en repensant à nos nuit dehors en Argentine. On avait pas pu le refaire au Chili mais bon... Je la regarde et secoue la tête de haut en bas quand elle me demande si je serai prête à épouser son fils s'il le fallait, pour le faire revenir. " J'aime votre fils et même si c'est terriblement rapide et que ma mère me tuerait pour le faire, je serai prête à l'épouser, à devenir américaine et tout ce qui va avec pour le faire revenir " Et ce n'est même pas pour ses parents ou sa grand-mère que je le ferai... Mais pour moi, pour nous, pour lui prouver que je suis prête à n'importe quoi pour le sortir de ce merdier. " Mais je ne veux pas vous porter préjudice parce que ça passera forcément pour un mariage forcé, pour l'obtention d'une carte verte " On est en couple depuis moins de deux mois quand même... Et même si on se côtoie depuis un bon bout de temps, c'est vraiment pas pareil. Je déglutis difficilement et l'écoute. " Je ne suis pas Lucy. Je vous le jure... Je suis là, moi " Elle, elle serait déjà en Alaska entrain de se planquer derrière un putain d'esquimau. " La différence n'est pas un frein vous savez... J'ai grandi en Afghanistan, sur une base de l'armée américaine et... j'ai le même handicap que votre fils. Je ne peux que le comprendre, le soutenir et... Je compte lui offrir tout ce que Lucy n'a pas voulu lui offrir " La paix avec lui même et un soutien infaillible. Le policier vient et je tente de cacher ma déception. Jusqu'à ce que sa mère me dise d'y aller. " Vous êtes sûre ? Vous pouvez y aller, je comprendrais c'est votre fils " Soufflais-je. Mais il faut se dépêcher et je me lève. Je lâche sa main qu'elle a entre les siennes depuis tout à l'heure. " Merci " Soufflais-je en suivant l'officier.


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Norah Weasley était fière de voir que son fils avait réussi à retrouver l’amour en la personne d’Andrea car cette dernière venait de lui faire forte impression. C’est pourquoi elle n’hésita pas à laisser les amoureux se retrouver même si son cœur de mère aurait souhaité pouvoir serrer son fils dans ses bras après tout cette tension. Elle se consola en se disant que son fils avait bien plus besoin d’Andrea que d’elle. Qui sait, peut-être que cette dernière était la solution à tous leurs problèmes.

Loin des pensées de sa mère, Bonaventure tournait comme un lion en cage, cherchant un moyen de s’en sortir mais à chaque fois qu’il trouvait une solution, un autre obstacle se dressait sur sa route. L’un des policiers vint lui annoncer qu’il avait de la visite -sûrement ses parents songea-t-il. Son père devait très certainement se battre comme un beau diable avec les avocats pour dénicher un semblant de compromis et sa mère, elle, allait jouer la carte de la tendresse maternelle pour l’aider à supporter la situation. Ce ne fut ni l’un ni l’autre mais Andrea qui se présenta devant la porte de sa cellule ouverte. Ni une ni deux, il se précipita vers elle pour la prendre dans ses bras et l’embrasser passionnément. « Tu vas bien ? Dis-moi que tu n’as rien tenté d’insensé ? » lui demanda-t-il en prenant son visage en coupe pour mieux plonger son regard dans le sien. Dieu qu’il avait besoin de la toucher, de l’entendre, de respirer son odeur. « Je suis tellement désolé que tu aies dû assister à tout cela » lui dit-il après coup avant de la serrer à nouveau dans ses bras. Il ne voulait plus la lâcher mais quelque part, au fond de lui, il ne pouvait s’empêcher de se dire que si on lui autorisait aussi vite des visites, c’est que son dossier était mal barré.

