Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAUSTIN ▼ mes pensées ne devraient plus t'appartenir mais.. c'est plus compliqué que cela. - Page 2
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AUSTIN ▼ mes pensées ne devraient plus t'appartenir mais.. c'est plus compliqué que cela.

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Retrouver Austin était réellement un bonheur sans nom. Je savais que nous ne devions pas être si proche, mais là.. Je veux dire que putain, on aurait pu mourir, l'un comme l'autre ou même les deux, la veille lors de ce tremblement de terre et tout ce qui s'en était suit ! Alors j'étais très heureuse de le retrouver. Notre relation allait tout de même un peu mieux depuis quelques temps alors.. Oui, je me rendais compte qu'il n'était toujours pas parti de ma tête et que ça ne serait probablement jamais le cas. Je devais me rendre à l'évidence. Peut-être que mon cœur arrivait à me faire aller vers une autre personne, mais.. mon ex petit ami sera toujours là, quoiqu'il arrive. En tout cas, je lui proposais gentiment de l'aider à financer un nouveau portable. Même si je ne faisais plus parti de ses contacts, je continuais à être dans la liste des gens à prévenir et.. Ce n'était pas rien. « Tu voudrais quoi comme travail ? » Soyons honnête. J'aurais pu me foutre de sa gueule parce que jusqu'à maintenant, Monsieur préférait faire la fête à travailler mais.. Gosh. Putain. Ça voulait dire qu'il mûrissait alors je n'allais pas casser ce moment si inattendu. « Et si un jour tu finis PDG.. je quitterais mon travail, quel qu'il soit pour être ta secrétaire » lui promis-je avec un léger sourire amusée. Je savais que c'était son rêve et franchement.. ça ne m'étonnerait pas du tout qu'il y arrive un jour. On sera toujours lié. C'était aussi douloureux que rassurant d'entendre ces paroles de sa part. Je frissonnais en sentant ses doigts sur mon tatouage. Enfin, notre tatouage. Ce nouvel an avait été.. n'importe quoi, mais ça restera gravé pour toujours dans mon esprit et mon cœur. « je ne retirais pas ce tatouage, sauf si tu le fais en premier » souriais-je tendr.. amicalement. Le tatouage, c'était comme lui. Je ne l'effacerais pas sauf s'il le faisait. Hésitant une demi-seconde, je venais me relever avant de grimper sur son lit. Venant à califourchon sur lui, je restais en suspension avant de l'enlacer pour le serrer contre moi. J'avais eu tellement d'émotions en 24h que j'avais besoin de plus qu'un sourire, des belles paroles et avoir une main touchant la mienne. Les yeux fermés, je m'autorisais à profiter de ce moment qui me faisait un très grand bien..
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Je réfléchissais sérieusement à ce que je pourrais faire. Bonne question puisque je n’étais qualifié dans rien. « J’pourrais devenir serveur au Starbuck’s, j’suis un client fidèle après tout » Riais-je tout en sachant que je n’avais pas tort. En réalité, je n’en avais vraiment aucune idée, mais je me disais que j’avais encore le temps d’y réfléchir. Je n’étais plus à un jour près après tout ce temps. Je souriais légèrement à la suite. « Je serais ravis que tu le sois » Après tout, c’est ce qui avait été prévu depuis que nous étions gosse non ?

En attendant, mes yeux ne cessaient de fixer son tatouage. Toujours aussi surpris qu’elle l’ait gardé ? Venant d’elle oui, mais j’en étais fier. « Tu vas le garder longtemps alors » Car oui, je n’avais aucunement l’intention de l’effacer, car après tout, ça faisait partie de mon histoire. Je me décalais légèrement voyant qu’elle cherchait à se faire une petite place sur mon lit, mais je pensais juste qu’elle allait s’asseoir à côté de moi et non sur moi, mais je comprenais bien vite que la jeune demoiselle avait besoin de réconfort que ça soit psychique ou physique, après toutes ses émotions. Alors, je resserrais mes bras autour d’elle en l’attirant contre moi. « J’suis là.. » Chuchotais-je au creux de son oreille.
