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and i won't let you go (carmingham)

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Je souris légèrement quand il me dit qu'il ne lui a pas demandé comment elle s'appelait. Soit il était vraiment dans le mouvement ou alors il se fiche bien de la revoir plus tard. Je préfère la deuxième option, bien entendu. Si je pouvais devenir la seule qu'il avait envie de voir, ce serait quand même bien sympa, je dois l'avouer. Je l'écoute et ris légèrement, grimaçant parce que ça ne fait pas du bien tout ça. " Ok ok... Bon bah je réfléchirais à tout ça quand j'aurais le temps alors. Comment faire pour que Monsieur Wildingham arrête de vouloir de moi " Je souris légèrement. Il vient de se griller encore une fois et je le pointe du doigt, bien entendu. Il veut de moi. Pas autant que je veux de lui, bien entendu. Mais je ne l'avouerais pas, c'est lui que j'ai décidé de mettre en avant, son attirance pour moi et non l'inverse. Je me décale légèrement, gardant ma main dans la sienne quelques secondes avant qu'il refuse mon 'invitation'. " Cinq minutes ? " Demandais-je rapidement avant qu'il énonce devoir retourner au service ortho. " Ton amie n'a pas qu'une cheville blessée ? " Demandais-je rapidement. Moi je vais peut être finir avec la gueule amochée quoi... La cheville, le genou, j'y suis déjà passée y a quelques mois. Je le regarde et je comprends. Je lâche sa main rapidement et me redresse rapidement. " C'est elle, t'es avec Ombeline " Soufflais-je en déglutissant difficilement. Et quand tu crois que tout va bien, tu te prends une baffe, une bonne baffe qui te sonne pour les secondes qui suivent. Un médecin arrive rapidement. " Mademoiselle Carmichael ? " Je le regarde et acquiesce légèrement. " Docteur Ernandez, je suis le chirurgien plastique " Je souris et me met assise, comme toute à l'heure, les jambes dans le vide. " Faites ce que vous avez à faire " Demandais-je alors qu'une infirmière - ou une interne, j'en sais rien, j'y connais rien - viens avec tout ce qu'il faut. Alors qu'il s'approche de moi avec son aiguille, j'attrape le poignet de Cole. " Reste juste pour ça pitié, je veux savoir s'il m'a pas dégueulassé le visage après et je sais que je peux compter sur toi pour ton honnêteté " Soufflais-je avec un regard de chien battu. T'iras retrouver ta greluche plus tard. Elle peut pas aller bien loin de toute façon, avec sa cheville en vrac.
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 Je rigolai doucement à mon tour, quand elle retourna mes propres paroles contre moi même, soulignant le fait que dans mes propos j’avais été un peu trop révélateur sur le fait que je la voulais… Oui je voulais Kyla comme un dingue et la preuve c’était que j’étais là, mes doigts emmêlés dans les siens alors que je devrais plutôt soutenir ma fiancée quelques étages au dessus. Je ne devrais pas rester, mais elle me réclama juste cinq minutes et j’hésitais lorsqu’elle souligna que mon amie n’avait qu’une cheville blessée, regardant une nouvelle fois en direction du couloir. Mon regard du me trahir parce qu’aussitôt, Kyla lâcha ma main et se redressa, comprenant que ce n’était pas une amie mais bien Ombeline. Je me mordis les lèvres, restant silencieux, silence coupable tout aussi révélateur que si j’avais acquiescé. Mais je fus sauvé d’une explication gênante par l’arrivée du doc. Je pensais m’éclipser, pas grand fan des aiguilles et tout le tralala, mais la main de la demoiselle agrippa mon poignée. Elle me demanda alors de rester, argumentant que c’était pour un compte rendu honnête de ma part sur le résultat final qu’elle souhaitait que je reste. « Dis le que tu flippes et que tu veux que je te tienne la main… » répliquai-je taquin mais faisant moins le malin quand le médecin brandit son fil. « Attendez, elle est pas un peu grosse l’aiguille là ? Et votre diplôme vous l’avez passé où ? » commençai-je à le questionner, peu confiant et peu rassuré de laisser Kyla entre les mains de cet inconnu dont je n’avais aucun moyen de vérifier les compétences.
