Jayver J'ai besoin de mon grand frère

Je venais de recevoir le SMS qu'on ne veux jamais recevoir. Mon frère a été blessé en faisais le garde du corps de son meilleur ami le prince. Pourquoi il prend autant de risque? Nos parents ont de l'argent pourquoi ils leur demande pas? Je supporte pas cette idée. Je venais d'avoir le message je fonçais vers l'hôpital. Je m'en fichais de moi, mon coeur pouvais explosé je m'en fou. Je voulais juste que mon frère vive lui. Je ne sais même pas l'éttendu de ses blessures. Rien que l'idée de le perdre les larme coule sur mes joues. Je cours comme un dingue. Je n'en peu plus je veux le voir, voir qu'il est toujours en vie. J'arrive enfin a obtenir sa chambre. Je fonce comme un fou jusqu') sa porte. J'attend quelque misnute avant d'entré je veux pas qu'il voit que j'ai pleuré. Je rentre doucement dans la chambre. Il dors. Je m'assois a ses cotés. Je le regarde, il n'est pas mort c'est déjà pas mal. J'ai plus du tout l'intention de bougé....

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J'ai besoin de mon grand frère

La nuit avait été très longue pour certain... Dans mon cas s'était assez mitigé... Je ne le savais pas trop, parce que quand j'avais repris conscience, je ne me souvenais pas de la veille, ou plutôt pas de la bonne veille étant donné que j'étais persuadé d'être fin août. Ce qui s'avère assez compliqué pour les médecins quand ils avaient commencé à me faire passer quelque tests avant de finalement me dire qu'ils continueraient demain et que je pourrais, non, je devais me reposer. Ils m'avaient alors conduit dans ma chambre pour passer le reste de la nuit. Je n'avais d'ailleurs pas prit bien longtemps avant de m'endormir dans un sommeil peut-être un peu trop léger. En effet, quand la porte de ma chambre s'ouvrit, il ne me fallut pas beaucoup de temps pour le réaliser et ensuite ouvrir les yeux. J'étais perturbé par ce qui m'arrivait, alors dormir n'était pas facile et tout était un bon prétexte pour ouvrir les yeux. Scrutant alors un peu la pièce, je finis par tomber sur la tête de mon frangin. J'esquisse alors un léger sourire malgré mes blessures aux visages également. J'aurais aimé qu'il ne me voit pas dans cet état bien qu'en réalité, je n'ai pas réellement cette pensée maintenant. "Hey... Judi..." Lui lançais-je doucement d'une voix quand bien même un peu endormie. "Qu'est-ce que tu fais là?" Surenchéris-je assez rapidement, parce qu'il devrait dormir à cette heure...

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Mon coeur battais tellement fort quand j'ai reçu se sms. J'avais tellment peur pour mon frère. J'étais assis a ses coté. Je n'avais même pas regardé l'heure qu'il était. Je voulais m'assuré qu'il aille bien. Je ne voulais pas le quitté. Je venais d'arrivé dans sa chambre. J'avais une certitudes il est en vie. C'est déjà beaucoup pour moi. J'ai besoin de lui. Il se reveillais et me demandais ce que je fait la a cette heure.
"Quand je reçois un message qui me dit que tu est blessé, quelque sois l'heure je suis la. Comment tu vas?" Je le regardais inquièt. Je ne veux pas le perdre, je ne pouvais pas caché mon inquiétude.

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J'ai besoin de mon grand frère

Mon regard reste rivé sur lui, attendant sa réponse, parce que même à cet instant alors que je suis au plus mal, je me soucis de lui, de son état, de sa fatigue. Je tente même de lui adresser un léger sourire, peut-être pour tenter de le rassurer ? Je ne sais pas trop... Mais une chose est sûre, je ne le quitte pas des yeux, écoutant sa réponse, mon sourire s'estompe. "Tu ne devrais pas te soucier autant pour moi. Regarde, je vais bien." Bien dans le sens, ou je ne suis pas mort ou encore, je ne suis pas entre la vie et la mort... J'essaie de dédramatisé car c'est un peu ce que veux mon rôle de grand-frère. Je n'ai pas envie qu'il se soucie comme ça de moi, il a déjà assez de soucis avec sa propre santé que pour s'en faire pour la mienne. "Tu n'as pas forcé pour venir, rassure moi." J'espérais qu'il ai eu l'idée de prendre un taxi, qu'il se soit ménagé parce que j'ai parfaitement remarqué que depuis son arrivée ici, il ne prend plus tellement de précaution vis-à-vis de sa santé... Pourtant, à cet instant, je ne devrais pas jouer les protecteur ou bien même les réprimander alors qu'on est ici, que je suis allongé sur un putain de lit d'hôpital... Pourtant, j'arrive pas à faire autrement, je m'inquiète trop pour mon petit frère, ce qui parfois peut être très/trop lourd pour lui je crois.