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Imaginer Austin travailler était quelque chose que je n'avais jamais fait je crois. À part pour ses rêves de devenir PDG, je ne l'avais jamais entendu parler de prendre un travail comme moi je faisais serveuse. D'ailleurs.. Vu tous les voyages que je faisais ou que j'allais faire, soit j'allais arrêter de travailler, soit je n'irais pas au Summer Camp pour rattraper toutes mes heures. Je ne savais même pas si j'avais envie d'y aller. Si ça allait mieux avec mon bouclé d'ici là, ok, mais si nous étions encore en froid, je n'avais pas envie de ressasser les mauvais souvenirs de l'an passé. « C'est pas faux » riais-je doucement. « Je serais ta cliente #1 et j'te ferais ton chiffre du mois en un temps record avec Athéna et Emilia » lui promis-je doucement avec un léger sourire malicieux. Je savais que ça l'emmerderait de me servir parce que.. Sa fierté est toujours là, mais on pourra le taquiner gentiment avec les filles. « C'est gentil ça, mais t'as intérêt à bien me payer » lui indiquais-je avec un sourire amusée. Bah quoi ? Si déjà, je n'allais pas me laisser faire, hein. Bon, après son rêve d'avoir une secrétaire sexy.. J'sais pas trop si je rentrais dans les critères, mais.. Ce rêve d'enfants me plaisait toujours.

Depuis notre rupture, j'avais sans cesse songé qu'il irait retirer ce tatouage au plus vite. Je m'étais trompée et je le reconnais, bien que j'avais toujours du mal à m'en rendre compte. Sa remarque me fit chaud au cœur. « Tant mieux » répondis-je simplement, heureuse de toujours l'avoir dans la peau, dans tous les sens du terme. J'avais bien vu qu'il s'était décalé pour me laisser une place, mais je ne comptais pas rester au bord du lit. Ça va, on a pas cinq ans hein, on sait bien se tenir et.. J'avais besoin de le retrouver. J'avais eu si peur pour lui toute la nuit que je voulais le sentir contre moi. Me rendre compte qu'il est vivant et qu'il est toujours avec moi. J'étais épuisée, mais je ne voulais pas le lâcher. Une fois sur lui, l'enlaçant en douceur, je sentais ses bras autour de moi. Putain. Je laissais juste échapper une petite larme. Promis, une seule ! Ses paroles m'apaisaient tellement. « Je.. » t'adore, te hais, te pardonne, te déteste. Tout s'embrouillait tellement mais.. « ..t'aime » soufflais-je en le serrant encore plus fort. Et même si à cause de ça, tout partait encore en live entre nous, il allait bien. Gosh, il était vivant quoi.
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Je riais à ses quelques paroles, m’imaginant une fraction de seconde serveurs, avant de reprendre de mon sérieux lorsque mes bras vinrent enlacer le corps tout frêle de mon ex. Je l’a connaissais tellement par cœur que je devinais qu’une petite larme avait échappée à sa vigilance ce qui me fit échapper un léger sourire. Rien de bien méchant, j’étais tout simplement soulagé qu’elle ne se renferme pas à moi. Je caressais délicatement son dos en souriant de plus bel suite à ses belles paroles. Je caressais délicatement ses cheveux en lui déposant un baiser dessus. « Moi aussi Madi’… » Mon souffle parcourrait agréablement ses cheveux. « Je t’aime aussi.. » Je me rendais petit à petit compte qu’il n’y avait aucune honte à le dire. Ce n’était que de simples mots qui exprimaient juste les sentiments que j’avais pour une personne. J’avais mal dans tout mon corps, mais j’avais tellement peur de la vexer en lui demandant de se décaler et de casser la magie que je préférais prendre sur moi et la garder contre mon torse jusqu’à ce qu’elle s’en lasse.