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" Je flippe et je veux que tu me tiennes la main " Lançais-je sérieusement au jeune homme. Je déteste les aiguilles, j'ai peur des aiguilles et je sais que je vais fermer les yeux tout le temps qu'il fera son truc parce que je ne veux rien voir, je ne veux rien entendre. Sur ce point, ça risque d'être plutôt difficile à moins que Cole me chuchote des trucs divers et variés. Il peut chanter, réciter la bible ou me donner envie de lui arracher ses fringues, je m'en contre fiche tant que je ne pense pas à tout ça. " Faut pas m'endormir avant ? Je vais avoir mal non ? " Demandais-je paniquée. Je me souviens encore les prises de sang quand j'étais gamine. On me foutait un patch sur le bras des heures avant et je me débattais tellement que le pédiatre piquait à côté - true story - et que tout ça n'avait servi à rien. Je glisse mes yeux du médecin à Cole. " Il a peut être pas de diplôme mais il sait manier son aiguille... " Lançais-je en regardant le Docteur qui semblait s'impatienter. " Je vous jure que si vous me loupez, je vous fous un procès au cul " Soufflais-je en attrapant la main de Cole entre mes deux mains. " Tourne pas de l'oeil hein " Riais-je avant de fermer les yeux. " Inspire, expire, inspire, expire " Je sais pas si je le dis pour moi ou pour lui. Parce qu'il était quand même tout pâle quand l'aiguille a frôlé mon front.
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Si Kyla semblait paniquée, reconnaissant facilement qu’elle détestait les aiguilles et que l’idée de se faire recoudre à vif la faisait baliser. « Vous allez lui mettre un anti douleur. » C’était même pas une question, c’était un ordre. Parce que là, il commençait sérieusement à m’inquiéter. Oui c’était ensuite mon tour de me mettre à m’affoler, doutant du doc, de l’aiguille qu’il s’apprêtait à planter dans la peau de la demoiselle, mettant même en doute ses diplômes. Ma réaction sembla amuser Kyla qui retrouva le sourire et oublia un instant ses propres craintes, me charriant sur un potentiel malaise devant mon teint qui devait avoir nettement changé. « Te moque pas, tu vas moins faire la maline dans quelques minutes. » Ok, Cole, tu aides pas là. Je me repris donc, mon autre main venant rejoindre celle que la jeune femme avait saisie. Mes yeux se plantèrent dans les siens alors que je lui soufflai : « Regarde moi, regarde pas ce qu’il fait. » Et comme ça moi aussi j’évitais de regarder la séance de couture sur peau et de tourner de l’œil comme elle craignait que je ne le fasse. Le doc commença la suture et mes doigts resserrèrent un peu les siens. Alors que j’approchai mon visage du sien, de son oreille, venant lui murmurer à l’oreille : « Pense à quelque chose d’agréable… Imagine tout ce que je vais te faire quand tu auras officiellement rejoins la Eliot House… » Je remettais exprès le débat qu’on avait pourtant clos la dernière fois sur le tapis, histoire de lui servir une forme de diversion, qu’elle oublie les gestes du chirurgien l’espace d’un instant et les fils qui s’enfonçaient dans sa peau…
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Un anti douleur, c'est une bonne idée. Mais pas trop fort, pitié. Parce que je veux pas que ma langue se délie et que je finisse par dire une connerie ou un truc que je regretterais toute ma vie, comme le fait que je suis clairement pas enceinte et qu'il me plait un peu trop. Mon dieu, Kyla, oublie tout ça tout de suite ! " Merci, fais moi flipper encore plus que c'est déjà le cas " Soufflais-je en serrant les dents. J'ai l'impression que ma vie est entre les mains de ce Docteur alors que ce n'est que mon visage qui l'est. Bon, c'est super important, on va pas se voiler la face. Mais peut