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and i won't let you go (carmingham)

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Si j'avais pu stresser au début de cette terrible épreuve, je me sentais bien mieux avec Cole à mes côtés. C'est comme ça, j'y peux rien, je me sens bien avec lui et même s'il est distant, je crois que ça me va. " Je sais pas, hier t'avais l'air de refuser tout ce que je te proposais " Mais je suis contente de voir qu'il cherche activement une solution à ce merdier sans nom. Parce que je pourrais en trouver une, pousser Ombeline dans une des faille que le séisme avait causé mais je doute que ce soit fortement apprécié. Ni par lui, ni par les parents de la demoiselle. Et comme à chaque fois, un moment agréable se voit bafouillé. Je soupire légèrement et le regarde droit dans les yeux. " En fait tu peux pas t'empêcher d'être idiot c'est ça ? Je te parle pas d'Ombeline, je te parle de tes amis, de ceux en qui t'a confiance, de Leevy par exemple " Oui oui mon coco, confonds pas "tes potes" et le sac poubelle qui te sert de petite amie. " Et j'ai jamais dis que je voulais pas être avec toi alors t'arrêtes tes conneries deux minutes. Ça fait vingt minutes que je me retiens de t'embrasser pour fermer ton clapet " Oui et je me retiens parce que je veux pas lui causer d'ennuis, rien. " Et je suis heureuse de ta présence mais pas comme ça. Mais tu sais quoi ? Je fais avec parce que j'ai pas le choix et que je veux pas t'attirer d'ennui " Soufflais-je en levant les yeux au ciel. " Tu me fais chier Cole, tu comprends vraiment rien " Et je lui dirais pas que je m'attache à lui, pas clairement, s'il a pas compris avec ce que je viens de lui dire. Mon ton n'est pas sec, méchant ou quoi que ce soit non, il est plutôt doux, triste, désolé.
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  « Je ne veux pas me fâcher avec ma mère… » C’était primordial pour moi. J’avais toujours été le chouchou de mes parents, et depuis que mon père était décédé, mon statut de préféré s’était quelque peu étiolé. Et puis désormais, mère avait son cher fiancé, monsieur Petrova qui avait ses propres filles alors je voyais des rivaux partout. Même ce Wade avait réussi à m’extirper un peu de l’amour de mon père depuis sa tombe, puisque mon héritage avait du être partagé avec ce dernier. Alors non, mes bonnes relations avec ma mère, elles étaient trop précieuses pour que je risque de les compromettre en faisant le con avec ses fiançailles. Il fallait être plus malin, plus subtil, plus rusé… Rien qui ne soit pas dans mes cordes… Sauf que le moment de tendresse entre nous fut ensuite entaché lorsque la jeune femme sembla refuser mon invitation. Oui, il fallait croire que derrière mes airs assurés se cachait un gros manque de confiance en moi… J’étais en train de m’énerver quand Kyla me corrigea : elle pensait que je voulais voir mes amis, éventuellement, et en aucun cas elle n’avait pas dit ne pas vouloir me voir, ajoutant même que ça faisait vingts minutes qu’elle se retenait de m’embrasser, révélation qui me fit aussitôt retrouver le sourire… Et regarder ses lèvres avec envie… Sauf qu’elle enchaina, surement énervée par mon propre agacement, ajoutant qu’elle ne voulait juste pas m’attirer des ennuis, que je comprenais vraiment rien… « Attire moi des ennuis Kyla… » soufflai-je avant de venir déposer mes lèvres sur les siennes, brièvement, furtivement…  Le baiser ne dura que quelques secondes et déjà je m’écartais, descendant du brancard pour ajouter : « Viens ce soir… Suite 46 au quatrième étage. »
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Le médecin était vite reparti. Enfin, je crois. Je ne sais pas trop parce que j'étais plongée dans ma discussion avec Cole. Et que rien autour ne comptait pour moi à ce moment même. Rien à faire des étudiants autour, des pleurs, des cris, des gens qui paniquent. Il suffit qu'il pose ses yeux sur moi, que je le regarde et tout va bien pour moi. Je suis complètement pitoyable, à nouveau sous l'influence d'un homme qui ne sera pas mieux. Il doit se marier et il ne veut pas se fâcher avec sa mère. " Tu sais ce qu'on dit ? Qu'une mère pardonne tout à son fils parce que c'est son fils, justement " C'est ce que j'ai toujours entendu. Quoi qu'un fils fasse, sa mère le soutiendra toujours. Et un père soutiendra toujours sa fille. Je ne sais pas si c'est vrai vu la famille bancale à douze mille pourcents que je me coltinais... Surtout avec une soeur en plus au tableau maintenant. En tout cas, face à lui et à ses incompréhensions en chaine, je perdais pieds, je râlais encore et me laissais aller. Au pire, je dirais que c'est la fatigue ou je sais pas, l'anesthésiant local qui me fait divaguer. Je sais pas trop, je trouverais une connerie et il ne sera pas capable de savoir que ce n'est qu'une connerie. Je le regarde et ferme les yeux à la seconde où il pose ses lèvres sur les miennes. Un pas en avant ? Et même si ce baiser ne dure qu'une poignée de seconde, je me sens bien, très bien d'un coup d'un seul. Je l'écoute et acquiesce. " Quelle heure ? " Demandais-je simplement avec un léger sourire sur le visage. Je descends du brancard, grimace légèrement et cligne des yeux à de nombreuses reprises. " Retournes-y et... à ce soir " Soufflais-je avec un regard plein de malices. " Je vais rentrer me reposer " Concluais-je, comme s'il en avait quelque chose à faire. Peut être que oui en fait... Je fais deux pas vers la sortie avant de me tourner. " Cole ? " Je le regarde et ris légèrement. " Passe lui le bonjour hein " Faux cul jusqu'au bout du short !


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