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Je marche rapidement, très rapidement. On est pas très loin des cellules mais j'ai pourtant l'impression d'avoir marché dix ou douze kilomètres au moins. Je me sens mal, j'ai mon ventre qui se tord et se re-tord. Je vois Bonaventure, double le policier devant moi et le prend dans mes bras. Je le sers fort et quand ses lèvres touchent les miennes, que je prolonge notre baiser, des larmes coulent le long de mes joues. " Je ne suis pas insensée Bonaventure " Soufflais-je en le regardant droit dans les yeux. Bon, ok, je peux être un peu borderline quand je m'y mets. " Et toi, ça va ? " C'est lui qui est considéré comme un criminel, pas moi. Je serre mes bras autour de lui et soupire légèrement. " Et moi je suis désolée que les opposants de ton père n'aient rien trouvé de mieux que de s'attaquer à toi " Soufflais-je en embrassant ta nuque. " Ta mère est là aussi... Ton père essaye de trouver une solution. Ils sont derrière toi Bona, on est avec toi, faut pas que tu perdes espoir ok ? " Soufflais-je en me détachant légèrement, le regardant dans les yeux. Faut pas qu'il perde foi ou je ne sais quoi même si c'est facile, très facile. S'il est là, ce n'est pas pour rien de toute façon. On n'enferme pas un fils de sénateur si on a pas un cas dure comme du béton sous le bras... " Je t'abandonnerais pas c'est clair " Demandais-je en le regardant droit dans les yeux.
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Cela lui faisait un bien fou de retrouver son Andrea après cette courte séparation car il savait combien leur avenir ne tenait plus qu’à un fil. Comment aimer sur une longue distance ? Elle avait ses études et même si elle rêvait de revenir en Afghanistan, lui, il n’aurait plus rien à lui offrir. Ni famille, ni fortune, ni nom. Aux États-Unis, il n’était plus rien mais qui serait-il en Namibie ? Un orphelin adulte, totalement paumé dans un pays qu’il ne connaissait absolument pas ? « Je tiens le coup, ce n’est pas un palace mais la couchette m’a l’air confortable » haussa-t-il les épaules. Inutile de dramatiser une situation qui n’en demandait pas tant. « Je me demandais bien ce qui m’avait valu tout ce beau merdier maintenant je comprends mieux » soupira-t-il en glissant une main dans sa longue chevelure. Le contact de ses lèvres, sa voix, l’apaisaient. « Tu as rencontré ma mère ? Oh ! Cela s’est bien passé ? Elle n’a pas sorti de vieilles photos embarrassantes j’espère ? » tenta-t-il de plaisanter mais le cœur n’y était pas. Il avait tellement peur de devoir partir, d’être arraché à son pays mais surtout à ceux qu’il aimait. « Je sais, j’ai confiance en toi mais… Andrea, il y a un risque que je sois expulsé, je ne peux pas le nier »

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Je souris légèrement quand il parle de la couchette. J'ai surtout envie de pleurer douze fois plus que c'est le cas mais ça ne sert à rien. Il faut que j'arrête d'avoir l'air triste, je dois être souriante, lui donner confiance même si j'ai l'impression que mon monde s'écroule comme pas possible. Je pose ma main sur sa joue et la caresse de mon pouce. " Je te jure, j'ai des envies de meurtre quand je pense à ce que ces connards font pour déstabiliser ton père " Parler de meurtres et être aussi hargneuse dans un commissariat, c'est surement pas l'idée du siècle mais on ne va pas se voiler la face non plus, je ne sais pas tenir ma langue quand je suis en colère. Je lui souris et secoue légèrement la tête de droite à gauche. " Non j'ai pas eu la chance de te voir en body et en couche... Mais oui, ça s'est bien passé. Elle m'a dit qu'elle n'était pas au courant pour nous " Soufflais-je avec un léger sourire. C'est pas très grave, y a plus grave à traiter pour le moment, beaucoup plus grave à vrai dire. " On trouvera une solution Bona... Je viendrais en Namibie te voir et puis, ils ont besoin de médecins là haut " Et je suis sérieuse. De toute façon je veux devenir médecin en zone sensible et la Namibie pourrait largement convenir à tout ça... Je l'embrasse tendrement et pose mon front contre le sien. " Et je t'interdis de refuser, je me relèverais pas une nouvelle fois " Puis y a plus rien qui me retient ici alors bon...
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Heureusement qu’ils étaient seuls au moment où elle confessait ses envies de meurtres. Le plus hallucinant, c’est que Bonaventure n’était pas en colère -lui, qui, avait explosé pour moins que ça. Non, il était tellement abattu par la situation, par le fait d’avoir tout perdu qu’il n’arrivait pas à se mettre en colère pour le moment. Cela finirait par arriver mais là, non. « Tu ne voulais pas que mes parents soient au courant alors je me suis tue… mais je suis étonné que ma grand-mère ait réussi à tenir sa langue » plaisanta-t-il du bout des lèvres avant de s’asseoir sur la couchette, entrainant sa petite-amie sur ses genoux. Il avait tellement besoin de contact pour tenir, pour ne pas sombrer. « Ne dis pas ça, tu as encore tes études à terminer, tes contrats… je ne veux pas que tu sacrifies tout pour moi bien qu’égoïstement, je meurs d’envie de te garder près de moi » lui dit-il avant de soupirer. Andrea pourrait peut-être exercer un métier qu’elle aimait mais elle finirait par se lasser. Ses amis, ses proches se trouvaient à Harvard. En Namibie, elle n’aurait que lui. « Comment pourrais-je te faire renoncer à tout Andrea ? Je ne sais même pas quelle vie je pourrais t’offrir là-bas » lâcha-t-il tristement. Il ne parlait pas uniquement d’argent, c’était un tout, une globalité. Le métisse ignorait de quoi serait fait demain.