être que, de cette manière, tout le monde saura différencier les trois soeurs Carmichael. Je l'écoute et le regarde. Mes yeux sont sur lui mais je vois quand même les mains du médecin bouger et ce putain de fil est dans mon champ de vision. Je vais tourner de l'oeil, je le sens. J'ai l'impression de sentir le fil passer à travers ma peau. Oh mon dieu que c'est dégueulasse. Voilà que j'ai envie de vomir maintenant. Mais je sens les lèvres de Cole près de mon oreille et son souffle caresse ma peau. " Parce que je vais devoir attendre septembre pour avoir droit à quoi que ce soit " Soufflais-je les yeux fermés pour ne rien voir. Et puis, c'est plus facile d'imaginer de cette manière quand même. " Tu lâcheras pas l'affaire hein " Lançais-je en serrant un peu plus sa main dans les miennes. " J'ai toujours pas changé de statut tu sais, j'ai aidé un Mather, pas le futur héritier du trône d'Espagne ou d'une grande entreprise et qui me serait redevable hein " Et puis, de toute façon, je voulais pas épouser qui que ce soit pour avoir un statut et entrer à la EH. Non non... J'y aurai jamais ma place et puis, c'est tout, c'est comme ça... Mais je ne renoncerais pas à mes moments charnels avec Cole. Parce que oui, après réflexion, je préférais être la connasse qui couche avec un homme fiancé que celle qui butine de fleur en fleur, tentant de trouver la bonne.
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  Si d’abord je paniquais et me faisais plus provoquant que rassurant, je me repris ensuite, mes mains serrant les siennes, lui conseillant de ne pas regarde le doc, de me fixer moi, ce qu’elle fit mais je sentis à la pression de ses doigts qu’elle angoissait et surtout qu’elle sentait malgré tout l’aiguille qui s’enfonçait dans sa chair. Mes lèvres allèrent alors faire diversion à son oreille pour lui souffler les mêmes bêtises que lors de notre dernière étreinte ensemble, ce débat de la voir rejoindre les bleus, mon obsession du moment parce que je ne savais pas comment me dépêtrer de mes fiançailles. Elle s’amusa à me répondre alors qu’elle allait devoir attendre septembre. Un petit rire s’échappa de mes lèvres. Non clairement, pas septembre. J’allais pas tenir six longs mois sans pouvoir la serrer dans mes bras, la sentir contre moi, m’unir à elle comme nos deux corps semblaient si enclins à le faire… «C’est loin septembre… » Et puis regardez, même pas un quart d’heure que j’étais là et j’étais déjà en train de lui chuchoter des cochonneries à l’oreilles malgré la présence du médecin à nos côtés, malgré le fait qu’Ombe pouvait débarquer à tous moments… Si elle soulignait avec justesse que je ne lâchais pas l’affaire, de son côté, elle restait elle aussi sur ses positions, m’informant que c’était un mather qu’elle avait aidé. « Je m’en fous de tout ça Kyla… C’est toi que je veux. » Je lui avais déjà dit, mais il était peut être nécessaire d’ajouter : « Qu’importe ta confrérie... »
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C'est loin septembre... C'est rien de le dire. Je suis arrivée en cours d'année mais neuf mois c'est super long. Enfin, il n'en reste plus que six maintenant. Six mois à jouer au con parce qu'on était franchement doué là dessus. Et je détestais ça. Il pouvait dire ce qu'il voulait, je savais très bien qu'il ne changerait pas d'avis, qu'il épouserait la greluche qui devait être entrain de se demander où il était pour faire plaisir à sa mère. Un vrai gamin. Je lui avais dis hier et j'étais prête à lui répéter s'il le fallait. Peut être qu'elle préfèrerait voir son fils avec la femme qui est enceinte de lui. Oh. Wait. Même ça, c'est plus d'actualité. De toute façon, rien n'est d'actualité avec Cole. Sauf la terrible attirance que je ressentais envers