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Être contre lui n'avait pas de prix. Je me sentais tellement vivante que je ne voulais plus bouger de cette place. Bon, je savais que je n'allais pas rester là indéfiniment et j'espérais aussi ne pas lui faire trop mal. Je me faisais la plus légère possible, en supposant que ça suffisait. Ses caresses me faisaient un bien fou. Je revivais dans ses bras et je ne cessais de me le dire et redire dans ma tête. C'était affreux, parce que.. Je ne devrais pas penser à lui, mais à quelqu'un d'autre. Sauf que.. Je n'arrivais pas à l'oublier. Vraiment pas. Son petit baiser me donnait encore ces foutus frissons. Sa voix, ses mots.. Si j'avais assez d'énergie, je pleurais tellement je suis heureuse de l'entendre se confier à moi. C'était tellement beau quand il me le disait. C'était rare, mais c'était cette rareté que j'aimais chez lui. De toute façon, j'en faisais toujours des tonnes pour deux donc bon.. Dommage que tout cela fasse parti du passé. Bizarrement, je ne le sentais pas trop bouger et je me redressais légèrement en me faisant encore plus légère, contractant mes petits muscles pour ne pas l'écraser.« Tu sais que tu as le droit de me dire si tu veux que je me pousse ? » riais-je doucement. « Sinon je serais capable de m'endormir contre toi » avouais-je, avec un petit sourire fatigué. Mes yeux l'admiraient alors qu'il tombait sur ses lèvres. Mon cœur s'affolait. Non ! Je lui adressais un petit sourire forcé avant de décaler pour me mettre au bord de lui. La fatigue commençait à me peser mais je ne voulais pas partir d'ici avant de l'embarquer avec moi. Au moins, là, il serait plus enclin à me suivre qu'après l'activité Paintball..
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Je me sentais tellement mieux depuis que nous n’étions plus en froid, car je savais que nous en souffrions tous les deux de noter côté, mais avec nos deux caractères de merde, ce n’était pas près d’avancer. Au final, il aura fallu presque mourir pour qu’on se retrouve vraiment. Bon, fort heureusement cela allait un petit peu mieux depuis le coup foireux d’Alaska, il n’y avait qu’à voir au paintball. Jeu avec lequel je m’étais sorti avec un beau bleu sur le nez. Plus de peur de mal, je ne m’étais rien fracturé, pas comme mon pied. « Bon, bah dans ces cas-là tu peux te pousser steuplait ? » Riais-je en la décalant gentiment et doucement. « Merci ! » J’avais les muscles tellement endoloris c’était justement horrible. Je sursautais en entendant un bruit, mais ce n’était qu’une porte qui claque et les infirmières dans le couloir. Je crois que j’avais un léger traumatisme de cette expérience. Le Austin fier et fort ne faisait plus le malin intérieurement. Par contre, il n’en était rien en apparence. « Tu peux dormir tu sais » Je passais l’un de mes bras autour de ses épaules, là collant contre mon torse tout en caressant doucement sa joue.
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C'était comme une renaissance. Nous avions tous deux frôler la mort la veille et.. C'est stupide d'en arriver là pour se rappeler que nous ne pourrions jamais être l'un sans l'autre. Et.. ça me va comme ça. Le sujet qui nous a fait rompre pourrait revenir sur le tapis, parce qu'on parle toujours sans trop réfléchir, mais.. Je ferais en sorte de ne pas lui balancer son erreur à la gueule. Je n'avais pas envie de me battre avec lui, mais au contraire.. Que notre relation aille mieux. Au final, peut-être que l'on pourrait redevenir amis ? Je n'en savais rien. Parce qu'à chaque fois que j'étais près de lui, c'était comme lorsque j'étais amoureuse de lui, sans que nous soyons ensemble. En soit, c'était toujours le cas, mais.. Le temps avait fait que ce ne serait plus comme avant. Sa question me fit sourire alors que je me décalais rapidement pour éviter de lui faire mal. Je n'avais pas envie d’appuyer où ça faisait mal – belle métaphore, non ? Son sursaut me serrait le cœur. Il tentait de faire le fier encore, mais je voyais bien que ce n'était pas comme avant. Il y avait une légère lueur de doute dans ses yeux et je remarquais qu'il avait vécu bien pire que moi. « J'suis là aussi » dis-je avec un petit sourire. Son bras autour de mon épaule, son torse tout chaud contre moi.. J'aimais cette place et égoïstement, j'aimerais être la seule pour toujours à pouvoir être ainsi avec lui. C'est idiot parce que.. C'est pas très amical comme geste, enfin.. Avec lui, c'était toujours plus que cela donc bon. « Mh mh bonne nuit alors » murmurais-je, la voix toute endormie alors que je baillais doucement. Une proposition pareille, je ne refuserais pour rien au monde ! Me calant doucement contre lui, les yeux fermés, je me sentais déjà sombrer pour me reposer. Ses douces caresses sur ma joue m'apaisaient pleinement alors qu'une de mes mains cherchait l'une des siennes pour entrelacer nos doigts. Et si tout cela était un rêve.. Alors c'était le plus beau rêve de toute ma vie. ♥
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J’esquivais un petit sourire parce que Madisson était bien la seule qui réussissait à me comprendre quoi qu’il arrive et cela même si j’essayais de lui cacher mes vrais ressenti. J’étais rassuré par ses paroles alors que je la serrais un petit peu plus contre moi, accueillant ses doigts emmêlés aux miens avec plaisir. « Enfin ce n’est pas vraiment la nuit » Me moquais gentiment, alors que j’avais très bien compris ce qu’elle cherchait à me dire. Je l’a laissais s’endormir contre moi, voyant qu’elle en avait bien besoin après tous ses évènements. Est-ce que nous allions parler de ce tremblement de terre un jour ? Aucune idée, même si j’aimerais bien savoir ce qui était arrivé à mon ex petite amie. Je l’a regardais dormir, n’arrivant pas à dormir. En même temps, je venais à peine de me réveiller et franchement si c’était pour enchaîner le même cauchemar encore et encore, je préférais ne jamais me rendormir. Fort heureusement pour moi, j’étais de nature insomniaque, alors il suffisait juste que j’enchaîne la caféine pour péter la fort durant des jours. Les heures s’écoulèrent doucement. Nous partions déjà demain et je me demandais vraiment pourquoi le tremblement de terre n’a pas préféré éclaté une fois que nous serions atterri à Harvard.