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Il n'a pas tord. C'est moi qui ait fait une crise de paniqué à l'aéroport de peur que l'entourage de son père cherche dans mon passé... Et je crois qu'en parlant de l'Afghanistan avec la mère de Bonaventure et bien... Je l'ai mise sur la piste que je voulais tant qu'elle n'explore pas. Putain mais quelle idiote. " Peut être qu'elle s'est trouvée un petit copain et du coup, elle a oublié tout ce que tu lui as dis sur moi " Lançais-je un large sourire. Je doute que ce soit ça. Je pense plutôt qu'elle respecte son petit fils et veut le laisser aller à son rythme, quitte à ce que ce soit en moonwalk. " Je ne me sacrifie pas... Les études c'est important mais le terrain aussi, surtout en traumato " Il le sait bien pourtant non ? Ça ne sert à rien d'avoir la technique si on a jamais la chance de pratiquer. Et puis mes contrats, je m'en fiche pas mal. Je le regarde avec un léger sourire, sourire qui disparait. " Me faire renoncer à quoi ? À une confrérie que je vais quitter ? À des amis que je n'ai plus ? J'ai juste besoin de toi et d'amour Bona... Je peux vivre dans la misère, j'en ai rien à foutre tant que je t'ai toi " Pas trop vite on a dit ? Ouai bah je suis grillée comme un marshmallow mais ça me va totalement... " Je te quitterais pas, je ne t'abandonnerais pas et Harvard ou n'importe où en Namibie, tant que je suis avec toi ça me va " Soufflais-je avec sincérité.
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« Je sais pas. Avec ma grand-mère il faut s’attendre à tout.. » lui dit-il en souriant avec que son sourire se fige dans la tristesse. Bonaventure n’avait pas songé un seul instant devoir partir sans pouvoir dire physiquement au revoir à cette femme qui le rendait si heureux depuis qu’il était né. Diane Weasley était un véritable rayon de soleil dans son existence et l’idée même de partir sans pouvoir l’embrasser l’emplissait de tristesse. « Je suis en train de me dire que je n’ai prévenu personne encore de ce qui se passe » soupire Bonaventure en serrant davantage Andrea contre lui, comme pour se raccrocher à elle dans ce moment de tempête. Cette dernière avait visiblement commencé à penser à ce qu’elle ferait si jamais elle partait, chose qu’il ne pouvait pas laisser passer. « Arrête, tu as des amis, de la famille. Au départ, tu serais heureuse d’être à mes côtés mais dans quelques mois, dans quelques années ? Priape, Leanne, tout ce beau monde te manquera. Je serais heureux de t’avoir à mes côtés, ne doute jamais de cela… mais je sais également le sacrifie que cela te demandera de faire » lui dit-il en prenant son visage en coupe pour mieux plonger son regard dans le sien. Il l’aimait plus que tout au monde et l’avoir à ses côtés le rendrait heureux qu’importe qu’il soit aux Etats-Unis ou en Namibie mais elle ? Andrea craignait qu’ils aillent trop vite, elle était même incapable de lui dire qu’elle l’aimait. Non, elle finirait malheureuse loin des siens. « Avec un peu de chance, je resterai là et je pourrais continuer de me battre contre ton ami Priape pour lui montrer que je ne veux que ton bonheur »

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Il m'avait déjà parlé de sa grand-mère et du cadeau qu'elle lui avait fait à Noël ! Merci mamie Weasley, on s'en est bien servi de ce joli cadeau. Je le regarde et glisse mon pouce sur sa joue pour le caresser légèrement. " Les personnes les plus importantes sont prévenues... Tu veux que je contact quelqu'un pour toi ? " Demandais-je à mon petit ami, assis sur ses genoux, le regard se voulant réconfortant, supporteur, salvateur. Qu'est-ce que j'aimerais pouvoir enlever toute la tristesse de ses épaules, de son coeur et la garder pour moi, pour le soulager... Je le regarde, l'écoute, l'entends mais n'accepte pas sa réponse. Ma tempe contre son front, je ferme les yeux quelques secondes avant que ses mains se posent sur mes joues et que je le regarde. " Ils viendront nous voir en Namibie pour les vacances. Charlie, Mila et Millie seront heureuses ensemble à faire les folles et puis voilà... Je t'abandonnerais pas Bona, arrête de rêver trente secondes, je suis pas Lucy, je recule pas face aux obstacles que la vie met sur notre route " Lançais-je. Bien sûr, ça serait bizarre, étrange et ? Il venait de citer en une phrase les deux seules et uniques personnes qui me manqueraient. Un coup de skype, un billet d'avion et hop... Pas de soucis à faire. Je le regarde et étouffe un léger rire. " Vous me fatiguez vous deux sérieusement... Je préfère que tu restes pour te battre avec moi et me rendre heureuse oui... " Soufflais-je en embrassant tendrement ses lèvres. " J'ai peur Bona... J'ai vraiment peur " Lançais-je en mordant ma lèvre inférieure qui tremble. " Je devrais pas te le dire parce que je sais que t'as peur aussi mais... " Mais c'est plus fort que moi. Je suis pas douée pour cacher mes sentiments.
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