lui. " C'est quoi six mois dans une vie ? Puis, t'es déjà engagée avec une autre " Soufflais-je rapidement. Dieu que je détestais la ramener sur le tapis comme ça, sans cesse ! Mais c'était plus fort que moi. Je peux rien faire contre ça, elle est dans l'équation et je finirais par trouver comment l'en dégager définitivement. Il m'avait toujours montré une facette mesquine et détestable de sa personnalité - enfin presque - et je pouvais l'être tout autant. Pas envers lui mais envers sa fiancée. Je l'écoute, lève les yeux au ciel quand il me répète qu'il me veut. Mon coeur ratte toujours un battement mais j'essaye de ne pas me décomposer. Ce ne sont que des mots. Sauf qu'il ajoute quelque chose, quelque chose de plus qu'hier. Je déglutis et reste bloquée quelques secondes. " Vraiment ? " Soufflais-je à voix basse. Il était vraiment entrain de dire ça ? " Y a ta mère de toute façon, elle l'acceptera pas... Elle aurait pu te fiancer à n'importe qui mais non, elle a choisi une Eliot " Le statut social avant le reste n'est-ce pas ? " Tiens lui tête " Soufflais-je, voulant le regarder, capter son regard et le faire céder. Mais c'était pas possible avec une aiguille dans la peau, pas envie d'aggraver mon cas quoi. Le médecin arrête et me dit qu'il a fini. Alors je tourne rapidement le visage vers Cole et le regarde. " Tu me veux toujours avec ce truc sur le visage ? " J'espère que c'est bien fait en tout cas.
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  Septembre… Ca me paraissait inimaginable d’attendre six longs mois avant de pouvoir profiter encore de moments privilégiés avec Kyla et pourtant… J’étais fiancé désormais alors ça allait être quoi ? Des visites en douce dans la chambre de la brune dès que la blonde aurait le dos tourné ? Kyla avait été assez explicite sur le fait qu’elle ne serait pas ce genre de femme, qu’elle ne supporterait pas la place de numéro deux… D’ailleurs, elle me soufflait que six mois ce n’était pas si long que ça… Un soupir s’échappa de mes lèvres à cette éventualité alors que l’idée que notre étreinte dans sa chambre d’hôtel la veille était peut être la dernière avant très longtemps et j’avais déjà envie de remonter le temps pour revivre encore et encore ce tête à tête… Alors je le répétai : je la voulais elle, et je précisais d’abord que c’était quelque soit sa confrérie. Si ma mère y accordait de l’importance, moi, pour le coup bien trop accro, je n’y voyais plus d’obstacle. Je voulais Kyla, en bleu, en rose, en gris… Elle aurait même pu être mather que j’étais certain que l’attraction aurait toujours été là. « Vraiment… » acquiesçai-je alors qu’elle semblait douter de la véracité de mes mots. Sauf qu’ensuite, c’est un autre discours qu’elle me souffla : tenir tête à ma mère. Je déglutis difficilement. « Ca ne se passe pas comme ça Kyla… » C’était pas –maman je veux pas de ta fiancée, trouve m’en une autre.- D’autant qu’Ombe était quelqu’un de psycho rigide et droit, en gros une vraie sainte nitouche, tout ce que ma mère pouvait souhaiter pour moi, pour espérer m’assagir. J’étais certain que c’était aussi pour cela qu’elle l’avait choisi. « Mais je vais trouver une solution… » J’avais déjà une petite idée en tête d’ailleurs. Le doc termina ses quelques points et Kyla put se tourner vers moi : est-ce que je la voulais toujours malgré cela ? Mon regard s’arrêta un instant sur les fils discrets au niveau de sa tempe. Puis je vins ensuite lui souffler le verdict à l’oreille : « Viens me rejoindre dans ma chambre ce soir et je te prouverais à quel point ça ne change rien… » lui répondis-je alors sous forme d’affirmation, ne pouvant pas me risquer ici, avec tous ses regards autour de nous, à une démonstration trop voyante d’affection.