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J'étais tellement inquièt pour mon frère que je n'avais même pas chercher a prendre un taxi, d'ailleurs y avais personne sans mes rue a cette heure la. Il me disais que je devais pas m'inquiété pour lui. Qu'il va bien.
"On a pas vraiment la même définition du mot." Oh sa c'est sur. Je n'appel pas ça aller bien quand on est allongé sur un foutue lit d'hopital. Il me demandait toute suite si je n'avais pas forcé pour venir. Bien sur que si j'avais frolé l'arrêt cardiaque, mon rythme n'étais pas encore revenue a la normal, hors de question de lui dire la vérité.
"Ne change pas de conversation c'est toi qui est sur le lit d'hôpital... Et oui j'ai pris un taxi, t'inquiète pas pour moi. Prend soins de toi. Je dit quoi au parent? Je vais pas leur dire que tu joue les garde du corps? Je suis pas sur qu'il aime savoir que tu risque ta vie pour gagné de l'argent alors qu'il y a plein d'autre metier bien plus simple. Faut que tu me donne une version a la quelle on se tiendra!" J'allais pas le caché a mes parents.

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J'ai besoin de mon grand frère

Je lui laisse entendre un léger rire franchir mes lèvres, bien que cela reste un peu douloureux à cause de coups au visage que je me suis prit. "Je suis envie, c'est ça que ça veut dire." Tentais-je de positiver au moins un peu parce que je savais, non, je me doutais bien, que je ne serais pas capable de le faire à tout moment et il fallait réellement que pour mon frangin, je le fasse un peu, que je ne l'inquiète pas plus qu'il ne l'est déjà... Je me force en quelque sorte... Mais bon, je l'écoute et mon sourire s'estompe. L'entendre me faire la morale comme ça, c'est pas réellement quelque chose de cool... Je le fixe donc restant silencieux un moment avant de soupirer. "Je détourne pas la conversation Judi'... Ok, c'est moi sur le lit d'hôpital, mais regard, je vais bien. J'ai quelque égratignure ! Rien de bien grave !" Rien de bien grave... J'avais surtout eu de la chance que la balle de ne touche pas mon artère fémoral... Sinon, ouais, là ça aurait été bien pire et plus dangereux pour moi... "Ensuite... Tu sais très bien pourquoi je fais ça... Toi, tu n'en as un peu rien à faire que se soit les parents qui te payent les études, mais moi pas, tu vois... Alors, je tiens à les rembourser et Andrew me paye bien pour faire ce job." Soufflais-je... Je ne savais pas si Judi savaient réellement pourquoi je tenais à ce point-là à rembourser les parents, je devais sûrement lui avoir déjà dit, mais sur le coup, je ne m'en souvenais pas. "Puis la version... Elle est toute simple. J'étais avec Andrew quand il s'est fait attaqué et je suis un dégât collatéral." Après tout, à cet instant, j'avais encore tout en mémoire, ce que les docs m'avaient dit, ce que les flics avaient rapidement exposé sur les événements de la soirée à mon réveil pour tenter de prendre ma déposition...

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Il me disais qu'il était en vie.
"Oh bah rappel moi de te sortir cette definition, la prochaine fois que je suis a ta place." Oh je sais qu'il ne penserais pas ça. Il me disais que tout allait bien qu'il était pas la pour détourné la conversation. Il me disais que je savais bien pourquoi il faisais ça.
"Je te reproche pas de travaillé Jay et je le ferais jamais! Ce que je veux dire c'est qui a des boulots bien moins dangereux!Je veux pas te perdre Jay..." Il me disais que la version a donné c'était qu'il est un démage colateral quand Andrew c'est fait attaqué. J'ai peur de le perdre, c'est mon grand frère ... J'ai besoin delui.
"On les appeleras demain matin."