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Pas la nuit ? Je m'en fichais, mais je savais qu'il me disait cela pour rire. Je souriais contre lui avant de m'endormir complètement. Mon sommeil n'était pas des plus sereins, mais en respirant l'odeur familière de mon bouclé et en sentant sa main contre la mienne.. J'étais rassurée en grande partie. Il y avait toujours ces images des gens qui crient, qui se font mal et cette poussière.. Ne pas savoir ce qui se passait aux autres. Je n'avais cessé de penser à Austin parce que.. Parce qu'il était la personne que je connaissais le plus longtemps. Emilia et Athéna étaient avec moi à ce moment-là.. Sans cela, je serais devenue folle. Pour de vrai. Récupérant un peu de ma nuit blanche, de doux souvenirs remplaçaient l'horreur de la veille. Évidemment, cela parlait d'Austin et moi. Je ne voulais que garder le positif. Quand au reste, je voulais le laisser derrière nous. Plongée dans mes rêves, je finissais tout de même par me réveiller trois heures après le début de ma sieste. Ça faisait du bien. Encore dans le coton, je bougeais légèrement contre Austin. Mon visage venait se nicher dans son cou. Son parfum. Familier, rassurant et apaisant. Si je pouvais rester comme ça pendant des mois, je ne dirais pas non. Je ne savais pas comment notre relation allait se poursuivre et j'espérais ne plus avoir aucune dispute avec lui jusqu'à la fin de l'année. Ce serait déjà pas mal. Me redressant un peu, je gardais les yeux fermés pour venir me blottir bien contre son torse avant d'ouvrir légèrement les yeux pour le regarder. Même avec sa tête de merde et ses yeux verts troublés, il est beau encore. Mes lèvres vinrent se poser.. normalement, je pensais que c'était sa joue, mais c'était plus la commissure de ses lèvres. Tant pis, je doute qu'il allait mourir pour ce geste et moi.. Non plus. Je préférais un vrai baiser mais.. Je ne devais plus penser à un tel geste entre nous..
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Je souriais en sentant la demoiselle bouger dans son sommeil jusqu’à ce qu’elle se réveil réellement. Je gardais le silence me contentant de sourire tout simplement. Son baiser me fit on ne peut plus plaisir. « Tu t’es bien reposé ? » Je savais que nous ne serions rien de plus que des amis à présent. Il faut dire qu’elle avait su rattraper le temps avec Andrew et j’en passe, alors niveau vie sentimentale j’étais passé au second plan. Du moins, j’imaginais. A peine eut-on le temps d’émerger tranquillement que des infirmières chiliennes débarquaient dans ma chambre. La fameuse barrière de la langue. Je communiquais avec elle en portugais et ça me faisait tout drôle, car autre fois, lorsque je parlais portugais de cette manière outre que les cours, c’était avec ma mère à Cleveland et principalement quand on s’embrouillait. Elle tchéka ma cheville qui était loin d’être jolie à voir avant de repartir. Je riais en regardant Madi’. « J’aurais dû t’apprendre le portugais » Riais-je en voyant sa tête.
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