HJ : j'étais en train de taper notre rp quand tu m'a textoté and i won't let you go (carmingham) - Page 2 1001568715 on est trop connectées :giggle:
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Six mois, c'est rien à l'échelle d'une vie. C'est même pas le temps d'une grossesse quoi. Sauf que je ne pourrais pas tenir six longs mois sans le voir, le toucher, ne ressentir qu'un dixième de ce que j'avais ressenti avec lui. Et je ne parlais pas que d'un point de vue physique parce que je peux dire ce que je veux, je m'attache à lui bien plus que je ne le souhaite. Je souris quand il affirme que tout ce qu'il me dit, c'est pas du pipot et je souris légèrement. " Je sais pas comment fonctionne ce genre de choses... " Je préfère même pas lui demander si sa mère préfère le voir malheureux avec une coincée du derch ou heureux avec une femme aux moeurs un peu plus légère. Je ne suis pas une pute non plus et puis, tout ça, c'est qu'un vieil appel au secours, qu'une manière parmi tant d'autres de cacher tout ce qui s'est passé en Europe, d'oublier que j'ai pris des coups, que je suis brisée pour un bon bout de temps." Ah oui ? T'as réfléchi à ça ? " Demandais-je, curieuse. Je veux savoir jusqu'où il est prêt pour se débarrasser de sa fiancée et aussi - voire surtout - s'il fait ça pour retrouver sa liberté totale ou si c'est aussi, pour pouvoir me voir quand il l'entend. Dès qu'on va bouger, se voir, se parler on va devoir faire quoi ? Jouer aux inconnus, aux amis ? Mais je sais pas être amie avec quelqu'un moi... Enfin, je savais pas. Mais je crois que j'ai pas envie d'être son amie, loin de là. Je me tourne vers lui quand le doc finit ses points et lui demande son avis. Je ne me suis pas regarder et je ne veux pas me regarder. Je sais que je vais marquer, que mon visage risque d'être légèrement bleuis demain, que mon corps ne serait plus si rosé mais surement un peu plus foncé. Pas par le bronzage mais par les ecchymoses qui vont commencer à se former. Je l'écoute et souris légèrement. " Je sais pas dans quelle chambre tu couches tu sais " Ouai parce que avant hier soir, on était pas très connecté nous deux. " Tu vas peut être passer la soirée avec tes amis, voir qui a été blessée et qui ne l'est pas non ? " Soufflais-je légèrement. Pas envie de me pointer et qu'il n'y ait personne. Ce serait le comble...


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  Elle savait pas comment marchait ce genre de choses, elle avait de la chance... Si j'aimais mes origines bourgeoises, si j'aimais me vanter de mon compte en banque aux multiples zéros, pour le coup là, j'enviais presque le statut social moins élevé de la demoiselle. Ce sésame pour la tranquillité et la liberté... Moi, il me fallait rentrer dans des cases, respecter une certaine ligne de conduite en accord avec l'étiquette..."Ça t'étonne ?" repris-je alors qu'elle semblait surprise d'apprendre ma réflexion en cours pour échapper à cette union. "Je dois faire les choses comme il faut." Et surtout ne pas avoir l'air coupable dans l'histoire. C'était ça le plus important. Il fallait que l'annulation des fiançailles viennent d'Ombeline, car si ça venait de moi, je faisais confiance à ma très chère mère pour m'en faire payer le prix fort. Je chassai ces pensées de ma tête pour me concentrer sur celle de Kyla qui s'était tournée vers moi après la suture afin que j'observe le résultat. C'était propre et nette. Le chilien semblait finalement avoir fait du bon boulot. Je promis une démonstration d'à quel point je la voulais toujours, mais la jeune répliqua alors qu'elle ne savait même pas dans quelle chambre j'étais. Je pris un air vexé : moi je m'étais débrouillé pour obtenir le renseignement concernant la sienne la veille... Et puis quand elle ajouta que j'allais sûrement passer ma soirée avec mes amis, mon expression boudeuse s'amplifia. "Écoute, si tu veux pas me voir, dis le, ça sera plus simple. Puis tu sais quoi ? Je vais passer ma soirée à veiller sur Ombeline... Peut être qu'elle, elle sera plus heureuse de ma présence."
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