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J'ai besoin de mon grand frère

Et merde ! il veut réellement me prendre à mon propre jeu ? Je le dévisage un peu. "Judi... C'est pas du tout la même chose. C'est pas comparable." Au final, entre nous deux, je ne savais pas ce qui était le plus grave, lui qui était au final un presque abonné de ce lieu ou moi qui n'y finissait que trop rarement dans des états pas croyables... Mais dans tout les cas, il avait pas intérêt à me ressortir cette phrase quand il sera effectivement sur un lit d'hôpital. "Tu te fais trop de film ! Ce métier est pas si dangereux... Et ce qui m'intéresse, c'est que c'est bien payer. Puis, il faut plus que ça pour venir à bout de moi. J'ai bien résisté à l'entrainement de papa toute ces années !" Tentais-je alors de plaisanter un peu pour tenté de le détendre et lui faire comprendre que ce n'est pas si grave que ça, bien que je dédramatise un peu trop tout cela et je m'en rends bien compte, parce que s'il y a une prochaine fois, il est fort probable que ça ne se termine pas comme ça, mais bien avec un corbillard et des chants funéraires... "Je te laisserais faire alors..." Parce que je n'avais pas réellement envie d'entre la voix de notre mère trop inquiète... Pourquoi est-ce que l’hôpital les avaient contacté hein ? Ils auraient pu les laisser dans l'ignorance, ça aurait été bien mieux comme ça ... Bien que comment aurais-je bu expliquer mon absence à l'anniversaire de notre père ? Judi aurait-il su mentir en face à face ? J'avais quelque doute sur cela...

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Il me disais que c'étais pas la même chose.
"C'est exactement pareil!" Il continuais en me disans que je me faisais boen trop de chose. Il me disais que c'étais pas aussi dangereux.
"Non mais attend. Tu termine sur un lit d'hopital tu trouve pas dangereux? Tu réaliseras quand tu sera mort?" Il me disais qu'il avec bien resisté a l'entrainement de notre père toute l'année.
"Arrête c'est pas pareil tu le sais... Je veux pas te perdre...." Je ne peu pas le faire, je ne peux pas vivre dans mon frère. Il ne vvoulais pas leur dire
"T'es pas la poue te faire enelver les dent de sagesse! Je vais pas leur caché ça. Je peux les géré et leur donné des nouvelle, en te les passant que dans la soirée et le lendemain. Mai tu peux pas les évité. Ils nous aiment! Tu peux pas meur ccher ça!"

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J'ai besoin de mon grand frère

Je serre un peu les dents. "Judi non ! Moi, c'est qu'une blessure à la tête et une autre à la jambe, rien de bien dangereux alors que toi, tu sais très bien ce qu'il en est." Pour moi, c'était pas réellement comparable, bon, d'accord, j'avais pas mal de séquelles, mais moi, ça s'était occasionnel alors que lui, ça pourrait survenir à n'importe quel moment et le conduire tout droit à la morgue... Chose à laquelle je ne voulais pas penser, mais qui envahissait trop facilement mon esprit. "Arrête !" Lançais-je d'une voix un peu plus grave. "Je vais bien alors arrête de dramatiser Judi!" Parce que c'était clairement ça qu'il faisait... "Si tu commences à penser comme ça, sortir dans la rue peut être dangereux, tu peux faire une mauvaise chute, te faire renverser. Si je dois mourir, je mourrais que ça soit en faisant mon taf ou en me promenant simplement dans la rue." Lui lançais-je pour qu'il comprenne bien le rapport que moi, j'avais avec la mort. La cause serait juste différente en fonction du contexte, mais on n'est pas dans destination final ou un film dans le genre où il suffit d'une naissance ou de je ne sais quoi pour annuler le contrat de la mort sur notre tête. On en vient alors au sujet de nos parents. Je soupire. "Je sais bien, j'ai juste pas envie d'avoir maman au téléphone directement. Autant papa ça ira parce que je sais que je n'aurais pas de crises de larmes, mais maman, c'est une tout autre histoire... Tu sais comment elle est non... Tu tiens pas mal d'elle pour ça à tout dramatiser d'ailleurs." Ouais, sur le coup, je ne pouvais pas m'empêcher de faire le rapprochement entre les deux.

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